LE CHANTIER (53)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-08-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE CHANTIER (53)
Je recherche la clef qui ouvre la porte ou le système vidéo doit se trouver.
Je retourne dans le living où je m’assoie, j’ai devant moi la statue de la table que nous avons refermée après l’avoir vidée.
Je l’ouvre, je la fais glisser sur ses gonds et je m’aperçois qu’elle peut encore avancer légèrement après avoir franchi un premier point d’arrêt.
Je cherche et je trouve, une cache qu’il nous était impossible de voir avec l’emplacement de la clef qui ouvre une trappe de 10 sur 5 avec à l’intérieur la clef que je convoite.
Je vais dans la pièce, j’avais raison un système vidéo et surtout une vingtaine de CD y compris celui qui est dans l’ordinateur où je peux voir sur les dernières images enregistrer Nadia se faisant baiser par Rupert cette nuit.
Un système d’appro des CD en automatique permet d’en mettre un dès que le précédent est terminé.
J’arrête tous et j’emmène l’ensemble des disques dans ma valise, je suis sûr que Malvina doit se trouver sur certains et certainement Serge ou Bernard qui me sauront gré d’éviter de laisser traîner de telle œuvre d’art pornographique.
Dans la salle, la caméra est placée derrière un tableau de moindre valeur comparée à ceux que j’ai trouvés dans la maison de Pierre chez nous.
Tout est clean dans l’appartement et nous pouvons nous diriger vers le Bourget ou l’avion et ses pilotes jumelles nous attendent.
Malvina prend le taxi que nous avons appelé après de nombreux baisers.
Nadia et son protégé parti plus tôt doivent nous rejoindre à l’avion.
Je sens Christian tendu quand nous arrivons et qu’il voit les jumelles qui vont nous piloter ainsi qu’Ange l’hôtesse.
• Tu as peur.
• Peur non mais crois-tu que deux femmes pour piloter c’est rassurant.
• Aucun problème mon cœur elles nous ont bien amenées de Belgique.
• Montez, je vais m’occuper de vous.
• Christian tu peux suivre Ange l’hôtesse personnelle d’Hilda elle sait très bien relaxer ses passagers.
• Rupert à raison mon chéri, j’ai testé ses capacités en venant de Belgique, j’ai beaucoup apprécié son efficacité.
C’est à ce moment que Nadia et Benoît arrivent, portant un simple sac de sport.
• On a jeté une partie de ses affaires, la plupart de ce qu’il avait c’était des sous-vêtements dans une panière à linge sale, nous resterons à Toulouse en arrivant et je lui referais sa garde-robe.
• Tu as raison Nadia, je retournerais à Toulouse avec lui dès que Malvina descendra car dans une boutique où je suis allée, j’ai vu des étuis péniens avec lanière de cuir et des tenues pour filles du même genre qui vont très bien leur aller quand nous ouvrirons pour que les libertins comprennent qu’ils sont à leur disposition.
• Je vois très bien, des tenues en cuir type de celle que l’on voit dans le film gladiateurs.
• Oui mais sans les jupettes.
Nous nous embrassons, rejoignons les sièges, attachons nos ceintures et l’avion roule sur la piste et décolle.
Christian est derrière moi assis avec Ange à ses côtés, je suis placée sur le siège devant eux avec Rupert et de l’autre côté de l’allée Nadia et Benoît sont les mains dans les mains.
« Chers amis, nous avons réussi à décoller, Julie et Juliette vos deux pilotes vous souhaite bon voyage, Nadia, peux-tu nous rejoindre avec le beau gosse avec lequel tu es arrivée, nous souhaiterions lui faire voir nos instruments de vol. »
Nadia suit l’injonction des jumelles, comme à son habitude, elle rejoint le cockpit à la seule différence c’est qu’elle est suivie par notre jeune ancien puceau.
Je pense qu’il aura deux nouveaux exemplaires de la gent féminine à son tableau de chasse arrivé à Toulouse.
• Oui continuée, vous m’aidez à me décontracter.
Je viens d’enlever ma ceinture de sécurité et je m’agenouille pour voir ce que fait mon amour derrière mon dos.
Ange a mis sa main dans son pantalon et il bande déjà si fort que le bout de son gland pointe sa tête.
