LE CHANTIER (10)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-06-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE CHANTIER (10)
C’est comme tous les jours le soleil qui me réveille, je me rappelle que j’ai rendez-vous avec monsieur le maire pour le poste de gestionnaire de la plaine sportive qui se construit à côté de chez moi.
Bain que je refuse de prendre avec Nadia, la petite cochonne m’aurait mise en retard.
Je me bichonne comme si j’allais à mon premier rendez-vous amoureux.
Je veux profiter de mes atouts féminins pour obtenir ce poste qui va me permettre de travailler auprès de chez moi.
Nous déjeunons tous ensemble, Maryse va s’occuper de l’intendance avec Sylvain et Nadia.
Après m’être maquillée, mon dossier à mes côtés, je pars pour la mairie.
Dès que je suis annoncé, le maire vient me chercher pour aller dans son bureau.
• Bonjours Valérie entré.
Je passe devant lui et comme dans les dessins animés de ma jeunesse, je sens ses yeux sortir de son corps pour venir se poser sur ma chute de rein.
Sous des temps pas très lointains, j’aurai refusé de me faire violer le cul par les yeux de ce petit monsieur bedonnant.
Aujourd’hui, profitant de mes talons hauts, je le fais rouler exagérément.
Lorsque je me retourne étant arrivé dans son bureau, son visage est tout rouge.
J’ai peur qu’il ne me claque dans les doigts aussi, je m’assieds sagement face à lui.
• Vous m’avez amené vos références.
• Oui, les voilà.
Il les regarde les trouve correctes, mais me refroidit d’un coup.
• Très bien, vous savez, j’ai déjà reçu cinq candidatures et je risque d’en recevoir d’autres avant la fin de la semaine.
Je sens que les choses m’échappent alors je me lève, contournent le bureau vient à moins de cinquante centimètres de lui et colle mes fesses dessus.
• Pierre, tu me plais et si j’ai à ce jour, ignoré tes regards, c’est parce que j’étais marié.
Il en sera autrement lorsque mon divorce sera prononcé.
Sa main adipeuse vient se poser sur ma jambe juste sous le pli de ma jupe assez courte, il est vrai.
Il cherche à la faire monter, je la saisis et c’est moi qui la porte vers ma chatte que j’ai oublié de couvrir.
• Tu sens, je mouille, je te l’offrirais si tu me confies le poste.
Il va me claquer dans les bras et j’aurais tout perdu.
• C’est un collège qui décide.
• Alors soit persuasif avec eux, sinon, tu devras te contenter d’avoir posé tes doigts sur ma chatte en feu. Je peux te l’assure, elle ruisselle à ton simple contact.
Si j’ai le poste, je te promets un week-end de rêve.
Dernière chose, mon mari a été couillon de me tromper, car tous les deux, nous faisions l’amour no limite, tu auras dans tes bras la plus belle salope que tu auras connue dans ta vie.
Réfléchi.
Je lui ôte la main sans aller plus loin, je quitte le bureau évitant de me retourner de peur qu’il se soit écroulé sur son bureau.
J’ai joué mon va-tout, mais là où je suis fière, c’est sur mon attitude, j’ai joui d’allumer cet homme de pouvoir, sentir qu’il était comme un enfant entre mes doigts m’a porté près de l’orgasme.
De retour à la maison, j’informe mes amis de ma démarche et comment j’ai pratiqué pour enlever le morceau.
• Et tu es prête à te faire sauter par le maire, tu as vu comme il est petit et avec son ventre.
• Maryse, dans le malheur qui m’a frappé lorsque j’ai découvert l’infidélité de Gaétan, je me suis blindé et je considère qu’un moment désagréable peut se transformer en des années de bonheur.
Pour te prouver que j’ai raison, si j’ai le poste, il aura deux salopes dans son lit, car je t’emmènerais avec moi si tu as l’accord de Sylvain.
• Sylvain au secours, elle veut que je me prostitue.
• Tu seras une très jolie pute, je suis ta première cliente. Te parler de cela m’a excité vient dans la chambre.
Jusqu’à la fin de la semaine, nous sommes en phase les uns et les autres et chaque fois que l’un ou l’autre d’entre nous veut baiser, nous baisons.
Le dimanche après-midi, nous bronzons totalement nus.
J’ai totalement oublié que mes filles reviennent de vacances.
Lorsqu’elles arrivent près de nous elles sont étonnées de ce que leurs yeux voient, leur mère cette personne qui pour elles était tout sauf une femme s’étale nue au milieu de plusieurs personnes tout aussi nues les uns que les autres.
