La surprise de Natacha.
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La surprise de Natacha.
La permanence terminée, au lieu de me rendre chez Natacha comme convenue, s’est chez moi que mes pas se dirige. Je pense déjà au moment délicieux que je vais passer de m’affaler dans mon canapé douillet à siroter un verre après cette épuisante journée.
Ma main cherche mes clefs au fond de la poche de mon blouson, sans les trouver. Mais surprise la serrure se met en branle lorsque je découvre avec surprise que Natacha est venue chez moi à l’improviste. Je la découvre dans l’entrée dans une tenue très osez.
-Supriiiiiiise ! crie-t-elle au moment de me sauter au cou et de m’embrasser fougueusement.
-Tu es content ? Me questionne-t-elle.
-Surpris de te voir là !
-Mais c’est qu’un début !
Elle se retourne et part chercher quelque chose dans ma chambre. J’en profite pour regarder son petit derrière qui me sourit dans l’entrebâillement de sa guêpière trop petite. Elle revient une seconde plus tard, alors que ses seins tentent de se libérer de son enveloppe.
-Tourne-toi et ferme les yeux.
Je m’exécute. Elle passe alors ses bras autour de mes épaules et passe quelque chose sur mes yeux.
-Voilà, comme ça, je suis sûre que tu ne vois rien.
Je tente d’ouvrir mes paupières, mais le bandeau est trop serré et m’empêche totalement de voir quoi que ce soit.
-Donne-moi la main, je vais te guider. À partir de maintenant, tu vas faire tout ce que je te dis.
Je me laisse prendre au jeu. En quelques pas, je devine qu’elle me conduit à la salle de bain. Elle m’arrête devant la porte qu’elle ouvre et referme aussitôt derrière nous. L’intense chaleur moite me saute au visage et devient vite insupportable encore vêtu de mon blouson.
-Reste debout, je vais te déshabiller.
Cette pensée réveille mon corps instantanément et concentre d’un coup ma circulation sanguine au niveau de mon entrecuisse.
-Je vois que tu es encore en forme, me dit-elle. Mais, poursuit-elle, il va falloir être patient. Je ne voudrais pas que tu jouisses trop vite, ça gâcherait tout.
Avec des gestes d’infirmière, elle me soulage de mes vêtements.
-Tu m’excites ! ! S’exclame-t-elle alors que je me tiens immobile nu devant elle.
Elle se colle contre moi en me serrant très fort dans ses bras.
-On va bien s’occuper de toi.
-Pourquoi on ?
-Oui.
Sa voix trahit un grand sourire.
-Je suis venue avec ma copine Christine.
-On parle de la même Christine, là ?
-Celle à qui tu as rasé la chatte.
-Salope !
-Ça va être trop cool, tu vas voir, on va prendre soin de toi.
Ma tension s’emballe alors que je sens une nouvelle paire de mains se poser sur mes fesses.
-Re-bonjour. C’est bien moi, Christine, susurre-t-elle d’une voix suave à mon oreille.
Elles me prennent chacune une main et me conduisent jusqu’au divan.
- Tu as vu comme il est poilu ? C’est drôle, lance Natacha à son amie.
-Oh oui, c’est la première fois que je touche un homme avec autant de poils sur le torse.
-Moi, ajoute Natacha, avant je n’aimais pas, mais depuis ce matin, je suis vraiment devenu fan. Je ne pourrais plus m’en passer.
Je me prends au jeu. Et pas un moment je pense à retirer le bandeau de mes yeux. Mes oreilles scrutent tout de même, chaque son pour en deviner l’origine. J’entends les deux jeunes femmes gesticuler et glousser dans un léger frottement de tissu. Mon sexe gonfle à l’idée des deux jeunes femmes en train de mettre à poils.
-Encore un instant et on s’occupe de toi.
-Mais prenez votre temps, surtout.
Elles se placent de chaque côté de ma personne. Elles entament alors un lent ballet en se frottant à moi. Une fait rouler ses seins et ses hanches sur mes jambes pendant que l’autre joue de son pubis sur mon torse, mes bras. Une d’elles glisse une de ses cuisses à l’intérieur des miennes et se met à faire rouler mon sexe bandé entre nos deux bas-ventres. Je manque de jouir.
