Le collègue que tout le monde déteste (5)
Récit érotique écrit par Tounet39270 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Le collègue que tout le monde déteste (5)
Chapitre 5
Je pose ma main sur son érection. Mes doigts pressent doucement et s’immobilisent. Il ferme les yeux sous l’effet de ce contact inattendu et intense. Un gémissement sourd s’échappe de sa gorge, son corps répondant immédiatement à la pression et à la position. Il pose ses mains sur mes épaules, non pour me repousser cette fois-ci mais, pour se stabiliser face à l’afflux de désir. La tension est désormais palpable dans la pièce. Vincent ne dit rien, il est entièrement soumis à ma présence. Je suis toujours à genoux, ma main se met à bouger lentement, traçant les contours de son érection ce qui fait monter la tension chez Vincent. Je baisse ma tête doucement jusqu’à ce que mon front repose contre la cuisse de Vincent, juste à côté de sa queue. Sous l’effet de ce contact et de cette position, il réagit en cambrant légèrement le bassin vers l’avant, une poussée involontaire qui cherche le contact plus ferme. Ses mains se retirent de mes épaules et plongent dans mes cheveux, les paumes pressant doucement ma tête contre lui. Un gémissement lui échappe. J’ouvre enfin la bouche et commence délicatement à prendre son gland tout en l’enroulant avec ma langue. Il gémit encore plus fort. Son sexe est tendu au maximum. Doucement, je fais glisser son sexe dans ma bouche et commence à le sucer en essayant de trouver son regard. Je pense qu’il est dans un tel état d’excitation depuis ce matin car en moins de cinq minutes, il se met à éjaculer dans ma bouche. Je me délecte de ce nectar et n’en perds pas une seule goutte. Je repasse ma langue sur son gland pour récolter les dernières gouttes. Il m’aide à me redresser, me regarde pendant quelques secondes et me dit doucement : « je suis désolé ».
Je le regarde sans comprendre.
-Je disais je suis désolé car je suis venu trop vite. Ce n’est pas une chose qui m’arrive d’habitude.
-Ce n’est pas grave, tu sais.
-Ben si quand même. Je te prouverais le contraire.
-Ah, parce que tu as envie de moi ?
-Je pense que tu as pu le constater non avec tout ce qui s’est passé aujourd’hui ? T’es le premier mec avec qui j’ai envie de le faire.
-Oui mais tu sais, je m’en veux quand même.
-Par rapport à quoi ?
-Ta femme.
-Ah, tu ne devrais pas t’en faire tu sais. Elle est partie il y a un mois de la maison.
-Merde, je ne le savais pas.
-Personne n’est au courant. Tu es le premier. Bon, si on allait se laver et se changer pour aller dîner et ensuite, je te fais grimper au rideau.
-Pfffuuuu, j’attends de voir ça.
Je me mets à rire et lui aussi. Il m’attrape le bras et me tire sous la douche. Il allume l’eau chaude qui nous frappe le dos, coulant sur nos corps huileux. L’humidité et la vapeur enveloppent l’air, rendant nos peaux moites et brillantes.
Je me retourne, pressant mon corps contre celui de Vincent, nos lèvres se rencontrant sous le jet d’eau. Vincent prend le gel douche, le faisant mousser entre ses mains puis m’en applique sur mon torse. Sa main ne frotte pas, elle masse tendrement ma poitrine, mes épaules et mes bras. Le contact du savon chaud glisse sur ma peau lisse. Il se concentre ensuite sur mon dos, ses doigts traçant l’épine dorsale et s’attardant sur le creux de mes omoplates. Je me penche légèrement, laissant échapper un soupir sous l’effet des caresses de ses mains. L’eau coule toujours et la mousse s’en va glissant sur nos peaux nues. Nous sortons de la douche ensemble, enveloppés dans la même grande serviette. Nous nous essuyons mutuellement et partons au restaurant.
Nous arrivons au restaurant et retrouvons notre table. Nous nous asseyons l’un en face de l’autre. Je ne regarde pas le menu dans un premier temps, mais je le regarde lui. Je le regarde avec un regard nouveau. Ce n’est plus ce con que j’ai connu auparavant, je suis en face d’un homme doux et attentionné et non du mec macho qu’il laissait montrer.
Nos yeux se rencontrent puis un léger sourire passe entre nous deux. Je tends ma main par-dessus la table et la pose sur celle-ci. Vincent répond à ce geste en glissant sa propre main pour que nos doigts se frôlent. Nous parlons doucement de cette journée puis il me murmure :
-Tu es beau ce soir, vraiment.
