LE CARNAVAL DE CLAIRE
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LE CARNAVAL DE CLAIRE
C'est la sonnerie du téléphone qui réveilla Claire, assoupie à côté de ses deux jeunes enfants. Elle était toujours fatiguée, et n'avait jamais de temps pour elle depuis la naissance de ses garçons. Deux bébés de 3 ans et presque 2 ans, débordants d'énergie et de rires. Il lui fallut quelques secondes pour reprendre ses esprits et revenir dans la réalité. On était mercredi soir, son mari Alex bricolait l'auto dans la cour, devant la porte grande ouverte du garage. Elle grommela et partit à la recherche de son téléphone, qu'elle découvrit enterré sous une pile d'objets divers.
"Claire, fais tes valises!" la voix enjouée de sa meilleure amie, sa sœur de cœur, Suzanne, résonna dans son oreille. Claire soupira, mélancolique. Les deux copines se connaissaient depuis une éternité et avaient fait les 400 coups ensemble. Physiquement, elles étaient semblables, du moins jusqu'aux maternités de Claire qui l'avaient rendue plus plantureuse, plus voluptueuse aussi, avec une lourde paire de seins qui rendait son mari heureux.
"Désolée, chérie" regretta Claire. "Je te rappelle que j'ai deux enfants en bas âge à charge. Je ne peux pas me permettre de faire mes bagages et de tout quitter pour accompagner ma meilleure amie récemment divorcée, et qui jouit d'une totale liberté!"Un juron lui répondit: "Putain! Écoute-moi ça! T'as 35 ans, pas 50! Alex s'occupera les enfants! Je l'ai mis dans la confidence! Toi et moi, nous partons à Rio pour le Carnaval!"Claire en avait le souffle coupé. Le Brésil, elle en rêvait depuis des années. Surtout Rio, en période de carnaval. Mais quand même ... "Oh mon Dieu, Suzanne, j'aimerais vraiment. Tu sais à quel point j'aimerais. Mais Alex et moi ne pouvons pas nous le permettre, et en plus, il y a les visas, et toutes les dispositions ..."Suzanne hurla de joie, suffisamment fort pour que Claire soit obligée d'ôter le téléphone de son oreille:"Pas d’inquiétude pour les détails. Mon connard d'ex-mari m'a réglé tout ce qu'il me devait! Je suis passée par une agence de voyage. Ils se sont occupés de tous les détails. Visas, transport, hébergement, … Tout est arrangé et payé! Nous partons toutes les deux demain soir! Ton mari est d'accord, il s'occupe de tout le reste! De tes mômes, quoi …!"Claire a jeté un coup d'œil par la fenêtre pour voir Alex lui adresser un grand sourire, le pouce levé. Une bouffée de chaleur envahit son corps tremblant d'émotion en réalisant que son rêve allait se réaliser, et instantanément les deux femmes se mirent à discuter, prévoir, et tirer des plans sur la comète ...
La journée suivante passa rapidement, esthéticienne, manucure, coiffeuse, les courses pour les vêtements, notamment les bikinis parce que ceux de l'an dernier ne peuvent plus convenir, mais on les emporte quand même, on sait jamais … Et les bagages!
Et les recommandations au mari, pour les gosses, si tu ne sais pas tu demandes à ma mère, ou au pire à la tienne … Enfin une journée stressante parce qu'on est sûre d'avoir oublié quelque chose ...
À l'aéroport, les adieux furent déchirants. Claire pleurait toutes les larmes de son corps en embrassant ses enfants qu'elle n'avait jamais quittés, et pour le mari, un long baiser mouillé de larmes sur la bouche. C'était la première fois qu'elle se retrouvait séparée de sa famille, mari et enfants et, dans la zone internationale où ils n'avaient pas pu la suivre, Suzanne a eu bien du mal à la dérider. En raison des restrictions de sécurité dans les aéroports, les familles ne peuvent pas accompagner les passagers, Claire et Suzanne se sont alors retrouvées seules dans le grand terminal international pour attendre l'heure du départ. Alex lui avait dit de ne pas s'inquiéter, de profiter et de revenir sans trace de bronzage sur son corps de déesse.
Le vol a duré toute la nuit, une quinzaine d'heures de vol moins le décalage horaire. Malgré les émotions, les deux jeunes femmes ont pu dormir un peu, blotties l'une contre l'autre.
À l'arrivée, l'impatience nouait le ventre des deux amies. Elles étaient réveillées, mais les yeux plein de sable, l'anxiété de l’atterrissage, le roulage interminable pour aller jusqu'au terminal, la sortie de l'appareil qui s'effectue au ralenti, puis récupérer leurs bagages, le passage par la police des frontières, et enfin le taxi jusqu'à l'hôtel. Que de temps perdu!
Un brin de toilette ultra-rapide, on rangera les affaires plus tard, et vite on part faire une petite promenade pour s'imprégner de l'ambiance. L'hôtel est idéalement situé, entre Copacabana et Ipanéma. Le front de mer est animé, voir tous ces jeunes gens à moitié nus qui font du sport, les deux nanas retournent à l'adolescence en faisant du lèche-vitrine.
