Le collègue que tout le monde déteste (6)

- Par l'auteur HDS Tounet39270 -
Auteur .
  • • 66 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Tounet39270 ont reçu un total de 221 521 visites.
Récit libertin : Le collègue que tout le monde déteste (6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 499 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Le collègue que tout le monde déteste (6)
Chapitre 6

Je m’agrippe férocement à ses cheveux et sa nuque en tirant sa tête vers moi dans un dernier cri de jouissance. Je déverse tout mon jus sur son ventre. Vincent, dans un grognement puissant et long, bascule sa tête en arrière et dans une secousse finale qui fait vibrer mon corps, il éjacule à nouveau en moi. Je sens son jus se déverser avec de puissants jets bouillants. Il relâche enfin la pression, mais ne se retire pas. Il me fait doucement glisser vers le bas, les jambes toujours enlacées, jusqu’à ce que mes pieds touchent le sol. Je m’effondre contre son torse et il me soutient de tous ses muscles. Nous restons dans cette position immobile, nos corps haletants pressés l’un contre l’autre, toujours contre ce mur froid.
Il me reprend à nouveau dans ses bras pour me porter jusqu’au lit. Nous nous allongeons ensemble, nos corps emmêlés dans les draps froissés. Il m’attire tout contre lui dans une étreinte passionnée. Je me blottis contre son corps chaud et transpirant. Je pose ma main sur son ventre et l’embrasse sur la poitrine.
Il dépose ensuite une série de petits baisers doux et mouillés sur l’arrière de mon cou. Je m’abandonne complètement contre lui. Je pose ma jambe sur la sienne et nous restons dans cette position. Je souris et le regarde. Il ne répond pas mais, sa main remonte et trouve la mienne en la serrant légèrement.
Nous sommes enlacés et épuisés et nous nous endormons l’un contre l’autre.

Au petit matin, je suis le premier à sortir d’un sommeil lourd. Ce n’est pas à cause de la lumière mais plutôt le fait de me sentir bien contre le corps de Vincent. Nous sommes toujours enlacés avec nos jambes entremêlées. Ma tête se trouve contre son torse et sa tête enfouie dans le creux de mon cou. Je sens son souffle chaud et régulier qui caresse ma peau et j’en frissonne. Puis, je sens sa main qui se pose sur mon dos, me caressant la colonne vertébrale dans un mouvement lent. Je lève légèrement la tête et je vois un sourire s’étirer de ses lèvres.
Je m’étire un peu en poussant un petit gémissement de satisfaction et aussi un peu d’inconfort qui est dû au fait que j’ai un peu les muscles douloureux. Je me serre un peu plus contre Vincent en le prenant dans mes bras. Nous n’avons pas besoin de parler, le souvenir de la nuit est encore présent dans nos regards. Je me soulève doucement mon corps et dépose un baiser sur ses lèvres puis sur sa poitrine.
-Bonjour toi, me dit-il ?
-Bonjour vous.
-Tu as bien dormi ?
-Comme un bébé. J’étais très bien dans tes bras cette nuit.
-Mmmm, moi aussi je dois dire.

Nous nous levons doucement et commandons le petit-déjeuner. Nous avons le temps car la prochaine activité n’est que ce soir. Nous sommes assis à table, le soleil est filtré par les rideaux de la chambre. L’odeur du café et des croissants frais remplit la chambre.
Vincent prend ma main sous la table et me dit :
-Je ne suis pas pressé que cette semaine se termine.
-Moi non plus, dis-je en soupirant. Mais la semaine prochaine, la réalité va nous frapper de plein fouet. On doit se sentir prêt. On ne peut pas juste se présenter au bureau lundi comme si….
-Comme si de rien n’était. Exactement. On doit établir des règles avant de partir d’ici. Notre secret, c’est notre protection. Nous devons être des collègues au taf, point final. Quand on se parle, c’est pour parler clients. Il ne faut surtout pas que nos regards s’éternisent.
-Entendu, on fait comme avant.
-Il faut aussi que l’on garde une distance entre nous. S’il y a une soirée d’équipe ou un lancement de brochure, on y va séparément et on part séparément. On parle à tout le monde sauf à l’autre pendant plus de deux minutes. On ne doit pas savoir que nous sommes ensemble.
-On est ensemble alors ?
-Tu ne veux pas ?
-Si, si je pense que tu dois t’en douter. Et quand je penserai à ce qu’on a fait contre le mur, la semaine prochaine, et que je craquerai, quel est le code ?

