LA RENOVATION (5/8)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LA RENOVATION (5/8) Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-10-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LA RENOVATION (5/8)
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Victor, l’informaticien de mon entreprise vient de partir après avoir changé notre ordinateur et tous réglés pour que je puisse faire du télétravail.
Je peux récupérer les logiciels et les E-mails de ma boîte et être l’une des premières femmes travaillant chez moi pour mon entreprise.
Je voudrais bien attaquer ce que m’a demandé mon patron, mais j’ai préalablement deux choses à faire.
Je monte à l’étage laver le plancher que j’ai souillé par mes vomissures, mais il est propre.
J’entre dans la salle de bain et Yasmina est là et se baigne.
Elle a une magnifique poitrine avec des aréoles presque noires avec de gros tétons.
Je me déshabille et elle m’invite dans son bain.

• J’ai tout nettoyé et j’ai eu besoin de me laver pour sentir meilleur.
• Ton oncle est là.
• Non, il est rentré chez lui pour se changer et se nettoyer après la douche que tu lui as faite subi. Il était fou de rage.
• Avant de partir, il est allé dans la grange. Il y est resté plus qu’une demi-heure.
Si j’ai bien compris, depuis huit jours, il t’oblige à t’occuper de ses hommes dans tous les sens du terme et d’être nu toute la journée.
• Oui, il m’a proposé des remises sur les prix des matériaux.
Quand j’ai accepté, il m’a contrainte à le satisfaire ainsi que tous les ouvriers. Ce soir je dois me faire baiser par six hommes de plus.
• Il va te faire mourir.
• Ce que je crains, c’est que mon mari l’apprenne et me quitte, il me serait impossible de le supporter.
• Je voulais te dire, mon oncle lui aussi craint quelqu’un, sa femme que tu as vue devant chez eux.
C’esr pour cela que je suis ici, je te l’ai dit, je connais mal l’histoire de ma famille et ce qu’il y a eu entre mon père et elle, mais elle lui voue une haine farouche.
Si elle savait que son mari la trompe, elle lui arracherait les yeux avant de lui bouffer la verge et les couilles à grands coups de dents.
Elle est connue dans la famille par ses coups de colère surtout envers lui.
• J’ai un plan, pour lui échappé, tu m’as dit que tu allais m’aider alors voila ce que je te propose.
Ce week-end, j’ai récupéré l’appareil photo de Patrick dans sa voiture et je l’ai caché à la tête de notre lit entre le matelas et le sommier. Les jours prochains, chaque fois que tu verras, qu’il m’humilie et surtout si tu peux prendre des photos lorsqu’il me baise, je les tirerais avec l’imprimante sur papier et je lui ferais du chantage que je vais prévenir sa femme sur ses agissements.
Tu es d’accord.
• Bien sûr, très bon plan, tu auras toutes les photos dont tu auras besoin.
Il semble t’avoir bien baisé depuis qu’il a commencé les travaux, provoque-le, afin qu’il t’en mette un petit coup de plus et que j’en ai des bien croustillante.
• Autre chose, tu demanderas à Ousman de venir cette nuit lorsque ton oncle sera parti, j’ai une surprise pour toi.
• En parlant de lui, à midi les hommes parlaient entre eux dans leur langue sans faire attention à moi étant de leur pays et que je comprends ce qu’ils disent.
Sais-tu qu’il retient tes services sur leur paye ?
Chaque fois que tu baises avec eux il est gagnant sur tous les tableaux.
• Là encore il payera son comportement.

Le bruit de la voiture qui revient signe la fin de ma tranquillité.
Le temps que je m’essuie en sortant du bain, j’ai mis dix minutes, car la nature m’a obligé à passer par les toilettes avant de le rejoindre.
Je descends et lorsque je passe la porte, un flot d’injures me tombe dessus.

• Espèce de garce, tu l’as faite exprès. Tu vas prendre et tu vas prendre sévère.

Une chose étrange est dans ses mains.

• Approche ton cou que je te passe le signe de ce que tu es devenu.
Une chienne en chaleur faite pour satisfaire mes mâles.
Et voilà la laisse qui va te relier à moi.

