La pulpeuse Colombine 3
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 351 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Passud ont reçu un total de 1 539 652 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 664 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La pulpeuse Colombine 3
A l'âge de seize ans, Colombine a commencé des études d'infirmière dans la ville, la plus proche.
Elle y a découvert l'impact de son corps, sur les hommes.
Ses complexes sont loin, à présent, elle est consciente que c'est un atout !
Malgré quelques écarts avec des amants de passage, elle est toujours attachée à son "Tonton".
Elle réalise même qu'elle a été chanceuse, que ce soit son premier amant.
Son expérience est indéniable, il sait la faire jouir comme aucun autre!
Vers ses 23 ans, elle rend visite à son "Tonton", entre deux consultations à domicile.
Malgré les années, leur désir est toujours aussi fort.
Colombine se retrouve couchée sur le dos.
Depuis peu, elle adore se masturber en saisissant la verge de Raymond, pour se titiller l'entrée du vagin et le clitoris.
Cette fois, c'est lui qui le fait, en appuyant plus fortement, et plus longtemps, surtout.
La jeune femme se tord de plaisir, plus intensément qu'a l'accoutumée.
"Arhhhhhhhhhh ! Tonton ! Je vais jouir ! C'est trop bon ! C'est plus fort, que d'habitude ! Encore !".
Le regard de l'homme pétille de la voir jouir ainsi, il agite sa grosse bite plus frénétiquement, de l'intérieur de son vagin, à son clitoris.
Il est surpris de se faire inonder par plusieurs jets d'un liquide clair et chaud.
Colombine crie son orgasme.
"Arhhhhhhhhhh ! Tonton ! C'est trop fort ! Arggggggggggggghhhhhhhhhhhh !".
Le plaisir retombe, la jeune femme ressent alors de l'humidité entre ses cuisses.
"Je suis trempée, qu'est-ce qui s'est passé ?".
"Ben, je sais pas, tu m'as arrosé plusieurs fois, en tout cas !".
"Pardon, je l'ai pas fait exprès !".
"Ne t'excuses pas, j'adore ! C'est excitant ! Te voir jouir en faisant ça ! C'est trop bon !".
"Tant mieux, alors ! Parce que j'ai bien joui ! On recommencera !".
"Ohh ! Oui !".
Après cela, il lui fait l'amour passionnément, puis l'encule comme une salope, et éjacule dans son anus.
Leurs rapports sexuels étaient fait de sexe et de passion, ce qui expliquait qu'ils ne lassaient pas l'un de l'autre.
Ils venaient d'ajouter une autre jeu à leurs rencontres, Colombine est une femme fontaine !
Raymond est toujours sous le charme de la jeune femme, elle est devenue une femme attirante, ses formes généreuses le rendent fou, ses écarts avec Jérôme sont loin derrière lui, il n'y prenait plus de plaisir.
Elle fait attention à elle, parce qu'elle sait, que si elle se laisse aller, elle deviendra moins jolie aux yeux des hommes, et aux siens, également.
Colombine est à nouveau enceinte, en amant passionné, Raymond adore lui faire l'amour ou la baiser dans cet état, il a découvert un nouveau plaisir lors de sa première grossesse.
Il se délecte de son lait maternel, en lui dévorant les seins.
la jeune femme finit toujours par avoir des orgasmes mammaires, entre les mains et la bouche de son amant.
Trois années passent, le couple de Colombine bat de l'aile, son mari ne la touche presque plus.
Ca ne la dérange pas, puisqu'elle baise avec son "Tonton" de cœur.
Un jour, de retour d'une visite chez un patient, elle reconnait la voiture de son mari, devant une maison.
Intriguée, elle guette un moment, et le voit sortir de la maison.
Il embrasse une autre femme, puis rentre chez lui, pour le diner.
Elle réalise qu'elle n'est même pas jalouse !
Elle garde son secret, puis, moins de six mois plus tard, un samedi matin, son amant entre chez elle.
C'est inhabituel, mais comme son mari est absent, elle ne dirait pas non, à un petit moment de plaisir.
Raymond s'approche, avec un air grâve:
"Tonton ? Qu'est-ce qui se passe ? T'es malade ?".