Pire même, cette mère asexuée à leurs yeux à la main posée sur la chatte de sa copine et elles peuvent voir ses doigts comme autonomes écarter les grandes lèvres et pénétrer dans cette fente la faisant se pâmer.
• Mes chéries, ses vacances se sont bien passées.
• Pour nous cela a été, mais ici je vois qu’il y a de l’évolution, Papa nous a appelés et avoués sa double vie qu’il a et que tu as demandé le divorce.
Pour nous nous avions un choix difficile à faire, mais comme nous allons dans quelques jours rejoindre la fac et notre appartement que vous nous louez.
Noémie et moi en avoir parlé, vous aurez notre neutralité dans vos affaires.
Tiens Sylvain, tu es là, tu sembles être en pleine forme entre toutes ces femmes.
Gislaine m’a appelé et mise au courant de vos avatars de vacances avec Maryse, vous êtes au centre de tous les commérages dans la ville.
Ce que je constate, c’est que vous avez trouvé refuge chez nous. Je vois bien la largeur d’âme et d’esprit de maman et c’est pour cela qu’on l’aime.
• Les filles, votre maman est une femme exceptionnelle en m’accueillant pour une durée indéterminée.
Que dire de plus, la première soirée avec mes filles reste soft même si je remarque le regard d’envie de Nadia qui se pose sur les chattes de mes jumelles qui veulent profiter de la piscine après les chaleurs du voyage ?
Sylvain et Maryse suivent le trio, mais se contentent de nager.
Je vais bien être obligé de me lever de mon transat, mais pour la première fois depuis des jours monter l’endroit du corps d’où mes filles sont sorties me créer un blocage devant elles.
Blocage dissipé, lorsqu’ils sortent tous de l’eau, court vers moi, me prennent par les mains et les pieds et me jettent dans l’eau. La vision que mes filles doivent avoir sur ma fente lorsque je tombe les fesses en avant montre qu’elles n’ont aucun préjugé et que ma vie de plaisir va pouvoir continuer.
Revenue dans l’eau, Noémie qui a suivi vient me sauter au cou, son corps arrive le long du mien, je sens les poils de sa vulve caresser ma jambe et ses seins se plaquer sur les miens.
J’évite de la repousser, mais un grand trouble m’habite, heureusement qu’elles ne sont là que pour quelques jours car avec le retour de mes amants, comment gérer la situation ?
Elle me quitte pour rejoindre Valentine et les deux sœurs viennent agacer Sylvain.
Ils sont assis sur les marches et Nadia qui passe près de moi m’aide à écouter ce qu’elles disent.
Pour cela, ma petite me prend la bouche et m’embrasse, je vois que mes filles me regardent et aucune incrédulité ne se lie sur leur visage.
• Tu retournes en fac en médecine comme l’année dernière.
• Non, j’ai queuté deux fois et je me suis inscrit en droit comme vous je crois.
• Oui, nous pourrons travailler ensemble pour nos cours, tu habites en ville.
• Non, j’attendais mes résultats et ce que j’ai trouvé se situe à dix kilomètres alors j’attends une opportunité.
• Si maman est d’accord, tu l’as trouvé, tu peux être notre colocataire, notre appartement à deux chambres et comme depuis des années, nous avons toujours couché dans la même pièce, nous continuerons nos bonnes habitudes.
La vie est bizarrement faite, je suis dans l’obligation de donner à mon amant l’autorisation de vivre avec mes filles avec la certitude qu’il les baisera dans le plus bref délai.
Comment vont-elles réagir lorsqu’elles s’apercevront que non content de sauter ma copine, il baise aussi Nadia et surtout moi leur mère.
Cette nuit-là, je dors sur mon lit appelé « de plaisir » en attendant le retour de mes deux sexes qui me manque énormément avec Nadia à mes côtés.
Nous allions nous coucher la fraîcheur de la fin août nous tombant sur le corps lorsqu’ils arrivent près de moi.
Il fallait qu’ils soient présents à huit heures demain matin, mais tous les deux ont eu la même idée de revenir la veille.
• Tu nous attendais, on t’a manqué.
• Oui, j’espérais retrouver vos virilités, mais non, car Nadia a comblé ma solitude sans compter Sylvain et Maryse.
Dans la lueur de la lune, mes amants doivent se demander dans quel monde ils sont revenus, mais Christian se penche vers moi et m’embrasse tendrement. Je retrouve ses grosses lèvres si caractéristiques et qui font partie des souvenirs que j’avais en moi.
Ma main sur sa verge me fait retrouver la grosse bite que j’aime tant quand elle me défonce.
Je tourne la tête pour chercher Petrov et ce que je vois est extraordinaire, Nadia a les cuisses écartées et mon amant est déjà en train de la besogner.
