LE CHANTIER (7)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-05-2015 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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LE CHANTIER (7)
Où suis-je lorsque le soleil vient caresser ma peau au travers de la fenêtre du bungalow. Où j’ai passé la nuit dans les bras de…
Tout me revient, la main, les lèvres, nos lèvres sur nos intimités et les orgasmes qui ont dévasté nos corps.
Ma tête est tournée du côté de celle qui est la cause de cette nuit magique pour moi qui à cinquante ans vient de découvrir que l’on peut aussi bien aimer les sexes mâles que femelles.
Devant mes yeux une enfant avec un casque noir dort en suçant son pouce.
Mon bras coincé sous son cou est ankylosé, mais pour rien au monde je ne bougerais risquant de casser ce moment de grace du sommeil de cette petite.
Lorsqu’elle ouvre les yeux qu’elle me voie, c’est le regard autre que celui d’une enfant que j’ai devant moi mais celui d’une femme amoureuse qui s’empresse de me tendre sa bouche.
• Qui es-tu, un ange ou un démon,
Elle part dans un grand éclat de rire et vient poser sa bouche une nouvelle fois sur la mienne.
• Ni l’un ni l’autre, juste une jeune fille en rupture familiale.
• Que t’est-il arrivé ?
• J’habite à Toulon et un jour mon père m’a demandé d’aller faire ma valise pour partir en vacances dans notre famille en Tunisie.
Nous, les filles, nous savons que faire la valise c’est pour traverser la Méditerranée et aller épouser celui que notre père a choisi.
J’ai rapidement rempli mon sac à dos acheté pour un voyage d’école où nous avions campé, j’ai discrètement ouvert la porte et je suis partie en courant.
• Toulon est très loin, tu as beaucoup marché.
• Le stop cela marche surtout pour une jolie fille.
• C’est dangereux.
• Le poignard ramené par ma mère de Tunisie qu’elle met sous la gorge de mon paternel lorsqu’il dépasse les bornes m’a bien servi.
Bien servi, j’exagère, une seule fois avec un routier qui voulait que je passe sur la couchette de sa cabine pour me faire payer un droit de passage.
• Tu l’aurais planté.
• Essaye de me toucher pour me faire mal et tu auras ta réponse.
Le nouveau baisé que nous échangeons contredit cette phrase, nous aspirons à nous faire du bien malgré l’exiguïté de ce lit surtout lorsque je lève la tête pour venir au creux de sa fourche et que je me la fracasse sur le montant en fer de celui du dessus, que je m’entaille le crâne et que du sang tombe sur le ventre de celle dont je ne connais pas le prénom.
• Viens chez toi, je vais te soigner, je viens de finir l’avant-dernière année de mes études d’infirmière.
Nous nous levons et nous sortons, nous tenant par la main le visage couvert de sang.
• Et ton sac ?
• Il est déjà chez toi.
Nous marchons vers le trou dans la haie lorsqu’elle me parle de son sac, l’incrédulité se lit sur mon visage.
Nous entrons par la baie et je la conduis dans la salle de bains pour nettoyer ma plaie.
• C’est superficiel, une petite coupure dans huit jours, tout sera cicatrisé.
Elle me nettoie en me présentant ses seins devant moi. J’en attrape un avec ma bouche et son aréole grosse comme une noisette réagit immédiatement.
Une fois ma tête en état nous descendons et je prépare un petit déjeuner que nous allons prendre au bord de la piscine au soleil levant.
• Pour commencer, comment t’appelles-tu ?
• Nadia.
• Tu as dit que ton sac est déjà chez moi, où l’as-tu mis ?
• Dans la cabane sur le côté de la maison où ta tondeuse est rangée.
• Depuis quand ?
• Le soir ou l’orage a éclaté et que, je t’ai vu faire l’amour avec tes deux amants dans leur bungalow.
• Tu étais là.
• Oui, j’étais arrivé dans l’après-midi près de ce chantier et j’ai vu des hommes allés et venir. J’espérais trouver de quoi manger, car l’argent me manquait.
Les voitures des responsables partaient et lorsque le parking a été libéré, je suis entré en déplaçant le grillage de protection.
J’ai vu des hommes près d’un bungalow préparer un feu et mettre en place un système de barbecue.