Sa main glisse sur ma nuque après ma remarque, puis me prend la main à nouveau.
-Je dois pouvoir te dire que tu me manques au point de ne plus pouvoir me concentrer. Alors, si je te parle d’un dossier et que j’utilise l’expression « Destination brûlante », cela voudra dire que ma concentration est sur toi et que je veux que l’on se retrouve chez moi ou chez toi.
-J’adore. Je saurai immédiatement que l’on va se retrouver le soir.
-C’est ça. Et pour te montrer que j’ai compris, j’utiliserai un tic que personne ne remarquera en me frottant doucement l’intérieur de mon poignet avec mon pouce, lui dis-je en effectuant le geste.
-Mmmmm oui, je saurai que tu as hâte de me sentir contre toi.
-Oui.

Après le petit-déjeuner, nous ne nous précipitons pas pour nous habiller, nous restons en peignoir. Vincent se lève et prend ma main pour me tirer doucement vers le lit pour nous prélasser tranquillement en nous enlaçant sous les couvertures. Il attrape le journal du matin que nous avons eu avec le petit-déjeuner en le lisant à voix basse, ma tête reposant sur son épaule. Sa voix est apaisante et transforme la lecture en une berceuse douce. De temps en temps, Vincent passe une main dans mes cheveux.
Le midi, nous allons manger au restaurant puis décidons ensuite de faire un tour au Sauna de l’hôtel ce qui permet de relâcher toutes les tensions. Nous sommes assis côte à côte en nous touchant du bout des doigts. De temps en temps, je me mets à frotter délicatement son dos avec une serviette mouillée puis il me fait ensuite la même chose.
Nous sortons ensuite du sauna pour finir tranquillement au bord de la piscine intérieur en se tenant simplement la main. Nous nous observons sans penser à autre chose.

Nous remontons ensuite dans notre suite pour nous lavés avant de prendre le chemin de notre prochaine activité : nous avons deux billets pour aller voir un spectacle de Flamenco avec une option dîner.
Vincent va remplir la baignoire d’eau chaude remplie de mousse. Il prend ma main et nous y entrons ensemble. Je m’installe en premier contre la porcelaine lisse. Vincent se positionne entre mes jambes ce qui permet de nous enlacer. L’eau atteint nos torses et nous faisons attention de ne pas en mettre partout.
Mes mains glissent sur son torse en caressant le contour de ses muscles. Vincent, quant à lui glisse ses mains sous l’eau vers l’intérieur de mes cuisses et caresser mon sexe déjà bien tendu de désir pour lui. Il prend ma queue et commence à me branler doucement. Nos bouches se rapprochent pour se terminer en un baiser langoureux. Il attrape mes hanches pour me maintenir tout en me tirant à lui. Je me redresse un peu en m’approchant contre lui et avec sa main, il glisse ses doigts à l’entrée de mon petit trou pour commencer de me doigter tout doucement. Après quelques minutes, je me réajuste pour qu’il puisse enfin me pénétrer. Ses mouvements sont lents, soutenu par l’eau. Ses coups de reins sont doux et forts à la fois. Je penche ma tête en arrière, la reposant contre la porcelaine de la baignoire. Je gémis doucement sous son assaut.
Vincent saisit fermement mes hanches en faisant glisser ses mains sur ma peau. Ses mouvements deviennent de plus en plus puissants, faisant gicler de l’eau en dehors de la baignoire. Pour accentuer ses coups de reins, je bouge mon bassin en même temps pour que Vincent m’encule profondément. Je glisse mes jambes autour de la taille de mon amant pour qu’il s’ancre encore plus en moi. Vincent grogne son plaisir et je réponds à ses gémissements tout en rebasculant ma tête en arrière. Vincent est pris d’une jouissance impressionnante. Il donne un dernier coup de reins bien profond et jouit au plus profond de moi. Il râle très fort et son corps se raidit et il est pris par de nombreux spasmes. Au même moment, il attrape ma queue pour me branler énergiquement tout en collant ses lèvres contre les miennes et en insérant sa langue dans ma bouche pour un baiser passionné. En quelques secondes, je suis submergé par une totale extase incontrôlable. Je m’agrippe aux épaules de Vincent en enfonçant mes doigts dans sa peau. Je crie de plaisir et je me contracte pour jouir dans l’eau. Il presse ensuite son corps contre le mien ce qui fait à nouveau déborder de l’eau en dehors de la baignoire. Nous restons ensuite immobiles tout en nous embrassant. La pression retombe et je sens Vincent s’affaisser contre moi. Sa tête repose contre mon épaule et je caresse son dos en faisant de petits motifs avec mes doigts.
Il se soulève enfin légèrement et nos yeux se rencontrent et je vois dans son regard toute sa passion. L’eau de la baignoire se refroidit doucement et nous décidons d’en sortir. Vincent se retire de mon cul avec douceur puis m’aide à me relever en me soutenant avec ses mains. Une fois debout, il me dépose un doux baiser sur ma clavicule puis, pendant une seconde, nous nous blottissons l’un contre l’autre.
Vincent attrape une serviette chaude et commence à me sécher minutieusement. Il ne me frotte pas mais tamponnes délicatement ma peau. Je prends à mon tour une serviette et me concentre sur son dos et pressant doucement pour absorber toute l’eau qui ruisselle sur son corps nu. Je m’attarde un peu plus sur sa nuque où je dépose un baiser furtif.
Nous essuyons les dégâts avec l’eau puis nous nous habillons mutuellement et sortons de la chambre pour partir vers notre prochaine activité en duo.