• Copine-toi, bien, merci donné elle à moi. Je vais faire jouir jolie fille.
Son Français est toujours aussi limite, mais j’ai tellement pris l’habitude de l’entendre que je comprends sans difficulté, ce qu’il dit.
Christian prend ma place et je viens m’enfiler sa bite profondément en moi.
Je suis en mouvement pour avoir mon premier frisson avec lui depuis son départ lorsque je sens la bite de Petrov venir me caresser l’anus.
Une fois de plus et dès le premier jour, j’ai les bites de mes amants des deux côtés du corps et ils me font une double pénétration merveilleuse.
Dès que j’ai un énorme orgasme sans avoir déchargé. Petrov sort de moi, me soulève pour que je quitte Christian et me remplace par Nadia qui subit sa première sodomie en même temps que sa première double pénétration.
Je sais qu’elle a plusieurs orgasmes, car je les récupère sur ses lèvres dans le baiser que nous échangeons.
Mon lit de plaisir devient mon lit ou au matin, nous nous réveillons par la chaleur du soleil.
• À ce soir Valérie et Nadia, nous devons aller travailler.
• Le déjeuner ?
• On a pas le temps, nous mangerons mieux à midi.
En même temps que, Christian me dit cela, j’entends du bruit venant de la maison. Je vois sur la terrasse mes deux filles qui regardent les deux hommes nus repartir vers le bungalow.
Elles nous rejoignent.
• Maman, on vous a vu par notre fenêtre baiser avec ces hommes, ce sont des ouvriers du chantier.
Pourquoi cacher à mes filles l’évidence qu’elles découvriront tôt ou tard ?
La seule chose que je fasse, c’est de trahir légèrement la vérité.
• La nuit de mon retour, ayant constaté la trahison de votre père, j’avais des états d’âme et alors que je dormais sur ce lit à l’extérieur, ces deux hommes sont venus se baigner dans la piscine sans mon accord.
Je leur ai demandé de repartir et au lieu d’avoir peur, ils sont venus s’asseoir près de moi de chaque côté et ils m’ont caressé, j’ai cédé et je me suis donné à eux.
Cette nuit, ils revenaient de quelques jours de vacances et Nadia à qui j’avais confié mon aventure a souhaité les connaître s’ils venaient.
• Votre mère vous a bien résumé la situation tout est de ma faute.
• Maman si j’ai bien compris depuis que papa t’a trahi, tu as transformé notre maison en un lupanar. Cela peut nous plaire…
Bain que je refuse de prendre avec Nadia, la petite cochonne m’aurait mise en retard.
Je me bichonne comme si j’allais à mon premier rendez-vous amoureux.
Je veux profiter de mes atouts féminins pour obtenir ce poste qui va me permettre de travailler auprès de chez moi.
Nous déjeunons tous ensemble, Maryse va s’occuper de l’intendance avec Sylvain et Nadia.
Après m’être maquillée, mon dossier à mes côtés, je pars pour la mairie.
Dès que je suis annoncé, le maire vient me chercher pour aller dans son bureau.
• Bonjours Valérie entré.
Je passe devant lui et comme dans les dessins animés de ma jeunesse, je sens ses yeux sortir de son corps pour venir se poser sur ma chute de rein.
Sous des temps pas très lointains, j’aurai refusé de me faire violer le cul par les yeux de ce petit monsieur bedonnant.
Aujourd’hui, profitant de mes talons hauts, je le fais rouler exagérément.
Lorsque je me retourne étant arrivé dans son bureau, son visage est tout rouge.
J’ai peur qu’il ne me claque dans les doigts aussi, je m’assieds sagement face à lui.
• Vous m’avez amené vos références.
• Oui, les voilà.
Il les regarde les trouve correctes, mais me refroidit d’un coup.
• Très bien, vous savez, j’ai déjà reçu cinq candidatures et je risque d’en recevoir d’autres avant la fin de la semaine.
Je sens que les choses m’échappent alors je me lève, contournent le bureau vient à moins de cinquante centimètres de lui et colle mes fesses dessus.
• Pierre, tu me plais et si j’ai à ce jour, ignoré tes regards, c’est parce que j’étais marié.
Il en sera autrement lorsque mon divorce sera prononcé.
Sa main adipeuse vient se poser sur ma jambe juste sous le pli de ma jupe assez courte, il est vrai.
Il cherche à la faire monter, je la saisis et c’est moi qui la porte vers ma chatte que j’ai oublié de couvrir.
• Tu sens, je mouille, je te l’offrirais si tu me confies le poste.
Il va me claquer dans les bras et j’aurais tout perdu.
