Le collègue que tout le monde déteste (7)

- Par l'auteur HDS Tounet39270 -
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Récit libertin : Le collègue que tout le monde déteste (7) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le collègue que tout le monde déteste (7)
Chapitre 7

Vincent agrippe mon bras et nous nous enfuyons rapidement. Nous sommes enfin dehors et partons vers le parking où notre chauffeur doit nous récupérer. Vincent met son bras autour de moi et nous marchons sous l’air frais de la nuit. Je m’arrête et je commence à avoir un fou rire en mettant la main sur ma bouche. Vincent qui lui était honteux et en colère m’entend rire puis lui aussi se met à avoir un rire incontrôlable. Ce sont des rires nerveux et hystériques. Nous n’arrivons plus à nous arrêter puis je parviens à dire :
-Le…. Le bruit de la porte qui se referme… si…. Si lent !
-Et tu as vu son sourire ? Il n’a strictement rien dit ! Il… il a juste fermé la porte. Et nous, on aurait dit deux cons ! dit-il en reprenant son souffle.

Nous arrivons enfin par nous calmer. Nous nous redressons en essuyant nos larmes. Vincent vient m’entourer de ses bras en me serrant très fort. Au même moment, le chauffeur arrive et nous grimpons sans attendre dans la voiture qui nous ramène à l’hôtel.

Nous arrivons enfin à l’hôtel. L’adrénaline est enfin redescendue mais la fatigue pointe le bout de son nez. Nous montons sans un mot main dans la main.
Une fois arrivé dans la chambre, je me laisse tomber sur lit et Vincent reste debout devant moi et je lui dis :
-Je suis désolé pour tout à l’heure mais j’étais tellement… Je voulais tellement que tu me prennes là-bas. Je n’ai pas réfléchi, j’étais juste… affamé de toi.

Vincent s’assoit à côté de moi et prend mon visage entre ses mais en me forçant à le regarder puis il dépose un long baiser sur mes lèvres.
-Ce n’est pas grave. Personne ne nous connait ici. On est à Barcelone. Je ne pense pas que l’on revoit ce type vers chez nous.
-Oui, tu as raison.

Après cette légère discussion, nous nous déshabillons complètement et nous glissons dans le lit. Vincent m’attire contre lui et pose sa main sur mon dos. Nous nous embrassons tendrement pendant plusieurs minutes et nous nous endormons, serrés l’un contre l’autre.

Le lendemain matin, le soleil pénètre dans la chambre ce me réveille en premier tout doucement toujours dans les bras de Vincent. Je le regarde qui dort paisiblement et je souris. Je me glisse hors de son étreinte avec beaucoup de précaution pour ne surtout pas le réveiller en laissant glisser les draps sur mon corps. Je me positionne doucement sur le côté du lit et me penche sur Vincent. Je pose mes doigts sur ses cuisses et je les remonte tout doucement le long de ses jambes pour arriver vers sa queue endormie. J’approche mes lèvres de cette magnifique queue et je prends enfin son sexe en bouche. Vincent se réveille enfin en me regardant faire avec un grand sourire. Je le regarde à mon tour et cette fois-ci, j’intensifie mon action en le suçant plus vite, plus fort et aussi plus profondément en le prenant en fond de gorge. Je joue avec ma langue sur sa queue et ses couilles tout en caressant son torse musclé. Vincent grogne son plaisir en laissant retomber sa tête en arrière mais ses coudes sont bien enfoncés dans le lit. Il n’y a pas de bruit dans la chambre, mis à part le son mouillé et rythmé de cette succion.
Vincent ne reste pas là à ne rien faire. Il essaie de reprendre le contrôle de cette pipe. Sa main se pose sur ma tête pour m’encourager et devient plus ferme. Il commence à me guider doucement mais fermement. Il commence à me bourriner la bouche en accélérant de plus en plus. Il soulève son bassin pour répondre à mes mouvements. Ces coups de reins ne restent pas passifs, il va de plus en plus loin dans ma bouche. Je m’étouffe presque lorsqu’il laisse sa queue au fond de ma gorge en me maintenant la tête ce qui me fait saliver. Je deviens rouge écarlate mais j’aime ce qu’il est en train de faire. Vincent grogne de plus en plus fort pour montrer qu’il aime ça. Ses mains s’agrippent aux draps. Je vois ça et cela me donne encore plus envie de le faire jouir avec intensité dans ma bouche. Je redouble d’effort et je me concentre sur cette grosse queue. Vincent repose sa main dans mes cheveux en les attrapant pour avoir une bonne prise en main. Tout son corps se cambre sous le plaisir qu’il est en train de recevoir. Je malaxe ses couilles tout en le suçant et le branlant de mon autre main. Ses couilles se contractent et je sens enfin l’explosion au fond de ma gorge. Il pousse un cri étouffé et il relâche prise. Tous ses muscles se détendent d’un seul coup. Malgré toutes ces dernières éjaculations, Vincent à encore de la ressource car il me remplit littéralement la gorge. Je reçois ce bon nectar et en avale la totalité. Je me relève ensuite lentement et me léchant les lèvres pour recueillir le reste de son jus.
Je me redresse et lui souris avec satisfaction. Je le regarde et il souffle toujours de ce qui vient de se passer puis il me regarde à son tour en me disant :
-C’est le meilleur réveil que l’on m’ait fait.

