La trahison de maman

- Par l'auteur HDS Tamalou -
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Auteur homme.
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Récit libertin : La trahison de maman Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-03-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La trahison de maman
Je n’aurais jamais pu soupçonner que ma mère était volage, si je ne l’avais pas découvert par hasard.

Bien qu'elle ait atteint la quarantaine, elle était encore une créature splendide, grande, à la tournure majestueuse, avec une chevelure flamboyante, et des yeux émeraude. Voluptueuse et désirable, au point que beaucoup d’hommes, des jeunes et des moins jeunes, se retournaient sur son passage pour admirer ses courbes féminines. Certains essayaient de la draguer, rivalisant d’imagination pour la séduire, mais ma mère restait inflexible, d’une indifférence impassible. Un seul homme avait réussi à la charmer, à lui passer la bague au doigt, et elle se consacrait entièrement à cet homme et à son enfant, moi.

Elle était mariée depuis près de dix-neuf ans maintenant avec cet homme qui l’adorait et la chérissait comme la prunelle de ses yeux. Ma mère et Thomas, mon père, étaient toujours amoureux comme au premier jour. Ils ne se disputaient jamais. Ils ne se parlaient qu’avec beaucoup de respect et de tendresse. Ils ne se regardaient jamais avec autre chose que de l’affection. Et, aussi embarrassant que ce soit de le dire, si mon ouïe fonctionnait bien, ils avaient toujours des relations sexuelles fréquentes et de bonne qualité.

Ma mère était le portrait-type de la femme au foyer, bonne mère et bonne épouse. Depuis son mariage, elle ne s’occupait que de son enfant, de son mari et de sa maison. Elle travaillait dur tous les jours pour notre bien-être, et pour garder sa maison impeccable. Elle était totalement dévouée à son foyer. J'ai toujours voulu lui ressembler, et j’espérais trouver un homme qui m'aimerait comme papa l'aimait. Jusqu'à aujourd’hui, c'était un bonheur sans nuage.

Mon entraînement de basket s'était terminée tôt et je me précipitais à la maison, impatiente de raconter à ma mère que Nicolas, le garçon pour qui j'avais le béguin depuis toujours, m'avait finalement invité à sortir. J'étais tellement euphorique que je ne pouvais pas attendre pour partager cette super nouvelle.

Ce que j'ai découvert en rentrant à la maison m’a foudroyée. Le souffle coupé, j’ai assisté, impuissante à une scène qui a fait s’écrouler le monde heureux dans lequel je vivais. Un spectacle sordide, obscène, d’une dégradation humiliante, je n’étais pas prête pour cela. Cet instant a ruiné à jamais l’estime que j’avais pour ma mère. J’ai discerné, en une seconde, la noirceur d’un monde maléfique.

Ma mère était avec un homme que je n'avais jamais vu auparavant. Il la coinçait entre son torse massif et l'îlot de la cuisine. Penchée en avant sur le meuble, la poitrine débraillée, le visage défait, elle semblait en transe comme si ce gars l’entreprenait depuis des heures. J'aurais aimé pouvoir dire que j'étais témoin d'un viol. Visuellement, tout correspondait.

Ce gars, bâti comme un deuxième ligne de rugby, avait la peau tannée d’un montagnard ou d’un type qui passe ses journées au soleil. Il était habillé de vêtements bon marché et pas très propres. Visiblement, il n’appartenait pas au milieu bourgeois dans lequel nous vivions. Des bras costauds, pleins de tatouages, maintenaient ma mère en place. Clairement, ce type était un truand, qui était rentré chez nous par effraction pour nous dévaliser, qui avait découvert ma mère terrorisée, dissimulée dans un recoin, et qui avait décidé de profiter de l’aubaine pour violer une bourgeoise.

Ma mère, le visage bouleversé, le regard tourné vers son bourreau, suppliante, miaulait lorsque les mains rugueuses pétrissaient sa chair. Cela semblait inconfortable, voire douloureux pour ma mère. Ça me faisait mal aux seins de la voir subir cette agression. Il avait dévoilé ses seins, qu'ils massaient, pétrissaient et giflaient tour à tour. Mais, malgré tout cela, ce n'était absolument pas un viol. Elle ne le combattait pas. Elle ne lui résistait pas. Du tout. Bien au contraire. Elle frottait son cul contre le pubis de l'homme. Elle avait même tendu sa main pour caresser la tête du gars pendant qu'il l’embrassait dans le cou.

« S'il te plaît, tu ne peux pas rester ici » murmura-t-elle, les yeux fermés par le vertige des sens. « Dis-moi où je peux te retrouver et je te rejoindrai. Je serai toute à toi »

« Oh, je sais que tu viendras » gloussa l'homme. « Je le sais parce que tu aimes comme je te baise »

À travers le fin tissu de sa robe d'été, il a pris sa chatte à pleine main et elle laissa échapper un autre miaulement. J’aurais voulu hurler, les arrêter, lui dire de ne pas céder à ses avances. De penser à papa, de rester une femme respectable, pas une catin. Et certainement pas comme ça, pas chez nous, sur un coin de table, comme une vulgaire pute bon marché.