Claire ne savait plus où regarder: "Mon Dieu Suzanne, t'as vu celui-là! Les tablettes de chocolat! Et celui-ci, avec cette peau sombre! On aurait envie d'y goûter ... Bon, mademoiselle, j'ai fait mon choix. Je vais vous prendre celui-ci et celui-là. Non, pas la peine de faire un paquet cadeau, c'est pour consommer tout de suite!" Les deux amies s'amusaient, riaient comme des gamines, se poussaient du coude en lorgnant les shorts des garçons tous gonflés devant, à l'endroit stratégique: "Je te dis que c'est leur mouchoir, ils n'ont pas de poche!"Suzanne sourit malicieusement:"Moi, je ne suis plus mariée, ma chérie, alors je vais pouvoir me renseigner. Je te dirais. Je me suis promis de ne pas partir d'ici sans m'être fait baisée un de ces mâles délicieux!""Tu t'es promis ça à quel moment, petite dévergondée?" Claire riait.
"À l'instant, quand j'ai vu le beau gosse, là-bas." Suzanne fit un geste de la main vers un homme bien bâti avec un sourire fabuleux.
Il intercepta le signe et lui fit un clin d'œil en réponse. Les deux donzelles s'étranglèrent de rire.
Les trois premiers jours ont été riches en émotions pour ces dames. Elles ont profité de leurs vacances pour faire du tourisme, visiter les sites intéressants. Elles ont fait le tour des boutiques, dans les rues piétonnes. Elles ont dîné en ville, goûté la cuisine locale. Elles se sont fait griller au soleil sur les célèbre plages, là où on se demande toujours si les vêtements sont optionnels ou pas.
Et puis la fièvre a atteint son paroxysme, et le carnaval tant attendu va commencer. Vers le milieu de l'après-midi, la foule en ville était déjà dense et la boisson coulait à flots. Alors, les deux filles sont retournées à l'hôtel pour parachever leur équipement.
"De quoi j'ai l'air, là-dedans, Suzanne?" Claire a demandé innocemment.
"Waouh! C'est chaud! Un peu provocant! Tu viendras pas te plaindre si tu te fais violer!" s'exclama son amie. "C'est la tenue sexy que tu t'es achetée hier?"Claire acquiesça, pivotant sur elle-même pour s'étudier de manière critique dans le miroir. Elle portait un top bandeau rouge avec une minijupe noire plissée, une tenue qu'elle n'aurait jamais envisagée de porter chez elle. Elle sautilla un instant sur la pointe des pieds, examinant la manière dont ses gros seins tressautaient sans soutien-gorge dans son haut.
"Je ne sais pas ..." s'inquiéta-t-elle. "Mes seins sont beaucoup trop gros, mes fesses aussi, ça me boudine, et je fais pétasse!""Passe-moi le rouge à lèvres," Suzanne ignora ses doutes, cherchant le tube de rouge écarlate que Claire venait d'appliquer.
"C'est le Carnaval. La plupart des gens n'auront presque rien sur le dos. De quoi t'inquiètes-tu?"De son côté, Suzanne portait un t-shirt de petite fille, visiblement trop étriqué pour elle. Ses seins renforcés par des prothèses mammaires étaient bien visibles et la plus grande partie de son ventre était à découvert. Une micro-jupe portefeuille à la décoration florale complétait sa tenue de bombasse.
"Allons-y!" a ordonné Suzanne, prenant Claire par la main pour l'entraîner dans la cohue du soleil couchant.
La foule était dense, aucune des deux femmes n'avait connu pareille bousculade auparavant. Mais les gens étaient décontractés. Surtout les jeunes hommes, vis-à-vis des deux copines, étaient très très amicaux. Dans la chaleur de la soirée brésilienne et avec le contact de corps chauds contre elles, les deux femmes furent bientôt en sueur.
L'alcool coulait à volonté dans les rues. Une boisson puissante à base de rhum brésilien, de citron vert et de sucre de canne, était servie à volonté. Claire et Suzanne s'étaient équipées de gobelets en plastique, et les jeunes hommes qui fendaient la foule, avec à la main une bouteille du puissant liquide, les réapprovisionnaient sans qu'elles ne demandent rien. Elles n'ont jamais trouvé nécessaire d'aller prendre un verre dans un bar. Partout où elles se tournaient, des visages souriants les accueillaient avec des tasses ou des bouteilles à la main, tendant vers elles le réapprovisionnement en liquide des dieux. Bientôt, les deux femmes se sentirent très détendues et très enjouées. Chaque frôlement, chaque attouchement des jeunes mâles qui leur tournaient autour les faisait pouffer de rire.
Le soleil disparaissait à l'horizon, et la raison des deux filles commençait à s'embrumer. Claire attrapa le bras de Suzanne et lui fit remarquer un groupe de jolies jeunes femmes qui se dénudaient pour dévoiler de magnifiques poitrines. Un groupe d'hommes les entouraient, leur enfilant des colliers de perles colorées en tripotant sans vergogne les seins exposés. Était-ce l'effet de l'alcool ou de la nuit tombante qui leur brouillaient la vue. Il leur semblait qu'au milieu des lumières multicolores s'allumant de partout dans les rues, avec les pétards et la musique forte, de plus en plus de femmes dénudaient leurs poitrines pour mettre leurs seins à nu dans la foule grouillante.
