La place est déjà prise 2
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-02-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La place est déjà prise 2
Charlotte grogne, elle agite sa croupe en s'accrochant au canapé. Justin ne la ménage pas, sa bite coulisse dans la gaine que l'engin a dilatée. Soudainement, Charlotte se tend comme un arc et jouit en hurlant. Roland ne reconnait plus sa femme, elle retire ses jambes des épaules de son fils et le bascule sur le sol. Rapidement, elle l'enjambe et prend sa queue d'une main, qu'elle représente à son anus encore ouvert. Elle se laisse tomber de tout son poids, en poussant un long râle. L'empalement est total, Charlotte semble ignorer son mari, elle s'agite sur la queue de son fils. Son corps monte et descend sur le pal en prenant de la vitesse. La maman en chaleur cherche une seconde jouissance.
Roland réagit promptement, il la plaque contre le torse de son fils, il pose sa queue contre celle de son fils et la longe. Son gland bute contre l'anus déjà occupé. Roland insiste, lentement sa bite rejoint celle de son fils dans le rectum qui enserre fortement les deux bites. Charlotte gémit, pour elle ce n'est que du délire, deux bites dans son rectum, c'est le summum de l'enculage. Comme deux pistons dans leurs cylindres, les bites vigoureuses se synchronisent rapidement. Charlotte est aux anges, plus les coups de reins des deux hommes sont violents, plus elle grogne de plaisir. Elle les encourage même :
-Oh, c'est merveilleux, deux bites dans le même orifice, c'était inespérée, comme c'est bon, bourrez-moi bien à fond mes chéris, oh, je vais jouir, je vais jouir !
C'est dans un gémissement de bête blessée que Charlotte explose de jouissance. Les deux enculeurs, maintenant complices, la démontent jusqu'à ce qu'ils déversent dans ses entrailles leur semence. Une fois désaccouplé, Roland demande des explications :
Charlotte, honteuse, répond en baissant les yeux :
-Comme tu es souvent absent pour ton travail, un soir avec Justin, nous avons bu et regardé un film porno, et de fil en aiguille, il m'a caressé, j'étais plus moi-même, j'ai accepté tout ce qu'il désirait me faire, surtout ce que je ne faisais pas avec toi. Il m'a rendu accro à sa queue, dès que tu avais le dos tourné, nous nous envoyions en l'air, je comprendrais si tu me traites de pute, ça ne serait que mérité !
Roland la regarde en hochant négativement la tête, et dit :
-Et moi qui ai amené un cadeau pour toi, je ne sais pas si tu le mérites encore !
Romand déballe le paquet, et en sort un gode de bon diamètre. Charlotte regarde l'engin en écarquillant les yeux. Son mari lui tend l'engin, elle le saisit, sa main tremble. Elle le regarde sous toutes les coutures, le presse plusieurs fois pour en connaitre la texture, ses yeux brillent. Roland lui dit :
-Essaie-le !
Charlotte, sans réfléchir, s'assied sur la petite table du salon et ouvre largement les jambes. Elle frotte l'engin contre ses grandes lèvres humides, puis pousse. Le gland de bonne taille en silicone s'enfonce dans sa chatte. C'est en serrant les dents que Charlotte introduit dans sa chatte les 25 centimètres de la bite factice. Sa gaine est remplie beaucoup plus que ne le ferait une bonne bite. Avec lenteur, elle commence à faire, faire à l'engin des allers et retours, sous les yeux ébahis des deux hommes. Elle augmente progressivement la vitesse de ramonage. Charlotte se met à grogner, elle agite doucement son bassin. Le gode qui voyage dans son ventre, lui arrache des gémissements terribles. Elle l'enfonce profondément à chaque pénétration. Charlotte a la bouche grande ouverte, elle souffle, sa jouissance approche à grands pas.
