LA PARTIE DE CARTES
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-12-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LA PARTIE DE CARTES
C’est une situation très rocambolesque. Ma femme a un amant, et la femme de son amant est ma maîtresse. Ma femme ignore tout de ma liaison avec la femme de son amant. L’amant de ma femme et ma maîtresse connaissent tout l’un de l’autre, mais le mari ne sait pas que je suis au courant de sa liaison avec ma femme. Seuls, ma maîtresse et moi sommes au courant de l’ensemble du dossier. Confus ? Ouais, il faudrait que je commence par le commencement.
Pour comprendre, il faut remonter une dizaine d’années en arrière, lorsque nous avons quitté la grande ville pour une bourgade de la périphérie. Dans la grande ville, nous avions nos habitudes. Restaurant dansant tous les vendredis soir, brunch tous les dimanches en matinée. À chacun son sport, on soigne sa ligne comme on peut.
Nous voulions conserver notre routine à la campagne, mais nous n’avions plus à notre disposition le choix de restaurants que nous avions dans la grande ville. Pour le repas dansant du vendredi soir, nous avons rapidement trouvé notre bonheur, mais pour le brunch du dimanche matin, un seul restaurant valait le coup, et il est devenu notre cantine habituelle. Comme c’est courant dans ces contrées, nous avons rapidement appris à connaître la clientèle d’habitués.
Un dimanche matin, nous étions assis dans notre cantine, en train de bruncher, lorsqu'un couple s’est installé à la table voisine de la nôtre. Nous ne les connaissions pas. Nous nous sommes salués courtoisement, c’est tout.
L'homme était pas mal, rien d'exceptionnel. La femme, par contre, attirait les regards. Une grande blonde platine avec une paire de nichons et un cul, à faire bander un mort ! En plus, court vêtue, maquillée comme une voiture volée, et avec plus de bijoux sur elle que la reine d’Angleterre. Une salope qui exsudait le sexe, j’en suis resté la bouche ouverte, les yeux écarquillés. J’étais changé en statue, incapable de mastiquer ma bouchée, jusqu’à ce que ma femme me balance un grand coup de pied sous la table :
«Hé, Roméo, accroche ta ceinture de sécurité, ou tu vas tomber de ta chaise !»
Plus ou moins régulièrement, au cours de l'année suivante, nous les avons croisés au restaurant, et nous avons finalement échangés quelques mots. Nous ne l'avons jamais revue aussi aguichante que la première fois, mais elle avait toujours ses seins et ses fesses. Ma femme s’amusait à parler d’elle comme ma "petite amie" … "Ne regarde pas maintenant, mais ta petite amie vient d’entrer" ... "C'est ton jour de chance, mon chéri, ta petite amie est arrivée" …
Ma femme s’amusait avec ça, allant jusqu'à me demander si je voulais échanger de siège avec elle pour avoir une meilleure vue. Pour être honnête, puisque ma femme le tolérait, j'aimais bien la regarder, surtout ses seins.
Un dimanche matin, alors que nous étions en train de bruncher, ma femme a fait signe à quelqu'un de s’approcher. Je lui ai jeté un coup d'œil et elle m’a dit :
«Le restaurant est plein. Il n'y a pas de table disponible, ils peuvent s'asseoir à la nôtre.»
Je me suis retourné pour voir le couple se diriger vers nous, la femme en tête, son opulente poitrine ouvrant la voie. Vacharde et souriante, ma femme m'a demandé :
«Tu préfères qu'elle soit assise en face de toi ou à côté de toi ?»
Bérengère s’est levée pour les accueillir : «Toutes les tables sont prises, joignez-vous à nous, nous ferons mieux connaissance, depuis le temps qu’on se croise ici !»