Je souhaitais rester caché tout le temps qu’ils finissent la tambouille, je me suis mise sous un gros engin qui me faisait de l’ombre.
J’allais m’approcher lorsque je t’ai vu arriver du côté de la cabane. J’étais étonné qu’une femme de ta classe vienne se mêler à de simples ouvriers.
• Tu pouvais nous rejoindre.
• J’ai eu peur de casser l’ambiance surtout quand tu t’es mise à danser avec eux en te frottant comme une chatte attendant son mâle. J’ai voulu voir jusqu’où tu allais aller avec eux.
• Tu as dû être satisfaite de voir cette bourgeoise se transformer en chienne attendant de se faire saillir par ces hommes.
• L’orage qui montait face à moi et que vous n’avez pas vu venir m’inquiétait et je pensais à sauver mon sac de l’eau qui allait sûrement tomber.
J’ai réussi à le caler sous la cabine de l’engin quand l’eau est tombée avec une quantité et force rarement vu.
Je t’ai regardé entré avec tous ces hommes et j’étais persuadé qu’une dame de ta prestance allait cadrer ces hommes et te faire respecter à l’intérieur.
Étant déjà trempé, je me suis approché de la fenêtre.
La lumière était restée éteinte, je t’ai vu à chaque éclaire te laisser t’essuyer en enlevant tes affaires, prendre la verge du grand noir et la sucer, te faire soulever pour, t’empaler sur sa bite toute noire et d’un diamètre énorme.
Lorsqu’il t’a soulevé pour entrer dans ta chatte, j’ai eu mal pour toi, mais la tête que tu m’as montrée dans une fraction de seconde ou un éclair à zébrer m’a montré que ce sexe te donnait un plaisir que je souhaite découvrir un jour.
Enfin, j’ai compris qu’une femme si elle sait trouver des hommes à la hauteur de ses envies se contrefiche du niveau social et peut devenir la folle du cul que tu étais devenue.
Enfin, tu t’es fait prendre par les deux hommes sur la table, apothéose de ce moment extraordinaire pour une jeune fille comme moi que tu me montrais.
Un moment tu as tourné ton visage vers moi et lors de l’éclair, j’ai cru que tu m’avais vu.
Le visage que tu présentais m’a montré qu’une femme bien baiser prenait un plaisir immense avec des hommes d’une autre classe sociale que la sienne.
• Tu as dû me voir quand j’ai tourné de l’œil.
• Oui, ils étaient paniqués et ils ont décidé de te ramener chez toi. Le monsieur noir t’a pris dans ses bras et t’a porté jusqu'à ta maison.
Un dernier éclair m’a permis de voir la cabane de jardinier et je me suis mise à l’abri pour la fin de la nuit.
J’étais trempé et je me suis dénudée, j’étais transi, j’ai mis la combinaison de travail qui se trouvait là et je me suis endormi.
• C’est ma combinaison lorsque je m’occupe de mes fleurs.
• Je sais après la nuit que nous avons passée, j’ai reconnu ton parfum.
• Tu vas me faire rougir.
• Non, tu sens le poivre et j’aime l’odeur de cette épice moi qui suis une femme du soleil.
Lorsque je me suis réveillé, j’ai vu le grand noir aller vers ta maison avec un grand sac et pendant plusieurs heures, je suis restée tapie avant de m’apercevoir que vous aviez quitté les lieux et que j’étais maîtresse des lieux.
J’avais faim, mais ta piscine me tentait, J’avais besoin de me laver la chatte car je venais d’avoir mes règles et un bon décrassage s’imposait.
Prudemment je suis sortie et j’ai repassé la haie pour aller chercher mon sac.
Le chantier et la cabane des ouvriers étaient vides. Je l’ai récupéré et je suis allé m’asseoir les jambes dans l’eau. Je me suis brossé les dents et après avoir enlevé ta combinaison, j’ai sauté dedans et j’ai nagé tout en me savonnant à chaque passage près de mes affaires.
Tu m’excuseras d’avoir fait cela dans ta piscine, mais lorsque l’on est S.D.F, on ne recule devant rien pour rester présentable.
• Dommage que tu sois restée dehors, tu aurais pu profiter de ma baignoire.
