LE CHANTIER (67)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-11-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LE CHANTIER (67)
Antonin vient me retrouver dans mon lit, abandonné par Christian certainement parti faire du sport et rester l’homme séduisant que je vais épouser en même temps que je vais ouvrir mon club libertin entièrement au service des femmes.
Le jeune garçon dormait certainement avec d’autres amis dans les chambres du haut quand il a nécessité d’uriner, je prends conscience qu’avant d’ouvrir il va falloir faire des travaux supplémentaires, travaux sans problème vu l’implication d’Hilda dans le projet.
Il me raconte comment il s’est fait sodomiser pendant une marche dans un camp scout avec à la clef une pratique qui s’est prolongée les années suivantes avec Zidane qui partageait l’encadrement du groupe.
Antonin est un passif, soumis à sa maman en premier lieu et à tous les hommes qui souhaitent le sodomiser car il m’avoue que s’il se fait mettre sans réticence par eux, de son côté à aucun moment dans ses aventures il est actif.
Pendant son histoire je le masturbe trois fois et il me doigte me donnant énormément de plaisir.
• Antonin, tout ce que tu m’as expliqué est loin d’être banal mais je vois que tu assumes très bien tout ce que tu as fait dans ta jeune vie, je suis sûr qu’ici tu vas t’épanouir, je vais t’aider à double titre, avec ta maman mais les heures dernières a engagé le processus.
Pour les regrets que tu as émis dans ton explication je vais essayer de t’aider.
Je vois ses yeux pleins d’incrédulité, il doit passer en accéléré dans sa tête tout ce qu’il m’a dit sans sembler trouver.
Je me lève, retrouve mes affaires et mon manteau sans remettre ma robe je quitte le palais et rejoint ma demeure voisine.
Je descends dans la cave pour libérer Angélina qui brille par son absence.
Nadia est dans la cuisine seule et une bonne odeur de café se fait sentir embaumant la pièce.
Elle s’approche de moi et m’embrasse tendrement.
• Joyeux Noël mon cœur, merci pour mon cadeau, elle est magnifique, j’adore le rouge, cela va très bien avec mon tempérament.
• C’est vrai, tu es un vrai torero et ta voiture sera de la même couleur que la muleta et avec ton épée tu es toujours prête à pourfendre tous les taureaux qui se mettent en travers de ton chemin.
• Je vois que tu es en forme, malgré la soirée à l’église et la fin de nuit dans le club.
• Le club parles-en, je me suis réveillée seule dans le lit abandonné par Christian, j’ai pensé qu’il était parti faire un jogging suivant ses bonnes résolutions de faire attention à sa ligne mais quand j’ai voulu aller libérer Angélina que nous avons mise sous la contrainte de l’appareil à bite, on l’a détachée.
Comme tous les deux brillent par leur absence j’ai peur qu’il ne me trompe.
• Cet incroyable, toi Valérie qui masturbait son fils dans le lit soi-disant abandonné par ton homme tu es jalouse.
À la jalouse, c’est laid, surtout que si tu peux boire un café chaud c’est grâce à lui.
• Tu sais quelque chose dit moi, rassure-moi, il est vrai que j’ai un peu masturbé Antonin ce matin j’ai même goûté à son sperme.
• Tu la sucer, tu lui as fait une pipe.
• Pas tout à fait, hier soir je l’ai vu se faire enculer par Benoit, c’est pour éviter à Angélina de voir son fils se faire défoncer l’anus qu’avec Christian nous lui avons fait connaître la cave ou nous l’avons laissée toute la nuit.
Ce matin après que je me suis réveillé seule Antonin est venu cherchant des W.C. je l’ai fait venir dans le lit pour lui demander où et comment il avait appris à se faire sodomiser, son récit était tellement prenant que sans y penser je l’ai masturbé et qu’il a une première fois déchargé jusque sur mon œil.
Il a continué son récit après que je m’être nettoyé, son histoire étant toujours prenante une seconde fois je lui ai repris la queue, il m’a prévenu à temps pour que ma bouche reçoive toutes les giclées et je dois te l’avoué j’ai trouvé très savoureuse de tout avaler en guise de petit déjeuner.
Mais dit moi ce que tu sais ou serais Christian.
• Tout doux ma belle, tu doutes de ton homme aussi je vais te faire un peu poiroter pour t’enlever définitivement cet esprit jaloux que je haïs, si depuis que je te connais j’avais dû être jalouse de toi il y a longtemps que je serais allé dans la cabane où tu m’as trouvé et que je me serais pendu à une des poutres.
• Tu veux rigoler, pour rentrer dans cette cabane il faut baisser la tête, tu te fiches de moi.