Je m’exécute et il me met un collier de chien autour du cou qu’il attache en le serrant très fort.

• Avance-moi tes poignets !

Il me met une paire de menottes avec une chaîne assez long pour que je puisse écarter les mains.

• Tu gardes tout cela nuit et jour. Une dernière chose vient avec moi.

Je me sens bien ridicule d’être enchaîné avec mon collier et ma laisse.
Ousman passe près de nous et je sens qu’il a envie d’intervenir.
Il serait idiot qu’il perde sa place alors que je sais que dans son pantalon, il a un membre dont je suis amoureuse et que j’ai eu l’honneur d’être la première et la seule à ce jour à m’en servir.

Hamed me conduit vers la grange où il me fait entrer.
Il semble avoir préparé le terrain malsain ou il souhaite m’entraîner.
Il se saisit d’une corde et attache par un mousqueton l’une de mes menottes.
Il prend et attache une autre corde et les tires vers le bas.
Mes bras sont obligés de suivre le mouvement et je me retrouve nue regardant vers la cour où ses ouvriers qui nous ont vus entrer regardent.
Impossible de bouger les bras en croix les jambes posées au sol.
Il prend sur le dessus un collier en plastique rouge pour regrouper les fils électriques.

• Tu vas voir comme tu vas être chouette en rouge et vert.

Il prend, le collier rouge forme la boucle et le passe autour de mon sein gauche et le sert. Mon sein est presque coupé en deux et forme comme une poire.
Il fait de même avec un collier vert qu’il place de la même façon et qu’il sert afin d’avoir une symétrie.
Mes seins me font souffrir, je sens que ce sadique a serré les colliers pour que la circulation se fasse sans risque de me blesser gravement.

• Je t’avais promis que tu ramasserais et tu vas ramasser, en restant comme cela jusqu’à ce soir avant d’aller te faire baiser par tes gentils amants.
Quand ton mari apprendra la grande pute que tu es devenue, il va te jeter comme on jette un Kleenex.

Un malade, que puis-je faire, mon cerveau est bloqué.
Comment vais-je, m’en sortir lorsque Patrick viendra pour le week-end ?
Que vais-je pouvoir trouver comme explication pour justifier les marques qui vont jalonner mon corps ?
Acceptera-t-il que j’enlève ces maudits colliers.
Je le vois partir alors je joue mon va-tout.

• Hamed, excuse-moi de t’avoir vomi sur les chaussures, il faut me détacher, j’ai un travail urgent à faire pour mon patron et si j’ai du retard, il va me virer et mes moyens seront insuffisants pour te payer la fin des travaux.

J’ai touché juste en parlant argent, car il revient et détache les deux cordes.
Je m’écroule la fatigue commençant à s’accumuler dans mes jambes.

• Vas-y et rappelles-toi ce soir de satisfaire mes gars ?
• Viens, il faut que je te parle d’une idée que j’aie eue.

Nous retournons au bureau et instinctivement il tient la laisse dans ses mains montrant à tous, ma soumission.
Dans son bureau, je m’assieds devant l’ordinateur.

• Je vais être très direct, combien te faudrait-il pour finir l’ensemble du chantier et que je sois libéré de toi et de tes ouvriers définitivement.
• Pourquoi ?
• Parce que, je vais faire un emprunt sur vingt ans demain à ma banque, en allant faire les courses et je te payerais la totalité dès que l’argent arrivera.
• Je vais être obligé d’arrêter les travaux le temps que l’argent soit versé.
• Non, j’ai regardé mes comptes avant que tu reviennes, je suis obligée de passer par l’emprunt, ma paye suffira pour couvrir la charge de ce prêt pour terminer ces maudits travaux.
Afin d’éviter d’arrêter, tu m’avances le prix des matériaux et les heures de travaux de tes ouvriers.
Combien dois-je emprunter ?

Je le vois aligner des chiffres sur un papier.

