LE CHANTIER. (33)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE CHANTIER. (33)
Venu à Paris avec Nadia pour visiter l’appartement que j’ai hérité de Pierre, j’ai écouté les messages enregistrés sur le répondeur de mon mari.
Hormis les nombreuses escortes que Pierre semblait utilisé à haute dose, son collègue sénateur Paul responsable du groupe ou il siégeait, homme d’une soixantaine d’années accepte de nous conduire dans un club libertin.
J’oublie de lui dire que j’ai hérité d’une maison que Criss ami de jeux de mes filles veut m’aider à transformer en club libertin.
Je pensais vendre la maison où Pierre habitait pour payer les frais de succession.
Nadia toujours aussi perspicace découvre le secret parisien de la phrase que mon mari m’a laissée via le notaire chargé de sa succession.
Entre lingots billet et titre sans savoir ce que nous allons trouver dans les deux autres caches protégés par Aphrodite, j’ai largement de quoi vivre pendant des années.
Actuellement, je suis en tenue d’Ève dans un Jacuzzi d’un club près de la place Clichy où Paul nous a entraînés.
Nadia égale à elle-même a suivi un homme dès que nous sommes entrés alors que moi après une petite branlette ma main cachée par l’eau, j’ai avalé le sperme de mon nouvel ami évitant de salir la piscine.
• Valérie si ce matin quand je me suis levé, j’avais pensé qu’une jolie fille me branlerait puis me pomperait jusqu’à ce que je jouisse dans sa bouche, je me serais traité de fou,
Je vais récupérer, mais rejoins ton amie qui a dû se trouver un ou des coquins, je connais la maison par cœur, je te retrouverais.
Je sors, de l’eau, récupère une serviette mise à notre disposition et je retrouve le couloir. Je le remonte jusqu’à ce que j’entre dans une salle où un bar me permet de me faire offrir une coupe de champagne par un homme aussi black que Christian.
• Puis-je vous inviter à venir dans une des alcôves ?
• Excusez-moi, j’ai accepté cette coupe, car vous avez insisté, mais je cherche mon amie.
Je me rends compte de l’erreur que j’ai faite, mais je cherche et finis par la trouver dans les bras d’un couple. La femme placée sur le dos se laisse lécher par sa langue agile alors que le mari lui prend la chatte.
• Mon amour, pour une première dans un club où nous hésitions à venir grace à Nadia, nous aurons réussi notre soirée.
Je te promets de revenir régulièrement et de t’offrir de jolies salopes comme elle.
À la maison tout à l’heure je suis certaine que tu vas me faire jouir avec deux fois plus de plaisir que dans les semaines précédentes.
Nous venons de relancer notre amour. Merci Nadia.
Et là, je la vois se tordre de plaisir sous la langue de celle qu’elle a appelé la salope, ce qu’elle est, je suis obligé de le dire.
Je suis à la porte de la pièce où les trois amis sont lovés lorsque passent près de moi deux hommes fort avenants.
Ils me sollicitent pour une baise à trois et contrairement au bar, je les suis sans me poser de questions.
Des questions, je m’en pose et je réussis à faire jaillir la lumière, implicitement lorsque l’homme noir m’a demandé à nous isoler le visage de Christian, mon amour est venu devant mes yeux et j’ai eu l’impression de le tromper si je baisais avec sa copie conforme bien moins baraquée, il est vrai.
Pas de racisme dans mon esprit lorsque je lui ai dit non, je me ferais pardonner si je le recroise.
Implicitement m’occuper de deux sexes me plait énormément.
Depuis la fin de l’été où Christian et Petrov ont rangé mon lit d’amour sentir que l’on me prend devant derrière sont des moments rares.
Les deux queues qui se tendent et qui se présentent vers mes orifices vont ainsi un court instant prolonger mon premier été de liberté.
• Valérie, je vois que vous êtes la femme digne de notre regretté Pierre, je comprends pourquoi il était pressé de vous épouser.
Je lui ai reproché de faire ce mariage en catimini, mais connaissant la fin tragique, et voyant vos prouesses, je peux le comprendre.
Pendant que Paul parlait de Pierre, mes intimités emplies par les deux verges commencent à réagir et je suis à la porte d’un orgasme de bonne qualité.
• Serge, je te parie que tu vas être surpris lorsque je vais t’annoncer et à toi aussi Bernard que vous baiser la femme de notre débauché Pierre.
