La révélation...
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La révélation...
Minuit passé, je me réveille en sursaut. Qu'est-ce qui m'a réveillé ? Ma queue en érection. Je me pose la question en m'étirant. J’empaume ma queue et la cajoler. Un bruit arrive jusqu’à moi. Comme une plainte. Certainement, ce qui a provoqué mon éveil. Je retiens mon souffle et tends l’oreille.
Je concentre toute mon attention sur ces sons, qui proviennent du séjour. Plus de doute, il s'agit du son de la télévision. Je pense pourtant l’avoir éteinte avant de me mettre au lit. Alors je me lève, et je me dirige vers le séjour.
Dans la pénombre de l'ouverture qui sépare couloir et séjour, je vois Inès la fille de Bérengère, de trois-quarts, juste éclairée par la télévision, dont l'écran me renvoie les images lubriques. Je suis exposé, il suffit qu'elle tourne la tête pour me surprendre en pleine séance de voyeurisme. Tant pis. La scène qui se déroule sous mes yeux m'électrise, j'aviserai si nécessaire.
Même si je suis chez moi, et qu’elle n’a rien à foutre chez moi, j’attends. Ce qui se déroule sous mes yeux m'excite et me fait bander plus dur encore. Inès est avachie sur mon canapé, une jambe gainée de nylon sombre par-dessus le dossier, l'autre pend hors de l'assise avec la culotte enroulée autour de la cheville. Son tee-shirt est remonté sur sa poitrine. Inès a de gros seins, mais avec de petits tétons qui pointent à peine au milieu de larges aréoles claires. Sa main gauche joue avec le mamelon droit.
Je masse mon gland entre deux doigts. Sa main droite s'occupe de sa vulve et plus particulièrement de son bouton. Je peux même voir sa cyprine briller sur ses poils pubiens. Elle est haletante, et fait de gros efforts pour ne pas gémir.
Qu'est-ce que je bande. Elle est bandante. Je la vois s'insérer un doigt dans son anus. À cette vision, je suis près de conclure. Ses seins bougent, rythmé par sa masturbation. Inès a les yeux fermés.
Voir son index, aller et venir, dans le fourreau anal, tandis qu'elle frotte furieusement son clitoris, je sens que ça va être dur de me retenir plus longtemps. Dans un éclair de lucidité, je surprends ses seins s'agiter plus vigoureusement. De la télé, j'entends des femmes partir dans leur orgasme. Je perds tout sens. Et je pars. Il me semble que l'orgasme dure une éternité. J'oubli toute retenu. Au point de franchir les quelques pas qui me sépare d’elle.
Elle n’est pas plus surprise que ça alors que j’ouvre ses cuisses avec mes doigts en éventail. Pas un seul mot ne sort de sa bouche, que des gémissements. Je vois les chairs délicates, colorés en rose très cru de l’intérieur de son vagin, de la mouille se forme qui suinte vers le clitoris, lequel commence à saillir à peine tenté de rouge. L’anus s’est un peu déplissé et élargi. Très vite ce n’est pas mes doigts qui j’avais envie de faire pénétrer dans l’orifice, mais ma queue. J’ai la bouche sèche, je déglutis sans arrêt. J’ai mal à la queue à force de bander.
J’introduis avec précaution mes deux index ensemble dans les orifices. Elle pousse une plainte rauque. Son vagin et son anus se sont violemment contractés sur mes doigts. Ils se sont rouverts instantanément et continuent à palpiter pendant de longues secondes. Le vagin se mouille, s’assouplit, l’anus devient plus chaud, de l’humidité s’y forme. J‘ai un peu honte, je regarde mes doigts s‘enfoncer dans ces trous très net, très lisses.
Malgré mon envie, j’hésite à l’enculer. Ça me parait brutal. Je finis par ajuster mon sexe poisseux, dû à ma branlette, à la fente de sa vulve. Elle pousse un grand soupir de soulagement. Elle ouvre davantage ses cuisses et creuse ses reins. Mon gland glisse facilement à l’intérieur de son vagin, elle n’est plus vierge, mais elle est encore serrée.
Tout en effectuant des va-et-vient en douceur dans son sexe, avec mes mains plaquées sur ses fesses, je regarde ce qui se passe à l’écran. Ça baise à tous va !