Ils ont accepté et se sont présentés, Marlène et Robert. Marlène était dans l'immobilier, Robert était mécanicien chez le concessionnaire local. Immédiatement, Robert et moi avons discuté bagnoles, Bérengère et Marlène ont trouvé un sujet de conversation. Il n’habitaient pas très loin de nous, et ils aimaient jouer à la belote, comme nous. Après le brunch, au moment de partir, Bérengère les a invité, un soir, pour dîner et une partie des cartes. Marlène a dit qu'elle appellerait dans la semaine pour fixer une date. Sur le chemin du retour, j'ai demandé à Bérengère pourquoi elle avait fait ça, et elle s'était moquée de moi en disant :
«Juste une occasion de te mettre dans l'embarras, mon amour !»
Ils sont venus chez nous le vendredi soir suivant. Ce fut pire que ce à quoi je m’attendais. Nous échangions de partenaire après chaque partie. Avec Robert ou Bérengère en face de moi, tout allait bien. Une partie sur trois, face à Marlène, je perdais mes moyens. Impossible de me concentrer sur les cartes. Elle avait un chemisier presque transparent, très décolleté, et j’avais l’impression que ses nichons m’appelaient. À la fin de la soirée, il a été décidé que le vendredi soir suivant, c’était eux qui nous recevraient.
Marlène nous a accueillis à la porte. J'ai tout de suite compris que j'avais des ennuis. Elle portait une mini-jupe et un débardeur, sans soutien-gorge. La première partie, c’était les couples ensemble. Les invités contre les hôtes. Ça allait. Ensuite, les hommes contres les femmes. Bien. La troisième partie, j’étais avec Marlène. Marlène s'est levée, a attrapé un gilet qu’elle a boutonné jusqu'en haut : «J’en ai marre de perdre !» Tout le monde a éclaté de rire, sauf moi, j’étais rouge comme une tomate trop mûre.
Les invitations se succédaient, semaine après semaine, repas plus cartes, tantôt chez l’un, tantôt chez l’autre. Marlène faisait tout son possible pour me taquiner, allant jusqu’à me mettre dans l’embarras, à la grande joie de Robert et de Bérengère. Un soir, quelques mois après le début de nos dîners hebdomadaires, j'étais dans la cuisine avec Marlène, l’aidant à la vaisselle. Elle s'est tournée vers moi et m'a demandé :
«Alors, as-tu deviné ?»
«Deviné quoi ?»
«Pourquoi j'aime te taquiner avec ma poitrine. Ça m'excite tellement de t’embarrasser que je viole pratiquement Robert dès que vous êtes partis.»
J'ai admis que je n'avais pas vu les choses sous cet angle. Alors, elle s'est retournée vers moi et a remonté son sweat-shirt . Elle n'avait pas de soutien-gorge, et j'ai vu ses tétons pour la première fois. Elle a rit et a rabattu son maillot,
«On verra bien si tu parviens à te concentrer sur ton jeu, maintenant !»
Quelques semaines plus tard, j'ai découvert que Bérengère et Robert fricotaient ensemble. Pendant la pause-déjeuner, je déjeunais dans la cafétéria de l’entreprise avec mes collègues de travail. À ma table, deux gars parlaient de performances sexuelles.
L’un d’eux a dit : «Tiens, c’est comme mon beau-frère. Il a une belle femme, sexy et amoureuse, elle a une paire de nichons extraordinaire, mais ça ne lui suffit pas ! En plus, il a deux maîtresses ! Pas une, deux ! Il travaille au garage automobile, à l’entrée de la ville, et bien, tous les jours à midi, il prends la camionnette du boulot, il va ramasser une de ses chéries, et il passe sa pause de midi à baiser une salope à la l’arrière du fourgon. Et des femmes mariées, hein ! Les maris ne sont pas au courant. L’une est une petite brune boulotte, l’autre c’est une grande rousse toute en jambes.»
Je suis resté assis là, gelé sur ma chaise, je ne sais pas exactement pourquoi, cela aurait pu être n'importe qui, mais j'avais un très mauvais pressentiment. Robert travaillait chez le concessionnaire à l’entrée du village, Marlène, sa femme, avait des nichons extraordinaires, et Bérengère, ma femme, était rousse avec de très longues jambes.