Il va avoir mal ce petit gland aussi je tends les mains et je défais ses ceintures de sécurité et de pantalon.
Je dégage le sexe et je regarde notre amie lui faisant comprendre que mon fiancé est à sa disposition.
Elle s’empresse de profiter de l’aubaine que je lui fais quand elle voit le calibre que Christian nous montre.
Sa bouche vient se coller à la pointe de ce gland noir et je vois sa petite langue pointée et titillée le méat.
Je tends mon autre main mais Ange est un peu loin pour que je m’occupe de sa chatte, je me rabats sur ses seins que je fais sortir des bonnets et du chemisier.
Je saisis une de ces fraises et je la pince, tout son corps se couvre de chair de poule me prouvant que mon traitement doit la faire mouiller.
Comme j’ai le torse qui repose sur le dossier, Christian avance sa bouche, m’embrasse dans un baiser très profond comme à chaque fois et me sort les seins à moi aussi.
Il s’occupe du sein gauche pendant qu’Ange ayant vu la disponibilité de l’autre me rend ce que je lui fais.
Elle pince, je pince, elle accentue sa pression, j’accentue la mienne, je relâche et elle aussi, à ce petit jeu je sens mon entre cuisses mouiller et sentir ma cyprine couler me faisant moi aussi frissonner, j’ai les poils des bras qui se hérissent.
Je sens que l’on remonte ma jupe, je tourne la tête et c’est Rupert qui veut me baiser, je tends la croupe et sachant que je suis toujours consentante pour lui me plante son sexe dans la chatte.
Il doit vérifier que je mouille intensément car dès son premier coup de boutoir il glisse au fin fond de mon vagin.
Christian me glisse à l’oreille.
• Ma jolie salope, tu vas encore t’envoyer en l’air.
• Et toi mon salop, dit moi que tu es insensible à ce que te fait la petite Ange.
Aucune réponse à ma question car son corps réagit à la fellation et comme le mien se tend.
• Ensemble.
J’ai poussé ce cri au moment où j’ai un orgasme qui me dévaste où Christian me regardant au fond des yeux remplit la bouche de la petite hôtesse et ou Rupert me remplit l’intimité.
Je m’affale un peu plus sur le dossier et j’essuie avec mon doigt la commissure des lèvres d’Ange et je le porte couvert de sperme de mon homme à ma bouche retrouvant son goût avec délice.
Christian bien qu’il vienne de décharger bande toujours, la peur en avion doit le tétaniser aussi l’hôtesse se lève ôte sa culotte et vient s’empaler, je suis obligé de me reculer pour qu’elle passe entre les deux ranger de sièges face à moi et ma bouche entre en contact avec un de ses seins.
Je la suce goulûment et j’ai le plaisir de sentir qu’un peu de lait coule dans ma bouche.
J’avais bien l’impression que ses seins étaient très gonflés aussi quand j’ai fini d’en vider un je m’attaque à l’autre.
•Valérie, je viens d’accoucher d’une petite fille et il me reste encore un peu de lait, il est dommage qu’à cause de mon travail j’aie été obligé de la placer en nourrisse et de faire passer mon lait.
Oui, pompe le comme cela, et toi Christian continues à m’enculer, il est trop tôt pour que je me fasse baiser par la chatte.
Je comprends que la petite attend son retour de couches.
• Et le papa, il s’occupe de sa fille.
• En Belgique on peut avoir des enfants sans mari, il suffit d’avoir un donneur de sperme, dommage que je vous rencontre trop tard, j’aurais bien aimé avoir une petite métisse.
Elle m’embrasse en me disant cela, me montrant que pour elle, hommes ou femmes le principal comme nous c’est le plaisir qu’elle prend quand mon homme lui remplit son rectum de sperme.
« Mesdames et monsieur, vos deux pilotes ont bien surveillé votre vol l’une après l’autre mais ont pris un grand plaisir de voyager avec les deux amis qui sont assis derrière nous, nous allons atterrir à Toulouse dans quelques minutes.
Nous espérons que votre voyage a été agréable et nous vous disons à bientôt sur notre compagnie, Hilda que nous venons d’avoir par radio vous souhaite un bon retour »
L’atterrissage se fait en douceur et comme sur un avion de ligne nous applaudissons.