• Détrompes-toi, je l’ai fait, pendant l’attente pour savoir s’il y avait encore quelqu’un, j’ai fait le tour de la cabane pour voir s’il y avait des choses intéressantes à chaparder pour les vendre pour m’acheter à manger. Ces là, que j’ai trouvé la boîte où il y avait des clefs. Je suis allé les essayer et il y en avait une qui ouvrait la porte-fenêtre de la salle.
• L’une des autres ouvre la porte principale sur le devant.
• Je suis allé dans la cuisine et j’ai préparé un bon cassoulet de la région que j’ai trouvé dans tes placards.
Le kilogramme a juste suffi pour caler ma faim.
Ton frigo était une mine d’or pour moi qui avait été privée depuis longtemps, de yaourt et des fraises que tu avais laissés.
• Je suis partie précipitamment sans penser au réfrigérateur. Je suis contente que tu en aies profité.
• Pour en profiter, je l’ai fait, j’ai squatté ta salle de bains, ton lit ou je me suis couché jusqu’à ton retour.
• Si j’avais su que tu étais là, je serais revenue plus vite.
Et la cabane de chantier, comment as-tu eu l’idée de me rejoindre dans mon désarroi ?
• Je savais que tu reviendrais. J’avais pris mes précautions et j’étais prête à vider les lieux très rapidement. J’avais laissé mon sac dans la cabane et lorsque tu es arrivé, je m’y suis replié.
Quand je t’ai vu nue près de ta piscine, j’ai failli te rejoindre et surtout quand tu t’es frotté la chatte sur l’accoudoir en rotin de ta chaise longue, j’ai compris qu’elle te démangeait et que tu étais orpheline des deux verges qui étaient absentes.
• Tu m’as vu dans cette position obscène.
• Que dis-tu, pas obscène, bandante ?
Lorsque je t’ai vu passer la haie et aller vers le campement, je t’ai suivi.
Je rêvais de toi depuis que j’avais senti ton odeur partout chez toi.
Il est bizarre de tomber amoureuse de l’essence naturelle d’une femme et de réaliser son rêve.
Avant-hier j’ai pris peur lorsque des tôles ont bougé avec le vent et que je me suis enfui.
Dans mon petit réduit, je te voyais aller et venir et j’avais peur d’avoir gâché ma chance. Lorsque hier au soir je t’ai vu repasser, devant j’étais bien décidé à te conquérir. Je suis contente d’avoir réussi et fais l’amour avec toi.
• Tu sembles bien connaître l’amour entre femmes malgré ton jeune âge, pour moi tu es la première fois.
• Dans nos cités, les filles qui couchent sont considérées par les garçons comme des filles faciles à baiser qui peuvent servir à tous lors de tournantes.
Pour éviter cette infamie avec ma cousine, nous sortions seulement pour aller en cours alors il est facile à comprendre que, lorsque nos parents étaient au travail, nous avions pris l’habitude de jouer à des jeux érotiques entre femmes.
• Apprends-moi ?
• Viens.
Elle m’entraîne dans la piscine en faisant attention à ce que ma tête reste hors de l’eau.
Elle nage dans une brasse qui chaque fois qu’elle écarte les jambes étant moins rapide, j’aperçois sa grosse touffe noire.
Fatigué je m’arrête sur les marches et je me retourne pour la voir faire un aller et retour.
Lorsqu’elle arrive, elle se laisse glisser et sa bouche vient mourir sur mon intimité.
J’ai ouvert mes cuisses pour dégager mon abricot afin qu’elle le saisisse avec sa bouche.
Je retrouve sa langue experte qui met quelques secondes à faire démarrer mon plaisir.
Rajouter à cela le clapotis de l’eau qui passe sur mon clitoris le refroidissant pour qu’il s’enflamme de plus bel lorsque la fraction de seconde suivante.
Le chaud et le froid m’apportent des sensations encore nouvelles qui me permettent de pousser des cris que je laisse sortir de ma gorge lorsque pour la première fois de ma vie des petits jets de liquide viennent se mélanger aux dizaines de mètres cubes d’eau de la piscine.
Pour apprendre la suite de ce qu’elle peut me procurer, je sors et l’entraîne sur mon lit de plaisir.
Elle s’allonge profitant de la courbure de l’endroit pour écarter ses cuisses et me faire venir à ses pieds.
Avec ses mains, elle tire de chaque côté de sa vulve me montrant le rose de son intimité.