Ce compliment à l’air sincère. Je rougis légèrement, le remercie avec un regard intense et nous reprenons notre conversation. Nous mangeons puis Vincent coupe un morceau de son plat et me le tend sur sa fourchette pour que je le goûte. Je commence ensuite par glisser ma jambe sous la table, la déplaçant jusqu’à son entre-jambe, ce qui le fait sursauter puis sourire. Cela lui prouve le désir que j’ai pour lui. Comme seule réponse, il se déplace très légèrement, confirmant qu’il a reçu le message et qu’il le savoure. En plein milieu d’une phrase, je m’arrête de parler et je me contente de fixer sa bouche pendant un long moment en me remémorant son dernier baiser et en imaginant le prochain. Lorsque Vincent porte son verre de vin à ses lèvres, il maintient son regard vers moi ce qui provoque chez moi une envie de me lever et de l’embrasser fougueusement mais je me retiens. J’ai la gorge qui se noue et il le remarque en me souriant. Le plat chaud terminé, je rapproche ma chaise de celle de Vincent pour être plus près de lui. Le serveur arrive pour débarrasser puis nous demande si nous désirons un dessert et un café.
Pendant que Vincent est concentré à parler au serveur, je glisse ma main sous la nappe, la remonte le long de sa cuisse pour venir caresser son entre-jambe qui n’est pas de marbre à tout ce qui vient de se passer. J’attrape sa queue à travers le tissu qui provoque un léger sursaut à Vincent. Son souffle s’accélère très légèrement. Il ne peut pas bouger. Il répond au serveur en posant sa main sur la table, ses doigts se refermant avec force autour de son verre de vin pour essayer de se concentrer. Pour finir, il dit juste au serveur que nous réfléchissons et qu’il revienne dans cinq minutes.
Vincent termine son verre de vin mais au lieu d’attendre le serveur pour le dessert, il s’appuie très légèrement sur la table, se penchant vers moi. Son murmure est rauque, à peine audible au-dessus de la musique :
-On devrait peut-être s’en aller d’ici, Tobias.
-Pour aller où ?
-D’après toi ?
La tension est trop forte, et l’invitation est enfin lancée. Vincent ne dit plus rien d’autre. Il se redresse, un sourire étirant ses lèvres, et pose sa main sur la mienne pour que je me lève à mon tour. Avant de me lever, je le regarde attraper le serveur d’un geste sec et règle l’addition. Il contourne ensuite la table. Arrivé derrière moi, il pose ses mains sur mes épaules en les pressant fermement et me susurre à l’oreille : « Allons-y maintenant. »
Je me relève puis il place une main sur le bas de mon dos, me guidant. Il a l’air vraiment très pressé de rejoindre notre suite. Nous sortons du restaurant et en direction de l’ascenseur. Arrivé à l’intérieur de celui-ci, Vincent me tire vers lui, m’embrasse rapidement et profondément. Son baiser est vorace et me fait comprendre ce qu’il veut. Il rompt ce baiser et me murmure, le souffle chaud et rauque contre ma bouche : « j’ai grave envie de toi. » L’ascenseur arrive à notre étage et d’un pas rapide, main dans la main, nous atteignons la suite.
Nous arrivons dans la chambre, seul le bruit de la porte qui se ferme déclenche le signal de cette fougue qui émane entre nous. La porte refermée, Vincent me pousse contre celle-ci. Il n’y a plus de place pour la douceur des caresses. Nos bouches se rejoignent dans un baiser profond, torride, sans aucune réserve. Mes mains plongent directement sous sa chemise, trouvant la chaleur de son dos. Je commence aussi à caresser ses muscles juste au-dessus de son pantalon. J’arrive même à deviner son érection grâce à l’énorme bosse qu’elle forme au niveau de son entre-jambe. Les doigts de Vincent agrippent mon polo en me l’arrachant dans une précipitation fiévreuse. Je retire à mon tour sa chemise et nous pressons nos torses l’un contre l’autre. Le contact de sa peau m’électrise immédiatement. Le reste de nos vêtements tombent rapidement. Nous nous retrouvons nus, la lumière tamisée de la chambre projetant des ombres longues et douces sur nos corps.
Je prends le temps de caresser son torse chaud. Sa peau est moite de sueur. Mes mains descendent, effleurant la ligne de l’aine en m’attardant sur la douceur intérieure de ses cuisses. J’attrape sa virilité avec mes deux mains en la regardant puis en en regardant droit dans les yeux. Il a la bouche entre ouverte de désir. Nos bassins se rejoignent, nos érections se pressent l’une contre l’autre et se frottent. Ma bouche ne se contente plus de la sienne. Je descends doucement en déposant une trainée de baisers chauds et humides sur son cou, son épaule et sa poitrine. Nous avançons rapidement dans la chambre et nous nous laissons tomber sur le lit. Vincent s’immobilise un instant, nos regards se fixent l’un à l’autre. Vincent se place sur le dos et je le chevauche tel un animal sauvage. Ma langue parcourt son corps et arrive sur sa queue bien dressée. Je la lèche de bas en haut en commençant par ses grosses couilles que je gobe pour commencer ce qui le fait grogner. Je lèche le bout de son gland en le titillant. Il me regarde faire toujours avec sa bouche légèrement ouverte. Puis j’avale directement son énorme queue en fond de gorge. Il gémit à nouveau mais cette fois-ci de surprise en murmurant difficilement « whouaaa », et je suce sa virilité de plus en plus vite. Il passe ses mains dans mes cheveux, puis sur mes joues. Il se relève et me retourne le ventre face au matelas. Je me redresse et lui dit :
-Attends-moi ici.
