Le coiffeur de ces dames au rallye des gazelles. 3

- Par l'auteur HDS Mlkjhg39 -
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 542 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.9 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.3
  • • L'ensemble des récits érotiques de Mlkjhg39 ont reçu un total de 4 093 010 visites.
Récit libertin : Le coiffeur de ces dames au rallye des gazelles. 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-06-2020 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 2 721 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(9.0 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

Couleur du fond :
Le coiffeur de ces dames au rallye des gazelles. 3
Le coiffeur de ces dames au rallye des gazelles. 3


Nous nous retrouvons donc le lendemain dans une salle isolée des autres filles. Les deux jeunes musulmanes se laissent enfin retirer le dernier rempart de tissu qui voilait leur nudité. Leur peau lisse et ferme n’est pas halée car le soleil ne les a pas caressées de ses rayons. Elles sont gauches et si prudes qu’elles essayent encore de cacher de leurs mains les poitrines orgueilleuses et la fente de leur pubis.

Suite :-Décontractez-vous, les rassure Anaïs, je suis coiffeur pour dames et ma spécialité c’est de faire « le maillot », alors des chattes, j’en ai vu des milliers ! Si vous ne savez que faire de vos mains, venez-donc me branler ! Et il fait descendre son maillot de bain sur ses pieds puis l’envoie valser dans un coin.
Les filles se dégèlent enfin, elles se rapprochent et attrape la limace qui, comme dans un conte de Grimm, se transforme au premier baiser en une énorme banane sculptée dans du bois de fer.
Anaïs les laisse s’activer sur son organe, les laissant se détendre. Elles prennent petit à petit de l’assurance, l’une dévore d’une bouche avide le gland gonflé pendant que l’autre arrive à prendre en bouche les deux prunes, source de la liqueur séminale. Je connais Anaïs et je sais qu’il ne résiste pas longtemps à de telles sollicitations, je vois son visage se crisper.

-Attention les filles ! Il va envoyer la purée…Elles se reculent juste à temps pour recueillir sur leur visage et dans leur bouche la divine semence qu’il expulse par saccades très rapprochées. Elles dégustent avec plaisir l’obole que vient de leurs offrir sa lance toujours aussi raide, collée sur son ventre, comme à son habitude. Il reprend la parole :
-Bien ! La pression est un peu tombée et maintenant je vais être plus lucide pour la suite, ça va se jouer au millimètre, à toi déjà, Aïcha…
Anaïs et Aïcha sont étendus côte à côte, Jasmine prend en main la verge et lui fait baisser la tête pour s’en servir comme d’un pinceau qu’elle frotte sur le pubis d’Aïcha. Anaïs avance un peu son bassin, faisant s’entrouvrir les grandes lèvres, puis les petites lèvres. Il force encore un peu et l’extrémité de son gland entre dans la vulve offerte. Il pousse son avantage un peu plus loin et butte sur l’hymen sous le contrôle de Jasmine qui bloque son mandrin quand elle voit le mouvement de recul d’Aïcha.
Plusieurs fois, le pénis, comme monté sur ressort, s’échappe de la vulve et fait un bruit mat en s’écrasant sur le bas-ventre d’Anaïs.
Il arrive quand même à la mener à l’orgasme et recommence l’opération avec Jasmine pour arriver au même résultat.
Mais Anaïs en a marre de ce contrôle de tous les instants et veut passer la vitesse supérieure.

-Les filles, il est temps de passer à l’enculage ! Mettez-vous à genoux sur le bord de ce matelas posé au sol et présentez-moi votre croupe !
Il est hors de question que ces deux serrées de la chatte connaissent ce plaisir avant moi. Je me mets donc entre elles pour cette première.
Pendant de longues minutes, Anaïs passe de l’une à l’autre pour nous graisser le fion, il enduit copieusement ses doigts pour les envoyer en avant-garde explorer cette passe étroite entre deux montagnes de chair. Comme un alpiniste qui ouvre une nouvelle voie, ils posent les pitons qui permettrons de faire passer le « gros de la troupe ». Je lui ordonne :
-Commence par moi, mon chéri !
Il se présente derrière moi, les mains dans le dos et ordonne aux filles :
-A vous de diriger l’opération !
Aïcha se saisit de la hampe pour lui faire baisser la tête à hauteur idéale. Je sens la tête de son gland appuyer sur mon sphincter qui ne cède pas. Les deux filles posent chacune une main sur une de mes hanches et l’autre sur une fesse de mon homme et, d’un commun accord, bandent leurs muscles pour rapprocher nos deux corps.
Une douleur fugace me vrille les tripes quand son gland mafflu franchit la frontière interdite en éclaireur. Une fois l’avant-garde passée, l’armée entière se rue à l’assaut et ne s’arrête qu’une fois le rempart de nos corps qui s’entrechoquent empêche qu’il me déchire les boyaux. Il me faut quand même quelques minutes pour que la douleur se transforme en plaisir. Anaïs a demandé aux filles de reprendre leur position de départ pour pouvoir prendre le trio. Une bite pour moi, deux doigts pour elles.
La sensation est différente mais le plaisir revient au pas de charge, surtout que les filles s’occupent, l’une de mes tétons, l’autre de ma chatte avec leur main. Dès qu’Anaïs se rend compte de la montée de mon orgasme, il change de monture et comme un chien fou, embroche sans retenue Aïcha qui hurle comme une démente. Se rendant enfin compte qu’il y est allé un peu fort, il ne bouge plus, s’excusant de cette intromission à la hussarde. Lui laissant un peu de temps pour que l’anus se détente, il reprend enfin l’exercice et la lime jusqu’à ce que les gémissements de douleur se transforment en plaisir. Je glisse ma main sur la vulve d’Aïcha et la retire poisseuse d’une abondante lubrification intime.
Anaïs s’attelle maintenant à déflorer le cul de Jasmine, il a compris la leçon et cette fois il y va tout en douceur. Plusieurs fois, le gland s’écrase sur l’anneau fripé qui ne veut décidément pas céder.
Je donne une violente claque sur le fessier d’Anaïs qui, surpris, donne un léger coup de reins. Le gland vient de franchir la frontière du sphincter qui se contracte illico, bloquant la verge au niveau du frein.