• Le supplice c’est d’attendre de savoir ou son Angélina et Christian, certainement qu’ils te font un petit dans le dos.
• Accouche, sinon je t’emmène dans le Palais, je t’attache à la croix et je te fouette jusqu’à ce que je t’aie enlevé la peau des fesses.
• Pour accoucher il faudrait que je sois enceinte et c’est loin d’être le cas, j’ai envie de profiter de la vie et celui qui me ferait un polichinelle est loin, très loin.
A moins que ce soit toi qui le sois, ce serait le pourquoi de la défense de ton mâle.
• Salope, j’ai dit à Angélina qu’ici nous sommes franches, mais si je dois en parler à quelqu’un en premier ce sera le père.
• J’avais vu juste tu es enceinte.
• Dommage madame je sais tous, j’ai eu mes règles il y a quelques jours.
• Merde, j’ai entendu Petrov parler avec Christian il y a peu et ils sont tombés d’accord, ils aimeraient que vous ayez des enfants.
Je vois, j’arrête de te taquiner, tu as raison que ce soit le père qui soit prévenu le premier, dommage je me voyais bien marraine.
• Toi marraine d’un petit ou d’une petite catho.
• Tu es formaliste, le maire de la commune peut pratiquer des baptêmes civils.
• Explique-moi pour Christian et Angélina.
• Quand je me suis réveillé, j’ai entendu parler dans l’appartement tu étais avec le jeune garçon et je reconnais que tu l’écoutais benoîtement.
Je suis reparti et je suis arrivé dans notre maison, Christian était dans la cuisine avec Angélina, il avait dû la libérer et il préparait le café.
Il nous a servis et est monté dans votre chambre, quelques minutes après il a passé la tête pour nous saluer dans sa tenue de jogging et nous a quittés, depuis qu’il est parti il doit avoir fait plus de 5 kilomètres.
Quant à Angélina elle est montée dans sa voiture et doit déjà dormir car à ce qu’elle nous a dit ta machine qui redémarrait régulièrement l’a fait jouir des dizaines de fois, elle avait les yeux au milieu de la figure je lui ai même proposé de la raccompagner de peur qu’elle ne s’endorme au volant me permettant d’essayer ton cadeau de Noël.
• Si tu le veux, je monte me doucher et me changer et nous irons l’essayer, en même temps j’ai un coup de téléphone à passer, il faut simplement que je trouve mon portable, c’est vrai il est sur ma table de nuit à se recharger, si Angélina était fatiguée je le suis autant.
Cinq minutes après j’ai récupéré mon téléphone.
• Allo Hilda, joyeux Noël.
Je mets sur haut-parleur pour me maquiller pour ôter les stigmates de notre nuit.
• Joyeux Noël à toi aussi Valérie, tu t’es bien remise de ton voyage chez moi et la petite surprise de vous avoir vêtu comme mes putes.
• Au début c’est surprenant mais le moment que j’ai passé avec Claude le jeune puceau me laisse un souvenir impérissable.
L’as-tu revu ?
• Oui, ils travaillent tous les deux pour moi dans l’usine de retraitement, je garde le reste secret, tu risques d’avoir une surprise un jour prochain mais rien n’est ficelé définitivement.
Je connais Hilda toujours mystérieuse et si elle a décidé de se taire j’évite d’insister.
• Tu es toujours à ta boîte, tu fêtes Noël avec tes filles.
• Oui, le champagne coule a flot, nous sommes avec quelques clients très fidèles.
• Les plus assidus.
• Oui, ceux qui payent le mieux, je vais faire plus de fric avec eux pendant cette soirée qu’en temps normal.
• Tu es drôle, ils ont tous mis le jésus dans la crèche.
• Mes filles sont elles aussi satisfaites.
Je pense que si tu me déranges pendant que la remplaçante d’Ange me broute c’est que tu as quelque chose à me demander.
• Oui, je voudrais que tu me rendes un service dans le prolongement de celui que tu m’as fait en poussant dans son monastère notre vieux curé.
• En parlant de cela, j’ai eu vent que le petit nouveau est à croquer.
• Hilda un homme d’Église et le jour de Noël, il est vrai qu’il est mignon nous avons été à la messe de Noël hier soir.
• Que veux-tu alors ?
Je lui explique ce que j’attends d’elle et elle me promet de tous faire pour me rendre ce nouveau service.
• Tu as su que Nadia est reçue à son examen du permis de conduire.
• Oui je l’ai eu au téléphone.
• Je lui ai offert une voiture pour Noël.
• Joli cadeau, elle le mérite, elle t’assiste impeccablement.