-Tu vas où ?
-Je reviens tout de suite.
Je pars fouiller dans mes affaires et en ressort mon lubrifiant que je lui lance. Il sourit et je me remets dans la position allongée sur le ventre. Il s’allonge sur moi et je sens son corps moite se blottir contre moi pour m’embrasser dans le cou et sur les épaules. Il prend le tube de lubrifiant et s’en met sur son sexe puis une noisette sur mon anus. Tout doucement, ses doigts le caresse et il commence à me titiller puis rentrer son index. Je relève la tête en la tournant dans sa direction. Il s’amuse de me voir gémir puis voyant que je prends du plaisir, il introduit un deuxième et un troisième. Il retire enfin ses doigts et vient enfin presser le bout de son gland à l’entrée de mon petit trou. Je suis tellement moite, tellement chaud de désir. Il pousse doucement et son gland rentre en moi en me laissant gémir de pur plaisir. Puis il commence à rentrer doucement sa queue en moi. Chaque poussée qu’il fait est soutenue pas ses mains qui s’agrippent à mes fesses. Les seuls sons dans la chambre sont ceux de l’abandon total comme nos gémissements, le bruit de la peau contre la peau.
Nos corps, moites de chaleur, glissent l’un contre l’autre. Sa queue épouse parfaitement mon cul qui se cambre à chaque coup de reins de plus en plus profonds. Vincent pose ses mains fermement dans le bas de mon dos ; ses doigts s’agrippent et se relâchent au rythme de chaque poussée, de chaque coup de reins. Cela lui permet d’aller toujours plus loin en moi. Il me retourne ensuite en me relevant les jambes sur ses épaules pour se replacer en moi. Ma main remonte le long de son flanc, mes doigts caressent ses abdos tendus par l’effort et le plaisir. Je sens la force de Vincent avec chaque poussée en moi. Je ne dis rien, je gémis de plus en plus.
A plusieurs reprises, nous nous regardons. Nous nous rapprochons, et au lieu d’un baiser profond, je me contente de respirer contre sa bouche. Je sens son souffle chaud contre le mien. L’intensité monte, nos corps se tendent. A force de frottement contre ses abdos, ma queue n’en peut plus et je jouis sur nos deux corps. Ses mouvements se font plus rapides et plus urgents. Les muscles de Vincent se contractent, son dos s’arque légèrement. Ses doigts s’agrippent aux draps. Son souffle devient saccadé, ses gémissements sont de plus en plus forts. Il s’immobilise un instant, puis reprend le mouvement avec une puissance retenue qui annonce sa future jouissance. Un cri bestial et libérateur s’échappe de ses lèvres. Il presse son corps contre le mien, serre les dents puis je libère de toute cette tension en m’inondant de tout son jus au plus profond de mes entrailles. Il continue encore quelques petits coups de reins puis s’effondre doucement sur moi. Il reste immobile, son front contre le mien, son souffle haletant.
Plus un bruit dans la chambre mis à part nos respirations profondes et ralenties. Nous restons unis. Son corps est toujours sur moi. Il est toujours en moi. Je lis sur son visage un sentiment de plénitude et de paix absolue.
Après quelques secondes, il soulève légèrement son corps puis il se penche pour déposer un baiser doux sur ma tempe, puis sur ma bouche. Il relève légèrement la tête et me murmure : « Tu es incroyablement parfait. »
Vincent reste toujours en moi. Il s’allonge à nouveau sur moi et je l’enlace de mes bras en le caressant du bout de mes doigts dans son dos. Il se retire enfin de mon fondement mais toujours en me regardant droit dans les yeux. Il se penche vers moi et commence à me déposer pleins de baisers le long de mon cou, jusque sur mon torse. Je pose ma main sur sa nuque puis sur sa joue sur laquelle il penche légèrement la tête. Nous tournons sur le côté, nos deux corps toujours enlacés et nos jambes toujours entremêlées sous les draps froissés par nos ébats. Nous nous toisons toujours du regard puis je lui souris. En voyant mon sourire, son visage s’illumine et Vincent pose à nouveau ses lèvres humides contre les miennes en insérant sa langue dans ma bouche.
Nos corps humides sont toujours l’un contre l’autre. Ma main toujours posée sur le flanc de Vincent commence à le caresser tendrement. Je glisse mes doigts en direction de son bassin. Je fais quelques petits mouvements de hanche légers en glissant légèrement contre la cuisse de Vincent. Je le désir encore. Je le regarde toujours droit dans les yeux et je lui murmure :
-S’il te plaît, encore.