-Aaaahhhh ! Nooonnn ! Je ne veux plus ! C’est horrible !
Anaïs s’immobilise, ne sachant plus que faire, son gland une fois la porte franchie, a repris sa dimension première, il essaie de sortir de l’impasse, (et de l’anus), mais Jasmine hurle encore plus fort.
-Aaarrgghhh ! Non, je t’en supplie, ne bouge plus ! Putain que je dérouille !

Je susurre à l’oreille d’Anaïs :-Vu la forme de ta queue, il vaut mieux que tu l’encules plus loin plutôt qu’essayer de sortir, elle souffrira moins.
Il me regarde puis fixe le popotin de Jasmine. Il pose ensuite ses mains sur les hanches de la fille et l’attire violement vers lui, faisant disparaître la totalité de son défonce-cul dans les boyaux de la donzelle.
Elle ne l’a pas voulu dans la chatte, elle en paie le prix, et la note est salée…Les hurlements ont repris mais comme la hampe est plus fine vers ses couilles, c’est beaucoup plus supportable pour Jasmine et elle râle maintenant mais les décibels ont beaucoup baissés.
Anaïs peut à nouveau se défouler dans ce corps et il ne s’en prive pas après quelques minutes. Si les deux musulmanes seront toujours vierges à leur mariage, elles se souviendront longtemps de leur première sodomie, je peux vous le certifier. Comme à son habitude, il n’arrive pas à jouir et après un jeu de « cul médical » ou de chaise musicale si vous préférez, il se retire et se masturbe vivement pour nous arroser une dernière fois de son foutre.

Les semaines qui suivent rendent Anaïs de plus en plus lascif, n’étant plus qu’un objet sexuel pour toutes ses femelles. Il se cale sur son divan préféré et laisse chaque fille s’escrimer sur son jonc pendant qu’il compte fleurette à ses copines quand sa bouche n’est pas collée à une chatte.
Je ne compte plus désormais le nombre d’heures où sa bite infatigable sert de gode à ses filles en manque d’amour.

Le confinement est enfin terminé, beaucoup d’étapes se font sans public et une fois la dernière ligne d’arrivée passée, nous faisons un ultime bivouac. Avant de nous éparpiller aux quatre coins du pays, chaque fille réclame pour prix du silence une dernière nuit de débauche avec ma « coéquipière ». Anaïs, bon prince, se dévoue pour donner à chacune un dernier souvenir de ce rallye des gazelles si spécial.
Le pire, c’est que certaines me supplient d’avoir l’année prochaine encore la même coéquipière.

Fin.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Belle équipe mixte

Il faut surtout qu'il assure.

Histoire Libertine
Le prix du silence, je suis sûre qu'il n'est pas contre.



Texte coquin : Le coiffeur de ces dames au rallye des gazelles. 3
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Mlkjhg39

Qui se cache derrière cette suite clavier: mlkjhg39 - Récit érotique publié le 11-04-2024
Le gourdin de tonton. 17 - Récit érotique publié le 29-03-2024
Le gourdin de tonton. 16 - Récit érotique publié le 27-03-2024
Le gourdin de tonton. 15 - Récit érotique publié le 25-03-2024
Le gourdin de tonton. 14 - Récit érotique publié le 24-03-2024
Le gourdin de tonton. 13 - Récit érotique publié le 23-03-2024
Le dard au pied de la lettre. Les dictons et le cul - Récit érotique publié le 02-03-2024
Le gourdin de tonton: 12 - Récit érotique publié le 02-02-2024
Le gourdin de tonton: 11 - Récit érotique publié le 31-01-2024
Le gourdin de tonton. 10 - Récit érotique publié le 27-01-2024