Il tend une main tremblante pour me caresser la joue. Il m’attrape et me tire vers lui pour que je me couche sur sa poitrine. Je me blottis immédiatement contre lui, la tête posée sur son cœur que je sens battre très vite. Nous restons dans cette position durant de longue minutes en savourant le silence et la chaleur de l’autre. Les caresses de Vincent se poursuivent dans mon dos. Nous restons au lit sans vraiment dormir. Nous sommes juste là à profiter l’un de l’autre en passant une bonne partie de la matinée, allongé.
Vincent se relève légèrement en prenant le téléphone à côté du lit pour commander un brunch sans sortir du lit. Nous restons donc tous les deux nus sous les draps fins. Je remonte le drap jusqu’à mon menton pour couvrir ma nudité mais il n’y a aucun doute sur le fait que nous soyons nus sous les draps. Quelqu’un frappe à la porte et Vincent se lève, enfile un peignoir et va ouvrir la porte pour faire entrer le chariot, sans un mot. Le serveur entre pour déposer notre brunch. Il nous regarde légèrement et je pense que l’odeur dans la suite en dit long sur ce que l’on a fait un peu avant. Il regarde ensuite Vincent qui n’avait pas fait attention que son peignoir était mal refermé en laissant voir légèrement son sexe au repos. Il dépose le plat, accepte le pourboire que lui tend Vincent et se retire sans un mot en fermant la porte derrière lui. Une fois la porte refermée, Vincent retire son peignoir et le jette au sol pour revenir sous les draps près de moi. Nous rions de la situation puis je dis :
-J’ai cru qu’il allait faire tomber le jus d’orange ! Et en plus, t’avais mal fermé ton peignoir et il l’a remarqué.

Nous nous redressons un peu dans le lit pour pouvoir enfin manger. De temps en temps, Vincent me fait goûter à son croissant en me le déposant au bord des lèvres. Je trouve ce moment très sensuel même s’il est simple.
Le brunch terminé, nous nous glissons hors du lit complètement nu. Vincent prend ma main et m’entraîne avec lui dans la baignoire prendre une douche. Il règle l’eau à bonne température puis il prend du gel douche et commence à me savonner le dos, puis le reste du corps. Je fais ensuite la même chose sur lui. Nous nous pressons l’un à l’autre, l’eau chaude coulant sur nos corps. Puis après quelques instants, nous nous embrassons longuement. Nous sortons de la douche dans des serviettes moelleuses.