• Valérie, tu vois ici aucun homme n’est entré et j’ai hâte de perdre ma virginité, ce qui me séparera définitivement de ceux qui voulaient me marier avec un homme de mon pays sans mon consentement et qui était certainement vieux et repoussant.
La virginité est primordiale pour les hommes de mon pays d’origine.
Dans certains pays africains, les filles sont cousues avec des épines et le mari la découd le soir de ses noces avec un petit couteau pour preuve qu’aucun homme ne l’a touché.
De plus, beaucoup de filles se voient enlever leur clitoris. J’ai failli avoir cette ablation par des matrones de notre pays, mais ma mère a sorti son couteau pour la première fois en France et elle s’est farouchement opposée. C’est ainsi que j’ai échappé à cette ignominie.
Profite de ce qu’il soit là, il est à toi, fais-lui tout ce que tu veux, tu vas voir, il aime être bousculé.
Je m’avance et j’emprisonne dans ma bouche son excroissance qui sort de ses grandes lèvres. Chez moi pour voir le mien, je suis obligé de les écarter, car il mesure la moitié de la grandeur du sien.
Elle jouit grace à ma bouche.
Cela va paraître banal, mais je suis fière d’avoir réussi à faire jouir une femme.
Je pensais que l’amour entre nous consistait à brouter la chatte de l’autre pour jouir.
Quand elle me fait placer, jambes écartées sur la pointe de mon lit et approche, sa vulve dans la même position pour se souder lèvres à lèvres, je découvre un terrain de jeu nouveau.
Le frottement de son clitoris, sur le mien, procure à mon cerveau des sensations encore nouvelles. Comment ai-je pu ignorer ces plaisirs féminins et les découvrir par une jeune fille qui a la moitié de mon âge ?
Depuis l’arrivée de Petrov, je vais de plaisirs en découvertes nouvelles et d’amours de plus en plus profonds pour ceux qui me les procures.
Ce qui me plaît le plus c’est de savoir que dans quelques jours outre le retour de mes amants, mon divorce sera prononcé à mon avantage et que tous ces plaisirs seront le fruit de nos amours et non plus de mon adultère.
Tout me revient, la main, les lèvres, nos lèvres sur nos intimités et les orgasmes qui ont dévasté nos corps.
Ma tête est tournée du côté de celle qui est la cause de cette nuit magique pour moi qui à cinquante ans vient de découvrir que l’on peut aussi bien aimer les sexes mâles que femelles.
Devant mes yeux une enfant avec un casque noir dort en suçant son pouce.
Mon bras coincé sous son cou est ankylosé, mais pour rien au monde je ne bougerais risquant de casser ce moment de grace du sommeil de cette petite.
Lorsqu’elle ouvre les yeux qu’elle me voie, c’est le regard autre que celui d’une enfant que j’ai devant moi mais celui d’une femme amoureuse qui s’empresse de me tendre sa bouche.
• Qui es-tu, un ange ou un démon,
Elle part dans un grand éclat de rire et vient poser sa bouche une nouvelle fois sur la mienne.
• Ni l’un ni l’autre, juste une jeune fille en rupture familiale.
• Que t’est-il arrivé ?
• J’habite à Toulon et un jour mon père m’a demandé d’aller faire ma valise pour partir en vacances dans notre famille en Tunisie.
Nous, les filles, nous savons que faire la valise c’est pour traverser la Méditerranée et aller épouser celui que notre père a choisi.
J’ai rapidement rempli mon sac à dos acheté pour un voyage d’école où nous avions campé, j’ai discrètement ouvert la porte et je suis partie en courant.
• Toulon est très loin, tu as beaucoup marché.
• Le stop cela marche surtout pour une jolie fille.
• C’est dangereux.
• Le poignard ramené par ma mère de Tunisie qu’elle met sous la gorge de mon paternel lorsqu’il dépasse les bornes m’a bien servi.
Bien servi, j’exagère, une seule fois avec un routier qui voulait que je passe sur la couchette de sa cabine pour me faire payer un droit de passage.
• Tu l’aurais planté.
• Essaye de me toucher pour me faire mal et tu auras ta réponse.
Le nouveau baisé que nous échangeons contredit cette phrase, nous aspirons à nous faire du bien malgré l’exiguïté de ce lit surtout lorsque je lève la tête pour venir au creux de sa fourche et que je me la fracasse sur le montant en fer de celui du dessus, que je m’entaille le crâne et que du sang tombe sur le ventre de celle dont je ne connais pas le prénom.