Elle se laisse bercer par mes lents coups de reins. Dont les ressorts du vieux divan de ma maman, grincent doucement. Je constate qu’Inès avec surprise, qu’elle suce son pouce tout en geignant voluptueusement. Je jouis très fort, tout au fond, c’est sûrement la plus jeune fille que j’ai eu ses derniers temps.
Après avoir un peu reprit son souffle, elle se lève et se dirige vers la salle d’eau. Elle tourne le dos à la petite vasque en émail. Elle est grande et en s’appuyant sur une seule jambe tendue, elle peut faire passer ses fesses par-dessus le rebord du lavabo. Elle ouvre le robinet d’eau chaude dans son dos, et elle se rince le sexe face à moi après avoir laissé s’écouler le sperme. Ensuite elle fait pipi dans cette position.
-On voilà des manières ! Lui fais-je à son retour.
-Occupe-toi de mes fesses.
-Tu es chez moi tout de même.
Alors que je me prépare un café je la vois aller dans ma chambre. Je la rejoins et la trouve étendu sur le ventre sur mon lit.
-Tu comptes rester ici encore longtemps ? Lui fais-je.
-Aussi longtemps que je le désire, pourquoi ?
-Tu sors avec le fils d’Isabelle ?
-Pas du tout !
-Ne me ment pas.
-Bon, si tu veux.
-Alors pourquoi n’es-tu pas avec lui ?
-J’avais envie d’une bonne baise.
-Il n’a pas une queue ?
-Oui une belle. Plus belle que la tienne, mais pas aussi bonne ! On t’a déjà dis que tu ramones bien ?
-C’est la première fois, fais-je en me plaçant entre ses cuisses.
J’écarte les globes jumeaux de mes deux mains et lui lèche l’anus. Elle reste un moment dans cette position puis ramène ses genoux sous elle et écarte bien les cuisses, je peux appliquer mes lèvres contre l’orifice que j’essaie de pénétrer en imprimant à ma langue un mouvement de vrille. Elle pousse de drôles de soupirs étouffés.
-C’est trop bon !
J’appuie. Le sphincter s’ouvre et je force sur ma langue pour qu’elle la pénètre. J’entends ses gémissements, et sa bouche lâchée.
-C’est si bon ce faire bouffer le cul !
Le lendemain, je remarque qu’Inès est vêtue d’une jupe assez courte et d’un tee-shirt qui lui moule avantageusement la poitrine. Ses petites jambes bronzées sont un plaisir à regarder et je dois me concentrer à la tâche qui m’est assignée.
Après le déjeuner, la même Inès me demande de l’accompagner à la cave à vin. Car elle a peur de si rendre seule, me fait-elle sourire salace aux lèvres.
C’était clair pour moi, elle cherchait à s’isoler avec moi. Et la bouteille de vin était une excuse !
D’ailleurs comme pour me donner raison c’est du côté de la réserve qu’elle se dirige. Un grand local de stockage de meuble. Inès se dirige vers le fond de la pièce. Elle monte sur un escabeau et elle me tend son fessier.
-Cela te dit ? Me lâche-t-elle.
Je ne me fais pas prier pour poser mes mains sur ses fesses par-dessus le mince tissu de sa jupe. Je descends ma main droite vers sa cuisse. -Oh oui… me dit-elle.
Je suis tiraillé par le désir d’explorer un peu plus sa peau. Comme pendant la nuit précédente d’en savourer la fermeté et la douceur tout à la fois. Je décide de remonter un peu le long de sa cuisse. De faire monter ma main. Inès m’encourage. Surprise elle ne porte pas de culotte. Mes doigts parviennent à son intimité. Je continus toujours plus loin mon exploration et touche sa toison, ma foi, très humides.
-Tu mouilles ?
-A la faute de qui ?
J’explore son sexe. La caresse au niveau de sa vulve. Mon pouce et mon majeur écartent ses lèvres et j’insère mon index à l’intérieur. Inès déplace son pied droit du barreau de l’escabeau pour venir le déposer sur le rebord d’un meuble, écartant ainsi les cuisses. Je comprends le message et mes doigts se mettent à chercher son clitoris afin de le caresser avant d’aller plus loin dans ma pénétration.