Nous décidons de profiter de l’après-midi en allant à la piscine extérieure de l’hôtel. Nous enfilons nos shorts de bain. Je prends un instant pour l’admirer discrètement lorsqu’il se change. J’allais pour enfiler mon T-shirt quand Vincent s’approche de moi, pose une main sur ma hanche pour me déposer un baiser furtif sur la bouche. Nous quittons la chambre, habillés de nos T-shirts et shorts, avec mos serviettes de bain sur l’épaule. Nous arrivons vers les cabines de la piscine puis entrons dans la même. L’espace est juste assez grand pour nous deux. Une fois la porte verrouillée, je ne résiste pas et me tourne vers Vincent, l’attrape par le cou et l’embrasse passionnément. Puis, nous sortons de la cabine et partons en direction de la piscine pour trouver deux transats l’un à côté de l’autre mais il n’y en a plus. Ils sont tous dispersés. Je vois un transat au loin et décide de le rapprocher d’un deuxième puis nous nous installons tranquillement.
Je prends le flacon de crème solaire et croise le regarde de Vincent qui a un petit sourire aux lèvres qui comprend immédiatement ce que je vais lui demander.
-Je n’atteints pas mon dos.
-Laisse moi faire.

Il se lève et s’assoit sur le bord de mon transat. Il commence à étendre de la crème sur mon dos délicatement sans que ce geste ne soit choquant mais certains hommes autour de la piscine nous observent étrangement. Son massage est long et bien profond. Bien plus profond qu’un simple étalement de crème solaire. Ses mains s’attardent sur ma colonne vertébrale, glissent sur mes trapèzes et sur mes omoplates. Le fait de sentir ses mains sur mon corps ne me laisse pas indifférent et cela fait monter une chaleur dans mon ventre. Je me relève ensuite en évitant de montrer mon début d’érection à tout le monde puis je m’approche de Vincent, qui se tourne et s’installe sur mon transat. Je prends la crème dans mes paumes et me concentre sur ses épaules, sa nuque puissante et je caresse ses muscles avec insistance. Je m’attarde ensuite sur ses flancs en le chatouillant légèrement.
Alors que nous savourant ce moment complice, deux hommes assis un peu plus loin nous observent. Ils ont un air rigide mais ne détournent pas leurs yeux dans notre direction. Leur observation n’est pas juste curieuse mais elle est plutôt jugeuse et mécontente. L’un des deux, plus âgé, a les bras croisés avec sa mâchoire serrée. Je les regarde puis regarde ensuite Vincent, dont l’expression se durcie et leur envoie un regard rapide et tendu. L’un des deux hommes se penche vers son ami et lui prononce quelque chose à voix basse. Nous sentons bien que leur conversation prend une tournure moqueuse et méprisante envers nous. Je sens la colère montée en moi mais Vincent lui reste impassible. Il reprend ses lunettes de soleil, les enfile lentement et se tourne vers moi. Il les ignore, se penche vers moi en me murmurant :
-Les gens n’ont rien d’autre à faire que de juger. Viens, on va nager un peu, ça nous fera du bien.

Pour défier les deux hommes, Vincent pose sa main sur ma cheville en la caressant puis se lève et m’aide à me relever. Nous marchons ensemble en direction de la piscine en passant devant les deux hommes. Je commence à rentrer dans la piscine pendant que Vincent, lui, plonge directement.
Après avoir nagé un peu, nous sortons de la piscine l’un après l’autre en direction de nos transats. Nous nous essuyons et nous nous allongeons. Je jette un coup d’œil vers les deux hommes qui nous observent toujours. Pour les provoquer, Vincent tire son transat fermement et bruyamment pour le coller au mien. Sans dire un mot, il me tend la main, paume vers le haut pour les défier encore plus. Je la saisis immédiatement. Nos doigts s’entrelacent très fort. Nous nous fichons maintenant de leurs regards. Je me tourne légèrement vers Vincent pour lui dire à voix basse :
-Tu crois qu’ils nous ont bien vus là ?
-Je pense oui mais on s’en fou. S’ils ne sont pas contents, ils n’ont qu’à partir.

Les deux hommes se lèvent et marchent dans notre direction puis s’arrêtent juste à côté de nos transats. Ils ont l’air agressifs en croisant leurs bras et nous regardent avec un air hautain. Nous les regardons toujours allongés ; la tension est palpable. Le plus âgés des deux ouvre la bouche et crache ses mots avec un ton chargé de mépris et de dédain visant à nous humilier et nous déstabiliser en nous disant :
-On est dans un hôtel tranquille et familial, messieurs. Si vous voulez exhiber vos manières de… tapettes, trouvez-vous une ruelle ou un bordel. C’est dégoûtant de voir ça.

