Le collègue que tout le monde déteste (10 et fin)
Récit érotique écrit par Tounet39270 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Le collègue que tout le monde déteste (10 et fin)
Chapitre 10
Il m’arrête net en voyant la présence de quelqu’un plus important : le boss. Il est debout près des ascenseurs, et est témoin de notre arrivée et de la vague de chuchotement qui nous entoure. Sans que je ne m’y attende et devant tout le personnel, y compris le boss et Mya, il lâche son sac qu’il tenait dans son autre main et se tourne vers moi. Je regarde ses yeux d’un bleu brûlant, remplis d’une détermination féroce. Sans aucune hésitation, il prend mon visage entre ses mains, m’attire puis m’embrasse. Ce n’est pas un baiser tendre mais plus un baiser de possession qui résonne comme un acte de défi.
Tout le monde se tait à ce moment précis. Le boss qui allait nous saluer, reste stupéfait, sa bouche grande ouverte. Mya, elle n’a eu aucune réaction. Vincent prit la parole pour s’adresser à tout le monde :
-Je crois que maintenant, le secret est terminé ‘avec une voix claire, forte et aucune trace de doute). Mya, si tu avais eu la décence de garder ta bouche fermée, on aurait préféré mais maintenant, tout le monde peut voir que tu n’es qu’une source de ragots de bas étage.
Il prend ensuite ma main, la serre fermement et se dirige vers les ascenseurs en disant :
-On va voir le PDG maintenant ou alors on va s’asseoir à nos bureaux pour le regarder sonner ?
Nous montons dans l’ascenseur et la tension est palpable. Je tremble encore de ce qui vient de se passer et je regarde Vincent avec panique, colère mais aussi admiration pour ce qu’il vient de faire et lui dit :
-Tu as fait ça… devant tout le monde ! Devant le boss !
-Le secret nous tuait. Mya nous a forcés à choisir. Je ne vais pas me cacher. C’est fait. Maintenant, on gère les conséquences. Au moins, on n’a plus à prétendre que je te trouve désagréable et toi aussi.
Nous nous dirigeons vers nos bureaux respectifs, mais en sortant de l'ascenseur, ils se dirigent vers leurs bureaux, mais sont immédiatement interceptés par nos téléphones respectifs qui sonnent. C’est un message du secrétariat du PDG qui nous demande de venir dans son bureau immédiatement. Dans le couloir, Vincent pose une main sur mon épaule :
-Reste calme, ne nie rien. Nous sommes des professionnels, et notre vie privée n’interfère pas avec notre travail. C’est la seule ligne de défense.
Nous entrons dans son bureau et l’ambiance est assez tendue, mais le patron est plutôt calme assis derrière son grand bureau.
-Asseyez-vous messieurs. Je pense que nous avons besoin d’une clarification. Ce qui vient de se passer dans le hall est… sans précédent. Je veux juste savoir si cela aura un impact sur vos performances et sur la cohésion de l’équipe.
-Monsieur, je m’excuse pour le spectacle, mais le manque de discrétion de certains collègues nous à forcés à agir. Quant à nos performances, notre relation est sérieuse, mais elle est strictement en dehors du bureau. Le projet que vous nous avez demandé vous a été remis en temps et en heure et nous sommes deux de vos meilleurs éléments. Notre vie privée ne changera rien à cela, dit Vincent.
-Je confirme, monsieur. Nos engagements professionnels seront inébranlables, c’est la seule chose qui compte, dis-je à mon tour.
Le boss nous fixe un long moment puis reprend :
-J’apprécie votre honnêteté. Pour l’instant, je considère cela comme une affaire privée. Mais je vous avertis : la moindre baisse de performance ou le moindre incident de mauvais goût au bureau, et nous aurons une discussion sur vos avenirs respectifs au sein de cette agence. Vous pouvez disposer.
Nous nous sommes levés en silence dans un grand soulagement, mais la menace plane toujours un peu. En sortant du bureau de la direction, nous croisons Mya, qui traîne délibérément près de l’ascenseur pour en savoir plus.