Les deux nymphes continuent leur chorégraphie, en marquant suffisamment de pauses pour me faire redescendre. Chaque fois que j’approche de l’orgasme, je sens un doigt venir presser fortement sous mes bourses. L’effet est immédiat et telle une valve de sécurité, mon cœur ralentit un peu.
-Écarte-toi un peu, que Christine puisse s’allonger sur le divan.
Nous échangeons nos positions respectives.
-Cela te ferait plaisir de t’occuper de sa foufoune avec ta bouche et ta langue habiles pendant que je m’occupe de toi.
-Mais avec plaisir ! Fais-je en prenant place.
À mesure que j’approche l’intérieur des cuisses, je sens son parfum monter jusqu’à mes narines. Comme chaque fois devant une telle activité, je déguste cet instant de la découverte, où les peaux, les fluides, les odeurs s’entremêlent.
Mes lèvres s’étendent sur les siennes et lui arrachent un gémissement. Elle mouille déjà abondamment. Je me cale bien à plat-ventre pour être à mon aise. Je lâche de petits baisers la peau glabre et parfumée de sa chatte.
Je m’amuse avec elle. Mes baisers suivent son sillon. Mes lèvres partent se perdre sur son mont de Vénus, et de redescendre par l’intérieur de ses cuisses avant de revenir à au point du départ. Le manège se répète, approchant chaque fois de son antre pour mieux s’en éloigner.
Christine devient aliénée et ses mains empoignent ma tête pour l’empêcher de s’écarter de la trajectoire qui doit lui permettre d’harponner son sexe. Puis je décide que le moment est venu de la satisfaire. Je fais pénétrer pour cela, ma langue dans son sexe en ébullition. Cette fois, Christine ne peut s’empêcher de crier tant l’assaut l’a surprise.
Je me mets à la combler, énergiquement, lapant, suçant chaque morceau de chair rougi par le désir et recueillant chaque goutte de mouille. Ses lèvres ouvertes accueillent ma bouche tout entière.
J’aspire son bouton devenu turgescent entre mes lèvres, alors que ma langue le cajole. Christine ondule de tout son corps au rythme de mes coups de langue. Elle est au bord d’exploser. Je suis si consacré à la mener au plaisir que je ne prête pas immédiatement attention aux mains qui saisissent mes couilles et ma queue écrasée sous mon corps.
Je sens qu’on me la tire en arrière dans une orientation contraire à son sens d’érection naturelle. Natacha est en train de me branler. Elle malaxe mes couilles de son autre main.
Je suis dans mon élément, là. Sucer une chatte en me faisant branler. L’orgasme de Christine me surprend. Sa chatte m’arrose de plusieurs jets chauds. J’emprisonne son bouton entre mes lèvres et le masse. Et de nouveau, une nouvelle vague de jouissance emplit ma bouche.
Derrière moi, Natacha s’active sur ma queue. Elle a plus d’un tour dans son sac, la jeunette. Comme l’avait sa mère, jadis. La pomme ne tombe jamais loin de l’arbre !
Je sens un souffle chaud avant que son visage entre au contact avec mes fesses. Elle fiche sa langue aussi loin qu’elle le peut dans mon trou qui, comme d’habitude, l’accueille dans un tourbillon de plaisir. Je me cambre plus encore pour lui faciliter l’accès à mon fondement. Ses mains se déchaînent sur mon membre alors que sa langue m’encule véritablement.
C’est mon jour de chance ! Mon visage s’écroule, enfoui entre les cuisses de Christine alors qu’un dernier coup de langue dans mon cul finit par m’envoyer dans un autre monde. Plus jouissif celui-là ! Je sens mes couilles évacuer sa joie. J’ai l’impression de me répandre pendant des heures avant que mon corps tout entier ne s’effondre.
Natacha s’empresse de venir s’allonger avec nous, alors que Christine me débarrasse de mon bandeau. Nous nous blottissons tous les trois ensemble lorsque Natacha tend ses doigts souillée de ma jouissance à la hauteur des lèvres de Christine. Qui se met à laper timidement dans un premier temps avant de s’y étancher pleinement.
Tout en récupérant, je porte mon regard sur les deux chipies, en train de s’échanger un langoureux baiser chargé de ma semence. Puis, après s’êtes consulter, les voilà bondissant sur moi, m’invitant toutes deux à partager leur baiser. D’où une union de goûts se dégage.
