LE CHANTIER (64)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LE CHANTIER (64) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-11-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE CHANTIER (64)
À la fin du repas de Noël Christian mon amour emmène Barbara ma bru se baigner dans ma maison des Plaisirs, j’ai conscience que Damien le cuisinier que Nadia a embauché pour confectionner notre repas de Noël à tout entendu et peut colporter des ragots sur le nouveau proviseur du collège.
Quand j’arrive à la porte de la cuisine Nadia fine mouche à penser la même chose et par esprit de sacrifice contre son silence elle le laisse la baiser.
Sacrifice tout relatif car sous la pénétration de cet homme bien membré ma garce y prend beaucoup de plaisir, satisfait qu’elle ait pris conscience de ce qu’elle a joué dans la vie d’Angélina et qu’une nouvelle fois elle assume son rôle presque son erreur d’avoir parlé devant une tierce personne je me retourne pour voir que les apôtres et mes deux amis brillent par leur absence.
Seule Angélina est assise sur une chaise un tantinet prostrée.
Je m’approche lui prend la main et après lui avoir passé son manteau je prends moi aussi la direction du Palais.

La porte ouverte dès que j’approche de la piscine ce que je vois me contrarie légèrement en cette nuit de Noël.
J’ai prouvé que j’avais depuis quelque temps jeté le bébé avec l’eau du bain mais à part Christian qui soutient la nuque de Barbara faisant la planche dans l’eau me montrant son ventre rebondit et ses seins dénudés gonflés par la naissance future, les six jeunes ont un comportement plus choquant.
Ils sont tous couchés sur mon lit des plaisirs entièrement nus et semblent voir passer un bon moment alors que jusse espéré qu’ils restent sages.
Angélina toujours dans ses songes vient s’asseoir sur la margelle le bas de sa robe longue trempante dans l’eau.
Elle regarde Barbara semblant se souvenir de choses de son passé, je l’imite et moi aussi je sens les pans de ma robe s’alourdir par l’eau.
Repense-t-elle quand elle portait Antonin dans son ventre ou au virage que ses révélations vont faire prendre une nouvelle fois à sa vie.
Christian me voit et me montre ses dents blanches au milieu de son visage noir me prouvant un peu plus qu’en acceptant sa bague que je vois à mon doigt alors que j’ai passé mon bras autour de la poitrine d’Angélina empaumant l’un de ses seins j’ai fait le bon choix tant notre amour est profond.
Angélina toujours dans ses songes pose sa tête sur mon épaule ce qui me permet de voir les trois jeunes, Benoit placé sur le dos à son sexe au fond du sexe de Noémi alors que Valentine reçoit Antonin en elle et que Sylvain prend Ange en levrette.
Mon lit qui en a vu d’autres semble aimer que tous ces jeunes prennent leur plaisir ce qui arrive vite quand Ange commence à faire entendre des cris de plaisir.
Je regarde Barbara qui est toujours allongée sur l’eau et vue la direction ou son regard se pose, elle est dans l’impossibilité d’ignorer ce que ses belles-sœurs se font faire sans paraître s’émouvoir.
Sur le lit la situation évolue et Ange sur le dos reçoit Antonin, je prends la bouche d’Angélina en urgence quand je vois Benoît venir derrière son fils et sans aucune difficulté le sodomiser.
La totalité de la verge entre en lui jusqu’aux couilles et les grands coups de sexe qu’il lui inflige montrent que le garçon est loin d’être un novice dans la sodomie.

• Angélina vient, je vais te montrer ma cave.

Nous nous levons dans un mouvement l’empêchant de voir son fils profiter de la verge qui le pourfend car j’entends déjà les légers bruits de plaisir qu’il émet.
J’ouvre la porte et après avoir allumé je la fais descendre.
Arrivé en bas, elle a un mouvement de recul.
Je me saisis d’un martinet qui est posé sur le présentoir et par-dessus sa robe qui a laissé une traînée d’eau au sol je lui assène une première salve sur son postérieur.

• Tu me fais mal.
• Met cette cagoule, la sensation est bien meilleure quand on ignore quand le prochain coup va t’arriver.
• Si tu le dis, je te crois et ce sera ma manière d’expier mes mensonges.
• Vous êtes là, tu veux que j’attache Angélina à la croix.

C’est mon homme qui vient de descendre.

• Où est Barbara ?
• Dans la maison dans la chambre libre, elle dort déjà.
• Attache-nous.
Oui, attache-moi moi sur la croix à ses côtés, je veux l’accompagner et que tu me fasses circuler le sang.

Il prend une cagoule qu’il souhaite m’enfiler.

• Non, je veux voir quel homme sadique tu es en me fouettant alors que je fais tout pour que nos amis passent de bonnes fêtes de Noël.
• Arrête de parler et suce-moi avant que je t’attache.