Un mouvement de rue impromptu a démarré et les jeunes femmes se sont retrouvées emportées par le courant et ont lentement, inexorablement dérivé. "Je veux aussi des perles" criait Suzanne. Elle saisit l'encolure de son tee-shirt pour le faire passer lentement au-dessus de sa tête, exposant ses seins pâles d'européenne pudique aux sifflets admiratifs des hommes massés autour. Les mains se tendaient au-dessus de sa tête pour la recouvrir de colliers multicolores, frôlant au passages ses mamelons charnus.
"Ne sois pas stupide" taquina Suzanne "Et fait comme tout le monde, montre tes nichons!" Un chœur d'hommes a encouragé la jeune femme, bien qu'avec l'accent portugais, les "nichons" entonnés en chœur étaient difficilement compréhensible pour Claire. Elle a finalement, timidement, fait glisser son top autour de sa taille, soulevant les acclamations de la bande. Comme Suzanne, elle a été immédiatement décorée de colliers de perles colorées, et son opulente poitrine a été flattée par de nombreuses mains impudiques.
"Alex ne pourrait le croire même s'il le voyait!" se dit-elle, balançant ses gros seins en dansant, faisant la joie de la bande de jeunes hommes qui les entouraient. Autour des deux femmes maintenant, il y avait moins de mixité de population, moins de gens d'âge mûr, moins de femmes, seulement des jeunes hommes qui dansaient une sarabande effrénée autour des deux européennes et qui les entraînaient de plus en plus loin dans les ruelles de la vieille ville. En même temps, leurs gobelets se remplissaient tout seuls et les chants et les cris des garçons les encourageaient à boire. L'alcool, masqué par le citron vert et le sucre de canne, elles l'avalaient de plus en plus facilement.
Au fur et à mesure que la folle gigue se poursuivait, elles s'enfonçaient plus profondément vers la banlieue. En dansant une folle farandole, les garçons les enlaçaient à bras le corps pour les entraîner. Bien entendu, il y avait toujours la foule autour d'eux, mais ce n'était plus la population joviale et bon enfant du début de soirée. Effarées, elles ont réalisé brusquement qu'elles n'avaient aucune idée de l'endroit où elles se trouvaient. En jetant un coup d’œil circulaire, Suzanne et Claire ont vu le comportement des gens devenir de plus en plus chaotique. Elles s'étaient attendues au chahut bien sûr, à l'alcool aussi, mais beaucoup de femmes et d'hommes étaient maintenant partiellement ou complètement nus.
Des couples se formaient dans l'obscurité complice des portes cochères et parfois, dans un rayon de lumière, de lourdes bites dressées se distinguaient. Dans la ruelle, les gens avaient cessé de danser et se caressaient, s'embrassaient, des couples disparates, réunis dans une danse immobile, les bouches soudées, les langues qui s'enroulent, les mains qui palpent, les corps qui se frottent. La ruelle était devenue un bordel à ciel ouvert, loin de l'agitation joyeuse du carnaval. Ici, ce n'était plus le sambadrome, mais un baisodrome . Le tintamarre joyeux de la samba brésilienne était toujours présent, mais ne servait plus qu'à couvrir les bruits humides des couples en plein coït.
Claire et Suzanne réalisèrent que le défilé avait cessé et que la pression de la foule qu'elles ressentaient jusqu'alors n'était que celle de la bande de jeunes hommes qui les avaient entraînées dans ce lieu de perdition. Et qu'elles avaient toutes les deux plus de mains baladeuses sur le corps qu'elles ne pouvaient en compter. Des mains sensuelles qui s'insinuaient partout sous les jupettes des filles après avoir pris possession des poitrines dénudées.
Elles se rapprochèrent l'une de l'autre pour se réconforter et se tinrent la main, dos à dos, pour faire face aux jeunes loups affamés de sexe. Elle se retrouvèrent en train de tourner au centre d'un cercle lent et sensuel, ou se mêlait étroitement l'ivresse du désir et celle de l'alcool. Prises dans un tourbillon de sensations, le mouvement des garçons qui les encerclaient, les mains avides qui frôlaient la chair tendre des seins, des cuisses, des fesses. Et puis les bouches qui venaient déposer leur baiser humide, embrassées et palpées de partout, les jeunes femmes percevaient la montée du désir.
Surtout Claire, depuis 4 jours privée de mari, elle n'avait pas connue de période d'abstinence aussi longue depuis la naissance du petit dernier.
"Mon Dieu, Claire, je dégouline de mouille!" dit Suzanne.