-T’es satisfaite, Mya ? Tu as eu ton scandale, lui dis-je à voix basse mais pleine de fureur.
-Mais,… tu m’as menti ! Tu as fait semblant de le détester ! Tu m’as aussi fait croire qu’il avait été odieux alors que vous…. Vous êtes ensemble ! Je suis choquée et je n’ai fait que partager la stricte vérité.
-La vérité est que notre vie privée ne te regarde pas, dit Vincent. Tu n’avais pas à partager des ragots, et donc de nous forcer à être humilié de la sorte. Si tu te considères comme une source d’informations, très bien. Mais saches une chose : tout ce que tu feras désormais sera aussi sous le regard du boss et si la moindre interférence ou le moindre commentaire de ta part vient nuire à notre travail, ou à nous eh bien nous serons les premiers à en référer à la direction. Tu as eu ton spectacle, maintenant vas bosser.
Je regarde une dernière fois Mya droit dans les yeux et lui sort :
-Tu as voulu nous exposer, maintenant c’est fait. Mais là, tu n’as pas réussi à détruire notre relation. Tu as juste rendu notre vie plus compliquée donc maintenant, ne viens plus me parler, c’est fini.
Nous la laissons seule dans le couloir, pâle en la laissant cogiter sur ce que l’on vient de lui dire. Nous retournons à nos bureaux pour enfin travailler en paix.
----------------------
Les mois qui ont suivi l’incident ont été très intenses, remplis de regards lourds, de silence gêné et de rumeurs persistantes. Face à tout ça, nous avons décidé de monter notre propre structure car nos compétences sont restées complémentaires, mutuelles et inébranlable. Nous avons donc planifié clandestinement et avec nos économies, la décision a été prise et nous nous sommes lancés tous les deux.
-----------------------
Deux années se sont écoulées depuis le départ de l’agence. La notre est devenu assez rentable je dois dire. Pour célébrer nos deux ans d’amour, Vincent nous a réservé une semaine de vacances dans l’hôtel où tout à commencé et bien sûr avec la même suite.
Arrivés sur place, j’ai jeté un coup d’œil à cette suite magnifique. Vincent ne m’a pas laissé le temps de m’extasier et de me remémorer car il se tourne vers moi, m’attrape par la taille et dans un mouvement de force brute et de désir, me soulève sans aucun effort. Je suis pris par surprise, mais je ne proteste pas. Je lâche un cri de surprise qui se transforme en un rire nerveux, mes bras s’enroulant autour de son cou. Il me porte donc à travers la suite, les yeux dans les yeux. Je me sens tout excité par ce qui va se passer car je le sais : ça va être ma fête. Nos visages sont proches et d’un coup, nous nous embrassons langoureusement. Il me dépose ensuite sur le lit et vient se placer immédiatement au-dessus de moi.
Il me déshabille avec une rapidité folle et je fais de même. Il me mordille le cou, les lèvres, les tétons ce qui me fait gémir de plus en plus. Ses mains explorent chaque petite parcelle de ma peau. Je le sens tellement excité qu’il crache dans sa main pour enduire mon trou de sa salive et me pénètre sans attendre. Je pousse un hurlement de douleur dans un premier temps puis à force de coups de reins intensifs, mes gémissements ne sont que du bonheur. Il me possède tout entier. Je suis totalement à lui et à personne d’autre. De son côté, je l’entends grogner à chaque poussée plus intensive les unes des autres. Le rythme devient rapide et instinctif, guidé par le désir. Plus rien ne compte autour de nous. Mes jambes entourent sa taille et il maintient fermement.
Je le lâche enfin pour m’agripper aux draps et ma tête part en arrière. Je sens ses couilles me taper le cul tellement fort que je jouis directement. Il me regarde avec un sourire satisfait de lui. Le plaisir est si intense que ça m’en coupe le souffle. Il me regarde droit dans les yeux pour juste me dire :
-Je vais jouir en toi. Tu es as moi. Je t’aime.