Le reste de la journée a été horriblement long. Mon esprit confus ne fonctionnait pas normalement. J’imaginais Robert et Bérengère. Quand je suis rentré chez nous, ce soir-là, j'ai bien observé Bérengère, à la recherche d’indices, d’un signe qui me mettrait sur la piste, mais bien sûr je n'ai rien décelé.
Le lendemain à midi, au lieu de descendre manger à la cafétéria, comme d’habitude, j’ai quitté mon travail au volant de ma voiture, et je suis allé me planquer à proximité du travail de ma femme. Je me suis garé à un endroit d’où je pouvais surveiller à la fois la porte d'entrée et le parking. Des gens allaient et venaient, mais aucune trace de Bérengère. J’ai pensé que ça pouvait être le jour de la blonde.
J'ai recommencé la même manœuvre le lendemain, avec la même absence de résultats. Par acquis de conscience, j’ai continué ma surveillance le troisième jour, mais déjà convaincu de la fidélité de ma femme. Après tout, Bérengère n’est pas la seule rousse avec des grandes jambes de toute la terre !
Je mangeais mon casse-croûte dans ma voiture, le troisième jour, lorsqu’une fourgonnette avec le logo du garage a fait irruption sur le parking. Bérengère est sortie du bâtiment et s’est engouffrée dans la camionnette qui a démarré en trombe. Je les suivis jusqu'au parking du golf. Il s’est garé tout au bout du parking, à l’abri d’un bosquet.
Je me suis garé à un endroit discret d’où je pouvais surveiller la camionnette. Personne n'en est sorti. Je pensais voir la camionnette se balancer, mais c'était peut-être juste la chaleur et la distance qui troublaient ma vision. Quarante-cinq minutes plus tard, la camionnette est repartie. Il a déposé Bérengère près de son travail. J'ai suivi la camionnette jusqu'au garage, et j'ai pu voir le chauffeur quand il est sorti, c'était bien Robert.
Ce soir-là, je suis rentré du travail légèrement en avance, pour pouvoir être là quand Bérengère rentrerait à la maison. Comme d’habitude, elle est allée prendre une douche. Quand j’ai entendu couler l’eau, je me suis faufilé jusqu’à la corbeille à linge pour examiner ses fonds de culotte. J’avais espéré qu’ils n’avaient fait que discuter, dans la fourgonnette, mais la tache sur le coussin d’entrejambe ne m’a laissé aucun doute.
Je suis retourné dans le salon et je me suis préparé un verre, puis j'ai réfléchi. Je voulais faire quelque chose, mais quoi ? Le mieux, c’était de m’occuper d’abord de Robert, sans aller en prison pour violences, en allant informer Marlène de la situation. Je m'occuperais de Bérengère plus tard.
Le lendemain matin, j'ai appelé Marlène à son bureau, et je lui ai demandé de me rejoindre pour le déjeuner. Dès que nous avons été installés, j'ai attaqué : «Robert et Bérengère ont une liaison !»
Sa réaction m’a décontenancé : «Oui, et alors ?»
Sidéré, pris au dépourvu, je restais sans voix, alors elle a continué : «Je suis au courant, ils ont commencé à se voir depuis six semaines !»
Marlène a vu l'expression sur mon visage et m’a immédiatement informé : «Nous sommes un couple très libre, Robert m’a demandé la permission, j’ai accepté. Moi, de mon côté, j’ai la même liberté, il me suffit de l’informer avant ! Si le conjoint est au courant, ce n’est pas tromper !»
J'étais choqué : «Tu veux dire que ...»
Mais Marlène m'a coupé la parole : «C'est la règle. Robert peut avoir toutes les femmes qu'il veut, et je peux avoir tous les mecs que je désire. La seule règle, c’est de prévenir avant, pour éviter tout malaise.»