Vincent sourit de plus belle mais cette fois-ci, il vient m’embrasser. Un baiser qui est plus sauvage. Ses lèvres ont un goût salé. Ses caresses ne sont plus tendres mais elles deviennent plus bestiales. Vincent s’immobilise un instant, puis me pousse soudainement sur le dos, se hissant au-dessus de moi. Je ressens son désir. Je m’accroche à ses hanches en enfonçant mes doigts dans sa peau ce qui le fait grogner. Il attrape son sexe et le pose contre mon petit trou d’où son jus s’écoule doucement. D’un coup sec et rapide, il me la plante toujours en me regardant droit dans les yeux. Sa bouche s’ouvre quand j’ouvre la mienne pour crier mon plaisir. Ses mouvements sont beaucoup plus rapides, plus axés sur le choc de sa pénétration que sur les caresses. La tendresse disparaît, ce qui ne me déplait pas. Il grogne à chaque fois qu’il me pénètre. A chaque coup de reins toujours plus profonds, je lui réponds par des soupirs haletants. Il se retire parfois pour se réintroduire avec une grande force. Sa queue est encore plus dure et plus forte. Mes jambes se resserrent autour de ses hanches pour ne pas briser cette emprise qu’il a sur moi.
Alors que je suis sur le point de non-retour, Vincent place ses mains de chaque côté de mon corps et d’un mouvement rapide et puissant, me retourne. Je me retrouve donc à quatre pattes sur le lit, le corps courbé dans une position d’attente. Il ne me laisse pas le temps de m’ajuster car il m’attrape sauvagement en posant ses mains fermement sur mes hanches. Mon dos est bien cambré. Je suis en position de soumission complète ce qui montre à Vincent que je suis entièrement à lui. Il ne plante pas sa queue en moi tout de suite. Il se colle à moi. Sa queue contre mon cul et il vient m’embrasser le long de ma nuque toujours avec ses mains sur mes hanches. Puis, il s’approche de mon oreille et me susurre :
Regarde ce que tu me fais faire. Tu es complètement à moi maintenant.
Je ne dis rien mais fait juste oui de la tête. Il attrape sa queue toujours aussi dure et avec une grande force, me la plante profondément. C’est puissant. Je pousse un cri qui se mêle à ses grognements de plaisir. A chaque coup de reins, je sens ses couilles pendantes taper contre les miennes. De temps en temps, il me claque le cul bien fort et je trouve ça agréablement bon.
Au bout de dix minutes, Vincent me retourne sur le dos et place ses mains de chaque côté de mon bassin. Il utilise la force de ses cuisses et de son dos pour me soulever brusquement du lit. Il recule ensuite vers le mur. Je suis forcé d’enrouler mes jambes autour de sa taille pour maintenir la connexion. Cette fois-ci, il me plaque contre la surface froide du mur ce qui me provoque un gémissement de surprise. Je suis donc pressé contre ce mur et contre son corps si chaud. Vincent maintient fermement mes fesses dans ses paumes. Il ajuste son bassin en m’inclinant légèrement vers le haut et vers l’avant ce qui lui permet de forcer sa pénétration. Sa pénétration qui est plus courte mais plus profonde et plus brutale. Ses mains sur mes fesses forcent tellement à chaque poussée de sa queue en moi que cela en devient presque douloureux mais tellement bon en même temps. Il me regarde droit dans les yeux et me dit en haletant :
-C’est bien ça que tu voulais ?
-Ouiiiiiii
Je m’agrippe férocement à ses cheveux et sa nuque en tirant sa tête vers moi dans un dernier cri de jouissance. Je déverse tout mon jus sur son ventre. Vincent, dans un grognement puissant et long, bascule sa tête en arrière et dans une secousse finale qui fait vibrer mon corps, il éjacule à nouveau en moi. Je sens son jus se déverser avec de puissants jets bouillants. Il relâche enfin la pression, mais ne se retire pas. Il me fait doucement glisser vers le bas, les jambes toujours enlacées, jusqu’à ce que mes pieds touchent le sol. Je m’effondre contre son torse et il me soutient de tous ses muscles. Nous restons dans cette position immobile, nos corps haletants pressés l’un contre l’autre, toujours contre ce mur froid.
Il me reprend à nouveau dans ses bras pour me porter jusqu’au lit. Nous nous allongeons ensemble, nos corps emmêlés dans les draps froissés. Il m’attire tout contre lui dans une étreinte passionnée. Je me blottis contre son corps chaud et transpirant. Je pose ma main sur son ventre et l’embrasse sur la poitrine.
Il dépose ensuite une série de petits baisers doux et mouillés sur l’arrière de mon cou. Je m’abandonne complètement contre lui. Je pose ma jambe sur la sienne et nous restons dans cette position. Je souris et le regarde. Il ne répond pas mais, sa main remonte et trouve la mienne en la serrant légèrement.