« Tu es si monstrueux »

« Pourquoi ça, Bérengère ? Tu as peur que ton connard de mari découvre qui tu es ? La vérité sur la salope qu'il a épousée ? Tu es tout sauf une sainte, poulette. En fait, de nous deux, tu es la pire. Tu es si salope que tu mérites d'être punie »

Je fermais les yeux, espérant n’avoir rien vu et rien entendu. Juste un cauchemar qui va s’effacer. C'était horrible. Comment pouvait-elle se comporter ainsi ? Déjà être infidèle, baiser avec un inconnu dans son propre foyer, mais pourquoi se moquer de papa ? Il n’était pas critiquable. Il était bien meilleur que ces deux pourceaux réunis. La salope et son sale gigolo.

« Je suis tellement désolée, Jason » plaida-t-elle, gémissante et soumise. « Je sais que je t'ai fait du tort. Punis-moi. Blesse-moi. Détruis ma chatte vicieuse, Jason. Je veux que tu la ruines, qu’elle soit inutilisable pour d'autres amants, que tu me revendiques comme t’appartenant »

Jason, elle l'avait appelé ainsi, avait sa main dans la culotte de ma mère, et la préparait en la doigtant. Elle tremblait dans ses bras, poussait de petits miaulements, mais elle se frottait toujours contre lui comme une chatte en chaleur. Je ne pouvais pas voir ce qu’il lui faisait exactement, le bas de son corps étant caché par l’îlot central, mais quoi qu’il lui fasse, elle était séduite et dominée. Je ne pouvais pas l’admettre.

« C'est bien, bébé » Il jouait avec le corps de ma mère comme s'il lui appartenait.

Je me demandais depuis combien de temps cela durait. Elle était en transe, comme s’il la martyrisait depuis des heures. Cela n’était probablement pas leur première rencontre. Il connaissait son corps, ses faiblesses, ce qui la faisait gémir, ce qui la faisait crier. Il était un artiste, et elle était son œuvre. Grotesque à regarder, mais impossible de détourner le regard.

« J'aurais dû savoir que tu n’allais pas patienter chastement en attendant que je sorte. Les salopes comme toi ont besoin d’une bite. Tu as besoin d’être baisée constamment. Tu étais béante à l'époque, tu l'es restée. Je pourrais mettre tout mon poing dans ta chatte. Ton mari doit être monté comme un cheval, ou il doit te partager avec la moitié de la ville. C'est comme ça que tu as payé cette maison, bébé ? Sur le dos, les jambes écartées, avec tout un tas de gars qui attendent leur tour, la bite à la main ? »

« Ne dis pas des horreurs pareilles, s'il te plaît, » suppliait-elle, haletante. « Je ne suis pas… Je vaux toujours le coup d'être baisée. Je ne suis pas béante. Thomas a payé pour tout ce que nous avons. Bien sûr, qu’il m’a baisée, qu'avais-je d'autre à lui offrir ? Tu le sais. S'il te plaît, Jason, je t'en supplie ! »

« Ta chatte marécageuse raconte le contraire. Elle dit que tu es accro à la bite des mecs et que tu te fais baiser souvent. Une salope qui suce des bites, parce que sa chatte est trop large. Je parie que tu fais plus de passes qu’une pute au coin de la rue »

« Jason, ne me traite pas de salope ! Je ne baise pas avec n'importe qui, plus maintenant. Je suis une maman maintenant. J'ai dû offrir ma chatte pour que Capucine ait une enfance heureuse et confortable, mais je ne l'ai donnée qu'à un seul homme. S'il te plaît, ne me traite pas de salope »

« Ta gueule, je peux te parler comme je veux. Tu as de la chance que je veuille encore de toi et que je souhaite te pardonner. Tu as offert ta chatte à ce connard. La chatte qui m’appartenait. Et tu me le dis en face. Tu es la même salope qu'avant. Tu n’as pas changé. Tu as toujours été une salope, et tu l’es restée »

« S'il te plaît. Comprends-moi, je devais le faire, pour Capucine, je devais lui trouver un bon père »

« Tu me dois quelque chose, comme je te l'ai déjà dit, alors n’en rajoute pas. Que tu sois mariée maintenant ne change rien. Ta chatte servira à nous deux. On la partagera, ton mari et moi. Je peux partager. S’il n’est pas d’accord, je peux te prendre par le cul. Ça ne me dérange pas. Un trou est un trou. Mais il n’a pas besoin de savoir, tant que tu me laisses t’utiliser comme je l’entends. Tu vois comme je suis complaisant ? Tu peux avoir le beurre et l’argent du beurre. Prétendre que tu es une femme respectable, et continuer à te faire baiser par toutes les bites qui passent. Mais je sais la vérité, je sais qui tu es. Alors ferme ta gueule, parce que ma bite a besoin de baiser et tu vas me satisfaire »

Ses mots orduriers, ce ton méprisant, son sourire de merde, ce type me donnait envie de vomir. Pourquoi maman devrait-elle quelque chose à ce barbare ? Pourquoi se laissait-elle traiter ainsi ? Comment avait-elle connu cette brute vicieuse ?