Nous roulons jusqu’à un emplacement où des employés apportent la passerelle qui va nous permettre de quitter l’appareil.
Benoit quitte le cockpit suivi de Nadia et l’une des jumelles.
• Juliette finit le travail, Valérie ce petit ira loin, Nadia nous a dit que tu l’avais embauché pour travailler dans le club libertin que tu vas ouvrir dans ton village.
Si tu le permets, nous sommes libres ce soir et Nadia nous a invités à venir chez toi, nous serions heureuses de visiter ta maison des plaisirs.
• Si Nadia vous a invité, elle a bien fait car elle vous a monopolisé dans le cockpit et nous pourrons faire plus ample connaissance.
• Je vais en ville avec Benoit comme prévu et nous venons tous ensemble vous rejoindre.
Arrivée au pied de l’escalier, une limousine identique à celle de Paris est là avec deux autres hommes aussi bien foutue et qui charge les bagages dans le coffre où j’ai le temps de remarquer une malle identique à celle qui est dans les soutes de l’avion mais de couleurs différentes.
Nous avons de la place car nous sommes quatre à l’intérieur.
Hélas, Christian est bien membré mais est un homme comme tous les autres qui a ses limites aussi Ange et moi, restons sagement côte à côte pendant que Rupert et Christian sont assis sur les sièges tournant le dos à la route.
Nous passons chez Pierre ou nous remplissons la malle et je récupère ma voiture pendant que je vois mon argent repartir vers l’avion ainsi que les tableaux car Hilda ma persuadée qu’il fallait m’en séparer même si j’ai les papiers en règle établie lors de l’achat.
Nous reprenons notre route et nous arrivons près de chez moi quand sur le trottoir face à ma maison des plaisirs un groupe de manifestants hurlent et brandissent des pancartes.
Je devrais dire de manifestantes car à part le curé qui pour l’occasion a mis sa soutane ce sont cinq vieilles rombières et un jeune homme qui crient leur colère.
Chacun d’eux a une pancarte où je peux lire.
* Non à la pornographie.
* Non au bordel.
* La pornographie dehors.
Une d’entre elles fait allusion à Satan…
Je retourne dans le living où je m’assoie, j’ai devant moi la statue de la table que nous avons refermée après l’avoir vidée.
Je l’ouvre, je la fais glisser sur ses gonds et je m’aperçois qu’elle peut encore avancer légèrement après avoir franchi un premier point d’arrêt.
Je cherche et je trouve, une cache qu’il nous était impossible de voir avec l’emplacement de la clef qui ouvre une trappe de 10 sur 5 avec à l’intérieur la clef que je convoite.
Je vais dans la pièce, j’avais raison un système vidéo et surtout une vingtaine de CD y compris celui qui est dans l’ordinateur où je peux voir sur les dernières images enregistrer Nadia se faisant baiser par Rupert cette nuit.
Un système d’appro des CD en automatique permet d’en mettre un dès que le précédent est terminé.
J’arrête tous et j’emmène l’ensemble des disques dans ma valise, je suis sûr que Malvina doit se trouver sur certains et certainement Serge ou Bernard qui me sauront gré d’éviter de laisser traîner de telle œuvre d’art pornographique.
Dans la salle, la caméra est placée derrière un tableau de moindre valeur comparée à ceux que j’ai trouvés dans la maison de Pierre chez nous.
Tout est clean dans l’appartement et nous pouvons nous diriger vers le Bourget ou l’avion et ses pilotes jumelles nous attendent.
Malvina prend le taxi que nous avons appelé après de nombreux baisers.
Nadia et son protégé parti plus tôt doivent nous rejoindre à l’avion.
Je sens Christian tendu quand nous arrivons et qu’il voit les jumelles qui vont nous piloter ainsi qu’Ange l’hôtesse.
• Tu as peur.
• Peur non mais crois-tu que deux femmes pour piloter c’est rassurant.
• Aucun problème mon cœur elles nous ont bien amenées de Belgique.
• Montez, je vais m’occuper de vous.
• Christian tu peux suivre Ange l’hôtesse personnelle d’Hilda elle sait très bien relaxer ses passagers.