Nous sommes enlacés et épuisés et nous nous endormons l’un contre l’autre.
Fin du chapitre 5.
Je pose ma main sur son érection. Mes doigts pressent doucement et s’immobilisent. Il ferme les yeux sous l’effet de ce contact inattendu et intense. Un gémissement sourd s’échappe de sa gorge, son corps répondant immédiatement à la pression et à la position. Il pose ses mains sur mes épaules, non pour me repousser cette fois-ci mais, pour se stabiliser face à l’afflux de désir. La tension est désormais palpable dans la pièce. Vincent ne dit rien, il est entièrement soumis à ma présence. Je suis toujours à genoux, ma main se met à bouger lentement, traçant les contours de son érection ce qui fait monter la tension chez Vincent. Je baisse ma tête doucement jusqu’à ce que mon front repose contre la cuisse de Vincent, juste à côté de sa queue. Sous l’effet de ce contact et de cette position, il réagit en cambrant légèrement le bassin vers l’avant, une poussée involontaire qui cherche le contact plus ferme. Ses mains se retirent de mes épaules et plongent dans mes cheveux, les paumes pressant doucement ma tête contre lui. Un gémissement lui échappe. J’ouvre enfin la bouche et commence délicatement à prendre son gland tout en l’enroulant avec ma langue. Il gémit encore plus fort. Son sexe est tendu au maximum. Doucement, je fais glisser son sexe dans ma bouche et commence à le sucer en essayant de trouver son regard. Je pense qu’il est dans un tel état d’excitation depuis ce matin car en moins de cinq minutes, il se met à éjaculer dans ma bouche. Je me délecte de ce nectar et n’en perds pas une seule goutte. Je repasse ma langue sur son gland pour récolter les dernières gouttes. Il m’aide à me redresser, me regarde pendant quelques secondes et me dit doucement : « je suis désolé ».
Je le regarde sans comprendre.
-Je disais je suis désolé car je suis venu trop vite. Ce n’est pas une chose qui m’arrive d’habitude.
-Ce n’est pas grave, tu sais.
-Ben si quand même. Je te prouverais le contraire.
-Ah, parce que tu as envie de moi ?
-Je pense que tu as pu le constater non avec tout ce qui s’est passé aujourd’hui ? T’es le premier mec avec qui j’ai envie de le faire.
-Oui mais tu sais, je m’en veux quand même.
-Par rapport à quoi ?
-Ta femme.
-Ah, tu ne devrais pas t’en faire tu sais. Elle est partie il y a un mois de la maison.
-Merde, je ne le savais pas.
-Personne n’est au courant. Tu es le premier. Bon, si on allait se laver et se changer pour aller dîner et ensuite, je te fais grimper au rideau.
-Pfffuuuu, j’attends de voir ça.
Je me mets à rire et lui aussi. Il m’attrape le bras et me tire sous la douche. Il allume l’eau chaude qui nous frappe le dos, coulant sur nos corps huileux. L’humidité et la vapeur enveloppent l’air, rendant nos peaux moites et brillantes.
Je me retourne, pressant mon corps contre celui de Vincent, nos lèvres se rencontrant sous le jet d’eau. Vincent prend le gel douche, le faisant mousser entre ses mains puis m’en applique sur mon torse. Sa main ne frotte pas, elle masse tendrement ma poitrine, mes épaules et mes bras. Le contact du savon chaud glisse sur ma peau lisse. Il se concentre ensuite sur mon dos, ses doigts traçant l’épine dorsale et s’attardant sur le creux de mes omoplates. Je me penche légèrement, laissant échapper un soupir sous l’effet des caresses de ses mains. L’eau coule toujours et la mousse s’en va glissant sur nos peaux nues. Nous sortons de la douche ensemble, enveloppés dans la même grande serviette. Nous nous essuyons mutuellement et partons au restaurant.
Nous arrivons au restaurant et retrouvons notre table. Nous nous asseyons l’un en face de l’autre. Je ne regarde pas le menu dans un premier temps, mais je le regarde lui. Je le regarde avec un regard nouveau. Ce n’est plus ce con que j’ai connu auparavant, je suis en face d’un homme doux et attentionné et non du mec macho qu’il laissait montrer.
Nos yeux se rencontrent puis un léger sourire passe entre nous deux. Je tends ma main par-dessus la table et la pose sur celle-ci. Vincent répond à ce geste en glissant sa propre main pour que nos doigts se frôlent. Nous parlons doucement de cette journée puis il me murmure :
-Tu es beau ce soir, vraiment.