Le pilonnage est violent, Charlotte jouit deux fois coup sur coup. Elle maintient enfoncée le gode dans son corps, elle halète fortement. Son mari se place entre ses cuisses et place son mandrin juste sous le gode et pousse. Sa femme grimace, elle serre les dents. La bite s'enfonce lentement à côté du gode en dilatant la chatte au maximum. Charlotte s'accroche à son mari en geignant, Roland lui saisit les hanches et commence un défonçage de chatte monstrueux. Dilatée comme jamais, Charlotte subit les assauts de son mari en gémissant comme une bête en rut. À chaque coup de reins, le bas-ventre du mari pousse le gode. Charlotte croit mourir de plaisir tellement c'est merveilleux. Elle tire sur les hanches de son mari, le bloque contre son bas-ventre et jouit en poussant un hurlement terrible. Enfin, elle desserre son étau, son mari reprendre le pilonnage jusqu'à ce qu'il lui remplisse le ventre de sa semence.
Enfin Roland se retire du ventre de sa femme, il fait mettre sa femme à quatre pattes sur le sol avec le gode planté dans le ventre et lui enfonce sa bite dans le cul, il dit en rageant :
-Tu aimes être enculé, eh bien, tu ne vas pas être déçue ma salope !
Il lui défonce le cul en donnant des coups de reins fabuleux, au travers de la fine paroi qui sépare les deux orifices, il sent le gode contre sa queue. Cela l'excite encore plus. Il s'acharne jusqu'à ce que sa femme jouisse et lui aussi. Une fois hors du rectum, il invite son fils à le remplacer. Charlotte subit des enculages aussi monstrueux que ses jouissances, la double anale souvent renouvelée la dévastent. C'est épuisée, qu'elle se laisse tomber sur le sol. Roland lui retire le gode du ventre, et promet d'en acheter un plus performant.
Roland réagit promptement, il la plaque contre le torse de son fils, il pose sa queue contre celle de son fils et la longe. Son gland bute contre l'anus déjà occupé. Roland insiste, lentement sa bite rejoint celle de son fils dans le rectum qui enserre fortement les deux bites. Charlotte gémit, pour elle ce n'est que du délire, deux bites dans son rectum, c'est le summum de l'enculage. Comme deux pistons dans leurs cylindres, les bites vigoureuses se synchronisent rapidement. Charlotte est aux anges, plus les coups de reins des deux hommes sont violents, plus elle grogne de plaisir. Elle les encourage même :
-Oh, c'est merveilleux, deux bites dans le même orifice, c'était inespérée, comme c'est bon, bourrez-moi bien à fond mes chéris, oh, je vais jouir, je vais jouir !
C'est dans un gémissement de bête blessée que Charlotte explose de jouissance. Les deux enculeurs, maintenant complices, la démontent jusqu'à ce qu'ils déversent dans ses entrailles leur semence. Une fois désaccouplé, Roland demande des explications :
Charlotte, honteuse, répond en baissant les yeux :
-Comme tu es souvent absent pour ton travail, un soir avec Justin, nous avons bu et regardé un film porno, et de fil en aiguille, il m'a caressé, j'étais plus moi-même, j'ai accepté tout ce qu'il désirait me faire, surtout ce que je ne faisais pas avec toi. Il m'a rendu accro à sa queue, dès que tu avais le dos tourné, nous nous envoyions en l'air, je comprendrais si tu me traites de pute, ça ne serait que mérité !
Roland la regarde en hochant négativement la tête, et dit :
-Et moi qui ai amené un cadeau pour toi, je ne sais pas si tu le mérites encore !
Romand déballe le paquet, et en sort un gode de bon diamètre. Charlotte regarde l'engin en écarquillant les yeux. Son mari lui tend l'engin, elle le saisit, sa main tremble. Elle le regarde sous toutes les coutures, le presse plusieurs fois pour en connaitre la texture, ses yeux brillent. Roland lui dit :
-Essaie-le !