• C’est un collège qui décide.
• Alors soit persuasif avec eux, sinon, tu devras te contenter d’avoir posé tes doigts sur ma chatte en feu. Je peux te l’assure, elle ruisselle à ton simple contact.
Si j’ai le poste, je te promets un week-end de rêve.
Dernière chose, mon mari a été couillon de me tromper, car tous les deux, nous faisions l’amour no limite, tu auras dans tes bras la plus belle salope que tu auras connue dans ta vie.
Réfléchi.
Je lui ôte la main sans aller plus loin, je quitte le bureau évitant de me retourner de peur qu’il se soit écroulé sur son bureau.
J’ai joué mon va-tout, mais là où je suis fière, c’est sur mon attitude, j’ai joui d’allumer cet homme de pouvoir, sentir qu’il était comme un enfant entre mes doigts m’a porté près de l’orgasme.
De retour à la maison, j’informe mes amis de ma démarche et comment j’ai pratiqué pour enlever le morceau.
• Et tu es prête à te faire sauter par le maire, tu as vu comme il est petit et avec son ventre.
• Maryse, dans le malheur qui m’a frappé lorsque j’ai découvert l’infidélité de Gaétan, je me suis blindé et je considère qu’un moment désagréable peut se transformer en des années de bonheur.
Pour te prouver que j’ai raison, si j’ai le poste, il aura deux salopes dans son lit, car je t’emmènerais avec moi si tu as l’accord de Sylvain.
• Sylvain au secours, elle veut que je me prostitue.
• Tu seras une très jolie pute, je suis ta première cliente. Te parler de cela m’a excité vient dans la chambre.
Jusqu’à la fin de la semaine, nous sommes en phase les uns et les autres et chaque fois que l’un ou l’autre d’entre nous veut baiser, nous baisons.
Le dimanche après-midi, nous bronzons totalement nus.
J’ai totalement oublié que mes filles reviennent de vacances.
Lorsqu’elles arrivent près de nous elles sont étonnées de ce que leurs yeux voient, leur mère cette personne qui pour elles était tout sauf une femme s’étale nue au milieu de plusieurs personnes tout aussi nues les uns que les autres.
Pire même, cette mère asexuée à leurs yeux à la main posée sur la chatte de sa copine et elles peuvent voir ses doigts comme autonomes écarter les grandes lèvres et pénétrer dans cette fente la faisant se pâmer.
• Mes chéries, ses vacances se sont bien passées.
• Pour nous cela a été, mais ici je vois qu’il y a de l’évolution, Papa nous a appelés et avoués sa double vie qu’il a et que tu as demandé le divorce.
Pour nous nous avions un choix difficile à faire, mais comme nous allons dans quelques jours rejoindre la fac et notre appartement que vous nous louez.
Noémie et moi en avoir parlé, vous aurez notre neutralité dans vos affaires.
Tiens Sylvain, tu es là, tu sembles être en pleine forme entre toutes ces femmes.
Gislaine m’a appelé et mise au courant de vos avatars de vacances avec Maryse, vous êtes au centre de tous les commérages dans la ville.
Ce que je constate, c’est que vous avez trouvé refuge chez nous. Je vois bien la largeur d’âme et d’esprit de maman et c’est pour cela qu’on l’aime.
• Les filles, votre maman est une femme exceptionnelle en m’accueillant pour une durée indéterminée.
Que dire de plus, la première soirée avec mes filles reste soft même si je remarque le regard d’envie de Nadia qui se pose sur les chattes de mes jumelles qui veulent profiter de la piscine après les chaleurs du voyage ?
Sylvain et Maryse suivent le trio, mais se contentent de nager.
Je vais bien être obligé de me lever de mon transat, mais pour la première fois depuis des jours monter l’endroit du corps d’où mes filles sont sorties me créer un blocage devant elles.
Blocage dissipé, lorsqu’ils sortent tous de l’eau, court vers moi, me prennent par les mains et les pieds et me jettent dans l’eau. La vision que mes filles doivent avoir sur ma fente lorsque je tombe les fesses en avant montre qu’elles n’ont aucun préjugé et que ma vie de plaisir va pouvoir continuer.
Revenue dans l’eau, Noémie qui a suivi vient me sauter au cou, son corps arrive le long du mien, je sens les poils de sa vulve caresser ma jambe et ses seins se plaquer sur les miens.
J’évite de la repousser, mais un grand trouble m’habite, heureusement qu’elles ne sont là que pour quelques jours car avec le retour de mes amants, comment gérer la situation ?
Elle me quitte pour rejoindre Valentine et les deux sœurs viennent agacer Sylvain.