Un nid de frelons les aurait piqués ma chatte et mon cul se sont trouvés libéré dans le même moment.
• Valérie, je te présente Serge député de la majorité et de l’autre Bernard sénateur de l’opposition.
• Si je comprends bien en faisant le jambon, on va me classer au centre.
Tous ont éclaté de rire sauf moi qui venait de louper un orgasme assez intéressant.
• Valérie, je vous laisse au plaisir de ces messieurs, je vais prendre un taxi, mon chauffeur vous attend devant le club tout le temps que vous désiriez rester.
À mon âge, pour durer, il faut savoir se coucher tôt surtout après les folies que nous avons pratiquées ensemble dans le Jacuzzi.
Bonne nuit.
Messieurs soyer gentleman, je vous la confie.
Toujours très droit dans sa nudité Paul me quitte me laissant dans de bonnes-mains.
• Messieurs qui désirent se faire sucer la verge le premier ?
• Celle de droite.
• Non, celle de gauche.
Dommage, Paul vient de me quitter…
J’arrive à rétablir l’entente cordiale et je me retrouve au centre de l’échiquier des plaisirs jusqu’à la fermeture du club.
Une dernière coupe de champagne bu, mes deux amants veulent me reconduire, ils sont venus dans la même voiture et semblent connaître le chemin de l’appartement de Pierre.
En arrivant ils souhaitent monter boire une dernière coupe.
• On connaît, Pierre avait toujours du champagne au frais lorsqu’il recevait de jolies coquines.
• Serge, toujours aussi bourrin, tu parles à la femme de Pierre.
En les entendant, je ris, Pierre lors de son dernier voyage à Paris a dû se vanter de m’avoir épousé alors que la mariée ignorait elle-même qu’elle s’était mariée.
• Monsieur, je vous remercie de la bonne soirée que vous m’avez faite passé, mais demain à huit heures, il me faut retourner chez moi, car en fin d’après-midi, j’ai une réunion importante et la route est longue alors dodo, quelque chose me dit que nous nous reverrons.
Devant la porte du hall d’entrée Nadia est déjà lovée en boule comme une SDF et dort alors qu’il fait un froid de canard. L’hiver peut me l’emporter avec une pneumonie.
Je la réveille.
• C’est malin, tu as gardé les clefs et je m’en suis aperçu au moment où la limousine de monsieur Paul repartait, depuis j’attends.
Un bon bain et au lit, je fais très attention de laisser sa chatte en sommeil, demain à huit heures, il faut rouler.
C’est comme on dit la tête dans le cul, certes, vulgairement dans la bouche d’une dame que ma voiture démarre à l’heure prévue. Juré après les fêtes, il nous faudra revenir à l’appartement mais soit en train soit avec un chauffeur.
Ma coquine de Nadia, alors que je bois du café sur café toutes les trois aires d’autoroute, dort récupérant de sa nuit.
Que peut-elle faire d’autre, elle est sans permis ?
Tant bien que mal nous arrivons devant la porte de mon pavillon et c’est sur le canapé que je m’écroule dans l’impossibilité d’aller jusqu'à ma chambre.
Je me réveille à six heures, vautré sur le ventre une jambe pendante dans le vide.
Je pue la vieille transpiration malgré le froid extérieur et je sens que ma vessie va exploser.
La seule chose positive, j’ai bien récupéré et la journée qui va se terminer avec la venue des Néerlandais va encore être intense.
Je suis dans la baignoire lorsque Nadia entre et saute dans l’eau.
• Viens dans mes bras.
Ma petite se retourne et vient placer ses fesses à la hauteur de ma chatte.
• Tu m’excuseras pour hier, je t’ai abandonné seul au volant. J’avais envie de te parler mes yeux se fermait tout seul.
• Rien de grave, on est arrivé entière, je le sens bien ta chatte réagie à mes doigts, tu es bien vivante.
• Pour me faire pardonner, en arrivant hier, j’ai embauché Christian pour qu’il me conduise dans une auto-école, je commence le code lundi.
Nous pourrons nous relayer.
Après je suis allé à la mairie voir si tout allait bien, tout est nickel-chrome.
Et enfin, j’ai réuni l’équipe dans la maison des plaisirs et nous avons fait le point sur la soirée, tu sais que tu dois aller avec Eliane à la réunion concernant le début des prises en main des diverses installations terminées du complexe.