"Non, moi ça va ! Mais il va falloir être forte, mon ange ! C'est Robert !".
"Non ! Pas papa ! Ou il est ?".
"C'est fini, ma puce, Il y a eu un accident, le tracteur s'est retourné sur lui, je comprends pas comment il a fait !".
Le jeune femme hurle de douleur, Raymond la contient en la prenant dans ses bras.
Les enfants entrent dans la pièce, affolés par les pleurs de leur mère.
Cet événement choque la jeune femme, mais aussi Raymond qui vient de perdre son ami d'enfance.
Il réalise la futilité de la vie, cela aurait pu être lui.
Tout se chamboule dans sa tête.
Une semaine après, il reçoit la visite de Colombine, il ne sait pas comment l'aborder.
C'est elle qui parle en premier:
"Tonton ! Fais moi l'amour ! J'en ai besoin ! Sinon, je vais craquer !".
Leur communion est intense et douce à la fois.
Il n'est pas question de sexe, seulement un défouloir corporel.
Il la pénètre longuement, ses orgasmes se succèdent.
Elle a besoin de sentir ses grosses mains sur son corps, son gros sexe dans son vagin.
Sa bouche sur ses seins.
Même lorsqu'il la sodomise à sa demande, la possession est tendre et passionnée.
La jeune femme pleure dans les bras de son amant, en jouissant comme une folle.
Il ne résiste plus et lui inonde l'anus interminablement.
Lui aussi, est gagné par l'émotion du moment, ses yeux sont humides.
Colombine se blottit contre le torse de son "Tonton".
Un long silence s'installe, chacun est encore sous le choc de l'événement.
Raymond dit alors, brisant ce long et lourd silence:
"Je t'aime !".
Elle relève la tête !
"Tonton, qu'est-ce que t'as dis ?".
"T'as bien entendu ! Je t'aime ! J'en ai marre de faire semblant ! T'es la seule femme que j'ai jamais aimé ! Quand Robert est mort, j'ai réalisé que la vie était fragile ! Je veux pas mourir, sans que tu le saches ! Je t'aime depuis le début, mais, je le disais pas, pour ne pas gâcher ta vie ! Je t'ai vu grandir ! Je veux ton bonheur !".
"Tonton, J'aurais tellement voulu l'entendre, plus tôt ! Je t'aime toujours, moi aussi ! T'es le seul qui me rends heureuse !".
"Excuses-moi ! Je réalise que j'ai pas osé t'imposer le regard des autres, à cause de mon âge ! Et maintenant, tu as un mari, et des enfants !".
"Justement, je l'ai dit à personne, mais je vais le quitter ! Moi aussi, j'en ai assez de faire semblant ! Il me trompe avec une autre femme, et le pire, c'est que je m'en fous ! Ca veut bien dire que je l'aime plus du tout !".
"Mais, il reste les petits ! C'est leur père !".
La jeune femme baisse les yeux, un long silence règne, puis elle murmure:
"Ils sont de toi !".
"Quoi ? T'as pas fait ça ?".
"C'était le seul moyen, j'ai essayé avec lui, ça marchait pas ! Je pense qu'il est stérile ! Je suis désolé, mais j'ai le droit d'être mère, moi aussi !".
"Oh, putain ! Pffffffff ! Qu'est ce que ça va donner tout ça ? Je peux plus continuer en sachant qu'un autre élève mes enfants ! Je t'aime, en plus !".
"Je sais ! Laisses-moi le temps de quitter mon mari, et tout dire à maman ! On trouvera une solution !".
Colombine a décidé de laisser la maison à son mari, et a emménagé dans un autre village, pas trop éloigné de ses patients, mais, assez pour éviter les "Qu'en dira-t'on ?".
Colombine et son "Tonton" de cœur, ont officialisé leur relation, aux yeux de sa mère, et des enfants.
Elle a cessé de l'appeler "Tonton", il est devenu Raymond, son "amour" de toujours.
Le mari a demandé des analyses ADN et a du se rendre à l'évidence, mais Colombine ne lui a jamais interdit de venir voir les enfants.