Ce compliment à l’air sincère. Je rougis légèrement, le remercie avec un regard intense et nous reprenons notre conversation. Nous mangeons puis Vincent coupe un morceau de son plat et me le tend sur sa fourchette pour que je le goûte. Je commence ensuite par glisser ma jambe sous la table, la déplaçant jusqu’à son entre-jambe, ce qui le fait sursauter puis sourire. Cela lui prouve le désir que j’ai pour lui. Comme seule réponse, il se déplace très légèrement, confirmant qu’il a reçu le message et qu’il le savoure. En plein milieu d’une phrase, je m’arrête de parler et je me contente de fixer sa bouche pendant un long moment en me remémorant son dernier baiser et en imaginant le prochain. Lorsque Vincent porte son verre de vin à ses lèvres, il maintient son regard vers moi ce qui provoque chez moi une envie de me lever et de l’embrasser fougueusement mais je me retiens. J’ai la gorge qui se noue et il le remarque en me souriant. Le plat chaud terminé, je rapproche ma chaise de celle de Vincent pour être plus près de lui. Le serveur arrive pour débarrasser puis nous demande si nous désirons un dessert et un café.
Pendant que Vincent est concentré à parler au serveur, je glisse ma main sous la nappe, la remonte le long de sa cuisse pour venir caresser son entre-jambe qui n’est pas de marbre à tout ce qui vient de se passer. J’attrape sa queue à travers le tissu qui provoque un léger sursaut à Vincent. Son souffle s’accélère très légèrement. Il ne peut pas bouger. Il répond au serveur en posant sa main sur la table, ses doigts se refermant avec force autour de son verre de vin pour essayer de se concentrer. Pour finir, il dit juste au serveur que nous réfléchissons et qu’il revienne dans cinq minutes.
Vincent termine son verre de vin mais au lieu d’attendre le serveur pour le dessert, il s’appuie très légèrement sur la table, se penchant vers moi. Son murmure est rauque, à peine audible au-dessus de la musique :
-On devrait peut-être s’en aller d’ici, Tobias.
-Pour aller où ?
-D’après toi ?
La tension est trop forte, et l’invitation est enfin lancée. Vincent ne dit plus rien d’autre. Il se redresse, un sourire étirant ses lèvres, et pose sa main sur la mienne pour que je me lève à mon tour. Avant de me lever, je le regarde attraper le serveur d’un geste sec et règle l’addition. Il contourne ensuite la table. Arrivé derrière moi, il pose ses mains sur mes épaules en les pressant fermement et me susurre à l’oreille : « Allons-y maintenant. »
Je me relève puis il place une main sur le bas de mon dos, me guidant. Il a l’air vraiment très pressé de rejoindre notre suite. Nous sortons du restaurant et en direction de l’ascenseur. Arrivé à l’intérieur de celui-ci, Vincent me tire vers lui, m’embrasse rapidement et profondément. Son baiser est vorace et me fait comprendre ce qu’il veut. Il rompt ce baiser et me murmure, le souffle chaud et rauque contre ma bouche : « j’ai grave envie de toi. » L’ascenseur arrive à notre étage et d’un pas rapide, main dans la main, nous atteignons la suite.
Nous arrivons dans la chambre, seul le bruit de la porte qui se ferme déclenche le signal de cette fougue qui émane entre nous. La porte refermée, Vincent me pousse contre celle-ci. Il n’y a plus de place pour la douceur des caresses. Nos bouches se rejoignent dans un baiser profond, torride, sans aucune réserve. Mes mains plongent directement sous sa chemise, trouvant la chaleur de son dos. Je commence aussi à caresser ses muscles juste au-dessus de son pantalon. J’arrive même à deviner son érection grâce à l’énorme bosse qu’elle forme au niveau de son entre-jambe. Les doigts de Vincent agrippent mon polo en me l’arrachant dans une précipitation fiévreuse. Je retire à mon tour sa chemise et nous pressons nos torses l’un contre l’autre. Le contact de sa peau m’électrise immédiatement. Le reste de nos vêtements tombent rapidement. Nous nous retrouvons nus, la lumière tamisée de la chambre projetant des ombres longues et douces sur nos corps.
Je prends le temps de caresser son torse chaud. Sa peau est moite de sueur. Mes mains descendent, effleurant la ligne de l’aine en m’attardant sur la douceur intérieure de ses cuisses. J’attrape sa virilité avec mes deux mains en la regardant puis en en regardant droit dans les yeux. Il a la bouche entre ouverte de désir. Nos bassins se rejoignent, nos érections se pressent l’une contre l’autre et se frottent. Ma bouche ne se contente plus de la sienne. Je descends doucement en déposant une trainée de baisers chauds et humides sur son cou, son épaule et sa poitrine. Nous avançons rapidement dans la chambre et nous nous laissons tomber sur le lit. Vincent s’immobilise un instant, nos regards se fixent l’un à l’autre. Vincent se place sur le dos et je le chevauche tel un animal sauvage. Ma langue parcourt son corps et arrive sur sa queue bien dressée. Je la lèche de bas en haut en commençant par ses grosses couilles que je gobe pour commencer ce qui le fait grogner. Je lèche le bout de son gland en le titillant. Il me regarde faire toujours avec sa bouche légèrement ouverte. Puis j’avale directement son énorme queue en fond de gorge. Il gémit à nouveau mais cette fois-ci de surprise en murmurant difficilement « whouaaa », et je suce sa virilité de plus en plus vite. Il passe ses mains dans mes cheveux, puis sur mes joues. Il se relève et me retourne le ventre face au matelas. Je me redresse et lui dit :
-Attends-moi ici.