Mais même si mon indignation et mon dégoût pour ce sale type grandissaient, ce n'était rien comparé à la désillusion qui m’attendait, quand j’ai vu la façon dont ma mère s'est effondrée dans les bras de ce mec. Elle jouissait si fort sous ses caresses, qu’elle s’est écroulée sur la table comme un pantin disloqué. Son orgasme était si violent et si impitoyable qu'il la rendait incapable de se contrôler. Elle hurlait, s'agitait et jurait. Quand elle se calma enfin, il lui sourit en lui claquant sèchement les fesses.

« Une salope reste une salope, bébé. Tout ce qu'il te faut, c'est que je tienne ta gorge serrée d’une main ferme, tandis que l'autre travaille avec ses doigts enfoncés profondément dans ta chatte. Je sais ce qui te stimule. Je l'ai toujours su. C'est pour ça tu veux toujours ma bite, même si tu es mariée. Tu as besoin de moi pour te sentir femme »

« Oui, Jason » répondit-elle, haletante. « Tu gagnes. Comme toujours. Tu sais me faire jouir et maintenant, je veux ta bite. Je t’appartiens. Je ne te refuserai jamais rien. Tu peux m’utiliser pour le sexe. Je sais où est ma place, à tes pieds, à ta disposition. Mais Thomas va bientôt rentrer, il ne faut pas qu’il te trouve ici. Vraiment pas. S'il découvrait notre relation, et qu'il … »

Jason a eu un rire moqueur. Le sifflement de son rire cynique me fit frissonner.

« Mais il me trouvera ici. Je n'ai nulle part où aller, grâce à toi. J'ai tant donné pour que tu puisses garder ton cul propre, maintenant il est temps de me rembourser. Je vais attendre qu’il rentre, et faire sa connaissance. J'accepterai même sa gracieuse invitation à dîner. Peut-être même qu’il me laissera vivre ici pendant un certain temps. Mais d'abord, je dois me soulager. Ça fait un moment que je n’ai pas baisé, comme tu peux le deviner »

Maman secoua négativement la tête. « S'il te plaît, Jason. Pars maintenant, s'il te plaît. Je te promets de faire tout ce que tu veux, quand tu veux, où tu veux, mais pas maintenant. S’il te plaît, Jason, ne me baise pas maintenant »

Il la retourna face à lui, et appuya sur ses épaules. Elle obéit sans un mot, et s'agenouilla devant lui.

« Ces dix-neuf dernières années, j'ai dû surveiller chacun de mes gestes, de mes paroles, même ma respiration. Je ne dormais que d’un œil, m’attendant toujours au pire. Tu vas savoir ce que c'est. Je vais te baiser, Bérengère, puis tu vas m'inviter à dîner, et tu devras regarder ton mari dans les yeux comme si tu étais chaste et pure, comme si ta chatte ne suintait pas de mon trop-plein de sperme. Je serai votre invité, et tu devras te comporter normalement entre nous deux. Tu ne veux pas te retrouver à la rue, n'est-ce pas ? Pense à ta fille »

« Jason, Capucine, c’est aussi ta fille. Est-ce que tu me détestes assez pour lui faire du mal ?  Est-ce que tu es prêt à risquer son bien-être ? »

Elle avait l'air à l’agonie, suppliante, au bord des larmes. J’étais presque désolée pour elle, mais ce qui la contrariait vraiment, c'était la possibilité que papa la mette à la porte, et elle était prête à se plier à n’importe quoi pour garder son cul à l’abri. Papa ne me mettrait jamais à la porte. Si je devais choisir entre maman et papa, je choisissais papa.

« Non, Bérengère, je ne te déteste pas. Tu m’appartenais, et tu m’a trahi, c’est tout. C’est ce qui arrive quand on est amoureux d’une salope. Je déteste ce connard que tu as épousé. Je l’ai vu partir ce matin. Un bourgeois plein de graisse, je peux le casser en deux facilement. Pas digne d’une superbe pouliche comme toi. Tu verras, je vais le mettre au pas »

« C'est un bon père, et un bon époux »

« Suffit, j’en ai assez entendu » il commençait à déboucler sa ceinture. « Suce ma bite, salope, et prépare-moi pour ta chatte »

Je n'avais pas l'intention de rester là plus longtemps et regarder ma mère s’avilir encore plus. J'en savais beaucoup plus que je ne l'aurais voulu. Dans ma hâte de partir, j'ai heurté un vase en porcelaine qui trônait dans l’entrée. Je l'ai rattrapé juste à temps, mais quand j'ai regardé en arrière, avant de tourner l’angle du mur, les yeux noirs de Jason fixaient mes yeux verts.

P.S. : J’invite ceux que ça intéresse à écrire la suite ...

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