• Elle est en bas, elle m’attend pour aller l’essayer, mais tu vas la voir, je te l’envoie dès demain et elle t’aideras à faire ce que je viens de te demander.
Quand nous voyons nous ?
• Après les fêtes je crois que j’ai rendez-vous avec le maire de ta ville pour signer les papiers définitifs en vue du début des travaux et de regarder l’implantation de l’hôtel près de l’autoroute et de notre maison des plaisirs mais elle l’ignore encore.
• Tu es sûr que les choses vous allez si vite.
• Rien ne résiste à Hilda quand elle a bu du champagne, mais raccrochons, la langue de Jennifer commence à me faire de l’effet.
C’est comme cela que je retourne auprès de Nadia qui m’attend ses clefs en main.
• Nadia, demain tu pars pour Anvers, tu vas aider Hilda je lui ai demandé un service.
• Chouette, je peux rester jusqu’au premier de l’An.
• Oui mais tu devras être de retour pour le 3 janvier, Sosso et Criss compte sur toi pour notre soirée, ils doivent m’envoyer un SMS pour me donner l’endroit ou elle va se tenir.
Je remets mon manteau et deux minutes après, le moteur vrombi.
• Tu es folle Nadia, tu vas nous tuer, c’est cinquante en ville.
• On peut y aller, le jour de Noël, les gendarmes sont en famille et en ce moment ils doivent être en train de monter les jouets des enfants pestant contre la multitude de petites pièces qu’ils vont avoir à assembler pour finir par s’apercevoir qu’ils ont oublié d’acheter des piles.
• Tu abuses, nous sommes presque à 100,
• Il faut bien que je débride le moteur.
• Tu parles javanais maintenant que veut dire débrider le moteur.
• Le débrider, le dégommer si tu veux, c’est le garagiste qui m’a dit cela la fois où je suis allée négocier son vote à votre conseil.
Il m’a dit poupée je vais te débrider le moteur avant de te le dégommer.
« Wouin, wouin, wouin »
• Que fais-tu, ce sont des motards tu vas avoir en plus un délit de fuite, nous roulons à 140 en ville ?
« Wouin, wouin, wouin »…
Le jeune garçon dormait certainement avec d’autres amis dans les chambres du haut quand il a nécessité d’uriner, je prends conscience qu’avant d’ouvrir il va falloir faire des travaux supplémentaires, travaux sans problème vu l’implication d’Hilda dans le projet.
Il me raconte comment il s’est fait sodomiser pendant une marche dans un camp scout avec à la clef une pratique qui s’est prolongée les années suivantes avec Zidane qui partageait l’encadrement du groupe.
Antonin est un passif, soumis à sa maman en premier lieu et à tous les hommes qui souhaitent le sodomiser car il m’avoue que s’il se fait mettre sans réticence par eux, de son côté à aucun moment dans ses aventures il est actif.
Pendant son histoire je le masturbe trois fois et il me doigte me donnant énormément de plaisir.
• Antonin, tout ce que tu m’as expliqué est loin d’être banal mais je vois que tu assumes très bien tout ce que tu as fait dans ta jeune vie, je suis sûr qu’ici tu vas t’épanouir, je vais t’aider à double titre, avec ta maman mais les heures dernières a engagé le processus.
Pour les regrets que tu as émis dans ton explication je vais essayer de t’aider.
Je vois ses yeux pleins d’incrédulité, il doit passer en accéléré dans sa tête tout ce qu’il m’a dit sans sembler trouver.
Je me lève, retrouve mes affaires et mon manteau sans remettre ma robe je quitte le palais et rejoint ma demeure voisine.
Je descends dans la cave pour libérer Angélina qui brille par son absence.
Nadia est dans la cuisine seule et une bonne odeur de café se fait sentir embaumant la pièce.
Elle s’approche de moi et m’embrasse tendrement.
• Joyeux Noël mon cœur, merci pour mon cadeau, elle est magnifique, j’adore le rouge, cela va très bien avec mon tempérament.
• C’est vrai, tu es un vrai torero et ta voiture sera de la même couleur que la muleta et avec ton épée tu es toujours prête à pourfendre tous les taureaux qui se mettent en travers de ton chemin.
• Je vois que tu es en forme, malgré la soirée à l’église et la fin de nuit dans le club.
• Le club parles-en, je me suis réveillée seule dans le lit abandonné par Christian, j’ai pensé qu’il était parti faire un jogging suivant ses bonnes résolutions de faire attention à sa ligne mais quand j’ai voulu aller libérer Angélina que nous avons mise sous la contrainte de l’appareil à bite, on l’a détachée.