Elle était enfin, en phase avec elle même, fini les mensonges et la fuite en avant.
Elle y a découvert l'impact de son corps, sur les hommes.
Ses complexes sont loin, à présent, elle est consciente que c'est un atout !
Malgré quelques écarts avec des amants de passage, elle est toujours attachée à son "Tonton".
Elle réalise même qu'elle a été chanceuse, que ce soit son premier amant.
Son expérience est indéniable, il sait la faire jouir comme aucun autre!
Vers ses 23 ans, elle rend visite à son "Tonton", entre deux consultations à domicile.
Malgré les années, leur désir est toujours aussi fort.
Colombine se retrouve couchée sur le dos.
Depuis peu, elle adore se masturber en saisissant la verge de Raymond, pour se titiller l'entrée du vagin et le clitoris.
Cette fois, c'est lui qui le fait, en appuyant plus fortement, et plus longtemps, surtout.
La jeune femme se tord de plaisir, plus intensément qu'a l'accoutumée.
"Arhhhhhhhhhh ! Tonton ! Je vais jouir ! C'est trop bon ! C'est plus fort, que d'habitude ! Encore !".
Le regard de l'homme pétille de la voir jouir ainsi, il agite sa grosse bite plus frénétiquement, de l'intérieur de son vagin, à son clitoris.
Il est surpris de se faire inonder par plusieurs jets d'un liquide clair et chaud.
Colombine crie son orgasme.
"Arhhhhhhhhhh ! Tonton ! C'est trop fort ! Arggggggggggggghhhhhhhhhhhh !".
Le plaisir retombe, la jeune femme ressent alors de l'humidité entre ses cuisses.
"Je suis trempée, qu'est-ce qui s'est passé ?".
"Ben, je sais pas, tu m'as arrosé plusieurs fois, en tout cas !".
"Pardon, je l'ai pas fait exprès !".
"Ne t'excuses pas, j'adore ! C'est excitant ! Te voir jouir en faisant ça ! C'est trop bon !".
"Tant mieux, alors ! Parce que j'ai bien joui ! On recommencera !".
"Ohh ! Oui !".
Après cela, il lui fait l'amour passionnément, puis l'encule comme une salope, et éjacule dans son anus.
Leurs rapports sexuels étaient fait de sexe et de passion, ce qui expliquait qu'ils ne lassaient pas l'un de l'autre.
Ils venaient d'ajouter une autre jeu à leurs rencontres, Colombine est une femme fontaine !
Raymond est toujours sous le charme de la jeune femme, elle est devenue une femme attirante, ses formes généreuses le rendent fou, ses écarts avec Jérôme sont loin derrière lui, il n'y prenait plus de plaisir.
Elle fait attention à elle, parce qu'elle sait, que si elle se laisse aller, elle deviendra moins jolie aux yeux des hommes, et aux siens, également.
Colombine est à nouveau enceinte, en amant passionné, Raymond adore lui faire l'amour ou la baiser dans cet état, il a découvert un nouveau plaisir lors de sa première grossesse.
Il se délecte de son lait maternel, en lui dévorant les seins.
la jeune femme finit toujours par avoir des orgasmes mammaires, entre les mains et la bouche de son amant.
Trois années passent, le couple de Colombine bat de l'aile, son mari ne la touche presque plus.
Ca ne la dérange pas, puisqu'elle baise avec son "Tonton" de cœur.
Un jour, de retour d'une visite chez un patient, elle reconnait la voiture de son mari, devant une maison.
Intriguée, elle guette un moment, et le voit sortir de la maison.
Il embrasse une autre femme, puis rentre chez lui, pour le diner.
Elle réalise qu'elle n'est même pas jalouse !
Elle garde son secret, puis, moins de six mois plus tard, un samedi matin, son amant entre chez elle.
C'est inhabituel, mais comme son mari est absent, elle ne dirait pas non, à un petit moment de plaisir.
Raymond s'approche, avec un air grâve:
"Tonton ? Qu'est-ce qui se passe ? T'es malade ?".
"Non, moi ça va ! Mais il va falloir être forte, mon ange ! C'est Robert !".
"Non ! Pas papa ! Ou il est ?".