Assis en face de Marlène, avec mon visage d’ahuri, tellement désemparé, qu’elle a éclaté de rire : «Allez bébé, tu ne vas pas me raconter que tu n’as jamais eu envie d’une autre femme. Toi et moi savons que la seule raison qui t’a empêché de franchir le pas, c’est la peur de te faire prendre. Que si Bérengère apprenait ton infidélité, cela pourrait détruire ton ménage. Robert et moi avons mis les choses au clair dès le départ. Pas de tromperie, si le conjoint est prévenu à temps.»
Je restais assis là, l’esprit confus, trop engourdi pour parler. Marlène m'a jeté un drôle de regard, puis elle a dit :
«Tu es venu ici pour te venger, n'est-ce pas ? Que préfères-tu ? Couper les couilles de Robert, ou me baiser tout l’après-midi ? Peut-être te sentirais-tu assez vengé ce soir, si tu me démontes le cerveau ? J’ai la clé d’un appartement vide, voudrais-tu le visiter avec moi ?»
Elle percevait mon indécision, cela ne se passait pas du tout comme je l'avais prévu.
«Allez ! Je sais que tu le veux. Tu n'as pas été capable de détourner le regard de mes seins depuis le jour où nous nous sommes rencontrés, et je sais que tu as envie de te blottir contre moi. Saisis ta chance, mon gars !»
C'est ainsi que je me suis retrouvé, une heure plus tard, à poil sur le lit, la regardant se déshabiller érotiquement. Elle était magnifique ! Le seul défaut, c’était ses orteils peints en vert, mais je dois dire que ma bite ne semblait pas s'en soucier. Quand elle a fini de se déshabiller, elle s'est penchée sur moi, et elle a pris ma bite dans sa main.
«Oh, mais tu es un grand garçon. Plus grand que Robert, pourtant il est déjà grand !»
J'ai été surpris. J'avais vu des paquets de bites, dans les vestiaires du lycée, à l'armée, et je savais que j'étais moyen, mais ensuite j'ai pensé :
«Et si c'était vrai ? Et si Robert était plus court que moi ? Qu'est-ce que Bérengère pouvait bien lui trouver ?»
Mes pensées ont été interrompues par la bouche chaude de Marlène engloutissant ma bite. J’ai décidé de remettre cette énigme à plus tard. Elle possédait une technique impeccable, mais je ne suis pas resté inactif longtemps. J’ai rampé sur le lit pour m’installer tête-bêche. Sa chatte rasée avait un étonnant goût de miel. C’était la première fois que je rencontrais une chatte sucrée.
J'étais vraiment imprégné dans le soixante-neuf, lorsque Marlène s'est soudain éloigné de moi pour chevaucher ma bite. Elle était vraiment déchaînée, fougueuse et volcanique, jusqu’à son premier orgasme. J’ai repris les commandes en roulant sur elle, et en la baisant sur un rythme plus calme. Mais à nouveau, ses ruades, ses cris, m’ont entraînés dans un tourbillon de sensations qui m’a fait perdre mon contrôle. Nous avons jouis ensemble, dans un concert de râles et de grognements.
Il a fallu à Marlène un bon moment pour me rendre exploitable à nouveau, et nous avons baisé encore une vingtaine de minutes avant que je ne vienne une deuxième fois. Nous étions allongés côte à côte sur le lit, reprenant notre souffle, quand Marlène a suggéré : «Tu fais quoi, demain, pendant l’heure du déjeuner ?»
Depuis trois semaines, je baise Marlène pendant l'heure du déjeuner, tandis que Robert baise ma femme. Les jeux de cartes du vendredi soir sont devenus plus amusants, depuis que chacun s’applique à garder un visage innocent en prétendant que tout est parfaitement normal.
Je me demande si Bérengère a remarqué que je ne suis plus tourmenté par les seins de Marlène, et si elle s'interroge à ce sujet. Marlène aimerait que les parties de cartes se prolongent plus tard dans la nuit, en associant d’autres activités plus … sexuelles. Je ne suis pas favorable, pour le moment, à modifier notre nos habitudes.