Comme tous les deux brillent par leur absence j’ai peur qu’il ne me trompe.
• Cet incroyable, toi Valérie qui masturbait son fils dans le lit soi-disant abandonné par ton homme tu es jalouse.
À la jalouse, c’est laid, surtout que si tu peux boire un café chaud c’est grâce à lui.
• Tu sais quelque chose dit moi, rassure-moi, il est vrai que j’ai un peu masturbé Antonin ce matin j’ai même goûté à son sperme.
• Tu la sucer, tu lui as fait une pipe.
• Pas tout à fait, hier soir je l’ai vu se faire enculer par Benoit, c’est pour éviter à Angélina de voir son fils se faire défoncer l’anus qu’avec Christian nous lui avons fait connaître la cave ou nous l’avons laissée toute la nuit.
Ce matin après que je me suis réveillé seule Antonin est venu cherchant des W.C. je l’ai fait venir dans le lit pour lui demander où et comment il avait appris à se faire sodomiser, son récit était tellement prenant que sans y penser je l’ai masturbé et qu’il a une première fois déchargé jusque sur mon œil.
Il a continué son récit après que je m’être nettoyé, son histoire étant toujours prenante une seconde fois je lui ai repris la queue, il m’a prévenu à temps pour que ma bouche reçoive toutes les giclées et je dois te l’avoué j’ai trouvé très savoureuse de tout avaler en guise de petit déjeuner.
Mais dit moi ce que tu sais ou serais Christian.
• Tout doux ma belle, tu doutes de ton homme aussi je vais te faire un peu poiroter pour t’enlever définitivement cet esprit jaloux que je haïs, si depuis que je te connais j’avais dû être jalouse de toi il y a longtemps que je serais allé dans la cabane où tu m’as trouvé et que je me serais pendu à une des poutres.
• Tu veux rigoler, pour rentrer dans cette cabane il faut baisser la tête, tu te fiches de moi.
• Le supplice c’est d’attendre de savoir ou son Angélina et Christian, certainement qu’ils te font un petit dans le dos.
• Accouche, sinon je t’emmène dans le Palais, je t’attache à la croix et je te fouette jusqu’à ce que je t’aie enlevé la peau des fesses.
• Pour accoucher il faudrait que je sois enceinte et c’est loin d’être le cas, j’ai envie de profiter de la vie et celui qui me ferait un polichinelle est loin, très loin.
A moins que ce soit toi qui le sois, ce serait le pourquoi de la défense de ton mâle.
• Salope, j’ai dit à Angélina qu’ici nous sommes franches, mais si je dois en parler à quelqu’un en premier ce sera le père.
• J’avais vu juste tu es enceinte.
• Dommage madame je sais tous, j’ai eu mes règles il y a quelques jours.
• Merde, j’ai entendu Petrov parler avec Christian il y a peu et ils sont tombés d’accord, ils aimeraient que vous ayez des enfants.
Je vois, j’arrête de te taquiner, tu as raison que ce soit le père qui soit prévenu le premier, dommage je me voyais bien marraine.
• Toi marraine d’un petit ou d’une petite catho.
• Tu es formaliste, le maire de la commune peut pratiquer des baptêmes civils.
• Explique-moi pour Christian et Angélina.
• Quand je me suis réveillé, j’ai entendu parler dans l’appartement tu étais avec le jeune garçon et je reconnais que tu l’écoutais benoîtement.
Je suis reparti et je suis arrivé dans notre maison, Christian était dans la cuisine avec Angélina, il avait dû la libérer et il préparait le café.
Il nous a servis et est monté dans votre chambre, quelques minutes après il a passé la tête pour nous saluer dans sa tenue de jogging et nous a quittés, depuis qu’il est parti il doit avoir fait plus de 5 kilomètres.
Quant à Angélina elle est montée dans sa voiture et doit déjà dormir car à ce qu’elle nous a dit ta machine qui redémarrait régulièrement l’a fait jouir des dizaines de fois, elle avait les yeux au milieu de la figure je lui ai même proposé de la raccompagner de peur qu’elle ne s’endorme au volant me permettant d’essayer ton cadeau de Noël.
• Si tu le veux, je monte me doucher et me changer et nous irons l’essayer, en même temps j’ai un coup de téléphone à passer, il faut simplement que je trouve mon portable, c’est vrai il est sur ma table de nuit à se recharger, si Angélina était fatiguée je le suis autant.
Cinq minutes après j’ai récupéré mon téléphone.
• Allo Hilda, joyeux Noël.
Je mets sur haut-parleur pour me maquiller pour ôter les stigmates de notre nuit.