-Tu vas où ?
-Je reviens tout de suite.
Je pars fouiller dans mes affaires et en ressort mon lubrifiant que je lui lance. Il sourit et je me remets dans la position allongée sur le ventre. Il s’allonge sur moi et je sens son corps moite se blottir contre moi pour m’embrasser dans le cou et sur les épaules. Il prend le tube de lubrifiant et s’en met sur son sexe puis une noisette sur mon anus. Tout doucement, ses doigts le caresse et il commence à me titiller puis rentrer son index. Je relève la tête en la tournant dans sa direction. Il s’amuse de me voir gémir puis voyant que je prends du plaisir, il introduit un deuxième et un troisième. Il retire enfin ses doigts et vient enfin presser le bout de son gland à l’entrée de mon petit trou. Je suis tellement moite, tellement chaud de désir. Il pousse doucement et son gland rentre en moi en me laissant gémir de pur plaisir. Puis il commence à rentrer doucement sa queue en moi. Chaque poussée qu’il fait est soutenue pas ses mains qui s’agrippent à mes fesses. Les seuls sons dans la chambre sont ceux de l’abandon total comme nos gémissements, le bruit de la peau contre la peau.
Nos corps, moites de chaleur, glissent l’un contre l’autre. Sa queue épouse parfaitement mon cul qui se cambre à chaque coup de reins de plus en plus profonds. Vincent pose ses mains fermement dans le bas de mon dos ; ses doigts s’agrippent et se relâchent au rythme de chaque poussée, de chaque coup de reins. Cela lui permet d’aller toujours plus loin en moi. Il me retourne ensuite en me relevant les jambes sur ses épaules pour se replacer en moi. Ma main remonte le long de son flanc, mes doigts caressent ses abdos tendus par l’effort et le plaisir. Je sens la force de Vincent avec chaque poussée en moi. Je ne dis rien, je gémis de plus en plus.
A plusieurs reprises, nous nous regardons. Nous nous rapprochons, et au lieu d’un baiser profond, je me contente de respirer contre sa bouche. Je sens son souffle chaud contre le mien. L’intensité monte, nos corps se tendent. A force de frottement contre ses abdos, ma queue n’en peut plus et je jouis sur nos deux corps. Ses mouvements se font plus rapides et plus urgents. Les muscles de Vincent se contractent, son dos s’arque légèrement. Ses doigts s’agrippent aux draps. Son souffle devient saccadé, ses gémissements sont de plus en plus forts. Il s’immobilise un instant, puis reprend le mouvement avec une puissance retenue qui annonce sa future jouissance. Un cri bestial et libérateur s’échappe de ses lèvres. Il presse son corps contre le mien, serre les dents puis je libère de toute cette tension en m’inondant de tout son jus au plus profond de mes entrailles. Il continue encore quelques petits coups de reins puis s’effondre doucement sur moi. Il reste immobile, son front contre le mien, son souffle haletant.
Plus un bruit dans la chambre mis à part nos respirations profondes et ralenties. Nous restons unis. Son corps est toujours sur moi. Il est toujours en moi. Je lis sur son visage un sentiment de plénitude et de paix absolue.
Après quelques secondes, il soulève légèrement son corps puis il se penche pour déposer un baiser doux sur ma tempe, puis sur ma bouche. Il relève légèrement la tête et me murmure : « Tu es incroyablement parfait. »
Vincent reste toujours en moi. Il s’allonge à nouveau sur moi et je l’enlace de mes bras en le caressant du bout de mes doigts dans son dos. Il se retire enfin de mon fondement mais toujours en me regardant droit dans les yeux. Il se penche vers moi et commence à me déposer pleins de baisers le long de mon cou, jusque sur mon torse. Je pose ma main sur sa nuque puis sur sa joue sur laquelle il penche légèrement la tête. Nous tournons sur le côté, nos deux corps toujours enlacés et nos jambes toujours entremêlées sous les draps froissés par nos ébats. Nous nous toisons toujours du regard puis je lui souris. En voyant mon sourire, son visage s’illumine et Vincent pose à nouveau ses lèvres humides contre les miennes en insérant sa langue dans ma bouche.
Nos corps humides sont toujours l’un contre l’autre. Ma main toujours posée sur le flanc de Vincent commence à le caresser tendrement. Je glisse mes doigts en direction de son bassin. Je fais quelques petits mouvements de hanche légers en glissant légèrement contre la cuisse de Vincent. Je le désir encore. Je le regarde toujours droit dans les yeux et je lui murmure :
-S’il te plaît, encore.