Quelque chose en moi voudrait savoir combien de temps Bérengère va continuer à tricher, et pour être tout à fait honnête, je ne sais pas si notre ménage tiendra bon, une fois qu'elle saura que je savais, et que je n’ai rien dit.
Pour comprendre, il faut remonter une dizaine d’années en arrière, lorsque nous avons quitté la grande ville pour une bourgade de la périphérie. Dans la grande ville, nous avions nos habitudes. Restaurant dansant tous les vendredis soir, brunch tous les dimanches en matinée. À chacun son sport, on soigne sa ligne comme on peut.
Nous voulions conserver notre routine à la campagne, mais nous n’avions plus à notre disposition le choix de restaurants que nous avions dans la grande ville. Pour le repas dansant du vendredi soir, nous avons rapidement trouvé notre bonheur, mais pour le brunch du dimanche matin, un seul restaurant valait le coup, et il est devenu notre cantine habituelle. Comme c’est courant dans ces contrées, nous avons rapidement appris à connaître la clientèle d’habitués.
Un dimanche matin, nous étions assis dans notre cantine, en train de bruncher, lorsqu'un couple s’est installé à la table voisine de la nôtre. Nous ne les connaissions pas. Nous nous sommes salués courtoisement, c’est tout.
L'homme était pas mal, rien d'exceptionnel. La femme, par contre, attirait les regards. Une grande blonde platine avec une paire de nichons et un cul, à faire bander un mort ! En plus, court vêtue, maquillée comme une voiture volée, et avec plus de bijoux sur elle que la reine d’Angleterre. Une salope qui exsudait le sexe, j’en suis resté la bouche ouverte, les yeux écarquillés. J’étais changé en statue, incapable de mastiquer ma bouchée, jusqu’à ce que ma femme me balance un grand coup de pied sous la table :
«Hé, Roméo, accroche ta ceinture de sécurité, ou tu vas tomber de ta chaise !»
Plus ou moins régulièrement, au cours de l'année suivante, nous les avons croisés au restaurant, et nous avons finalement échangés quelques mots. Nous ne l'avons jamais revue aussi aguichante que la première fois, mais elle avait toujours ses seins et ses fesses. Ma femme s’amusait à parler d’elle comme ma "petite amie" … "Ne regarde pas maintenant, mais ta petite amie vient d’entrer" ... "C'est ton jour de chance, mon chéri, ta petite amie est arrivée" …
Ma femme s’amusait avec ça, allant jusqu'à me demander si je voulais échanger de siège avec elle pour avoir une meilleure vue. Pour être honnête, puisque ma femme le tolérait, j'aimais bien la regarder, surtout ses seins.
Un dimanche matin, alors que nous étions en train de bruncher, ma femme a fait signe à quelqu'un de s’approcher. Je lui ai jeté un coup d'œil et elle m’a dit :
«Le restaurant est plein. Il n'y a pas de table disponible, ils peuvent s'asseoir à la nôtre.»
Je me suis retourné pour voir le couple se diriger vers nous, la femme en tête, son opulente poitrine ouvrant la voie. Vacharde et souriante, ma femme m'a demandé :
«Tu préfères qu'elle soit assise en face de toi ou à côté de toi ?»
Bérengère s’est levée pour les accueillir : «Toutes les tables sont prises, joignez-vous à nous, nous ferons mieux connaissance, depuis le temps qu’on se croise ici !»
Ils ont accepté et se sont présentés, Marlène et Robert. Marlène était dans l'immobilier, Robert était mécanicien chez le concessionnaire local. Immédiatement, Robert et moi avons discuté bagnoles, Bérengère et Marlène ont trouvé un sujet de conversation. Il n’habitaient pas très loin de nous, et ils aimaient jouer à la belote, comme nous. Après le brunch, au moment de partir, Bérengère les a invité, un soir, pour dîner et une partie des cartes. Marlène a dit qu'elle appellerait dans la semaine pour fixer une date. Sur le chemin du retour, j'ai demandé à Bérengère pourquoi elle avait fait ça, et elle s'était moquée de moi en disant :
«Juste une occasion de te mettre dans l'embarras, mon amour !»