"C'est fini, ma puce, Il y a eu un accident, le tracteur s'est retourné sur lui, je comprends pas comment il a fait !".
Le jeune femme hurle de douleur, Raymond la contient en la prenant dans ses bras.
Les enfants entrent dans la pièce, affolés par les pleurs de leur mère.
Cet événement choque la jeune femme, mais aussi Raymond qui vient de perdre son ami d'enfance.
Il réalise la futilité de la vie, cela aurait pu être lui.
Tout se chamboule dans sa tête.
Une semaine après, il reçoit la visite de Colombine, il ne sait pas comment l'aborder.
C'est elle qui parle en premier:
"Tonton ! Fais moi l'amour ! J'en ai besoin ! Sinon, je vais craquer !".
Leur communion est intense et douce à la fois.
Il n'est pas question de sexe, seulement un défouloir corporel.
Il la pénètre longuement, ses orgasmes se succèdent.
Elle a besoin de sentir ses grosses mains sur son corps, son gros sexe dans son vagin.
Sa bouche sur ses seins.
Même lorsqu'il la sodomise à sa demande, la possession est tendre et passionnée.
La jeune femme pleure dans les bras de son amant, en jouissant comme une folle.
Il ne résiste plus et lui inonde l'anus interminablement.
Lui aussi, est gagné par l'émotion du moment, ses yeux sont humides.
Colombine se blottit contre le torse de son "Tonton".
Un long silence s'installe, chacun est encore sous le choc de l'événement.
Raymond dit alors, brisant ce long et lourd silence:
"Je t'aime !".
Elle relève la tête !
"Tonton, qu'est-ce que t'as dis ?".
"T'as bien entendu ! Je t'aime ! J'en ai marre de faire semblant ! T'es la seule femme que j'ai jamais aimé ! Quand Robert est mort, j'ai réalisé que la vie était fragile ! Je veux pas mourir, sans que tu le saches ! Je t'aime depuis le début, mais, je le disais pas, pour ne pas gâcher ta vie ! Je t'ai vu grandir ! Je veux ton bonheur !".
"Tonton, J'aurais tellement voulu l'entendre, plus tôt ! Je t'aime toujours, moi aussi ! T'es le seul qui me rends heureuse !".
"Excuses-moi ! Je réalise que j'ai pas osé t'imposer le regard des autres, à cause de mon âge ! Et maintenant, tu as un mari, et des enfants !".
"Justement, je l'ai dit à personne, mais je vais le quitter ! Moi aussi, j'en ai assez de faire semblant ! Il me trompe avec une autre femme, et le pire, c'est que je m'en fous ! Ca veut bien dire que je l'aime plus du tout !".
"Mais, il reste les petits ! C'est leur père !".
La jeune femme baisse les yeux, un long silence règne, puis elle murmure:
"Ils sont de toi !".
"Quoi ? T'as pas fait ça ?".
"C'était le seul moyen, j'ai essayé avec lui, ça marchait pas ! Je pense qu'il est stérile ! Je suis désolé, mais j'ai le droit d'être mère, moi aussi !".
"Oh, putain ! Pffffffff ! Qu'est ce que ça va donner tout ça ? Je peux plus continuer en sachant qu'un autre élève mes enfants ! Je t'aime, en plus !".
"Je sais ! Laisses-moi le temps de quitter mon mari, et tout dire à maman ! On trouvera une solution !".
Colombine a décidé de laisser la maison à son mari, et a emménagé dans un autre village, pas trop éloigné de ses patients, mais, assez pour éviter les "Qu'en dira-t'on ?".
Colombine et son "Tonton" de cœur, ont officialisé leur relation, aux yeux de sa mère, et des enfants.
Elle a cessé de l'appeler "Tonton", il est devenu Raymond, son "amour" de toujours.
Le mari a demandé des analyses ADN et a du se rendre à l'évidence, mais Colombine ne lui a jamais interdit de venir voir les enfants.
Elle était enfin, en phase avec elle même, fini les mensonges et la fuite en avant.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Passud
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'adore
Quelle délicieuse histoire....j'aurais bien aimé que mon histoire finisse aussi bien
Cyrille
Cyrille