"Quoi? Qu'est-ce que tu racontes?""Je veux dire que ma chatte coule comme celle d'une vieille salope!""Bah, j'avais compris! Mais pas moi!" protesta faiblement Claire. Elle glissa une main sous sa jupette pour se rassurer: "Oh merde!""Quoi?""Pareil! Je pense que je jouirais immédiatement si quelqu'un y mettait la main!"Tandis que les femmes constataient leur état de faiblesse, les garçons s'étaient collés contre elles. Appuyées dos à dos au milieu de la ruelle, elles subissaient l'assaut des bouches et des mains, elles n'avaient plus la volonté de se défendre.
Le jeune homme devant Claire avait la peau douce et un teint café au lait. Claire avait envie d'y goûter. Elle ne réfréna son désir que quelques brèves secondes, ensuite ce fut elle qui se déchaîna, oubliant le lieu, son mari, s'adonnant au sexe avec délectation.
"Le regarder te baiser me rend folle," murmura Suzanne d'une voix rauque. Sa main astiquait activement sur sa propre chatte.
"Baise-la! Baisez-moi!" cria-t-elle fortement.
De nombreux partenaires se portèrent volontaires pour la satisfaire. Frissonnantes de désir, affamées de plaisir, prises dans un maelström de luxure, elles s'accouplèrent debout au milieu de la ruelle, les jambes enroulées autour des reins des mâles qui les baisaient. Les mains baladeuses de ceux qui attendaient leur tour aidaient à générer l'orgasme le plus fantasmagorique qu'elles aient connu.
Quand la première bite a écarté ses lèvres vaginales, Claire a poussé une plainte qui a convaincu Suzanne d'écarter les cuisses pour accueillir celui qui aurait la chance de passer en premier. Les yeux fermés, la bouche envahie par la langue de l'homme qui la prend, Claire montait et descendait sur une bite incroyablement longue et dure. Son désir, son plaisir, lui ont permis de connaître l'extase bien avant l'homme qu'elle chevauchait, mais quand il a explosé dans sa chatte, elle a aussitôt ressenti son deuxième orgasme.
Le premier assaut fut relativement bref. Au bout de trois minutes environ, l'homme éjacula avec un gémissement puissant et remplit sa chatte affamée d'une riche cargaison de sperme onctueux qui commença à couler de sa chatte quand il se retira.
Claire se retourna pour faire face à Suzanne, mais presque immédiatement le chibre qui la quittait fut remplacé par une longue et mince bite qui glissa facilement en elle. Elle cria une fois de plus et sentit le visage de Suzanne s'approcher du sien. Les femmes s'embrassèrent avidement, leurs langues se bousculant et leur rouge à lèvres barbouillant leur bouche.
Quand à Suzanne, l'incendie qui s'était déclenché dans son ventre la faisait gigoter et crier comme une démente, les orgasmes se succédant dans son corps, comme des coups de tonnerre au cœur d'un orage. Elle vibrait de plaisir tandis que des mains anonymes la manipulait.
Claire réalisait parfaitement qu'elle trompait son mari, mais pour le moment un inconnu fourrait sa bite dans son vagin en feu, tordant son ventre de plaisir, et son cerveau était incapable de penser à autre chose.
Les sexes ont commencé à devenir flous, à se confondre. Lorsqu'un homme arrivait puis se retirait, un autre prenait sa place. Au début, Claire essaya de les compter mais c'était peine perdue, ils étaient beaucoup trop nombreux. Les garçons étaient jeunes, vaillants, nombreux. Ils se sont relayés pour entraîner les deux jeunes femmes vers le paroxysme du plaisir.
Les deux coquines épongèrent plus d'une douzaine d'amants exceptionnellement membrés qui les avaient bien baisées et laissées avec leurs chattes défoncées et enflées. Enfin, les jambes tremblantes d'épuisement, avec la chatte qui bave des rivières de sperme le long des jambes, elles quittèrent ce lieu de perdition avec la foule qui s'écartait devant elles, reconnaissant silencieusement en Claire et Suzanne des femelles d'une trempe exceptionnelle.
Le lendemain après-midi, elles attendaient le taxi qui devait les conduire à l'aéroport. Elles étaient toujours sous le choc de cette nuit de débauche et de baise orgiaque.
"Je n'arrive pas à croire ce qui nous est arrivé la nuit dernière. Ces hommes ... ce n'était pas un rêve? Jamais je me serais imaginée capable d'une telle folie dans ma vie. Je me suis comportée comme une putain. J'ai trompé mon mari avec plus d'hommes dans une nuit que beaucoup de salopes dans toute leur vie. Et pourtant… c’était incroyable. Si c'était à refaire, sans hésitation...! ""Eh bien, je pense que ces jeunes issus des quartiers populaires sont totalement désinhibés, et c'est à cause de ça qu'ils baisent comme des dieux" commenta Suzanne. "Je n'avais jamais baisé plus d'un seul mec à la fois. Bien sûr, maintenant que je connais mon potentiel ...!""Tout ça reste entre toi et moi?" Demanda Claire, inquiète pour Alex.
Suzanne l'embrassa, enfonçant profondément sa langue dans la bouche de son amie. C'était encore autre chose qui avait changé la nuit dernière, quelque chose de nouveau entre les vieilles copines. "Juste entre nous", acquiesça-t-elle. "Mais tu ferais bien de penser à un bon alibi pour nous deux, afin d'occuper ton mari quand nous rentrerons à la maison!" Elles s'embrassèrent à nouveau en riant, alors que le taxi arrivait ...