• Rupert à raison mon chéri, j’ai testé ses capacités en venant de Belgique, j’ai beaucoup apprécié son efficacité.
C’est à ce moment que Nadia et Benoît arrivent, portant un simple sac de sport.
• On a jeté une partie de ses affaires, la plupart de ce qu’il avait c’était des sous-vêtements dans une panière à linge sale, nous resterons à Toulouse en arrivant et je lui referais sa garde-robe.
• Tu as raison Nadia, je retournerais à Toulouse avec lui dès que Malvina descendra car dans une boutique où je suis allée, j’ai vu des étuis péniens avec lanière de cuir et des tenues pour filles du même genre qui vont très bien leur aller quand nous ouvrirons pour que les libertins comprennent qu’ils sont à leur disposition.
• Je vois très bien, des tenues en cuir type de celle que l’on voit dans le film gladiateurs.
• Oui mais sans les jupettes.
Nous nous embrassons, rejoignons les sièges, attachons nos ceintures et l’avion roule sur la piste et décolle.
Christian est derrière moi assis avec Ange à ses côtés, je suis placée sur le siège devant eux avec Rupert et de l’autre côté de l’allée Nadia et Benoît sont les mains dans les mains.
« Chers amis, nous avons réussi à décoller, Julie et Juliette vos deux pilotes vous souhaite bon voyage, Nadia, peux-tu nous rejoindre avec le beau gosse avec lequel tu es arrivée, nous souhaiterions lui faire voir nos instruments de vol. »
Nadia suit l’injonction des jumelles, comme à son habitude, elle rejoint le cockpit à la seule différence c’est qu’elle est suivie par notre jeune ancien puceau.
Je pense qu’il aura deux nouveaux exemplaires de la gent féminine à son tableau de chasse arrivé à Toulouse.
• Oui continuée, vous m’aidez à me décontracter.
Je viens d’enlever ma ceinture de sécurité et je m’agenouille pour voir ce que fait mon amour derrière mon dos.
Ange a mis sa main dans son pantalon et il bande déjà si fort que le bout de son gland pointe sa tête.
Il va avoir mal ce petit gland aussi je tends les mains et je défais ses ceintures de sécurité et de pantalon.
Je dégage le sexe et je regarde notre amie lui faisant comprendre que mon fiancé est à sa disposition.
Elle s’empresse de profiter de l’aubaine que je lui fais quand elle voit le calibre que Christian nous montre.
Sa bouche vient se coller à la pointe de ce gland noir et je vois sa petite langue pointée et titillée le méat.
Je tends mon autre main mais Ange est un peu loin pour que je m’occupe de sa chatte, je me rabats sur ses seins que je fais sortir des bonnets et du chemisier.
Je saisis une de ces fraises et je la pince, tout son corps se couvre de chair de poule me prouvant que mon traitement doit la faire mouiller.
Comme j’ai le torse qui repose sur le dossier, Christian avance sa bouche, m’embrasse dans un baiser très profond comme à chaque fois et me sort les seins à moi aussi.
Il s’occupe du sein gauche pendant qu’Ange ayant vu la disponibilité de l’autre me rend ce que je lui fais.
Elle pince, je pince, elle accentue sa pression, j’accentue la mienne, je relâche et elle aussi, à ce petit jeu je sens mon entre cuisses mouiller et sentir ma cyprine couler me faisant moi aussi frissonner, j’ai les poils des bras qui se hérissent.
Je sens que l’on remonte ma jupe, je tourne la tête et c’est Rupert qui veut me baiser, je tends la croupe et sachant que je suis toujours consentante pour lui me plante son sexe dans la chatte.
Il doit vérifier que je mouille intensément car dès son premier coup de boutoir il glisse au fin fond de mon vagin.
Christian me glisse à l’oreille.
• Ma jolie salope, tu vas encore t’envoyer en l’air.
• Et toi mon salop, dit moi que tu es insensible à ce que te fait la petite Ange.
Aucune réponse à ma question car son corps réagit à la fellation et comme le mien se tend.
• Ensemble.
J’ai poussé ce cri au moment où j’ai un orgasme qui me dévaste où Christian me regardant au fond des yeux remplit la bouche de la petite hôtesse et ou Rupert me remplit l’intimité.