Charlotte, sans réfléchir, s'assied sur la petite table du salon et ouvre largement les jambes. Elle frotte l'engin contre ses grandes lèvres humides, puis pousse. Le gland de bonne taille en silicone s'enfonce dans sa chatte. C'est en serrant les dents que Charlotte introduit dans sa chatte les 25 centimètres de la bite factice. Sa gaine est remplie beaucoup plus que ne le ferait une bonne bite. Avec lenteur, elle commence à faire, faire à l'engin des allers et retours, sous les yeux ébahis des deux hommes. Elle augmente progressivement la vitesse de ramonage. Charlotte se met à grogner, elle agite doucement son bassin. Le gode qui voyage dans son ventre, lui arrache des gémissements terribles. Elle l'enfonce profondément à chaque pénétration. Charlotte a la bouche grande ouverte, elle souffle, sa jouissance approche à grands pas.
Le pilonnage est violent, Charlotte jouit deux fois coup sur coup. Elle maintient enfoncée le gode dans son corps, elle halète fortement. Son mari se place entre ses cuisses et place son mandrin juste sous le gode et pousse. Sa femme grimace, elle serre les dents. La bite s'enfonce lentement à côté du gode en dilatant la chatte au maximum. Charlotte s'accroche à son mari en geignant, Roland lui saisit les hanches et commence un défonçage de chatte monstrueux. Dilatée comme jamais, Charlotte subit les assauts de son mari en gémissant comme une bête en rut. À chaque coup de reins, le bas-ventre du mari pousse le gode. Charlotte croit mourir de plaisir tellement c'est merveilleux. Elle tire sur les hanches de son mari, le bloque contre son bas-ventre et jouit en poussant un hurlement terrible. Enfin, elle desserre son étau, son mari reprendre le pilonnage jusqu'à ce qu'il lui remplisse le ventre de sa semence.
Enfin Roland se retire du ventre de sa femme, il fait mettre sa femme à quatre pattes sur le sol avec le gode planté dans le ventre et lui enfonce sa bite dans le cul, il dit en rageant :
-Tu aimes être enculé, eh bien, tu ne vas pas être déçue ma salope !
Il lui défonce le cul en donnant des coups de reins fabuleux, au travers de la fine paroi qui sépare les deux orifices, il sent le gode contre sa queue. Cela l'excite encore plus. Il s'acharne jusqu'à ce que sa femme jouisse et lui aussi. Une fois hors du rectum, il invite son fils à le remplacer. Charlotte subit des enculages aussi monstrueux que ses jouissances, la double anale souvent renouvelée la dévastent. C'est épuisée, qu'elle se laisse tomber sur le sol. Roland lui retire le gode du ventre, et promet d'en acheter un plus performant.
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Un peu gros… assez fantasque…. On peut s’y reconnaître mais avec plus de modération dans le récit… quelque chose de crédible!!!!
Très belle histoire comme souvent de votre par .
Merci pour ces bon moments que à vous lire .
Merci pour ces bon moments que à vous lire .
Histoire très osée mais le site est pour adulte, et l'histoire placée dans la "zone rouge"...
Lolo
Lolo
Vous pouvez penser ce que vous voulez, c'est votre droit
linsee
linsee
Je trouve très bien ce récit, aux imbécilités du détracteur, il faut répondre par le silence.
Juliette
Juliette
Je pense connaitre cette personne qui critique sous anonymat, car elle manque de courage, n'est-ce pas MR: P
Un porno bas de gamme.
Le degré zéro de l’érotisme.
A part aligner des situations sordides et des grossièretés, rien, du vent, du vide.
Dites moi cher monsieur, vous prenez du plaisir à écrire ça ?
Le degré zéro de l’érotisme.
A part aligner des situations sordides et des grossièretés, rien, du vent, du vide.
Dites moi cher monsieur, vous prenez du plaisir à écrire ça ?