Je sens son orgasme monté de plus en plus et je le sens explosé en moi toute sa semence très chaude. Il pousse un cri étouffé puis s’effondre sur moi. Nos corps sont moites et nous nous embrassons à nouveau.
Nous nous préparons ensuite pour descendre dans le restaurant gastronomique de l’hôtel. Nous avons retrouvé notre table un peu isolée des autres. Elle est décorée de fleurs discrètes. L’ambiance est feutrée et élégante.
Après le plat principal, alors que le champagne coule, Vincent se lève. Il n’y a pas de grands gestes théâtraux, seulement une intensité sincère entre nous puis avec une voix toute pleine d’émotion, il me dit :
-Tobias, il y a deux ans, dans cette ville, j’ai réalisé que je t’aimais. Ça a été le début d’un grand chaos, mais aussi de la meilleure chose qui me soit jamais arrivée. Tu as fait de moi un homme plus honnête et un meilleur partenaire.
Je le vois ensuite sortir une petite boîte en velours de sa poche puis met un genou à terre.
-Tobias… veux-tu m’épouser ?
Je le regarde avec les larmes aux yeux en répondant d’une voix brisée par l’émotion :
-Oui. Bien sûr que oui.
Vincent me passe la bague au doigt, se relève et je le prends dans mes bras. Nous nous embrassons longuement. Les gens autour de nous applaudissent discrètement. Après cette demande en mariage, nous repartons en directions des ascenseurs pour remonter dans notre suite.
Dès que nous nous retrouvons seuls dans l’ascenseur, je ne peux plus me retenir. Je plaque Vincent contre le mur de la cabine et l’embrasse avec une ferveur gourmande. Pendant que nos bouches se collent l’une à l’autre, ma main descend doucement, glissant le long de la cuisse de Vincent pour pouvoir trouver son entrejambe en le caressant doucement à travers le tissu de son pantalon de costume.
Vincent retient un gémissement contre ma bouche, ses mains s’agrippent à mes épaules et il essaie de murmurer :
-Tobias… Non, pas ici, attends d’être dans la suite.
L’ascenseur ouvre ses portes, je prends sa main et le fait se dépêcher pour y arriver plus vite. Nous entrons dans la suite et lentement, nous nous allongeons sur le lit en nous déshabillant doucement. Chaque vêtement retiré est suivi d’un baiser ou d’une caresse. Il n’y a pas d’urgence, seulement le plaisir de sa peau contre la mienne. Doucement, je descends prendre sa queue en bouche. Je le suce tendrement en le regardant droit dans les yeux. Je le suce pour le remercier de cette magnifique surprise. Je caresse ses couilles d’une main puis caresse son torse de l’autre. Sa queue coulisse dans ma bouche comme si ma bouche était faite pour elle. Je m’installe au-dessus de lui toujours sa queue en bouche pendant qu’il écarte mes fesses pour pouvoir me manger le cul avec délicatesse. Nous restons dans cette position quelques minutes mais des minutes d’intense bonheur.
Vincent se trouve toujours sur le dos. Je le regarde et commence à le chevaucher et placer sa queue en moi. Je peux le regarder droit dans les yeux à chaque aller-retour sur son membre bien dur. Je me penche sur lui et place mes lèvre sur les siennes puis je lui susurre :
-Je t’aime. Je t’aime pour toujours.
Vincent me répond en se redressant et en me serrant dans ses bras musclés sans pour autant arrêter de me mettre de grands coups de reins. Nous atteignons l’apogée ensemble, dans un mouvement lent et profond. Nos gémissements sont discrets, remplis de tout ce que nous venons de vivre. Je sens tout son jus se rependre en moi.
Nous restons enlacés, nos corps collés. Il m’embrasse l’épaule en me prenant ma main pour regarder la bague de fiançailles.
-------------------------
Un an s’est écoulé depuis la demande en mariage. Nous sommes le jour J dans la limousine nous emmenant à la mairie pour la cérémonie civile. Nous sommes beaux dans nos costumes, assis chacun de notre coté avec une tension électrique.