Ils sont venus chez nous le vendredi soir suivant. Ce fut pire que ce à quoi je m’attendais. Nous échangions de partenaire après chaque partie. Avec Robert ou Bérengère en face de moi, tout allait bien. Une partie sur trois, face à Marlène, je perdais mes moyens. Impossible de me concentrer sur les cartes. Elle avait un chemisier presque transparent, très décolleté, et j’avais l’impression que ses nichons m’appelaient. À la fin de la soirée, il a été décidé que le vendredi soir suivant, c’était eux qui nous recevraient.
Marlène nous a accueillis à la porte. J'ai tout de suite compris que j'avais des ennuis. Elle portait une mini-jupe et un débardeur, sans soutien-gorge. La première partie, c’était les couples ensemble. Les invités contre les hôtes. Ça allait. Ensuite, les hommes contres les femmes. Bien. La troisième partie, j’étais avec Marlène. Marlène s'est levée, a attrapé un gilet qu’elle a boutonné jusqu'en haut : «J’en ai marre de perdre !» Tout le monde a éclaté de rire, sauf moi, j’étais rouge comme une tomate trop mûre.
Les invitations se succédaient, semaine après semaine, repas plus cartes, tantôt chez l’un, tantôt chez l’autre. Marlène faisait tout son possible pour me taquiner, allant jusqu’à me mettre dans l’embarras, à la grande joie de Robert et de Bérengère. Un soir, quelques mois après le début de nos dîners hebdomadaires, j'étais dans la cuisine avec Marlène, l’aidant à la vaisselle. Elle s'est tournée vers moi et m'a demandé :
«Alors, as-tu deviné ?»
«Deviné quoi ?»
«Pourquoi j'aime te taquiner avec ma poitrine. Ça m'excite tellement de t’embarrasser que je viole pratiquement Robert dès que vous êtes partis.»
J'ai admis que je n'avais pas vu les choses sous cet angle. Alors, elle s'est retournée vers moi et a remonté son sweat-shirt . Elle n'avait pas de soutien-gorge, et j'ai vu ses tétons pour la première fois. Elle a rit et a rabattu son maillot,
«On verra bien si tu parviens à te concentrer sur ton jeu, maintenant !»
Quelques semaines plus tard, j'ai découvert que Bérengère et Robert fricotaient ensemble. Pendant la pause-déjeuner, je déjeunais dans la cafétéria de l’entreprise avec mes collègues de travail. À ma table, deux gars parlaient de performances sexuelles.
L’un d’eux a dit : «Tiens, c’est comme mon beau-frère. Il a une belle femme, sexy et amoureuse, elle a une paire de nichons extraordinaire, mais ça ne lui suffit pas ! En plus, il a deux maîtresses ! Pas une, deux ! Il travaille au garage automobile, à l’entrée de la ville, et bien, tous les jours à midi, il prends la camionnette du boulot, il va ramasser une de ses chéries, et il passe sa pause de midi à baiser une salope à la l’arrière du fourgon. Et des femmes mariées, hein ! Les maris ne sont pas au courant. L’une est une petite brune boulotte, l’autre c’est une grande rousse toute en jambes.»
Je suis resté assis là, gelé sur ma chaise, je ne sais pas exactement pourquoi, cela aurait pu être n'importe qui, mais j'avais un très mauvais pressentiment. Robert travaillait chez le concessionnaire à l’entrée du village, Marlène, sa femme, avait des nichons extraordinaires, et Bérengère, ma femme, était rousse avec de très longues jambes.
Le reste de la journée a été horriblement long. Mon esprit confus ne fonctionnait pas normalement. J’imaginais Robert et Bérengère. Quand je suis rentré chez nous, ce soir-là, j'ai bien observé Bérengère, à la recherche d’indices, d’un signe qui me mettrait sur la piste, mais bien sûr je n'ai rien décelé.