"Claire, fais tes valises!" la voix enjouée de sa meilleure amie, sa sœur de cœur, Suzanne, résonna dans son oreille. Claire soupira, mélancolique. Les deux copines se connaissaient depuis une éternité et avaient fait les 400 coups ensemble. Physiquement, elles étaient semblables, du moins jusqu'aux maternités de Claire qui l'avaient rendue plus plantureuse, plus voluptueuse aussi, avec une lourde paire de seins qui rendait son mari heureux.
"Désolée, chérie" regretta Claire. "Je te rappelle que j'ai deux enfants en bas âge à charge. Je ne peux pas me permettre de faire mes bagages et de tout quitter pour accompagner ma meilleure amie récemment divorcée, et qui jouit d'une totale liberté!"Un juron lui répondit: "Putain! Écoute-moi ça! T'as 35 ans, pas 50! Alex s'occupera les enfants! Je l'ai mis dans la confidence! Toi et moi, nous partons à Rio pour le Carnaval!"Claire en avait le souffle coupé. Le Brésil, elle en rêvait depuis des années. Surtout Rio, en période de carnaval. Mais quand même ... "Oh mon Dieu, Suzanne, j'aimerais vraiment. Tu sais à quel point j'aimerais. Mais Alex et moi ne pouvons pas nous le permettre, et en plus, il y a les visas, et toutes les dispositions ..."Suzanne hurla de joie, suffisamment fort pour que Claire soit obligée d'ôter le téléphone de son oreille:"Pas d’inquiétude pour les détails. Mon connard d'ex-mari m'a réglé tout ce qu'il me devait! Je suis passée par une agence de voyage. Ils se sont occupés de tous les détails. Visas, transport, hébergement, … Tout est arrangé et payé! Nous partons toutes les deux demain soir! Ton mari est d'accord, il s'occupe de tout le reste! De tes mômes, quoi …!"Claire a jeté un coup d'œil par la fenêtre pour voir Alex lui adresser un grand sourire, le pouce levé. Une bouffée de chaleur envahit son corps tremblant d'émotion en réalisant que son rêve allait se réaliser, et instantanément les deux femmes se mirent à discuter, prévoir, et tirer des plans sur la comète ...
La journée suivante passa rapidement, esthéticienne, manucure, coiffeuse, les courses pour les vêtements, notamment les bikinis parce que ceux de l'an dernier ne peuvent plus convenir, mais on les emporte quand même, on sait jamais … Et les bagages!
Et les recommandations au mari, pour les gosses, si tu ne sais pas tu demandes à ma mère, ou au pire à la tienne … Enfin une journée stressante parce qu'on est sûre d'avoir oublié quelque chose ...
À l'aéroport, les adieux furent déchirants. Claire pleurait toutes les larmes de son corps en embrassant ses enfants qu'elle n'avait jamais quittés, et pour le mari, un long baiser mouillé de larmes sur la bouche. C'était la première fois qu'elle se retrouvait séparée de sa famille, mari et enfants et, dans la zone internationale où ils n'avaient pas pu la suivre, Suzanne a eu bien du mal à la dérider. En raison des restrictions de sécurité dans les aéroports, les familles ne peuvent pas accompagner les passagers, Claire et Suzanne se sont alors retrouvées seules dans le grand terminal international pour attendre l'heure du départ. Alex lui avait dit de ne pas s'inquiéter, de profiter et de revenir sans trace de bronzage sur son corps de déesse.
Le vol a duré toute la nuit, une quinzaine d'heures de vol moins le décalage horaire. Malgré les émotions, les deux jeunes femmes ont pu dormir un peu, blotties l'une contre l'autre.
À l'arrivée, l'impatience nouait le ventre des deux amies. Elles étaient réveillées, mais les yeux plein de sable, l'anxiété de l’atterrissage, le roulage interminable pour aller jusqu'au terminal, la sortie de l'appareil qui s'effectue au ralenti, puis récupérer leurs bagages, le passage par la police des frontières, et enfin le taxi jusqu'à l'hôtel. Que de temps perdu!
Un brin de toilette ultra-rapide, on rangera les affaires plus tard, et vite on part faire une petite promenade pour s'imprégner de l'ambiance. L'hôtel est idéalement situé, entre Copacabana et Ipanéma. Le front de mer est animé, voir tous ces jeunes gens à moitié nus qui font du sport, les deux nanas retournent à l'adolescence en faisant du lèche-vitrine.