Vincent sourit de plus belle mais cette fois-ci, il vient m’embrasser. Un baiser qui est plus sauvage. Ses lèvres ont un goût salé. Ses caresses ne sont plus tendres mais elles deviennent plus bestiales. Vincent s’immobilise un instant, puis me pousse soudainement sur le dos, se hissant au-dessus de moi. Je ressens son désir. Je m’accroche à ses hanches en enfonçant mes doigts dans sa peau ce qui le fait grogner. Il attrape son sexe et le pose contre mon petit trou d’où son jus s’écoule doucement. D’un coup sec et rapide, il me la plante toujours en me regardant droit dans les yeux. Sa bouche s’ouvre quand j’ouvre la mienne pour crier mon plaisir. Ses mouvements sont beaucoup plus rapides, plus axés sur le choc de sa pénétration que sur les caresses. La tendresse disparaît, ce qui ne me déplait pas. Il grogne à chaque fois qu’il me pénètre. A chaque coup de reins toujours plus profonds, je lui réponds par des soupirs haletants. Il se retire parfois pour se réintroduire avec une grande force. Sa queue est encore plus dure et plus forte. Mes jambes se resserrent autour de ses hanches pour ne pas briser cette emprise qu’il a sur moi.
Alors que je suis sur le point de non-retour, Vincent place ses mains de chaque côté de mon corps et d’un mouvement rapide et puissant, me retourne. Je me retrouve donc à quatre pattes sur le lit, le corps courbé dans une position d’attente. Il ne me laisse pas le temps de m’ajuster car il m’attrape sauvagement en posant ses mains fermement sur mes hanches. Mon dos est bien cambré. Je suis en position de soumission complète ce qui montre à Vincent que je suis entièrement à lui. Il ne plante pas sa queue en moi tout de suite. Il se colle à moi. Sa queue contre mon cul et il vient m’embrasser le long de ma nuque toujours avec ses mains sur mes hanches. Puis, il s’approche de mon oreille et me susurre :
Regarde ce que tu me fais faire. Tu es complètement à moi maintenant.
Je ne dis rien mais fait juste oui de la tête. Il attrape sa queue toujours aussi dure et avec une grande force, me la plante profondément. C’est puissant. Je pousse un cri qui se mêle à ses grognements de plaisir. A chaque coup de reins, je sens ses couilles pendantes taper contre les miennes. De temps en temps, il me claque le cul bien fort et je trouve ça agréablement bon.
Au bout de dix minutes, Vincent me retourne sur le dos et place ses mains de chaque côté de mon bassin. Il utilise la force de ses cuisses et de son dos pour me soulever brusquement du lit. Il recule ensuite vers le mur. Je suis forcé d’enrouler mes jambes autour de sa taille pour maintenir la connexion. Cette fois-ci, il me plaque contre la surface froide du mur ce qui me provoque un gémissement de surprise. Je suis donc pressé contre ce mur et contre son corps si chaud. Vincent maintient fermement mes fesses dans ses paumes. Il ajuste son bassin en m’inclinant légèrement vers le haut et vers l’avant ce qui lui permet de forcer sa pénétration. Sa pénétration qui est plus courte mais plus profonde et plus brutale. Ses mains sur mes fesses forcent tellement à chaque poussée de sa queue en moi que cela en devient presque douloureux mais tellement bon en même temps. Il me regarde droit dans les yeux et me dit en haletant :
-C’est bien ça que tu voulais ?
-Ouiiiiiii
Je m’agrippe férocement à ses cheveux et sa nuque en tirant sa tête vers moi dans un dernier cri de jouissance. Je déverse tout mon jus sur son ventre. Vincent, dans un grognement puissant et long, bascule sa tête en arrière et dans une secousse finale qui fait vibrer mon corps, il éjacule à nouveau en moi. Je sens son jus se déverser avec de puissants jets bouillants. Il relâche enfin la pression, mais ne se retire pas. Il me fait doucement glisser vers le bas, les jambes toujours enlacées, jusqu’à ce que mes pieds touchent le sol. Je m’effondre contre son torse et il me soutient de tous ses muscles. Nous restons dans cette position immobile, nos corps haletants pressés l’un contre l’autre, toujours contre ce mur froid.
Il me reprend à nouveau dans ses bras pour me porter jusqu’au lit. Nous nous allongeons ensemble, nos corps emmêlés dans les draps froissés. Il m’attire tout contre lui dans une étreinte passionnée. Je me blottis contre son corps chaud et transpirant. Je pose ma main sur son ventre et l’embrasse sur la poitrine.
Il dépose ensuite une série de petits baisers doux et mouillés sur l’arrière de mon cou. Je m’abandonne complètement contre lui. Je pose ma jambe sur la sienne et nous restons dans cette position. Je souris et le regarde. Il ne répond pas mais, sa main remonte et trouve la mienne en la serrant légèrement.
Nous sommes enlacés et épuisés et nous nous endormons l’un contre l’autre.
Fin du chapitre 5.
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