-Je suis incapable de tenir en place, dis-je. Je ne pensais pas avoir aussi peur.
-C’est l’adrénaline mon cœur. Tu es parfait et dans quelques minutes, tu seras mon mari.
Je ne sais pas pourquoi mais tous les souvenirs remontent à la surface surtout le souvenir de l’avion. Du coup, je me glisse rapidement vers Vincent, m’assurant que le chauffeur, derrière la vitre de séparation, est concentré sur la route. Je n’attends pas sa réponse et m’agenouille immédiatement devant lui, mon visage caché du tableau de bord. Avec rapidité, j’ouvre sa braguette, sort sa queue qui commence à grossir sous mes doigts et le prend en bouche directement avec gourmandise. Je le suce avec une passion intense et une admiration sincère, les yeux fixés sur ses réactions. Il est pris de court. Il lâche un grognement sourd, sa tête bascule en arrière sur le siège en cuir. Il agrippe mon épaule, luttant contre l’envie de m’arrêter, mais incapable de résister au plaisir intense et rapide. Il sent son orgasme arriver. Il explose brutalement mais en silence bien au fond de ma gorge en enfonçant sa main dans mes cheveux pour maintenir ma tête. Je retire ensuite ma bouche en léchant bien sa queue pour qu’aucune goutte de sperme ne tâche son costume, replace sa queue en place puis referme sa braguette.
La voiture s’arrête en douceur devant le parvis de la mairie et le chauffeur vient nous ouvrir la porte. Nous réajustons nos cravates, nos visages sont détendus et légèrement rouges. Personnes ne pourraient imaginer ce qu’il vient de se passer.
Nous sortons de la voiture accueillis par nos familles et amis. Nous rentrons côte à côte dans la mairie, main dans la main. Devant l’officier d’état civil, nous échangeons nos vœux et nos alliances, symbole de notre amour et notre long combat.
Nous nous embrassons, non plus dans la clandestinité d’une suite ou d’un parking, mais devant le monde. Un baiser qui scelle non seulement notre mariage mais aussi la fin définitive de secrets.
Je l’aime. Je l’aime pour toujours.
Fin
Il m’arrête net en voyant la présence de quelqu’un plus important : le boss. Il est debout près des ascenseurs, et est témoin de notre arrivée et de la vague de chuchotement qui nous entoure. Sans que je ne m’y attende et devant tout le personnel, y compris le boss et Mya, il lâche son sac qu’il tenait dans son autre main et se tourne vers moi. Je regarde ses yeux d’un bleu brûlant, remplis d’une détermination féroce. Sans aucune hésitation, il prend mon visage entre ses mains, m’attire puis m’embrasse. Ce n’est pas un baiser tendre mais plus un baiser de possession qui résonne comme un acte de défi.
Tout le monde se tait à ce moment précis. Le boss qui allait nous saluer, reste stupéfait, sa bouche grande ouverte. Mya, elle n’a eu aucune réaction. Vincent prit la parole pour s’adresser à tout le monde :
-Je crois que maintenant, le secret est terminé ‘avec une voix claire, forte et aucune trace de doute). Mya, si tu avais eu la décence de garder ta bouche fermée, on aurait préféré mais maintenant, tout le monde peut voir que tu n’es qu’une source de ragots de bas étage.
Il prend ensuite ma main, la serre fermement et se dirige vers les ascenseurs en disant :
-On va voir le PDG maintenant ou alors on va s’asseoir à nos bureaux pour le regarder sonner ?
Nous montons dans l’ascenseur et la tension est palpable. Je tremble encore de ce qui vient de se passer et je regarde Vincent avec panique, colère mais aussi admiration pour ce qu’il vient de faire et lui dit :
-Tu as fait ça… devant tout le monde ! Devant le boss !
-Le secret nous tuait. Mya nous a forcés à choisir. Je ne vais pas me cacher. C’est fait. Maintenant, on gère les conséquences. Au moins, on n’a plus à prétendre que je te trouve désagréable et toi aussi.