Claire ne savait plus où regarder: "Mon Dieu Suzanne, t'as vu celui-là! Les tablettes de chocolat! Et celui-ci, avec cette peau sombre! On aurait envie d'y goûter ... Bon, mademoiselle, j'ai fait mon choix. Je vais vous prendre celui-ci et celui-là. Non, pas la peine de faire un paquet cadeau, c'est pour consommer tout de suite!" Les deux amies s'amusaient, riaient comme des gamines, se poussaient du coude en lorgnant les shorts des garçons tous gonflés devant, à l'endroit stratégique: "Je te dis que c'est leur mouchoir, ils n'ont pas de poche!"Suzanne sourit malicieusement:"Moi, je ne suis plus mariée, ma chérie, alors je vais pouvoir me renseigner. Je te dirais. Je me suis promis de ne pas partir d'ici sans m'être fait baisée un de ces mâles délicieux!""Tu t'es promis ça à quel moment, petite dévergondée?" Claire riait.
"À l'instant, quand j'ai vu le beau gosse, là-bas." Suzanne fit un geste de la main vers un homme bien bâti avec un sourire fabuleux.
Il intercepta le signe et lui fit un clin d'œil en réponse. Les deux donzelles s'étranglèrent de rire.
Les trois premiers jours ont été riches en émotions pour ces dames. Elles ont profité de leurs vacances pour faire du tourisme, visiter les sites intéressants. Elles ont fait le tour des boutiques, dans les rues piétonnes. Elles ont dîné en ville, goûté la cuisine locale. Elles se sont fait griller au soleil sur les célèbre plages, là où on se demande toujours si les vêtements sont optionnels ou pas.
Et puis la fièvre a atteint son paroxysme, et le carnaval tant attendu va commencer. Vers le milieu de l'après-midi, la foule en ville était déjà dense et la boisson coulait à flots. Alors, les deux filles sont retournées à l'hôtel pour parachever leur équipement.
"De quoi j'ai l'air, là-dedans, Suzanne?" Claire a demandé innocemment.
"Waouh! C'est chaud! Un peu provocant! Tu viendras pas te plaindre si tu te fais violer!" s'exclama son amie. "C'est la tenue sexy que tu t'es achetée hier?"Claire acquiesça, pivotant sur elle-même pour s'étudier de manière critique dans le miroir. Elle portait un top bandeau rouge avec une minijupe noire plissée, une tenue qu'elle n'aurait jamais envisagée de porter chez elle. Elle sautilla un instant sur la pointe des pieds, examinant la manière dont ses gros seins tressautaient sans soutien-gorge dans son haut.
"Je ne sais pas ..." s'inquiéta-t-elle. "Mes seins sont beaucoup trop gros, mes fesses aussi, ça me boudine, et je fais pétasse!""Passe-moi le rouge à lèvres," Suzanne ignora ses doutes, cherchant le tube de rouge écarlate que Claire venait d'appliquer.
"C'est le Carnaval. La plupart des gens n'auront presque rien sur le dos. De quoi t'inquiètes-tu?"De son côté, Suzanne portait un t-shirt de petite fille, visiblement trop étriqué pour elle. Ses seins renforcés par des prothèses mammaires étaient bien visibles et la plus grande partie de son ventre était à découvert. Une micro-jupe portefeuille à la décoration florale complétait sa tenue de bombasse.
"Allons-y!" a ordonné Suzanne, prenant Claire par la main pour l'entraîner dans la cohue du soleil couchant.
La foule était dense, aucune des deux femmes n'avait connu pareille bousculade auparavant. Mais les gens étaient décontractés. Surtout les jeunes hommes, vis-à-vis des deux copines, étaient très très amicaux. Dans la chaleur de la soirée brésilienne et avec le contact de corps chauds contre elles, les deux femmes furent bientôt en sueur.
L'alcool coulait à volonté dans les rues. Une boisson puissante à base de rhum brésilien, de citron vert et de sucre de canne, était servie à volonté. Claire et Suzanne s'étaient équipées de gobelets en plastique, et les jeunes hommes qui fendaient la foule, avec à la main une bouteille du puissant liquide, les réapprovisionnaient sans qu'elles ne demandent rien. Elles n'ont jamais trouvé nécessaire d'aller prendre un verre dans un bar. Partout où elles se tournaient, des visages souriants les accueillaient avec des tasses ou des bouteilles à la main, tendant vers elles le réapprovisionnement en liquide des dieux. Bientôt, les deux femmes se sentirent très détendues et très enjouées. Chaque frôlement, chaque attouchement des jeunes mâles qui leur tournaient autour les faisait pouffer de rire.
Le soleil disparaissait à l'horizon, et la raison des deux filles commençait à s'embrumer. Claire attrapa le bras de Suzanne et lui fit remarquer un groupe de jolies jeunes femmes qui se dénudaient pour dévoiler de magnifiques poitrines. Un groupe d'hommes les entouraient, leur enfilant des colliers de perles colorées en tripotant sans vergogne les seins exposés. Était-ce l'effet de l'alcool ou de la nuit tombante qui leur brouillaient la vue. Il leur semblait qu'au milieu des lumières multicolores s'allumant de partout dans les rues, avec les pétards et la musique forte, de plus en plus de femmes dénudaient leurs poitrines pour mettre leurs seins à nu dans la foule grouillante.