Je n’ai pas à chercher bien longtemps. En écartant ses lèvres un peu plus je sens son clitoris bien gonflé. Lorsque je me mis à le cajoler, Inès m’encourage.
-Oui vas-y… putain que j’aime ça !
De ma main libre, je maintiens fermement ses fesses pour ne pas qu’elle tombe. Alors que toute ma main droite est inondée de son liquide. La chipie est en train de jouir. De belle façon. Le tout n’a pris que quelques minutes.
-Dis-moi, tu m’as dit que ta relation, pour ne pas le citer, est un rapide à dégainer ton copain. Mais tu ne donnes pas ta part non plus !
- C’est vraiment super. Jamais personne ne m’a fait jouir de cette façon. Je suis encore toute excitée.
Elle détache sa jupe qui tombe sur le béton.
-Qu’est-ce que tu fais ? Lui fais-je.
-Ça ne ce voit pas !
-Mais la bouteille de vin ?
-Quelle bouteille ?
Puis, d’un geste brusque, elle se sépare de son haut. Son soutien-gorge va rejoindre la jupe. A présent Inès est nue, sur l’escabeau. Je ne prends même pas la peine de verrouiller la porte. J’approche mon visage de son cul et en hume le trou du cul. Elle se retourne, pour ainsi placer sa chatte proche de ma bouche. Je l’explore de ma langue. Je goûte son nectar. Un goût sans égal ! Ses gémissements sont de plus en plus constants. Ils sont entrecoupés de plaintes. Je sens qu’elle est proche de la jouissance. J’aspire son bouton et le mâchouille. Inès jouit. Même très fort !
Je l’aide à descendre. Son visage est tout contre le mien et nos lèvres se touchent une première fois. Les miennes sont encore mouillées de sa jouissance. Nos langues se mêlent. Nous explorons nos bouches, nos langues se caressant pendant que mes mains se déplacent sur son corps.
-Oh, j’ai envie, j’ai envie ! m’avoue-t-elle.
-Pas ici !
-J’ai envie de baiser ! clame-t-elle avec hargne.
C’est presque une imploration. Elle me presse le sexe avec fièvre.
-Tu as aimé jouir dans cette moule cette nuit ?
Elle a lancé ça avec vulgarité. Elle me regarde droit dans les yeux, elle s’enfonce même un doigt dans l’anus comme pour me provoquer. Même si le danger est partout, sa perversité m’excite. Elle se gratte le bouton en gémissant, ses yeux sont vitreux et pleins d’envie.
-Allez, viens, implore-t-elle. J’ai envie de toi.
L’excitation prenant le pas sur le danger, je finis par me décider, j’immerge ma tête entre ses cuisses et entames un léchage. Elle riposte à mon ardeur par un grand soupir de bonheur. Elle me plaque la tête sur sa chatte. Elle danse même le bassin. Je fais disparaître un doigt dans son anus. Elle réplique avec un grand feulement. De son côté, elle se martyrise les seins.
-Allez Alain ! Baise-moi !
Je la baise dans l’urgence sur une vieille table. Ses seins naviguent en tous sens au rythme de mes coups de bite, elle est juteuse et accueillante. Elle répond à mes assauts par des coups de reins. Je finis par la faire se mettre en position le buste en appuie sur le plateau. Je la prends en levrette. Je la défonce sans retenue en lui claquant les fesses mais, vu ses gémissements, elle a l’air d’adorer ça.
Je jouis très vite et tant mieux !
-Je peux me montrer beaucoup plus perverse, insiste-t-elle.
-Ah oui !
-Si tu veux me sodomiser devant mon copain.
-On parle du même copain ?
-Oui du même, je n’en es pas d’autre !
-Il faudrait pour ça qu’on s’exerce ?
-Pourquoi pas tout de suite ?
Elle embouche ma queue encore toute poisseuse de nos ébats. Je ne sais pas si j’en ai envie, mais c’est vrai qu’elle sait bien y faire. Je ne tarde pas à bander.
Elle se penche sur la même table que plus tôt. Le temps de la préparer et je trouve le chemin de son cul. Je l’encule à fond. Nous grognons comme des bêtes et Inès n’est pas en reste.
Quelques minutes plus tard, j‘étais vidangé, exténué, j’avais tous les muscles endoloris et mes couilles me faisaient mal.