Nous nous dirigeons vers nos bureaux respectifs, mais en sortant de l'ascenseur, ils se dirigent vers leurs bureaux, mais sont immédiatement interceptés par nos téléphones respectifs qui sonnent. C’est un message du secrétariat du PDG qui nous demande de venir dans son bureau immédiatement. Dans le couloir, Vincent pose une main sur mon épaule :
-Reste calme, ne nie rien. Nous sommes des professionnels, et notre vie privée n’interfère pas avec notre travail. C’est la seule ligne de défense.
Nous entrons dans son bureau et l’ambiance est assez tendue, mais le patron est plutôt calme assis derrière son grand bureau.
-Asseyez-vous messieurs. Je pense que nous avons besoin d’une clarification. Ce qui vient de se passer dans le hall est… sans précédent. Je veux juste savoir si cela aura un impact sur vos performances et sur la cohésion de l’équipe.
-Monsieur, je m’excuse pour le spectacle, mais le manque de discrétion de certains collègues nous à forcés à agir. Quant à nos performances, notre relation est sérieuse, mais elle est strictement en dehors du bureau. Le projet que vous nous avez demandé vous a été remis en temps et en heure et nous sommes deux de vos meilleurs éléments. Notre vie privée ne changera rien à cela, dit Vincent.
-Je confirme, monsieur. Nos engagements professionnels seront inébranlables, c’est la seule chose qui compte, dis-je à mon tour.
Le boss nous fixe un long moment puis reprend :
-J’apprécie votre honnêteté. Pour l’instant, je considère cela comme une affaire privée. Mais je vous avertis : la moindre baisse de performance ou le moindre incident de mauvais goût au bureau, et nous aurons une discussion sur vos avenirs respectifs au sein de cette agence. Vous pouvez disposer.
Nous nous sommes levés en silence dans un grand soulagement, mais la menace plane toujours un peu. En sortant du bureau de la direction, nous croisons Mya, qui traîne délibérément près de l’ascenseur pour en savoir plus.
-T’es satisfaite, Mya ? Tu as eu ton scandale, lui dis-je à voix basse mais pleine de fureur.
-Mais,… tu m’as menti ! Tu as fait semblant de le détester ! Tu m’as aussi fait croire qu’il avait été odieux alors que vous…. Vous êtes ensemble ! Je suis choquée et je n’ai fait que partager la stricte vérité.
-La vérité est que notre vie privée ne te regarde pas, dit Vincent. Tu n’avais pas à partager des ragots, et donc de nous forcer à être humilié de la sorte. Si tu te considères comme une source d’informations, très bien. Mais saches une chose : tout ce que tu feras désormais sera aussi sous le regard du boss et si la moindre interférence ou le moindre commentaire de ta part vient nuire à notre travail, ou à nous eh bien nous serons les premiers à en référer à la direction. Tu as eu ton spectacle, maintenant vas bosser.
Je regarde une dernière fois Mya droit dans les yeux et lui sort :
-Tu as voulu nous exposer, maintenant c’est fait. Mais là, tu n’as pas réussi à détruire notre relation. Tu as juste rendu notre vie plus compliquée donc maintenant, ne viens plus me parler, c’est fini.
Nous la laissons seule dans le couloir, pâle en la laissant cogiter sur ce que l’on vient de lui dire. Nous retournons à nos bureaux pour enfin travailler en paix.
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Les mois qui ont suivi l’incident ont été très intenses, remplis de regards lourds, de silence gêné et de rumeurs persistantes. Face à tout ça, nous avons décidé de monter notre propre structure car nos compétences sont restées complémentaires, mutuelles et inébranlable. Nous avons donc planifié clandestinement et avec nos économies, la décision a été prise et nous nous sommes lancés tous les deux.
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Deux années se sont écoulées depuis le départ de l’agence. La notre est devenu assez rentable je dois dire. Pour célébrer nos deux ans d’amour, Vincent nous a réservé une semaine de vacances dans l’hôtel où tout à commencé et bien sûr avec la même suite.