J’ai appelé Criss et Soso tes amis ainsi que tes filles, tous vont réceptionner nos invités et surtout notre invitée car Christian en tant que responsables de la piscine et Petrov du gardiennage vont avec vous.
On a convenu que j’attendrais la Hollandaise avec ses mâles avec tes amis qui arriveront vers dix-neuf heures, car ma présence dans la réunion est secondaire.
Un point positif dans ce qu’elle me dit, Eliane arrivera avec moi plus tard dans une soirée que je pense bien commencer et où il lui sera difficile de venir faire le boxon.
Le rapport de Nadia sur ses initiatives me va droit au cœur, il est vrai que j’ai légèrement menti avec mes amants du club de la place Clichy la réunion en soirée était un prétexte pour éviter qu’ils montent et que je puisse rentrer.
Dans la matinée je passe devant la pharmacie, une affiche sur la devanture « 1er janvier changement de propriétaire »
Notre premier opposant prendrait-il sa retraite ?
Je vais demander à Nadia d’enquêter.
Je suis un peu frustrée que dans la réunion ou j’ai une double casquette de maire et de responsable du complexe sportif se passe à la même heure que l’arrivée d’Hilda. D’autant plus qu’elle a entre ses mains une partie de l’avenir de ma commune.
Je suis sûr que nos amis bordelais assureront parfaitement mon intérim et que le couple comprendra que les fonctions que j’ai accepté d’assumer passe avant la soirée où les chattes de ces dames seront à l’honneur.
Christian comme prévu amène Petrov et Eliane.
Je cadre rapidement comme une femme pressée que je suis.
• Mesdames, messieurs, merci, d’être venue, nous aurons une réunion plus approfondie dans un mois.
Mesdames et messieurs, je pars rejoindre mes amis pour une soirée de baise torride.
Bien sûr, je pense cette phrase, mais me garde bien de la dire.
• Venez partager le verre de l’amitié.
Rapidement nous saluons les participants n’oubliant personne afin d’éviter de nous faire des ennemis et à vingt-deux heures trente, j’appuie sur la télécommande pour ouvrir le portail du jardin des plaisirs.
Je me gare derrière un Ford immatriculé en Gironde…
Hormis les nombreuses escortes que Pierre semblait utilisé à haute dose, son collègue sénateur Paul responsable du groupe ou il siégeait, homme d’une soixantaine d’années accepte de nous conduire dans un club libertin.
J’oublie de lui dire que j’ai hérité d’une maison que Criss ami de jeux de mes filles veut m’aider à transformer en club libertin.
Je pensais vendre la maison où Pierre habitait pour payer les frais de succession.
Nadia toujours aussi perspicace découvre le secret parisien de la phrase que mon mari m’a laissée via le notaire chargé de sa succession.
Entre lingots billet et titre sans savoir ce que nous allons trouver dans les deux autres caches protégés par Aphrodite, j’ai largement de quoi vivre pendant des années.
Actuellement, je suis en tenue d’Ève dans un Jacuzzi d’un club près de la place Clichy où Paul nous a entraînés.
Nadia égale à elle-même a suivi un homme dès que nous sommes entrés alors que moi après une petite branlette ma main cachée par l’eau, j’ai avalé le sperme de mon nouvel ami évitant de salir la piscine.
• Valérie si ce matin quand je me suis levé, j’avais pensé qu’une jolie fille me branlerait puis me pomperait jusqu’à ce que je jouisse dans sa bouche, je me serais traité de fou,
Je vais récupérer, mais rejoins ton amie qui a dû se trouver un ou des coquins, je connais la maison par cœur, je te retrouverais.
Je sors, de l’eau, récupère une serviette mise à notre disposition et je retrouve le couloir. Je le remonte jusqu’à ce que j’entre dans une salle où un bar me permet de me faire offrir une coupe de champagne par un homme aussi black que Christian.
• Puis-je vous inviter à venir dans une des alcôves ?
• Excusez-moi, j’ai accepté cette coupe, car vous avez insisté, mais je cherche mon amie.
Je me rends compte de l’erreur que j’ai faite, mais je cherche et finis par la trouver dans les bras d’un couple. La femme placée sur le dos se laisse lécher par sa langue agile alors que le mari lui prend la chatte.