Un mouvement de rue impromptu a démarré et les jeunes femmes se sont retrouvées emportées par le courant et ont lentement, inexorablement dérivé. "Je veux aussi des perles" criait Suzanne. Elle saisit l'encolure de son tee-shirt pour le faire passer lentement au-dessus de sa tête, exposant ses seins pâles d'européenne pudique aux sifflets admiratifs des hommes massés autour. Les mains se tendaient au-dessus de sa tête pour la recouvrir de colliers multicolores, frôlant au passages ses mamelons charnus.
"Ne sois pas stupide" taquina Suzanne "Et fait comme tout le monde, montre tes nichons!" Un chœur d'hommes a encouragé la jeune femme, bien qu'avec l'accent portugais, les "nichons" entonnés en chœur étaient difficilement compréhensible pour Claire. Elle a finalement, timidement, fait glisser son top autour de sa taille, soulevant les acclamations de la bande. Comme Suzanne, elle a été immédiatement décorée de colliers de perles colorées, et son opulente poitrine a été flattée par de nombreuses mains impudiques.
"Alex ne pourrait le croire même s'il le voyait!" se dit-elle, balançant ses gros seins en dansant, faisant la joie de la bande de jeunes hommes qui les entouraient. Autour des deux femmes maintenant, il y avait moins de mixité de population, moins de gens d'âge mûr, moins de femmes, seulement des jeunes hommes qui dansaient une sarabande effrénée autour des deux européennes et qui les entraînaient de plus en plus loin dans les ruelles de la vieille ville. En même temps, leurs gobelets se remplissaient tout seuls et les chants et les cris des garçons les encourageaient à boire. L'alcool, masqué par le citron vert et le sucre de canne, elles l'avalaient de plus en plus facilement.
Au fur et à mesure que la folle gigue se poursuivait, elles s'enfonçaient plus profondément vers la banlieue. En dansant une folle farandole, les garçons les enlaçaient à bras le corps pour les entraîner. Bien entendu, il y avait toujours la foule autour d'eux, mais ce n'était plus la population joviale et bon enfant du début de soirée. Effarées, elles ont réalisé brusquement qu'elles n'avaient aucune idée de l'endroit où elles se trouvaient. En jetant un coup d’œil circulaire, Suzanne et Claire ont vu le comportement des gens devenir de plus en plus chaotique. Elles s'étaient attendues au chahut bien sûr, à l'alcool aussi, mais beaucoup de femmes et d'hommes étaient maintenant partiellement ou complètement nus.
Des couples se formaient dans l'obscurité complice des portes cochères et parfois, dans un rayon de lumière, de lourdes bites dressées se distinguaient. Dans la ruelle, les gens avaient cessé de danser et se caressaient, s'embrassaient, des couples disparates, réunis dans une danse immobile, les bouches soudées, les langues qui s'enroulent, les mains qui palpent, les corps qui se frottent. La ruelle était devenue un bordel à ciel ouvert, loin de l'agitation joyeuse du carnaval. Ici, ce n'était plus le sambadrome, mais un baisodrome . Le tintamarre joyeux de la samba brésilienne était toujours présent, mais ne servait plus qu'à couvrir les bruits humides des couples en plein coït.
Claire et Suzanne réalisèrent que le défilé avait cessé et que la pression de la foule qu'elles ressentaient jusqu'alors n'était que celle de la bande de jeunes hommes qui les avaient entraînées dans ce lieu de perdition. Et qu'elles avaient toutes les deux plus de mains baladeuses sur le corps qu'elles ne pouvaient en compter. Des mains sensuelles qui s'insinuaient partout sous les jupettes des filles après avoir pris possession des poitrines dénudées.
Elles se rapprochèrent l'une de l'autre pour se réconforter et se tinrent la main, dos à dos, pour faire face aux jeunes loups affamés de sexe. Elle se retrouvèrent en train de tourner au centre d'un cercle lent et sensuel, ou se mêlait étroitement l'ivresse du désir et celle de l'alcool. Prises dans un tourbillon de sensations, le mouvement des garçons qui les encerclaient, les mains avides qui frôlaient la chair tendre des seins, des cuisses, des fesses. Et puis les bouches qui venaient déposer leur baiser humide, embrassées et palpées de partout, les jeunes femmes percevaient la montée du désir.
Surtout Claire, depuis 4 jours privée de mari, elle n'avait pas connue de période d'abstinence aussi longue depuis la naissance du petit dernier.
"Mon Dieu, Claire, je dégouline de mouille!" dit Suzanne.
"Quoi? Qu'est-ce que tu racontes?""Je veux dire que ma chatte coule comme celle d'une vieille salope!""Bah, j'avais compris! Mais pas moi!" protesta faiblement Claire. Elle glissa une main sous sa jupette pour se rassurer: "Oh merde!""Quoi?""Pareil! Je pense que je jouirais immédiatement si quelqu'un y mettait la main!"Tandis que les femmes constataient leur état de faiblesse, les garçons s'étaient collés contre elles. Appuyées dos à dos au milieu de la ruelle, elles subissaient l'assaut des bouches et des mains, elles n'avaient plus la volonté de se défendre.