• Joyeux Noël à toi aussi Valérie, tu t’es bien remise de ton voyage chez moi et la petite surprise de vous avoir vêtu comme mes putes.
• Au début c’est surprenant mais le moment que j’ai passé avec Claude le jeune puceau me laisse un souvenir impérissable.
L’as-tu revu ?
• Oui, ils travaillent tous les deux pour moi dans l’usine de retraitement, je garde le reste secret, tu risques d’avoir une surprise un jour prochain mais rien n’est ficelé définitivement.
Je connais Hilda toujours mystérieuse et si elle a décidé de se taire j’évite d’insister.
• Tu es toujours à ta boîte, tu fêtes Noël avec tes filles.
• Oui, le champagne coule a flot, nous sommes avec quelques clients très fidèles.
• Les plus assidus.
• Oui, ceux qui payent le mieux, je vais faire plus de fric avec eux pendant cette soirée qu’en temps normal.
• Tu es drôle, ils ont tous mis le jésus dans la crèche.
• Mes filles sont elles aussi satisfaites.
Je pense que si tu me déranges pendant que la remplaçante d’Ange me broute c’est que tu as quelque chose à me demander.
• Oui, je voudrais que tu me rendes un service dans le prolongement de celui que tu m’as fait en poussant dans son monastère notre vieux curé.
• En parlant de cela, j’ai eu vent que le petit nouveau est à croquer.
• Hilda un homme d’Église et le jour de Noël, il est vrai qu’il est mignon nous avons été à la messe de Noël hier soir.
• Que veux-tu alors ?
Je lui explique ce que j’attends d’elle et elle me promet de tous faire pour me rendre ce nouveau service.
• Tu as su que Nadia est reçue à son examen du permis de conduire.
• Oui je l’ai eu au téléphone.
• Je lui ai offert une voiture pour Noël.
• Joli cadeau, elle le mérite, elle t’assiste impeccablement.
• Elle est en bas, elle m’attend pour aller l’essayer, mais tu vas la voir, je te l’envoie dès demain et elle t’aideras à faire ce que je viens de te demander.
Quand nous voyons nous ?
• Après les fêtes je crois que j’ai rendez-vous avec le maire de ta ville pour signer les papiers définitifs en vue du début des travaux et de regarder l’implantation de l’hôtel près de l’autoroute et de notre maison des plaisirs mais elle l’ignore encore.
• Tu es sûr que les choses vous allez si vite.
• Rien ne résiste à Hilda quand elle a bu du champagne, mais raccrochons, la langue de Jennifer commence à me faire de l’effet.
C’est comme cela que je retourne auprès de Nadia qui m’attend ses clefs en main.
• Nadia, demain tu pars pour Anvers, tu vas aider Hilda je lui ai demandé un service.
• Chouette, je peux rester jusqu’au premier de l’An.
• Oui mais tu devras être de retour pour le 3 janvier, Sosso et Criss compte sur toi pour notre soirée, ils doivent m’envoyer un SMS pour me donner l’endroit ou elle va se tenir.
Je remets mon manteau et deux minutes après, le moteur vrombi.
• Tu es folle Nadia, tu vas nous tuer, c’est cinquante en ville.
• On peut y aller, le jour de Noël, les gendarmes sont en famille et en ce moment ils doivent être en train de monter les jouets des enfants pestant contre la multitude de petites pièces qu’ils vont avoir à assembler pour finir par s’apercevoir qu’ils ont oublié d’acheter des piles.
• Tu abuses, nous sommes presque à 100,
• Il faut bien que je débride le moteur.
• Tu parles javanais maintenant que veut dire débrider le moteur.
• Le débrider, le dégommer si tu veux, c’est le garagiste qui m’a dit cela la fois où je suis allée négocier son vote à votre conseil.
Il m’a dit poupée je vais te débrider le moteur avant de te le dégommer.
« Wouin, wouin, wouin »
• Que fais-tu, ce sont des motards tu vas avoir en plus un délit de fuite, nous roulons à 140 en ville ?
« Wouin, wouin, wouin »…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Super pensée, je viens de regarder un film et j'ai besoin d'un coup d'écrire la suite du chapitre 10 de "La comtesse de Fortchambeau" qui se passe pendant la révolution et qui me donne beaucoup de recherches à faire pour que cela soit crédible pour les lecteurs.
Merci Vieulou
Merci Vieulou
Les notes j'ai trop longtemps prêté attention à ces menteurs. Je pense que le principal, c'est le plaisir que l'auteur prend à écrire.
Cordialement
Vieulou
Cordialement
Vieulou