• N’oublie rien, car après il sera trop tard pour refaire une demande.
• Avec tous ce qui est déjà payé plus les remise gagné à la sueur de tes fesses, si tu me payes 32 000 €, mes gars finissent les six chambres d’hôte, les évacuations le toit et le ravalement.
• C’est bon, mais pour l’avance des matériaux.
• D’accord j’avance l’argent à une condition.
• Laquelle ?
• Demain, je vais avec toi à ta banque pour voir de mes propres yeux que le dossier est bien déposé et que la banque accepte.
• Aucun problème, j’ai calculé, en cas d’imprévu, je vais demander la totalité de ce que je peux avoir, ce sera donc 50 000 € que je prendrais.
• Si c’est bon, c’est d’accord.
• Dernières choses, enlève-moi ces colliers et laisse-moi faire comme je le sens avec tes ouvriers, car j’aurai plus d’efficacité en étant consentante que forcer. Je vais te dire, j’aime lorsque je suis contrainte à faire des choses osées, tu m’as rendu folle du cul.

Je gagne deux choses en lui tenant ce discours. Il me retire les menottes et la laisse, mais impose de garder les colliers sur mes seins et mon collier de chien.

• Alors sans rancune pour sceller notre pacte, viens me sucer la queue, je vais finir par t’aimer ma belle cochonne.

Même si mon plan pour me venger se met en place, je suis bienveillante et une fois de plus je m’agenouille pour attraper sa queue.
Vacciné par ce qui s’est passé à midi, il évite la gorge profonde et j’avale son sperme avant qu’il quitte le bureau et après m’être essuyé la bouche, je me mets à satisfaire mon patron à distance.
Je le satisfais d’autant plus que le sexe est absent dans tout ce que je lui envoie.
J’attends le Mail de confirmation me montrant que mon patron est satisfait de ma prestation.
Il arrive dix minutes après avec ses remerciements. Au moins un de satisfait aujourd’hui.
Le camion que j’entends arriver m’amène les autres hommes que je dois soulager de leur trop-plein de sperme ce soir.
Dans le même temps dès qu’il a fait descendre ses ouvriers, Hamed démarre pour rejoindre son épouse.
J’enlèverais bien les colliers sur mes seins qui me déplaisent de porter plus que d’avoir mal. Rouge et vert, il me prend pour un sémaphore, bâbord à gauche, tribord à droite, alors que tous les hommes vont passer au milieu comme on entre au port et se servir de ma chatte. J’ai bien peur que le contremaitre est un mouchard dans le groupe alors je suis bien obligé de les supporter.
Lorsque j’entre dans la salle où ils se sont réunis, tous leurs regards sont braqués sur moi.
Dans les six qui arrivent, un grand noir semble être le responsable des autres.

• C’est toi la pouffe que le patron nous fait payer.
• Oui, je suis votre pouffe.
• Monte sur la table pour que l’on puisse admirer la belle salope qu’il a mise à notre disposition.
• Pas mal, au dernier chantier, elle aurait pu être notre grand-mère.
• Tourne sur toi-même que mes potes puissent admirer une belle chienne française qui va se faire défoncer.

Je tourne, une fois deux fois trois fois à en avoir la tête qui tourne. Je m’écroule sur la table et immédiatement plusieurs mains m’agressent le corps.
Mes seins les intéressent, un sadique, car irrémédiablement dans un groupe aussi important, il y en a un, passe son doigt entre le collier et ma peau et tire.
En venant j’ai fermement décidé à aucun moment de leur donner la satisfaction de crier.

• Aie, vous me faite souffrir.

Encore une résolution que je tiens moins de deux minutes lorsque je m’entends ce petit cri de douleur.

• Asana, en tant que chef, ouvre le bal, met toi là sur ta queue, elle va aimer une grosse comme la tienne pour débuter, cela va lui faire comprendre la bonne nuit qu’elle va passer.