• Mon amour, pour une première dans un club où nous hésitions à venir grace à Nadia, nous aurons réussi notre soirée.
Je te promets de revenir régulièrement et de t’offrir de jolies salopes comme elle.
À la maison tout à l’heure je suis certaine que tu vas me faire jouir avec deux fois plus de plaisir que dans les semaines précédentes.
Nous venons de relancer notre amour. Merci Nadia.
Et là, je la vois se tordre de plaisir sous la langue de celle qu’elle a appelé la salope, ce qu’elle est, je suis obligé de le dire.
Je suis à la porte de la pièce où les trois amis sont lovés lorsque passent près de moi deux hommes fort avenants.
Ils me sollicitent pour une baise à trois et contrairement au bar, je les suis sans me poser de questions.
Des questions, je m’en pose et je réussis à faire jaillir la lumière, implicitement lorsque l’homme noir m’a demandé à nous isoler le visage de Christian, mon amour est venu devant mes yeux et j’ai eu l’impression de le tromper si je baisais avec sa copie conforme bien moins baraquée, il est vrai.
Pas de racisme dans mon esprit lorsque je lui ai dit non, je me ferais pardonner si je le recroise.
Implicitement m’occuper de deux sexes me plait énormément.
Depuis la fin de l’été où Christian et Petrov ont rangé mon lit d’amour sentir que l’on me prend devant derrière sont des moments rares.
Les deux queues qui se tendent et qui se présentent vers mes orifices vont ainsi un court instant prolonger mon premier été de liberté.
• Valérie, je vois que vous êtes la femme digne de notre regretté Pierre, je comprends pourquoi il était pressé de vous épouser.
Je lui ai reproché de faire ce mariage en catimini, mais connaissant la fin tragique, et voyant vos prouesses, je peux le comprendre.
Pendant que Paul parlait de Pierre, mes intimités emplies par les deux verges commencent à réagir et je suis à la porte d’un orgasme de bonne qualité.
• Serge, je te parie que tu vas être surpris lorsque je vais t’annoncer et à toi aussi Bernard que vous baiser la femme de notre débauché Pierre.
Un nid de frelons les aurait piqués ma chatte et mon cul se sont trouvés libéré dans le même moment.
• Valérie, je te présente Serge député de la majorité et de l’autre Bernard sénateur de l’opposition.
• Si je comprends bien en faisant le jambon, on va me classer au centre.
Tous ont éclaté de rire sauf moi qui venait de louper un orgasme assez intéressant.
• Valérie, je vous laisse au plaisir de ces messieurs, je vais prendre un taxi, mon chauffeur vous attend devant le club tout le temps que vous désiriez rester.
À mon âge, pour durer, il faut savoir se coucher tôt surtout après les folies que nous avons pratiquées ensemble dans le Jacuzzi.
Bonne nuit.
Messieurs soyer gentleman, je vous la confie.
Toujours très droit dans sa nudité Paul me quitte me laissant dans de bonnes-mains.
• Messieurs qui désirent se faire sucer la verge le premier ?
• Celle de droite.
• Non, celle de gauche.
Dommage, Paul vient de me quitter…
J’arrive à rétablir l’entente cordiale et je me retrouve au centre de l’échiquier des plaisirs jusqu’à la fermeture du club.
Une dernière coupe de champagne bu, mes deux amants veulent me reconduire, ils sont venus dans la même voiture et semblent connaître le chemin de l’appartement de Pierre.
En arrivant ils souhaitent monter boire une dernière coupe.
• On connaît, Pierre avait toujours du champagne au frais lorsqu’il recevait de jolies coquines.
• Serge, toujours aussi bourrin, tu parles à la femme de Pierre.
En les entendant, je ris, Pierre lors de son dernier voyage à Paris a dû se vanter de m’avoir épousé alors que la mariée ignorait elle-même qu’elle s’était mariée.
• Monsieur, je vous remercie de la bonne soirée que vous m’avez faite passé, mais demain à huit heures, il me faut retourner chez moi, car en fin d’après-midi, j’ai une réunion importante et la route est longue alors dodo, quelque chose me dit que nous nous reverrons.
Devant la porte du hall d’entrée Nadia est déjà lovée en boule comme une SDF et dort alors qu’il fait un froid de canard. L’hiver peut me l’emporter avec une pneumonie.
Je la réveille.