• Viens chez toi, je vais te soigner, je viens de finir l’avant-dernière année de mes études d’infirmière.
Nous nous levons et nous sortons, nous tenant par la main le visage couvert de sang.
• Et ton sac ?
• Il est déjà chez toi.
Nous marchons vers le trou dans la haie lorsqu’elle me parle de son sac, l’incrédulité se lit sur mon visage.
Nous entrons par la baie et je la conduis dans la salle de bains pour nettoyer ma plaie.
• C’est superficiel, une petite coupure dans huit jours, tout sera cicatrisé.
Elle me nettoie en me présentant ses seins devant moi. J’en attrape un avec ma bouche et son aréole grosse comme une noisette réagit immédiatement.
Une fois ma tête en état nous descendons et je prépare un petit déjeuner que nous allons prendre au bord de la piscine au soleil levant.
• Pour commencer, comment t’appelles-tu ?
• Nadia.
• Tu as dit que ton sac est déjà chez moi, où l’as-tu mis ?
• Dans la cabane sur le côté de la maison où ta tondeuse est rangée.
• Depuis quand ?
• Le soir ou l’orage a éclaté et que, je t’ai vu faire l’amour avec tes deux amants dans leur bungalow.
• Tu étais là.
• Oui, j’étais arrivé dans l’après-midi près de ce chantier et j’ai vu des hommes allés et venir. J’espérais trouver de quoi manger, car l’argent me manquait.
Les voitures des responsables partaient et lorsque le parking a été libéré, je suis entré en déplaçant le grillage de protection.
J’ai vu des hommes près d’un bungalow préparer un feu et mettre en place un système de barbecue.
Je souhaitais rester caché tout le temps qu’ils finissent la tambouille, je me suis mise sous un gros engin qui me faisait de l’ombre.
J’allais m’approcher lorsque je t’ai vu arriver du côté de la cabane. J’étais étonné qu’une femme de ta classe vienne se mêler à de simples ouvriers.
• Tu pouvais nous rejoindre.
• J’ai eu peur de casser l’ambiance surtout quand tu t’es mise à danser avec eux en te frottant comme une chatte attendant son mâle. J’ai voulu voir jusqu’où tu allais aller avec eux.
• Tu as dû être satisfaite de voir cette bourgeoise se transformer en chienne attendant de se faire saillir par ces hommes.
• L’orage qui montait face à moi et que vous n’avez pas vu venir m’inquiétait et je pensais à sauver mon sac de l’eau qui allait sûrement tomber.
J’ai réussi à le caler sous la cabine de l’engin quand l’eau est tombée avec une quantité et force rarement vu.
Je t’ai regardé entré avec tous ces hommes et j’étais persuadé qu’une dame de ta prestance allait cadrer ces hommes et te faire respecter à l’intérieur.
Étant déjà trempé, je me suis approché de la fenêtre.
La lumière était restée éteinte, je t’ai vu à chaque éclaire te laisser t’essuyer en enlevant tes affaires, prendre la verge du grand noir et la sucer, te faire soulever pour, t’empaler sur sa bite toute noire et d’un diamètre énorme.
Lorsqu’il t’a soulevé pour entrer dans ta chatte, j’ai eu mal pour toi, mais la tête que tu m’as montrée dans une fraction de seconde ou un éclair à zébrer m’a montré que ce sexe te donnait un plaisir que je souhaite découvrir un jour.
Enfin, j’ai compris qu’une femme si elle sait trouver des hommes à la hauteur de ses envies se contrefiche du niveau social et peut devenir la folle du cul que tu étais devenue.
Enfin, tu t’es fait prendre par les deux hommes sur la table, apothéose de ce moment extraordinaire pour une jeune fille comme moi que tu me montrais.
Un moment tu as tourné ton visage vers moi et lors de l’éclair, j’ai cru que tu m’avais vu.
Le visage que tu présentais m’a montré qu’une femme bien baiser prenait un plaisir immense avec des hommes d’une autre classe sociale que la sienne.
• Tu as dû me voir quand j’ai tourné de l’œil.