Notre chauffeur nous attend et nous conduit sur le lieu du spectacle. Nous arrivons dans un lieu sombre qui a pour seul éclairage les projecteurs braqués sur la scène ainsi que des bougies sur les tables.
Nous nous asseyons à une petite table. Son genou est naturellement collé au mien sous la nappe. Nos regards se croisent souvent puis nous parlons de nos plats que nous voulons commander. Le repas enfin servi, le spectacle peut enfin commencer.
Le guitariste commence ainsi que tous les instruments autour comme les percussions et les claquements de mains. Je glisse ensuite ma main sous la table pour caresser avec mon doigt l’intérieur du poignet de Vincent ce qui lui envoie un frisson électrique.
La danseuse arrive sur scène, ses mouvements sont fiers, son visage exprime la rage, la fierté et le désir pure du « duende ». Vincent m’observe avec le feu dans les yeux puis se penche vers moi et me murmure :
-Elle danse ce que je ressens pour toi en ce moment, une Destination brûlante.

Le spectacle atteint son point culminant et la danseuse tape le sol avec force. La musique s’arrête brusquement, la danseuse termine sur une posture de défi. Tous les regards de la salle sont fixés sur elle.
Vincent m’observe encore et je ne fais qu’un seul geste avec mon doigt : je frotte juste le creux de mon poignet avec mon pouce. C’est donc le signal d’une urgence à satisfaire. Satisfaire notre désir à tous les deux. Nous nous regardons droit dans les yeux et il n’y a aucun mot à s’échanger. Nous nous sommes compris immédiatement. Tout ça à cause du Flamenco. Le spectacle reprend, je me lève discrètement en me penchant vers Vincent pour donner l’impression de commenter la musique et je lui murmure à l’oreille :
-Je ne peux plus attendre. Retrouve-moi dans les toilettes des hommes dans cinq minutes. Je veux que tu me prennes, là, tout de suite. Magne-toi.

J’effleure sa jambe et m’éloigne rapidement. Vincent reste seul à table et son cœur bat de plus en plus vite sous l’effet de cette révélation. Il n’attend pas cinq minutes mais juste deux tout en faisant semblant d’être absorbé par la danse. Il jette un regard rapide sur sa montre, puis prend une grande inspiration pour calmer son expression. Il se lève à son tour, s’excusant d’un geste poli ses voisins de tables puis quitte la salle avec un air neutre mais sa démarche est rapide et déterminée. Il traverse le couloir. Il est tout excité à l’idée d’être découvert ce qui amplifie sa tension sexuelle. Il pousse la porte des toilettes des hommes. La pièce est petite, l’éclairage est faible. Je l’attends, adossé au mur près des lavabos, les yeux remplis d’un désir animal.
-Tu en as mis du temps, lui dis-je.