Une nouvelle fois avec toujours autant de plaisir sa verge bandée vient quémander son plaisir ce que je fais volontiers avant que je sois les seins face à lui quand il arrache ma robe.
Il a déjà attaché Angélina qui semble accepter de se faire maltraiter sans opposer grande résistance, je comprends mieux la vie qu’elle a vécue car contrairement à moi cette femme est une femme soumise.
L’épisode de la cagoule me le montre, on lui dit de mettre une cagoule et elle accepte alors que moi ces biens en face, les yeux dans les yeux que j’affronte mon homme, dire que la finalité est la même certes car je suis attachée comme elle mais je regarde mon tortionnaire qui me torture avec une petite pointe d’ironie car il sait que s’il m’a attaché c’est pour mieux amener Angélina dans mes filets.
Très peu de temps après la cravache qui a remplacé le martinet vient zébrer mes seins ainsi que ceux d’Angélina qui au travers de la cagoule fait entendre un cri de douleur.
Elle se tortille comme si elle voulait arracher ses mains de nos menottes recouvertes de velours.
Les quelques coups qu’il nous porte sur le sexe m’existent au plus haut point quand le sang afflue à mes grandes lèvres.
Ce qui est parfait entre notre amie et moi c’est que je ressens à quelques secondes d’intervalle ce qu’elle ressent, je voudrais à ce moment lui prendre sa jolie bouche mais mes liens m’en empêchent.
Ce qu’elle nous a dit sur son opération me fait porter mon regard sur son intimité et je remarque que Christian évite de la flageller sur sa cicatrice que je vois maintenant que je sais qu’elle existe.
Christian arrête de se servir de la cravache, vient détacher Angélina pour mieux le faire tourner nous montrant son postérieur, il en fait de même pour moi agrémenté d’un baiser.
Dans le râtelier il prend un fouet du même type que ceux qui servent dans les cirques pour guider les chevaux autour de la piste.
Le premier coup est pour moi et je comprends que je vais épouser un sadique car le claquement du fouet doit arriver aux oreilles de ma copine de torture et doit lui apporter l’anxiété recherchée par ce genre de Maître dominant.
Quand elle reçoit le premier coup je vois la trace laissée sur l’une de ses mappemondes alors qu’une fraction de seconde après je dois avoir la même trace sur mon autre fesse.
Les dizaines de coups assénés son si précis que je pense qu’il s’est déjà servi de ce genre de fouet car chaque fois la trace est placée à un endroit différent évitant de nous déchirer la peau.
J’ignore ce qu’Angélina ressent mais moi je commence à m’affaisser sur mes bras mes jambes ayant de plus en plus de mal à me soutenir.

• Chérie, j’aime les tourments que tu nous fais endurer, nous avons certainement droit à ce traitement de ta part ayant été méchante mais j’aimerais faire connaître à notre amie un nouveau plaisir.

Il me détache me soutenant le temps que je récupère mon équilibre.
Nous détachons celle qui était soi-disant inexpérimenté côté sexe avant le début de soirée du moins à ce qu’elle nous avait dit.
Christian la porte dans ses bras un léger cri sortant de sa cagoule quand il lui touche le postérieur et me suit quand je lui montre ou il doit la déposer.
C’est sur le banc avec le gode à mouvement permanent où on la place sur le ventre les mains attachées sur les menottes fixées au sol.
Je lui enlève la cagoule et comme je suis à genoux après qu’elle a recouvré la vue le petit sourire qu’elle me montre dans un premier temps me montre que nous lui donnons du plaisir et que jusqu’alors rien ne la rebute.
Je règle le mécanisme pour que la pénétration soit maximale au fond de son vagin sans pour autant aller trop loin et la faire souffrir.
Je démarre l’appareil restant à regarder ses yeux quand il chavire une première fois, j’ai mis le système sur marche intermittente un quart d’heure par heure, notre amie va prendre autant de plaisir que moi quand on me la fait découvrir et va se souvenir de la fin de la nuit de Noël, je lui donne un baiser.

• Bonne nuit, à demain matin.
• Tu me laisses là.

Sans lui répondre Christian m’aide à me relever et je l’emmène dans le Jacuzzi que je démarre par les commandes placées sur l’appareil.
Pendant que je m’occupais d’Angélina, j’ai oublié la douleur due au coup de fouet mais se rappelle à moi.
L’eau reste à température tempérée et j’entre dans l’eau avec délectation adoucissant la douleur.
Christian me rejoint et a des velléités à vouloir faire l’amour, il faut dire que je suis devenue tellement sa chienne que chaque fois qu’il me donne son gros os noir à déguster ma bouche s’ouvre avec délectation.
Angélina est dans notre axe et je vois qu’elle apprécie les pénétrations produites par ma machine et la gorge profonde que je lui montre, manquant tout de même de m’étouffer tellement il est puissant mais réussissant ce que je cherchais et sentir avec mes mains qu’il est assez dur pour me pénétrer.

• Assied toi que tu puisses me mettre au plus profond de mon sexe.

Il le fait, je m’empale dos à lui voyant très nettement Angélina qui a un nouveau frisson de plaisir alors que mon amour me remplit si bien que je sens que ma jouissance approche.

• Tu vois Angélina, rien ne servait de nous mentir, moi aussi j’ai découvert le sexe, toi jeune moi sur le tard mais si tu le veux, tu pourras toujours rester avec nous et venir te servir dans cette salle quand tu le désireras et y amener qui tu voudras.

Certes la présence de son fil même il semble faire abstraction de sa présence quand il se faisait sodomiser alors qu’ils avaient bien vu qu’elle était là, je pense qu’il a décidé de vivre sa vie et de faire abstraction de celle qui l’a mise au monde.
La bite me fait de l’effet et j’ai un joli orgasme malgré la fatigue de cette nuit de Noël qui a vu mon grand jésus noir mettre l’enfant au fond de ma crèche...

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