• C’est malin, tu as gardé les clefs et je m’en suis aperçu au moment où la limousine de monsieur Paul repartait, depuis j’attends.
Un bon bain et au lit, je fais très attention de laisser sa chatte en sommeil, demain à huit heures, il faut rouler.
C’est comme on dit la tête dans le cul, certes, vulgairement dans la bouche d’une dame que ma voiture démarre à l’heure prévue. Juré après les fêtes, il nous faudra revenir à l’appartement mais soit en train soit avec un chauffeur.
Ma coquine de Nadia, alors que je bois du café sur café toutes les trois aires d’autoroute, dort récupérant de sa nuit.
Que peut-elle faire d’autre, elle est sans permis ?
Tant bien que mal nous arrivons devant la porte de mon pavillon et c’est sur le canapé que je m’écroule dans l’impossibilité d’aller jusqu'à ma chambre.
Je me réveille à six heures, vautré sur le ventre une jambe pendante dans le vide.
Je pue la vieille transpiration malgré le froid extérieur et je sens que ma vessie va exploser.
La seule chose positive, j’ai bien récupéré et la journée qui va se terminer avec la venue des Néerlandais va encore être intense.
Je suis dans la baignoire lorsque Nadia entre et saute dans l’eau.
• Viens dans mes bras.
Ma petite se retourne et vient placer ses fesses à la hauteur de ma chatte.
• Tu m’excuseras pour hier, je t’ai abandonné seul au volant. J’avais envie de te parler mes yeux se fermait tout seul.
• Rien de grave, on est arrivé entière, je le sens bien ta chatte réagie à mes doigts, tu es bien vivante.
• Pour me faire pardonner, en arrivant hier, j’ai embauché Christian pour qu’il me conduise dans une auto-école, je commence le code lundi.
Nous pourrons nous relayer.
Après je suis allé à la mairie voir si tout allait bien, tout est nickel-chrome.
Et enfin, j’ai réuni l’équipe dans la maison des plaisirs et nous avons fait le point sur la soirée, tu sais que tu dois aller avec Eliane à la réunion concernant le début des prises en main des diverses installations terminées du complexe.
J’ai appelé Criss et Soso tes amis ainsi que tes filles, tous vont réceptionner nos invités et surtout notre invitée car Christian en tant que responsables de la piscine et Petrov du gardiennage vont avec vous.
On a convenu que j’attendrais la Hollandaise avec ses mâles avec tes amis qui arriveront vers dix-neuf heures, car ma présence dans la réunion est secondaire.
Un point positif dans ce qu’elle me dit, Eliane arrivera avec moi plus tard dans une soirée que je pense bien commencer et où il lui sera difficile de venir faire le boxon.
Le rapport de Nadia sur ses initiatives me va droit au cœur, il est vrai que j’ai légèrement menti avec mes amants du club de la place Clichy la réunion en soirée était un prétexte pour éviter qu’ils montent et que je puisse rentrer.
Dans la matinée je passe devant la pharmacie, une affiche sur la devanture « 1er janvier changement de propriétaire »
Notre premier opposant prendrait-il sa retraite ?
Je vais demander à Nadia d’enquêter.
Je suis un peu frustrée que dans la réunion ou j’ai une double casquette de maire et de responsable du complexe sportif se passe à la même heure que l’arrivée d’Hilda. D’autant plus qu’elle a entre ses mains une partie de l’avenir de ma commune.
Je suis sûr que nos amis bordelais assureront parfaitement mon intérim et que le couple comprendra que les fonctions que j’ai accepté d’assumer passe avant la soirée où les chattes de ces dames seront à l’honneur.
Christian comme prévu amène Petrov et Eliane.
Je cadre rapidement comme une femme pressée que je suis.
• Mesdames, messieurs, merci, d’être venue, nous aurons une réunion plus approfondie dans un mois.
Mesdames et messieurs, je pars rejoindre mes amis pour une soirée de baise torride.
Bien sûr, je pense cette phrase, mais me garde bien de la dire.
• Venez partager le verre de l’amitié.
Rapidement nous saluons les participants n’oubliant personne afin d’éviter de nous faire des ennemis et à vingt-deux heures trente, j’appuie sur la télécommande pour ouvrir le portail du jardin des plaisirs.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
excellent une bonne soirée en perspective.
vivement la suite !!!!!
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