Je m’affale un peu plus sur le dossier et j’essuie avec mon doigt la commissure des lèvres d’Ange et je le porte couvert de sperme de mon homme à ma bouche retrouvant son goût avec délice.
Christian bien qu’il vienne de décharger bande toujours, la peur en avion doit le tétaniser aussi l’hôtesse se lève ôte sa culotte et vient s’empaler, je suis obligé de me reculer pour qu’elle passe entre les deux ranger de sièges face à moi et ma bouche entre en contact avec un de ses seins.
Je la suce goulûment et j’ai le plaisir de sentir qu’un peu de lait coule dans ma bouche.
J’avais bien l’impression que ses seins étaient très gonflés aussi quand j’ai fini d’en vider un je m’attaque à l’autre.
•Valérie, je viens d’accoucher d’une petite fille et il me reste encore un peu de lait, il est dommage qu’à cause de mon travail j’aie été obligé de la placer en nourrisse et de faire passer mon lait.
Oui, pompe le comme cela, et toi Christian continues à m’enculer, il est trop tôt pour que je me fasse baiser par la chatte.
Je comprends que la petite attend son retour de couches.
• Et le papa, il s’occupe de sa fille.
• En Belgique on peut avoir des enfants sans mari, il suffit d’avoir un donneur de sperme, dommage que je vous rencontre trop tard, j’aurais bien aimé avoir une petite métisse.
Elle m’embrasse en me disant cela, me montrant que pour elle, hommes ou femmes le principal comme nous c’est le plaisir qu’elle prend quand mon homme lui remplit son rectum de sperme.
« Mesdames et monsieur, vos deux pilotes ont bien surveillé votre vol l’une après l’autre mais ont pris un grand plaisir de voyager avec les deux amis qui sont assis derrière nous, nous allons atterrir à Toulouse dans quelques minutes.
Nous espérons que votre voyage a été agréable et nous vous disons à bientôt sur notre compagnie, Hilda que nous venons d’avoir par radio vous souhaite un bon retour »
L’atterrissage se fait en douceur et comme sur un avion de ligne nous applaudissons.
Nous roulons jusqu’à un emplacement où des employés apportent la passerelle qui va nous permettre de quitter l’appareil.
Benoit quitte le cockpit suivi de Nadia et l’une des jumelles.
• Juliette finit le travail, Valérie ce petit ira loin, Nadia nous a dit que tu l’avais embauché pour travailler dans le club libertin que tu vas ouvrir dans ton village.
Si tu le permets, nous sommes libres ce soir et Nadia nous a invités à venir chez toi, nous serions heureuses de visiter ta maison des plaisirs.
• Si Nadia vous a invité, elle a bien fait car elle vous a monopolisé dans le cockpit et nous pourrons faire plus ample connaissance.
• Je vais en ville avec Benoit comme prévu et nous venons tous ensemble vous rejoindre.
Arrivée au pied de l’escalier, une limousine identique à celle de Paris est là avec deux autres hommes aussi bien foutue et qui charge les bagages dans le coffre où j’ai le temps de remarquer une malle identique à celle qui est dans les soutes de l’avion mais de couleurs différentes.
Nous avons de la place car nous sommes quatre à l’intérieur.
Hélas, Christian est bien membré mais est un homme comme tous les autres qui a ses limites aussi Ange et moi, restons sagement côte à côte pendant que Rupert et Christian sont assis sur les sièges tournant le dos à la route.
Nous passons chez Pierre ou nous remplissons la malle et je récupère ma voiture pendant que je vois mon argent repartir vers l’avion ainsi que les tableaux car Hilda ma persuadée qu’il fallait m’en séparer même si j’ai les papiers en règle établie lors de l’achat.
Nous reprenons notre route et nous arrivons près de chez moi quand sur le trottoir face à ma maison des plaisirs un groupe de manifestants hurlent et brandissent des pancartes.
Je devrais dire de manifestantes car à part le curé qui pour l’occasion a mis sa soutane ce sont cinq vieilles rombières et un jeune homme qui crient leur colère.
Chacun d’eux a une pancarte où je peux lire.
* Non à la pornographie.
* Non au bordel.
* La pornographie dehors.
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