-Je pense, fait Natacha. Il serait bien qu’on remette ça, non Alain ?
-Pourquoi pas !
-Mais chez nous, Assiste Christine.
Ma main cherche mes clefs au fond de la poche de mon blouson, sans les trouver. Mais surprise la serrure se met en branle lorsque je découvre avec surprise que Natacha est venue chez moi à l’improviste. Je la découvre dans l’entrée dans une tenue très osez.
-Supriiiiiiise ! crie-t-elle au moment de me sauter au cou et de m’embrasser fougueusement.
-Tu es content ? Me questionne-t-elle.
-Surpris de te voir là !
-Mais c’est qu’un début !
Elle se retourne et part chercher quelque chose dans ma chambre. J’en profite pour regarder son petit derrière qui me sourit dans l’entrebâillement de sa guêpière trop petite. Elle revient une seconde plus tard, alors que ses seins tentent de se libérer de son enveloppe.
-Tourne-toi et ferme les yeux.
Je m’exécute. Elle passe alors ses bras autour de mes épaules et passe quelque chose sur mes yeux.
-Voilà, comme ça, je suis sûre que tu ne vois rien.
Je tente d’ouvrir mes paupières, mais le bandeau est trop serré et m’empêche totalement de voir quoi que ce soit.
-Donne-moi la main, je vais te guider. À partir de maintenant, tu vas faire tout ce que je te dis.
Je me laisse prendre au jeu. En quelques pas, je devine qu’elle me conduit à la salle de bain. Elle m’arrête devant la porte qu’elle ouvre et referme aussitôt derrière nous. L’intense chaleur moite me saute au visage et devient vite insupportable encore vêtu de mon blouson.
-Reste debout, je vais te déshabiller.
Cette pensée réveille mon corps instantanément et concentre d’un coup ma circulation sanguine au niveau de mon entrecuisse.
-Je vois que tu es encore en forme, me dit-elle. Mais, poursuit-elle, il va falloir être patient. Je ne voudrais pas que tu jouisses trop vite, ça gâcherait tout.
Avec des gestes d’infirmière, elle me soulage de mes vêtements.
-Tu m’excites ! ! S’exclame-t-elle alors que je me tiens immobile nu devant elle.
Elle se colle contre moi en me serrant très fort dans ses bras.
-On va bien s’occuper de toi.
-Pourquoi on ?
-Oui.
Sa voix trahit un grand sourire.
-Je suis venue avec ma copine Christine.
-On parle de la même Christine, là ?
-Celle à qui tu as rasé la chatte.
-Salope !
-Ça va être trop cool, tu vas voir, on va prendre soin de toi.
Ma tension s’emballe alors que je sens une nouvelle paire de mains se poser sur mes fesses.
-Re-bonjour. C’est bien moi, Christine, susurre-t-elle d’une voix suave à mon oreille.
Elles me prennent chacune une main et me conduisent jusqu’au divan.
- Tu as vu comme il est poilu ? C’est drôle, lance Natacha à son amie.
-Oh oui, c’est la première fois que je touche un homme avec autant de poils sur le torse.
-Moi, ajoute Natacha, avant je n’aimais pas, mais depuis ce matin, je suis vraiment devenu fan. Je ne pourrais plus m’en passer.
Je me prends au jeu. Et pas un moment je pense à retirer le bandeau de mes yeux. Mes oreilles scrutent tout de même, chaque son pour en deviner l’origine. J’entends les deux jeunes femmes gesticuler et glousser dans un léger frottement de tissu. Mon sexe gonfle à l’idée des deux jeunes femmes en train de mettre à poils.
-Encore un instant et on s’occupe de toi.
-Mais prenez votre temps, surtout.
Elles se placent de chaque côté de ma personne. Elles entament alors un lent ballet en se frottant à moi. Une fait rouler ses seins et ses hanches sur mes jambes pendant que l’autre joue de son pubis sur mon torse, mes bras. Une d’elles glisse une de ses cuisses à l’intérieur des miennes et se met à faire rouler mon sexe bandé entre nos deux bas-ventres. Je manque de jouir.
Les deux nymphes continuent leur chorégraphie, en marquant suffisamment de pauses pour me faire redescendre. Chaque fois que j’approche de l’orgasme, je sens un doigt venir presser fortement sous mes bourses. L’effet est immédiat et telle une valve de sécurité, mon cœur ralentit un peu.