-Au plaisir Alain, me dit-elle en me voyant m’éloigner. J’ai encore 48Heures à passé ici, je suis toute entière à ta disposition, si cela te dit.
Je concentre toute mon attention sur ces sons, qui proviennent du séjour. Plus de doute, il s'agit du son de la télévision. Je pense pourtant l’avoir éteinte avant de me mettre au lit. Alors je me lève, et je me dirige vers le séjour.
Dans la pénombre de l'ouverture qui sépare couloir et séjour, je vois Inès la fille de Bérengère, de trois-quarts, juste éclairée par la télévision, dont l'écran me renvoie les images lubriques. Je suis exposé, il suffit qu'elle tourne la tête pour me surprendre en pleine séance de voyeurisme. Tant pis. La scène qui se déroule sous mes yeux m'électrise, j'aviserai si nécessaire.
Même si je suis chez moi, et qu’elle n’a rien à foutre chez moi, j’attends. Ce qui se déroule sous mes yeux m'excite et me fait bander plus dur encore. Inès est avachie sur mon canapé, une jambe gainée de nylon sombre par-dessus le dossier, l'autre pend hors de l'assise avec la culotte enroulée autour de la cheville. Son tee-shirt est remonté sur sa poitrine. Inès a de gros seins, mais avec de petits tétons qui pointent à peine au milieu de larges aréoles claires. Sa main gauche joue avec le mamelon droit.
Je masse mon gland entre deux doigts. Sa main droite s'occupe de sa vulve et plus particulièrement de son bouton. Je peux même voir sa cyprine briller sur ses poils pubiens. Elle est haletante, et fait de gros efforts pour ne pas gémir.
Qu'est-ce que je bande. Elle est bandante. Je la vois s'insérer un doigt dans son anus. À cette vision, je suis près de conclure. Ses seins bougent, rythmé par sa masturbation. Inès a les yeux fermés.
Voir son index, aller et venir, dans le fourreau anal, tandis qu'elle frotte furieusement son clitoris, je sens que ça va être dur de me retenir plus longtemps. Dans un éclair de lucidité, je surprends ses seins s'agiter plus vigoureusement. De la télé, j'entends des femmes partir dans leur orgasme. Je perds tout sens. Et je pars. Il me semble que l'orgasme dure une éternité. J'oubli toute retenu. Au point de franchir les quelques pas qui me sépare d’elle.
Elle n’est pas plus surprise que ça alors que j’ouvre ses cuisses avec mes doigts en éventail. Pas un seul mot ne sort de sa bouche, que des gémissements. Je vois les chairs délicates, colorés en rose très cru de l’intérieur de son vagin, de la mouille se forme qui suinte vers le clitoris, lequel commence à saillir à peine tenté de rouge. L’anus s’est un peu déplissé et élargi. Très vite ce n’est pas mes doigts qui j’avais envie de faire pénétrer dans l’orifice, mais ma queue. J’ai la bouche sèche, je déglutis sans arrêt. J’ai mal à la queue à force de bander.
J’introduis avec précaution mes deux index ensemble dans les orifices. Elle pousse une plainte rauque. Son vagin et son anus se sont violemment contractés sur mes doigts. Ils se sont rouverts instantanément et continuent à palpiter pendant de longues secondes. Le vagin se mouille, s’assouplit, l’anus devient plus chaud, de l’humidité s’y forme. J‘ai un peu honte, je regarde mes doigts s‘enfoncer dans ces trous très net, très lisses.
Malgré mon envie, j’hésite à l’enculer. Ça me parait brutal. Je finis par ajuster mon sexe poisseux, dû à ma branlette, à la fente de sa vulve. Elle pousse un grand soupir de soulagement. Elle ouvre davantage ses cuisses et creuse ses reins. Mon gland glisse facilement à l’intérieur de son vagin, elle n’est plus vierge, mais elle est encore serrée.
Tout en effectuant des va-et-vient en douceur dans son sexe, avec mes mains plaquées sur ses fesses, je regarde ce qui se passe à l’écran. Ça baise à tous va !
Elle se laisse bercer par mes lents coups de reins. Dont les ressorts du vieux divan de ma maman, grincent doucement. Je constate qu’Inès avec surprise, qu’elle suce son pouce tout en geignant voluptueusement. Je jouis très fort, tout au fond, c’est sûrement la plus jeune fille que j’ai eu ses derniers temps.