Ils sont assis sur les marches et Nadia qui passe près de moi m’aide à écouter ce qu’elles disent.
Pour cela, ma petite me prend la bouche et m’embrasse, je vois que mes filles me regardent et aucune incrédulité ne se lie sur leur visage.
• Tu retournes en fac en médecine comme l’année dernière.
• Non, j’ai queuté deux fois et je me suis inscrit en droit comme vous je crois.
• Oui, nous pourrons travailler ensemble pour nos cours, tu habites en ville.
• Non, j’attendais mes résultats et ce que j’ai trouvé se situe à dix kilomètres alors j’attends une opportunité.
• Si maman est d’accord, tu l’as trouvé, tu peux être notre colocataire, notre appartement à deux chambres et comme depuis des années, nous avons toujours couché dans la même pièce, nous continuerons nos bonnes habitudes.
La vie est bizarrement faite, je suis dans l’obligation de donner à mon amant l’autorisation de vivre avec mes filles avec la certitude qu’il les baisera dans le plus bref délai.
Comment vont-elles réagir lorsqu’elles s’apercevront que non content de sauter ma copine, il baise aussi Nadia et surtout moi leur mère.
Cette nuit-là, je dors sur mon lit appelé « de plaisir » en attendant le retour de mes deux sexes qui me manque énormément avec Nadia à mes côtés.
Nous allions nous coucher la fraîcheur de la fin août nous tombant sur le corps lorsqu’ils arrivent près de moi.
Il fallait qu’ils soient présents à huit heures demain matin, mais tous les deux ont eu la même idée de revenir la veille.
• Tu nous attendais, on t’a manqué.
• Oui, j’espérais retrouver vos virilités, mais non, car Nadia a comblé ma solitude sans compter Sylvain et Maryse.
Dans la lueur de la lune, mes amants doivent se demander dans quel monde ils sont revenus, mais Christian se penche vers moi et m’embrasse tendrement. Je retrouve ses grosses lèvres si caractéristiques et qui font partie des souvenirs que j’avais en moi.
Ma main sur sa verge me fait retrouver la grosse bite que j’aime tant quand elle me défonce.
Je tourne la tête pour chercher Petrov et ce que je vois est extraordinaire, Nadia a les cuisses écartées et mon amant est déjà en train de la besogner.
• Copine-toi, bien, merci donné elle à moi. Je vais faire jouir jolie fille.
Son Français est toujours aussi limite, mais j’ai tellement pris l’habitude de l’entendre que je comprends sans difficulté, ce qu’il dit.
Christian prend ma place et je viens m’enfiler sa bite profondément en moi.
Je suis en mouvement pour avoir mon premier frisson avec lui depuis son départ lorsque je sens la bite de Petrov venir me caresser l’anus.
Une fois de plus et dès le premier jour, j’ai les bites de mes amants des deux côtés du corps et ils me font une double pénétration merveilleuse.
Dès que j’ai un énorme orgasme sans avoir déchargé. Petrov sort de moi, me soulève pour que je quitte Christian et me remplace par Nadia qui subit sa première sodomie en même temps que sa première double pénétration.
Je sais qu’elle a plusieurs orgasmes, car je les récupère sur ses lèvres dans le baiser que nous échangeons.
Mon lit de plaisir devient mon lit ou au matin, nous nous réveillons par la chaleur du soleil.
• À ce soir Valérie et Nadia, nous devons aller travailler.
• Le déjeuner ?
• On a pas le temps, nous mangerons mieux à midi.
En même temps que, Christian me dit cela, j’entends du bruit venant de la maison. Je vois sur la terrasse mes deux filles qui regardent les deux hommes nus repartir vers le bungalow.
Elles nous rejoignent.
• Maman, on vous a vu par notre fenêtre baiser avec ces hommes, ce sont des ouvriers du chantier.
Pourquoi cacher à mes filles l’évidence qu’elles découvriront tôt ou tard ?
La seule chose que je fasse, c’est de trahir légèrement la vérité.
• La nuit de mon retour, ayant constaté la trahison de votre père, j’avais des états d’âme et alors que je dormais sur ce lit à l’extérieur, ces deux hommes sont venus se baigner dans la piscine sans mon accord.
Je leur ai demandé de repartir et au lieu d’avoir peur, ils sont venus s’asseoir près de moi de chaque côté et ils m’ont caressé, j’ai cédé et je me suis donné à eux.
Cette nuit, ils revenaient de quelques jours de vacances et Nadia à qui j’avais confié mon aventure a souhaité les connaître s’ils venaient.
• Votre mère vous a bien résumé la situation tout est de ma faute.
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