Vincent se lève immédiatement en me tenant toujours la main, forçant les deux hommes à lever la tête pour le regarder. Son corps est tendu, ses yeux sont noirs de fureur en leur disant :
-Excusez-moi ? Vous n’avez pas le droit de nous adresser la parole de cette manière. Reprenez-vous.

Je reste assis et lâche la main de Vincent pour dire avec une voix tremblante de colère :
-On ne vous a rien fait. Occupez-vous de vos affaires bordel.

Le second homme sourit avec un air de supériorité.
-Oh, la tantouze est sensible. Votre petite parade de crème solaire a été vue ; il y a des enfants ici. Montrez un peu de décence.
-Ecoutez-moi bien, dit Vincent. Nous sommes des clients tout comme vous. Vous nous avez insultés publiquement. Le moindre mot de plus et je fais un rapport immédiat à la direction de l’hôtel. Alors maintenant, dégagez de notre vue.

Vincent se replace à mes côtés, reprenant ma main en la serrant fortement. Son geste est clair, ce qui clos la confrontation. Les deux hommes, surpris par la menace, reculent en jetant un dernier regard de haine avant de partir. Une fois les deux hommes éloignés, nous nous calmons enfin. Vincent se tourne vers moi mais ne me demande pas si je vais bien car il le devine déjà. Il se contente juste de serrer ma main, son regard exprimant à la fois sa fureur contre nos agresseur et sa tendresse envers moi. Je le regarde et lui dit :
-Je déteste ça. Je déteste le fait que des gens pensent avoir encore le droit de…. de déverser leur venin comme ça.
-Laisse-les, ils sont juste idiots. On rentre. On a eu notre soleil. Ce n’est plus relaxant ici. On a encore une journée pour nous, alors profitons-en.
-Oui, tu as raison. C’est une très bonne idée. La semaine prochaine va être compliquée alors profitons de ces derniers instants.

Nous nous levons ensemble, reprenant nos serviettes et partons doucement main dans la main vers les cabines. Nous passons devant les deux hommes sans leur accorder un seul regard. Vincent lâche ma main à ce moment pour la passer dans mon dos et me serrer contre lui. Nous atteignons la cabine et fermons la porte. Vincent tourne immédiatement la serrure et avant même de se changer, il m’attrape et me tire violemment contre lui, ses bras m’entourant la taille avec force. Il incline la tête vers moi et m’embrasse. Nos lèvres se rencontrent, se séparent, puis se rejoignent, explorant la bouche de l’autre avec une grande tendresse. Il me repousse contre le mur de la cabine et continue son baiser. Il recule ensuite légèrement, mais ne lâche pas mon corps. Ses yeux croisent les miens sans que je ne comprenne ce qu’il va faire.
Il se baisse avec une rapidité surprenante puis retire mon short de bain avec une rapidité féroce. Il attrape ma queue encore molle et le prend dans sa bouche. Son contact est chaud. J’ouvre la bouche mais aucun son n’en sort. Sa pipe est rapide, intense et amplifie encore la peur d’être découverts.
Je suis toujours pressé contre le mur froid de la cabine. Je dois étouffer les gémissements dans ma main. Je ferme les yeux et agrippe mes mains sur les épaules de Vincent. Sa pipe n’est pas encore au point mais j’aime ce qu’il me fait. Il utilise sa main pour me maintenir fermement contre le mur. Sa pipe se fait plus rapide. J’atteins le sommet du plaisir, mon corps se raidit. Je me mords le revers de la main pour étouffer mon cri lorsque je jouis dans sa bouche. Vincent avale tout mon jus avec un peu de mal puis se redresse en souriant. Il remet mon short et me fixe du regard et me dit :
-Maintenant, on monte dans notre chambre.

Nous nous rhabillons en vitesse en marchons rapidement vers les ascenseurs nos corps encore vibrants de ce plaisir volé.

Fin du chapitre 7.

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