-Écarte-toi un peu, que Christine puisse s’allonger sur le divan.
Nous échangeons nos positions respectives.
-Cela te ferait plaisir de t’occuper de sa foufoune avec ta bouche et ta langue habiles pendant que je m’occupe de toi.
-Mais avec plaisir ! Fais-je en prenant place.
À mesure que j’approche l’intérieur des cuisses, je sens son parfum monter jusqu’à mes narines. Comme chaque fois devant une telle activité, je déguste cet instant de la découverte, où les peaux, les fluides, les odeurs s’entremêlent.
Mes lèvres s’étendent sur les siennes et lui arrachent un gémissement. Elle mouille déjà abondamment. Je me cale bien à plat-ventre pour être à mon aise. Je lâche de petits baisers la peau glabre et parfumée de sa chatte.
Je m’amuse avec elle. Mes baisers suivent son sillon. Mes lèvres partent se perdre sur son mont de Vénus, et de redescendre par l’intérieur de ses cuisses avant de revenir à au point du départ. Le manège se répète, approchant chaque fois de son antre pour mieux s’en éloigner.
Christine devient aliénée et ses mains empoignent ma tête pour l’empêcher de s’écarter de la trajectoire qui doit lui permettre d’harponner son sexe. Puis je décide que le moment est venu de la satisfaire. Je fais pénétrer pour cela, ma langue dans son sexe en ébullition. Cette fois, Christine ne peut s’empêcher de crier tant l’assaut l’a surprise.
Je me mets à la combler, énergiquement, lapant, suçant chaque morceau de chair rougi par le désir et recueillant chaque goutte de mouille. Ses lèvres ouvertes accueillent ma bouche tout entière.
J’aspire son bouton devenu turgescent entre mes lèvres, alors que ma langue le cajole. Christine ondule de tout son corps au rythme de mes coups de langue. Elle est au bord d’exploser. Je suis si consacré à la mener au plaisir que je ne prête pas immédiatement attention aux mains qui saisissent mes couilles et ma queue écrasée sous mon corps.
Je sens qu’on me la tire en arrière dans une orientation contraire à son sens d’érection naturelle. Natacha est en train de me branler. Elle malaxe mes couilles de son autre main.
Je suis dans mon élément, là. Sucer une chatte en me faisant branler. L’orgasme de Christine me surprend. Sa chatte m’arrose de plusieurs jets chauds. J’emprisonne son bouton entre mes lèvres et le masse. Et de nouveau, une nouvelle vague de jouissance emplit ma bouche.
Derrière moi, Natacha s’active sur ma queue. Elle a plus d’un tour dans son sac, la jeunette. Comme l’avait sa mère, jadis. La pomme ne tombe jamais loin de l’arbre !
Je sens un souffle chaud avant que son visage entre au contact avec mes fesses. Elle fiche sa langue aussi loin qu’elle le peut dans mon trou qui, comme d’habitude, l’accueille dans un tourbillon de plaisir. Je me cambre plus encore pour lui faciliter l’accès à mon fondement. Ses mains se déchaînent sur mon membre alors que sa langue m’encule véritablement.
C’est mon jour de chance ! Mon visage s’écroule, enfoui entre les cuisses de Christine alors qu’un dernier coup de langue dans mon cul finit par m’envoyer dans un autre monde. Plus jouissif celui-là ! Je sens mes couilles évacuer sa joie. J’ai l’impression de me répandre pendant des heures avant que mon corps tout entier ne s’effondre.
Natacha s’empresse de venir s’allonger avec nous, alors que Christine me débarrasse de mon bandeau. Nous nous blottissons tous les trois ensemble lorsque Natacha tend ses doigts souillée de ma jouissance à la hauteur des lèvres de Christine. Qui se met à laper timidement dans un premier temps avant de s’y étancher pleinement.
Tout en récupérant, je porte mon regard sur les deux chipies, en train de s’échanger un langoureux baiser chargé de ma semence. Puis, après s’êtes consulter, les voilà bondissant sur moi, m’invitant toutes deux à partager leur baiser. D’où une union de goûts se dégage.
-Je pense, fait Natacha. Il serait bien qu’on remette ça, non Alain ?
-Pourquoi pas !
-Mais chez nous, Assiste Christine.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très sympa comme histoire. Très bonne idée de Natacha...