Le lendemain à midi, au lieu de descendre manger à la cafétéria, comme d’habitude, j’ai quitté mon travail au volant de ma voiture, et je suis allé me planquer à proximité du travail de ma femme. Je me suis garé à un endroit d’où je pouvais surveiller à la fois la porte d'entrée et le parking. Des gens allaient et venaient, mais aucune trace de Bérengère. J’ai pensé que ça pouvait être le jour de la blonde.
J'ai recommencé la même manœuvre le lendemain, avec la même absence de résultats. Par acquis de conscience, j’ai continué ma surveillance le troisième jour, mais déjà convaincu de la fidélité de ma femme. Après tout, Bérengère n’est pas la seule rousse avec des grandes jambes de toute la terre !
Je mangeais mon casse-croûte dans ma voiture, le troisième jour, lorsqu’une fourgonnette avec le logo du garage a fait irruption sur le parking. Bérengère est sortie du bâtiment et s’est engouffrée dans la camionnette qui a démarré en trombe. Je les suivis jusqu'au parking du golf. Il s’est garé tout au bout du parking, à l’abri d’un bosquet.
Je me suis garé à un endroit discret d’où je pouvais surveiller la camionnette. Personne n'en est sorti. Je pensais voir la camionnette se balancer, mais c'était peut-être juste la chaleur et la distance qui troublaient ma vision. Quarante-cinq minutes plus tard, la camionnette est repartie. Il a déposé Bérengère près de son travail. J'ai suivi la camionnette jusqu'au garage, et j'ai pu voir le chauffeur quand il est sorti, c'était bien Robert.
Ce soir-là, je suis rentré du travail légèrement en avance, pour pouvoir être là quand Bérengère rentrerait à la maison. Comme d’habitude, elle est allée prendre une douche. Quand j’ai entendu couler l’eau, je me suis faufilé jusqu’à la corbeille à linge pour examiner ses fonds de culotte. J’avais espéré qu’ils n’avaient fait que discuter, dans la fourgonnette, mais la tache sur le coussin d’entrejambe ne m’a laissé aucun doute.
Je suis retourné dans le salon et je me suis préparé un verre, puis j'ai réfléchi. Je voulais faire quelque chose, mais quoi ? Le mieux, c’était de m’occuper d’abord de Robert, sans aller en prison pour violences, en allant informer Marlène de la situation. Je m'occuperais de Bérengère plus tard.
Le lendemain matin, j'ai appelé Marlène à son bureau, et je lui ai demandé de me rejoindre pour le déjeuner. Dès que nous avons été installés, j'ai attaqué : «Robert et Bérengère ont une liaison !»
Sa réaction m’a décontenancé : «Oui, et alors ?»
Sidéré, pris au dépourvu, je restais sans voix, alors elle a continué : «Je suis au courant, ils ont commencé à se voir depuis six semaines !»
Marlène a vu l'expression sur mon visage et m’a immédiatement informé : «Nous sommes un couple très libre, Robert m’a demandé la permission, j’ai accepté. Moi, de mon côté, j’ai la même liberté, il me suffit de l’informer avant ! Si le conjoint est au courant, ce n’est pas tromper !»
J'étais choqué : «Tu veux dire que ...»
Mais Marlène m'a coupé la parole : «C'est la règle. Robert peut avoir toutes les femmes qu'il veut, et je peux avoir tous les mecs que je désire. La seule règle, c’est de prévenir avant, pour éviter tout malaise.»
Assis en face de Marlène, avec mon visage d’ahuri, tellement désemparé, qu’elle a éclaté de rire : «Allez bébé, tu ne vas pas me raconter que tu n’as jamais eu envie d’une autre femme. Toi et moi savons que la seule raison qui t’a empêché de franchir le pas, c’est la peur de te faire prendre. Que si Bérengère apprenait ton infidélité, cela pourrait détruire ton ménage. Robert et moi avons mis les choses au clair dès le départ. Pas de tromperie, si le conjoint est prévenu à temps.»