Arrivés sur place, j’ai jeté un coup d’œil à cette suite magnifique. Vincent ne m’a pas laissé le temps de m’extasier et de me remémorer car il se tourne vers moi, m’attrape par la taille et dans un mouvement de force brute et de désir, me soulève sans aucun effort. Je suis pris par surprise, mais je ne proteste pas. Je lâche un cri de surprise qui se transforme en un rire nerveux, mes bras s’enroulant autour de son cou. Il me porte donc à travers la suite, les yeux dans les yeux. Je me sens tout excité par ce qui va se passer car je le sais : ça va être ma fête. Nos visages sont proches et d’un coup, nous nous embrassons langoureusement. Il me dépose ensuite sur le lit et vient se placer immédiatement au-dessus de moi.
Il me déshabille avec une rapidité folle et je fais de même. Il me mordille le cou, les lèvres, les tétons ce qui me fait gémir de plus en plus. Ses mains explorent chaque petite parcelle de ma peau. Je le sens tellement excité qu’il crache dans sa main pour enduire mon trou de sa salive et me pénètre sans attendre. Je pousse un hurlement de douleur dans un premier temps puis à force de coups de reins intensifs, mes gémissements ne sont que du bonheur. Il me possède tout entier. Je suis totalement à lui et à personne d’autre. De son côté, je l’entends grogner à chaque poussée plus intensive les unes des autres. Le rythme devient rapide et instinctif, guidé par le désir. Plus rien ne compte autour de nous. Mes jambes entourent sa taille et il maintient fermement.
Je le lâche enfin pour m’agripper aux draps et ma tête part en arrière. Je sens ses couilles me taper le cul tellement fort que je jouis directement. Il me regarde avec un sourire satisfait de lui. Le plaisir est si intense que ça m’en coupe le souffle. Il me regarde droit dans les yeux pour juste me dire :
-Je vais jouir en toi. Tu es as moi. Je t’aime.
Je sens son orgasme monté de plus en plus et je le sens explosé en moi toute sa semence très chaude. Il pousse un cri étouffé puis s’effondre sur moi. Nos corps sont moites et nous nous embrassons à nouveau.
Nous nous préparons ensuite pour descendre dans le restaurant gastronomique de l’hôtel. Nous avons retrouvé notre table un peu isolée des autres. Elle est décorée de fleurs discrètes. L’ambiance est feutrée et élégante.
Après le plat principal, alors que le champagne coule, Vincent se lève. Il n’y a pas de grands gestes théâtraux, seulement une intensité sincère entre nous puis avec une voix toute pleine d’émotion, il me dit :
-Tobias, il y a deux ans, dans cette ville, j’ai réalisé que je t’aimais. Ça a été le début d’un grand chaos, mais aussi de la meilleure chose qui me soit jamais arrivée. Tu as fait de moi un homme plus honnête et un meilleur partenaire.
Je le vois ensuite sortir une petite boîte en velours de sa poche puis met un genou à terre.
-Tobias… veux-tu m’épouser ?
Je le regarde avec les larmes aux yeux en répondant d’une voix brisée par l’émotion :
-Oui. Bien sûr que oui.
Vincent me passe la bague au doigt, se relève et je le prends dans mes bras. Nous nous embrassons longuement. Les gens autour de nous applaudissent discrètement. Après cette demande en mariage, nous repartons en directions des ascenseurs pour remonter dans notre suite.
Dès que nous nous retrouvons seuls dans l’ascenseur, je ne peux plus me retenir. Je plaque Vincent contre le mur de la cabine et l’embrasse avec une ferveur gourmande. Pendant que nos bouches se collent l’une à l’autre, ma main descend doucement, glissant le long de la cuisse de Vincent pour pouvoir trouver son entrejambe en le caressant doucement à travers le tissu de son pantalon de costume.
Vincent retient un gémissement contre ma bouche, ses mains s’agrippent à mes épaules et il essaie de murmurer :
-Tobias… Non, pas ici, attends d’être dans la suite.