Celui qui a parlé en français est le petit gros qui a tiré sur le coller entraînant la rupture de ma résolution. Ce doit être le vicieux du groupe que je redoute tant. Celui qui va me baiser pour me faire mal, mais qui, hélas, réussira à me faire jouir car au fil du temps, ce sont ses sadiques que mon corps apprécie le plus.
Je crois l’avoir reconnu, je suis de plus en plus folle du cul et j’attends avec impatience le pieu d’Asana qui même si j’ai mal me donnera le plaisir et l’orgasme que je recherche en baisant avec eux.
Au moment où le grand noir m’attrape comme un fétu de paille pour me faire tomber sur sa tige bien dressée sans qu’il soit besoin que je la touche, je vois celui que je considère comme mon sadique parler à l’oreille de l’homme assis à ses côtés.
Il hoche de la tête et se lève pour quitter la pièce.
J’aurais dû m’inquiéter de ce qu’ils se sont dits, un vicieux reste un vicieux. Mais la perforation à l’intérieur de mes entrailles avec la barre qui me chauffe la vulve m’empêche de raisonner.
Je sens très bien ce qu’il me fait, mais mon cerveau devient absent. Je suis un corps à baiser et non plus un corps qui pense.
Respecte-t-il ses partenaires lorsqu’il soulève mes quarante-huit kilos et qu’il me fait passer sur la queue de son voisin sans avoir déchargé évitant ainsi de patauger dans le sperme.
Qu’il prenne autant de précaution aurait dû me faire peur, car cela présage un deuxième passage dans mon corps.
À part le balèze qui m’a reposé chez le voisin après qu’il m’est labouré cinq à dix minutes chacun m’obligeant à me relever chaque fois pour mieux m’emmancher sur la bite d’après, je fais presque un tour s’en avoir reçu la moindre goutte de sperme pour humecter ma vulve.
Ce qui est agréable au début devient vite une corvée voire une douleur alors quand la septième bite lâche sa semence au bout de trois secondes, je reçois cette pluie comme un cadeau du ciel.
Ce cadeau va durer trois secondes.
Il parle une langue gutturale qui doit être de l’arabe et lorsqu’ils me font relever, il m’assoit en visant ma petite rosette.
C’est reparti sauf la bite suivante qui est celle d’Ousman qui se contente juste de faire semblant de me la mettre et qui passe le relais à son voisin.
Ils ont repris leur tournante et certains veulent m’avoir dans d’autres positions.
Ils me placent les seins sur la table les jambes écartées au sol et suivant leur humeur m’enfilent par la chatte, le cul. Certains me mettent leur queue dans la bouche pour me la remplir. J’espère que celui qui a agrippé chaque une de ses mains sur un collier et qui a tiré pour faire pénétrer sa queue plus profondément en moi ne c’est pas rendu compte que ma peau s’éclate et que des coupures vont peut-être les marquer à vie.
Combien mon enfilé, mon maculé de leur sperme tout ce que je sais, c’est que, lorsque je vois avancer vers moi mon sadique, ce qu’il tient à la main, me fait comprendre l’horreur que j’ai accepté de subir pour nos maudits travaux.

• Vous pouvez aller chercher Hamed, je refuse ce que votre copain a envie de me faire avec son regard de sadique, pourquoi m’en veut-il autant ?

Mon cerveau pense cette phrase, mais ma bouche refuse de prononcer le moindre mot.

• Cette chienne était à la hauteur de la réputation que nos collègues qui sont là depuis deux jours nous avaient dite alors pour la remercier, je vous propose de l’achever avec cela.

Que leur montre-t-il, mais si c’est le manche de pioche qu’il tenait dans sa main, je peux m’inquiéter, j’ai déjà eu des godes placés dans mes trous par Patrick dans nos jeux familiaux, mais des engins de ce calibre, comme l’a dit Hamed, je vais ramasser.
Les uns me tiennent les jambes, les autres les bras et un dernier qui est monté sur la table me soulève le torse pour que je puisse mieux assister à l’apothéose de cette soirée.
La manière dont il tient le manche me rassure, car c’est le petit bout rond qu’il présente à mon anus.
Ils m’ont mis tellement de bites depuis le début de soirée que je suis étonné qu’il entre si facilement.
Contrairement à ce que je pensais le gros côté réservé à ma chatte m’éclate et je dis au revoir à tous ces messieurs.
Un voile noir passe devant mes yeux…

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