Après avoir un peu reprit son souffle, elle se lève et se dirige vers la salle d’eau. Elle tourne le dos à la petite vasque en émail. Elle est grande et en s’appuyant sur une seule jambe tendue, elle peut faire passer ses fesses par-dessus le rebord du lavabo. Elle ouvre le robinet d’eau chaude dans son dos, et elle se rince le sexe face à moi après avoir laissé s’écouler le sperme. Ensuite elle fait pipi dans cette position.
-On voilà des manières ! Lui fais-je à son retour.
-Occupe-toi de mes fesses.
-Tu es chez moi tout de même.
Alors que je me prépare un café je la vois aller dans ma chambre. Je la rejoins et la trouve étendu sur le ventre sur mon lit.
-Tu comptes rester ici encore longtemps ? Lui fais-je.
-Aussi longtemps que je le désire, pourquoi ?
-Tu sors avec le fils d’Isabelle ?
-Pas du tout !
-Ne me ment pas.
-Bon, si tu veux.
-Alors pourquoi n’es-tu pas avec lui ?
-J’avais envie d’une bonne baise.
-Il n’a pas une queue ?
-Oui une belle. Plus belle que la tienne, mais pas aussi bonne ! On t’a déjà dis que tu ramones bien ?
-C’est la première fois, fais-je en me plaçant entre ses cuisses.
J’écarte les globes jumeaux de mes deux mains et lui lèche l’anus. Elle reste un moment dans cette position puis ramène ses genoux sous elle et écarte bien les cuisses, je peux appliquer mes lèvres contre l’orifice que j’essaie de pénétrer en imprimant à ma langue un mouvement de vrille. Elle pousse de drôles de soupirs étouffés.
-C’est trop bon !
J’appuie. Le sphincter s’ouvre et je force sur ma langue pour qu’elle la pénètre. J’entends ses gémissements, et sa bouche lâchée.
-C’est si bon ce faire bouffer le cul !
Le lendemain, je remarque qu’Inès est vêtue d’une jupe assez courte et d’un tee-shirt qui lui moule avantageusement la poitrine. Ses petites jambes bronzées sont un plaisir à regarder et je dois me concentrer à la tâche qui m’est assignée.
Après le déjeuner, la même Inès me demande de l’accompagner à la cave à vin. Car elle a peur de si rendre seule, me fait-elle sourire salace aux lèvres.
C’était clair pour moi, elle cherchait à s’isoler avec moi. Et la bouteille de vin était une excuse !
D’ailleurs comme pour me donner raison c’est du côté de la réserve qu’elle se dirige. Un grand local de stockage de meuble. Inès se dirige vers le fond de la pièce. Elle monte sur un escabeau et elle me tend son fessier.
-Cela te dit ? Me lâche-t-elle.
Je ne me fais pas prier pour poser mes mains sur ses fesses par-dessus le mince tissu de sa jupe. Je descends ma main droite vers sa cuisse. -Oh oui… me dit-elle.
Je suis tiraillé par le désir d’explorer un peu plus sa peau. Comme pendant la nuit précédente d’en savourer la fermeté et la douceur tout à la fois. Je décide de remonter un peu le long de sa cuisse. De faire monter ma main. Inès m’encourage. Surprise elle ne porte pas de culotte. Mes doigts parviennent à son intimité. Je continus toujours plus loin mon exploration et touche sa toison, ma foi, très humides.
-Tu mouilles ?
-A la faute de qui ?
J’explore son sexe. La caresse au niveau de sa vulve. Mon pouce et mon majeur écartent ses lèvres et j’insère mon index à l’intérieur. Inès déplace son pied droit du barreau de l’escabeau pour venir le déposer sur le rebord d’un meuble, écartant ainsi les cuisses. Je comprends le message et mes doigts se mettent à chercher son clitoris afin de le caresser avant d’aller plus loin dans ma pénétration.
Je n’ai pas à chercher bien longtemps. En écartant ses lèvres un peu plus je sens son clitoris bien gonflé. Lorsque je me mis à le cajoler, Inès m’encourage.
-Oui vas-y… putain que j’aime ça !