Je restais assis là, l’esprit confus, trop engourdi pour parler. Marlène m'a jeté un drôle de regard, puis elle a dit :
«Tu es venu ici pour te venger, n'est-ce pas ? Que préfères-tu ? Couper les couilles de Robert, ou me baiser tout l’après-midi ? Peut-être te sentirais-tu assez vengé ce soir, si tu me démontes le cerveau ? J’ai la clé d’un appartement vide, voudrais-tu le visiter avec moi ?»
Elle percevait mon indécision, cela ne se passait pas du tout comme je l'avais prévu.
«Allez ! Je sais que tu le veux. Tu n'as pas été capable de détourner le regard de mes seins depuis le jour où nous nous sommes rencontrés, et je sais que tu as envie de te blottir contre moi. Saisis ta chance, mon gars !»
C'est ainsi que je me suis retrouvé, une heure plus tard, à poil sur le lit, la regardant se déshabiller érotiquement. Elle était magnifique ! Le seul défaut, c’était ses orteils peints en vert, mais je dois dire que ma bite ne semblait pas s'en soucier. Quand elle a fini de se déshabiller, elle s'est penchée sur moi, et elle a pris ma bite dans sa main.
«Oh, mais tu es un grand garçon. Plus grand que Robert, pourtant il est déjà grand !»
J'ai été surpris. J'avais vu des paquets de bites, dans les vestiaires du lycée, à l'armée, et je savais que j'étais moyen, mais ensuite j'ai pensé :
«Et si c'était vrai ? Et si Robert était plus court que moi ? Qu'est-ce que Bérengère pouvait bien lui trouver ?»
Mes pensées ont été interrompues par la bouche chaude de Marlène engloutissant ma bite. J’ai décidé de remettre cette énigme à plus tard. Elle possédait une technique impeccable, mais je ne suis pas resté inactif longtemps. J’ai rampé sur le lit pour m’installer tête-bêche. Sa chatte rasée avait un étonnant goût de miel. C’était la première fois que je rencontrais une chatte sucrée.
J'étais vraiment imprégné dans le soixante-neuf, lorsque Marlène s'est soudain éloigné de moi pour chevaucher ma bite. Elle était vraiment déchaînée, fougueuse et volcanique, jusqu’à son premier orgasme. J’ai repris les commandes en roulant sur elle, et en la baisant sur un rythme plus calme. Mais à nouveau, ses ruades, ses cris, m’ont entraînés dans un tourbillon de sensations qui m’a fait perdre mon contrôle. Nous avons jouis ensemble, dans un concert de râles et de grognements.
Il a fallu à Marlène un bon moment pour me rendre exploitable à nouveau, et nous avons baisé encore une vingtaine de minutes avant que je ne vienne une deuxième fois. Nous étions allongés côte à côte sur le lit, reprenant notre souffle, quand Marlène a suggéré : «Tu fais quoi, demain, pendant l’heure du déjeuner ?»
Depuis trois semaines, je baise Marlène pendant l'heure du déjeuner, tandis que Robert baise ma femme. Les jeux de cartes du vendredi soir sont devenus plus amusants, depuis que chacun s’applique à garder un visage innocent en prétendant que tout est parfaitement normal.
Je me demande si Bérengère a remarqué que je ne suis plus tourmenté par les seins de Marlène, et si elle s'interroge à ce sujet. Marlène aimerait que les parties de cartes se prolongent plus tard dans la nuit, en associant d’autres activités plus … sexuelles. Je ne suis pas favorable, pour le moment, à modifier notre nos habitudes.
Quelque chose en moi voudrait savoir combien de temps Bérengère va continuer à tricher, et pour être tout à fait honnête, je ne sais pas si notre ménage tiendra bon, une fois qu'elle saura que je savais, et que je n’ai rien dit.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire très bien écrite, qui mérite de nouveaux développements. mais bravo !