L’ascenseur ouvre ses portes, je prends sa main et le fait se dépêcher pour y arriver plus vite. Nous entrons dans la suite et lentement, nous nous allongeons sur le lit en nous déshabillant doucement. Chaque vêtement retiré est suivi d’un baiser ou d’une caresse. Il n’y a pas d’urgence, seulement le plaisir de sa peau contre la mienne. Doucement, je descends prendre sa queue en bouche. Je le suce tendrement en le regardant droit dans les yeux. Je le suce pour le remercier de cette magnifique surprise. Je caresse ses couilles d’une main puis caresse son torse de l’autre. Sa queue coulisse dans ma bouche comme si ma bouche était faite pour elle. Je m’installe au-dessus de lui toujours sa queue en bouche pendant qu’il écarte mes fesses pour pouvoir me manger le cul avec délicatesse. Nous restons dans cette position quelques minutes mais des minutes d’intense bonheur.
Vincent se trouve toujours sur le dos. Je le regarde et commence à le chevaucher et placer sa queue en moi. Je peux le regarder droit dans les yeux à chaque aller-retour sur son membre bien dur. Je me penche sur lui et place mes lèvre sur les siennes puis je lui susurre :
-Je t’aime. Je t’aime pour toujours.
Vincent me répond en se redressant et en me serrant dans ses bras musclés sans pour autant arrêter de me mettre de grands coups de reins. Nous atteignons l’apogée ensemble, dans un mouvement lent et profond. Nos gémissements sont discrets, remplis de tout ce que nous venons de vivre. Je sens tout son jus se rependre en moi.
Nous restons enlacés, nos corps collés. Il m’embrasse l’épaule en me prenant ma main pour regarder la bague de fiançailles.
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Un an s’est écoulé depuis la demande en mariage. Nous sommes le jour J dans la limousine nous emmenant à la mairie pour la cérémonie civile. Nous sommes beaux dans nos costumes, assis chacun de notre coté avec une tension électrique.
-Je suis incapable de tenir en place, dis-je. Je ne pensais pas avoir aussi peur.
-C’est l’adrénaline mon cœur. Tu es parfait et dans quelques minutes, tu seras mon mari.
Je ne sais pas pourquoi mais tous les souvenirs remontent à la surface surtout le souvenir de l’avion. Du coup, je me glisse rapidement vers Vincent, m’assurant que le chauffeur, derrière la vitre de séparation, est concentré sur la route. Je n’attends pas sa réponse et m’agenouille immédiatement devant lui, mon visage caché du tableau de bord. Avec rapidité, j’ouvre sa braguette, sort sa queue qui commence à grossir sous mes doigts et le prend en bouche directement avec gourmandise. Je le suce avec une passion intense et une admiration sincère, les yeux fixés sur ses réactions. Il est pris de court. Il lâche un grognement sourd, sa tête bascule en arrière sur le siège en cuir. Il agrippe mon épaule, luttant contre l’envie de m’arrêter, mais incapable de résister au plaisir intense et rapide. Il sent son orgasme arriver. Il explose brutalement mais en silence bien au fond de ma gorge en enfonçant sa main dans mes cheveux pour maintenir ma tête. Je retire ensuite ma bouche en léchant bien sa queue pour qu’aucune goutte de sperme ne tâche son costume, replace sa queue en place puis referme sa braguette.
La voiture s’arrête en douceur devant le parvis de la mairie et le chauffeur vient nous ouvrir la porte. Nous réajustons nos cravates, nos visages sont détendus et légèrement rouges. Personnes ne pourraient imaginer ce qu’il vient de se passer.
Nous sortons de la voiture accueillis par nos familles et amis. Nous rentrons côte à côte dans la mairie, main dans la main. Devant l’officier d’état civil, nous échangeons nos vœux et nos alliances, symbole de notre amour et notre long combat.
Nous nous embrassons, non plus dans la clandestinité d’une suite ou d’un parking, mais devant le monde. Un baiser qui scelle non seulement notre mariage mais aussi la fin définitive de secrets.
Je l’aime. Je l’aime pour toujours.
Fin
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Merci beaucoup pour cette belle histoire