De ma main libre, je maintiens fermement ses fesses pour ne pas qu’elle tombe. Alors que toute ma main droite est inondée de son liquide. La chipie est en train de jouir. De belle façon. Le tout n’a pris que quelques minutes.
-Dis-moi, tu m’as dit que ta relation, pour ne pas le citer, est un rapide à dégainer ton copain. Mais tu ne donnes pas ta part non plus !
- C’est vraiment super. Jamais personne ne m’a fait jouir de cette façon. Je suis encore toute excitée.
Elle détache sa jupe qui tombe sur le béton.
-Qu’est-ce que tu fais ? Lui fais-je.
-Ça ne ce voit pas !
-Mais la bouteille de vin ?
-Quelle bouteille ?
Puis, d’un geste brusque, elle se sépare de son haut. Son soutien-gorge va rejoindre la jupe. A présent Inès est nue, sur l’escabeau. Je ne prends même pas la peine de verrouiller la porte. J’approche mon visage de son cul et en hume le trou du cul. Elle se retourne, pour ainsi placer sa chatte proche de ma bouche. Je l’explore de ma langue. Je goûte son nectar. Un goût sans égal ! Ses gémissements sont de plus en plus constants. Ils sont entrecoupés de plaintes. Je sens qu’elle est proche de la jouissance. J’aspire son bouton et le mâchouille. Inès jouit. Même très fort !
Je l’aide à descendre. Son visage est tout contre le mien et nos lèvres se touchent une première fois. Les miennes sont encore mouillées de sa jouissance. Nos langues se mêlent. Nous explorons nos bouches, nos langues se caressant pendant que mes mains se déplacent sur son corps.
-Oh, j’ai envie, j’ai envie ! m’avoue-t-elle.
-Pas ici !
-J’ai envie de baiser ! clame-t-elle avec hargne.
C’est presque une imploration. Elle me presse le sexe avec fièvre.
-Tu as aimé jouir dans cette moule cette nuit ?
Elle a lancé ça avec vulgarité. Elle me regarde droit dans les yeux, elle s’enfonce même un doigt dans l’anus comme pour me provoquer. Même si le danger est partout, sa perversité m’excite. Elle se gratte le bouton en gémissant, ses yeux sont vitreux et pleins d’envie.
-Allez, viens, implore-t-elle. J’ai envie de toi.
L’excitation prenant le pas sur le danger, je finis par me décider, j’immerge ma tête entre ses cuisses et entames un léchage. Elle riposte à mon ardeur par un grand soupir de bonheur. Elle me plaque la tête sur sa chatte. Elle danse même le bassin. Je fais disparaître un doigt dans son anus. Elle réplique avec un grand feulement. De son côté, elle se martyrise les seins.
-Allez Alain ! Baise-moi !
Je la baise dans l’urgence sur une vieille table. Ses seins naviguent en tous sens au rythme de mes coups de bite, elle est juteuse et accueillante. Elle répond à mes assauts par des coups de reins. Je finis par la faire se mettre en position le buste en appuie sur le plateau. Je la prends en levrette. Je la défonce sans retenue en lui claquant les fesses mais, vu ses gémissements, elle a l’air d’adorer ça.
Je jouis très vite et tant mieux !
-Je peux me montrer beaucoup plus perverse, insiste-t-elle.
-Ah oui !
-Si tu veux me sodomiser devant mon copain.
-On parle du même copain ?
-Oui du même, je n’en es pas d’autre !
-Il faudrait pour ça qu’on s’exerce ?
-Pourquoi pas tout de suite ?
Elle embouche ma queue encore toute poisseuse de nos ébats. Je ne sais pas si j’en ai envie, mais c’est vrai qu’elle sait bien y faire. Je ne tarde pas à bander.
Elle se penche sur la même table que plus tôt. Le temps de la préparer et je trouve le chemin de son cul. Je l’encule à fond. Nous grognons comme des bêtes et Inès n’est pas en reste.
Quelques minutes plus tard, j‘étais vidangé, exténué, j’avais tous les muscles endoloris et mes couilles me faisaient mal.
-Au plaisir Alain, me dit-elle en me voyant m’éloigner. J’ai encore 48Heures à passé ici, je suis toute entière à ta disposition, si cela te dit.
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