• Oui, ils étaient paniqués et ils ont décidé de te ramener chez toi. Le monsieur noir t’a pris dans ses bras et t’a porté jusqu'à ta maison.
Un dernier éclair m’a permis de voir la cabane de jardinier et je me suis mise à l’abri pour la fin de la nuit.
J’étais trempé et je me suis dénudée, j’étais transi, j’ai mis la combinaison de travail qui se trouvait là et je me suis endormi.
• C’est ma combinaison lorsque je m’occupe de mes fleurs.
• Je sais après la nuit que nous avons passée, j’ai reconnu ton parfum.
• Tu vas me faire rougir.
• Non, tu sens le poivre et j’aime l’odeur de cette épice moi qui suis une femme du soleil.
Lorsque je me suis réveillé, j’ai vu le grand noir aller vers ta maison avec un grand sac et pendant plusieurs heures, je suis restée tapie avant de m’apercevoir que vous aviez quitté les lieux et que j’étais maîtresse des lieux.
J’avais faim, mais ta piscine me tentait, J’avais besoin de me laver la chatte car je venais d’avoir mes règles et un bon décrassage s’imposait.
Prudemment je suis sortie et j’ai repassé la haie pour aller chercher mon sac.
Le chantier et la cabane des ouvriers étaient vides. Je l’ai récupéré et je suis allé m’asseoir les jambes dans l’eau. Je me suis brossé les dents et après avoir enlevé ta combinaison, j’ai sauté dedans et j’ai nagé tout en me savonnant à chaque passage près de mes affaires.
Tu m’excuseras d’avoir fait cela dans ta piscine, mais lorsque l’on est S.D.F, on ne recule devant rien pour rester présentable.
• Dommage que tu sois restée dehors, tu aurais pu profiter de ma baignoire.
• Détrompes-toi, je l’ai fait, pendant l’attente pour savoir s’il y avait encore quelqu’un, j’ai fait le tour de la cabane pour voir s’il y avait des choses intéressantes à chaparder pour les vendre pour m’acheter à manger. Ces là, que j’ai trouvé la boîte où il y avait des clefs. Je suis allé les essayer et il y en avait une qui ouvrait la porte-fenêtre de la salle.
• L’une des autres ouvre la porte principale sur le devant.
• Je suis allé dans la cuisine et j’ai préparé un bon cassoulet de la région que j’ai trouvé dans tes placards.
Le kilogramme a juste suffi pour caler ma faim.
Ton frigo était une mine d’or pour moi qui avait été privée depuis longtemps, de yaourt et des fraises que tu avais laissés.
• Je suis partie précipitamment sans penser au réfrigérateur. Je suis contente que tu en aies profité.
• Pour en profiter, je l’ai fait, j’ai squatté ta salle de bains, ton lit ou je me suis couché jusqu’à ton retour.
• Si j’avais su que tu étais là, je serais revenue plus vite.
Et la cabane de chantier, comment as-tu eu l’idée de me rejoindre dans mon désarroi ?
• Je savais que tu reviendrais. J’avais pris mes précautions et j’étais prête à vider les lieux très rapidement. J’avais laissé mon sac dans la cabane et lorsque tu es arrivé, je m’y suis replié.
Quand je t’ai vu nue près de ta piscine, j’ai failli te rejoindre et surtout quand tu t’es frotté la chatte sur l’accoudoir en rotin de ta chaise longue, j’ai compris qu’elle te démangeait et que tu étais orpheline des deux verges qui étaient absentes.
• Tu m’as vu dans cette position obscène.
• Que dis-tu, pas obscène, bandante ?
Lorsque je t’ai vu passer la haie et aller vers le campement, je t’ai suivi.
Je rêvais de toi depuis que j’avais senti ton odeur partout chez toi.
Il est bizarre de tomber amoureuse de l’essence naturelle d’une femme et de réaliser son rêve.
Avant-hier j’ai pris peur lorsque des tôles ont bougé avec le vent et que je me suis enfui.
Dans mon petit réduit, je te voyais aller et venir et j’avais peur d’avoir gâché ma chance. Lorsque hier au soir je t’ai vu repasser, devant j’étais bien décidé à te conquérir. Je suis contente d’avoir réussi et fais l’amour avec toi.
• Tu sembles bien connaître l’amour entre femmes malgré ton jeune âge, pour moi tu es la première fois.