Je lui saute dessus tellement je suis chaud de désir pour lui. Je le tire contre moi, je l’embrasse brutalement. Vincent me pousse ensuite contre le mur des toilettes. La surface est froide et sert aussi de point d’appui. J’agrippent avec force mes mains sur ses épaules. Il me saisit fermement les hanches, me tire vers lui comme un animal. Vincent retire mon pantalon et descends le sien jusqu’à ses pieds. Nos bassins se heurtent avec des claquements sourds. Je gémis contre sa bouche, ma tête roulant contre le mur. Mes jambes s’enroulent autour de ses cuisses. Il ne prononce aucun mot, il fait juste des grognements bas et rauques. Il mordille ensuite mon épaule. Je sens son sexe contre moi et je suis encore plus excité. Il attrape sa queue et m’encule sauvagement. Chacune de ses poussées sont plus fortes, plus insistantes. Notre baise bestiale ne dure pas longtemps et je vois Vincent serrer les dents et son corps se raidirent. Il pousse un grognement final, étouffé dans mon cou et je sens ensuite les spasmes dans tout son corps lorsqu’il éjacule une quantité énorme de son jus bien chaud en moi. Je m’effondre contre lui, ma tête reposant sur son épaule, le souffle court et saccadé. Nous restons collés et tout tremblants.
D’un seul coup, un bruit métallique rompt le silence lourd. La poignée de la porte que nous avons oubliés de fermées dans la hâte bestiale est tournée avec force. Un serveur apparaît. Il se fige sur place, sa main encore sur la poignée, son regard allant sur nos corps enchevêtrés et à moitiés nus jusqu’à nos visages bouleversés. Nous restons pétrifiés par ce qui arrive et sommes glacés sur place. Vincent est le premier a retrouvé ses esprits et lâche un grognement de fureur, voire d’humiliation. Il se sépare de moi en se tournant vers le serveur qui nous regarde stupéfait. Je suis aussi frappé par la honte. Je récupère mon pantalon pour me rhabiller rapidement comme le fait aussi Vincent. Je suis rouge écarlate : un mélange de honte et aussi par la chaleur du désir. Le serveur ne dit rien, il se met juste à nous sourire puis s’éclaircit la gorge avec un bruit sec. Il fait un petit pas en arrière et referme la porte lentement. Nous sous retrouvons à nouveau seul et nous nous regardons. Vincent prend enfin la parole :
-Vite, on sort. On ne dit rien. On sort et pas un mot.
-Putain, il a tout vu.

Vincent agrippe mon bras et nous nous enfuyons rapidement. Nous sommes enfin dehors et partons vers le parking où notre chauffeur doit nous récupérer. Vincent met son bras autour de moi et nous marchons sous l’air frais de la nuit. Je m’arrête et je commence à avoir un fou rire en mettant la main sur ma bouche. Vincent qui lui était honteux et en colère m’entend rire puis lui aussi se met à avoir un rire incontrôlable. Ce sont des rires nerveux et hystériques. Nous n’arrivons plus à nous arrêter puis je parviens à dire :
-Le…. Le bruit de la porte qui se referme… si…. Si lent !
-Et tu as vu son sourire ? Il n’a strictement rien dit ! Il… il a juste fermé la porte. Et nous, on aurait dit deux cons ! dit-il en reprenant son souffle.

Nous arrivons enfin par nous calmer. Nous nous redressons en essuyant nos larmes. Vincent vient m’entourer de ses bras en me serrant très fort. Au même moment, le chauffeur arrive et nous grimpons sans attendre dans la voiture qui nous ramène à l’hôtel.

Fin du chapitre 6.

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Le collègue que tout le monde déteste (6)
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Tounet39270

Le collègue que tout le monde déteste (6) - Récit érotique publié le 08-12-2025
Le collègue que tout le monde déteste (5) - Récit érotique publié le 07-12-2025
Le collègue que tout le monde déteste (4) - Récit érotique publié le 06-12-2025
Le collègue que tout le monde déteste (3) - Récit érotique publié le 04-12-2025
Le collègue que tout le monde déteste (2) - Récit érotique publié le 02-12-2025
Le collègue que tout le monde déteste (1) - Récit érotique publié le 01-12-2025
Le calendrier des pompiers (6 et fin) - Récit érotique publié le 29-11-2025
Le calendrier des pompiers (5) - Récit érotique publié le 28-11-2025
Le calendrier des pompiers (4) - Récit érotique publié le 27-11-2025
Le calendrier des pompiers (3) - Récit érotique publié le 25-11-2025