Le jeune homme devant Claire avait la peau douce et un teint café au lait. Claire avait envie d'y goûter. Elle ne réfréna son désir que quelques brèves secondes, ensuite ce fut elle qui se déchaîna, oubliant le lieu, son mari, s'adonnant au sexe avec délectation.
"Le regarder te baiser me rend folle," murmura Suzanne d'une voix rauque. Sa main astiquait activement sur sa propre chatte.
"Baise-la! Baisez-moi!" cria-t-elle fortement.
De nombreux partenaires se portèrent volontaires pour la satisfaire. Frissonnantes de désir, affamées de plaisir, prises dans un maelström de luxure, elles s'accouplèrent debout au milieu de la ruelle, les jambes enroulées autour des reins des mâles qui les baisaient. Les mains baladeuses de ceux qui attendaient leur tour aidaient à générer l'orgasme le plus fantasmagorique qu'elles aient connu.
Quand la première bite a écarté ses lèvres vaginales, Claire a poussé une plainte qui a convaincu Suzanne d'écarter les cuisses pour accueillir celui qui aurait la chance de passer en premier. Les yeux fermés, la bouche envahie par la langue de l'homme qui la prend, Claire montait et descendait sur une bite incroyablement longue et dure. Son désir, son plaisir, lui ont permis de connaître l'extase bien avant l'homme qu'elle chevauchait, mais quand il a explosé dans sa chatte, elle a aussitôt ressenti son deuxième orgasme.
Le premier assaut fut relativement bref. Au bout de trois minutes environ, l'homme éjacula avec un gémissement puissant et remplit sa chatte affamée d'une riche cargaison de sperme onctueux qui commença à couler de sa chatte quand il se retira.
Claire se retourna pour faire face à Suzanne, mais presque immédiatement le chibre qui la quittait fut remplacé par une longue et mince bite qui glissa facilement en elle. Elle cria une fois de plus et sentit le visage de Suzanne s'approcher du sien. Les femmes s'embrassèrent avidement, leurs langues se bousculant et leur rouge à lèvres barbouillant leur bouche.
Quand à Suzanne, l'incendie qui s'était déclenché dans son ventre la faisait gigoter et crier comme une démente, les orgasmes se succédant dans son corps, comme des coups de tonnerre au cœur d'un orage. Elle vibrait de plaisir tandis que des mains anonymes la manipulait.
Claire réalisait parfaitement qu'elle trompait son mari, mais pour le moment un inconnu fourrait sa bite dans son vagin en feu, tordant son ventre de plaisir, et son cerveau était incapable de penser à autre chose.
Les sexes ont commencé à devenir flous, à se confondre. Lorsqu'un homme arrivait puis se retirait, un autre prenait sa place. Au début, Claire essaya de les compter mais c'était peine perdue, ils étaient beaucoup trop nombreux. Les garçons étaient jeunes, vaillants, nombreux. Ils se sont relayés pour entraîner les deux jeunes femmes vers le paroxysme du plaisir.
Les deux coquines épongèrent plus d'une douzaine d'amants exceptionnellement membrés qui les avaient bien baisées et laissées avec leurs chattes défoncées et enflées. Enfin, les jambes tremblantes d'épuisement, avec la chatte qui bave des rivières de sperme le long des jambes, elles quittèrent ce lieu de perdition avec la foule qui s'écartait devant elles, reconnaissant silencieusement en Claire et Suzanne des femelles d'une trempe exceptionnelle.
Le lendemain après-midi, elles attendaient le taxi qui devait les conduire à l'aéroport. Elles étaient toujours sous le choc de cette nuit de débauche et de baise orgiaque.
"Je n'arrive pas à croire ce qui nous est arrivé la nuit dernière. Ces hommes ... ce n'était pas un rêve? Jamais je me serais imaginée capable d'une telle folie dans ma vie. Je me suis comportée comme une putain. J'ai trompé mon mari avec plus d'hommes dans une nuit que beaucoup de salopes dans toute leur vie. Et pourtant… c’était incroyable. Si c'était à refaire, sans hésitation...! ""Eh bien, je pense que ces jeunes issus des quartiers populaires sont totalement désinhibés, et c'est à cause de ça qu'ils baisent comme des dieux" commenta Suzanne. "Je n'avais jamais baisé plus d'un seul mec à la fois. Bien sûr, maintenant que je connais mon potentiel ...!""Tout ça reste entre toi et moi?" Demanda Claire, inquiète pour Alex.
Suzanne l'embrassa, enfonçant profondément sa langue dans la bouche de son amie. C'était encore autre chose qui avait changé la nuit dernière, quelque chose de nouveau entre les vieilles copines. "Juste entre nous", acquiesça-t-elle. "Mais tu ferais bien de penser à un bon alibi pour nous deux, afin d'occuper ton mari quand nous rentrerons à la maison!" Elles s'embrassèrent à nouveau en riant, alors que le taxi arrivait ...
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Viré sa pute de femme sans garde
Ca merite une suite ou ele se fait choppé e puis foutre dehors !
Une pute qui travaille gratos!!! je n'ai jamais vu ça...
arnojan
arnojan
Elle a pris des risques inconsidérés.