• Dans nos cités, les filles qui couchent sont considérées par les garçons comme des filles faciles à baiser qui peuvent servir à tous lors de tournantes.
Pour éviter cette infamie avec ma cousine, nous sortions seulement pour aller en cours alors il est facile à comprendre que, lorsque nos parents étaient au travail, nous avions pris l’habitude de jouer à des jeux érotiques entre femmes.
• Apprends-moi ?
• Viens.
Elle m’entraîne dans la piscine en faisant attention à ce que ma tête reste hors de l’eau.
Elle nage dans une brasse qui chaque fois qu’elle écarte les jambes étant moins rapide, j’aperçois sa grosse touffe noire.
Fatigué je m’arrête sur les marches et je me retourne pour la voir faire un aller et retour.
Lorsqu’elle arrive, elle se laisse glisser et sa bouche vient mourir sur mon intimité.
J’ai ouvert mes cuisses pour dégager mon abricot afin qu’elle le saisisse avec sa bouche.
Je retrouve sa langue experte qui met quelques secondes à faire démarrer mon plaisir.
Rajouter à cela le clapotis de l’eau qui passe sur mon clitoris le refroidissant pour qu’il s’enflamme de plus bel lorsque la fraction de seconde suivante.
Le chaud et le froid m’apportent des sensations encore nouvelles qui me permettent de pousser des cris que je laisse sortir de ma gorge lorsque pour la première fois de ma vie des petits jets de liquide viennent se mélanger aux dizaines de mètres cubes d’eau de la piscine.
Pour apprendre la suite de ce qu’elle peut me procurer, je sors et l’entraîne sur mon lit de plaisir.
Elle s’allonge profitant de la courbure de l’endroit pour écarter ses cuisses et me faire venir à ses pieds.
Avec ses mains, elle tire de chaque côté de sa vulve me montrant le rose de son intimité.
• Valérie, tu vois ici aucun homme n’est entré et j’ai hâte de perdre ma virginité, ce qui me séparera définitivement de ceux qui voulaient me marier avec un homme de mon pays sans mon consentement et qui était certainement vieux et repoussant.
La virginité est primordiale pour les hommes de mon pays d’origine.
Dans certains pays africains, les filles sont cousues avec des épines et le mari la découd le soir de ses noces avec un petit couteau pour preuve qu’aucun homme ne l’a touché.
De plus, beaucoup de filles se voient enlever leur clitoris. J’ai failli avoir cette ablation par des matrones de notre pays, mais ma mère a sorti son couteau pour la première fois en France et elle s’est farouchement opposée. C’est ainsi que j’ai échappé à cette ignominie.
Profite de ce qu’il soit là, il est à toi, fais-lui tout ce que tu veux, tu vas voir, il aime être bousculé.
Je m’avance et j’emprisonne dans ma bouche son excroissance qui sort de ses grandes lèvres. Chez moi pour voir le mien, je suis obligé de les écarter, car il mesure la moitié de la grandeur du sien.
Elle jouit grace à ma bouche.
Cela va paraître banal, mais je suis fière d’avoir réussi à faire jouir une femme.
Je pensais que l’amour entre nous consistait à brouter la chatte de l’autre pour jouir.
Quand elle me fait placer, jambes écartées sur la pointe de mon lit et approche, sa vulve dans la même position pour se souder lèvres à lèvres, je découvre un terrain de jeu nouveau.
Le frottement de son clitoris, sur le mien, procure à mon cerveau des sensations encore nouvelles. Comment ai-je pu ignorer ces plaisirs féminins et les découvrir par une jeune fille qui a la moitié de mon âge ?
Depuis l’arrivée de Petrov, je vais de plaisirs en découvertes nouvelles et d’amours de plus en plus profonds pour ceux qui me les procures.
Ce qui me plaît le plus c’est de savoir que dans quelques jours outre le retour de mes amants, mon divorce sera prononcé à mon avantage et que tous ces plaisirs seront le fruit de nos amours et non plus de mon adultère.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
un nouveau chapitre toujours aussi captivant
merci
merci
Très beau chapitre une nouvelle fois
Rudy
Rudy
Incontestablement ton texte m'a fait mouiller et j'ai été obligée de me caresser en imaginant que c'était le jeune tunisienne qui s'occupait de mon clito. Un véritable régal !