Le collègue que tout le monde déteste (8)
Récit érotique écrit par Tounet39270 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 69 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Tounet39270 ont reçu un total de 229 558 visites.
Cette histoire de sexe a été affichée 1 542 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Le collègue que tout le monde déteste (8)
Chapitre 8
Il se baisse avec une rapidité surprenante puis retire mon short de bain avec une rapidité féroce. Il attrape ma queue encore molle et le prend dans sa bouche. Son contact est chaud. J’ouvre la bouche mais aucun son n’en sort. Sa pipe est rapide, intense et amplifie encore la peur d’être découverts.
Je suis toujours pressé contre le mur froid de la cabine. Je dois étouffer les gémissements dans ma main. Je ferme les yeux et agrippe mes mains sur les épaules de Vincent. Sa pipe n’est pas encore au point mais j’aime ce qu’il me fait. Il utilise sa main pour me maintenir fermement contre le mur. Sa pipe se fait plus rapide. J’atteins le sommet du plaisir, mon corps se raidit. Je me mords le revers de la main pour étouffer mon cri lorsque je jouis dans sa bouche. Vincent avale tout mon jus avec un peu de mal puis se redresse en souriant. Il remet mon short et me fixe du regard et me dit :
-Maintenant, on monte dans notre chambre.
Nous nous rhabillons en vitesse en marchons rapidement vers les ascenseurs nos corps encore vibrants de ce plaisir volé.
Nous arrivons dans la chambre puis nous nous déshabillons rapidement en jetant nos shorts de bain et nos serviettes mouillées. Je me laisse ensuite tomber sur le lit encore sous l’effet de l’extase de ce que Vincent vient de faire. Il me rejoint pour déposer un doux baiser sur mes lèvres et sur mon épaule.
-Allé, va prendre ta douche, me dit-il. Ce soir on sort manger dans le quartier gothique puis après on reste là-bas pour la visite sur le thème des fantômes et vampires.
-Je n’étais pas au courant de ce programme.
-Je sais, j’avais vu une brochure là-dessus et je me suis dit que ça pouvait être sympa.
-Ok.
Je pars prendre ma douche et Vincent m’y rejoint mais cette fois-ci nous restons calme puis nous nous habillons. Vincent porte une chemise en lin sombre et un pantalon ajusté mais sans sous-vêtement. Je m’habille à peu près pareil mais dans des couleurs neutres. Nous quittons ensuite la chambre en direction de notre voiture avec chauffeur en direction du centre historique.
Nous nous installons dans un restaurant discret mais plutôt élégant. Vers la fin du repas Vincent me dit :
-C’est notre dernière soirée ici. On repart demain en milieu d’après-midi. Je dois dire que je suis vraiment heureux d’avoir été choisi pour partir avec toi et ça je ne l’aurais jamais cru avant.
-Moi aussi tu sais.
Après ce super dîner, nous partons rejoindre le groupe de touristes près de la Plaça Sant Jaume pour une visite de mystères. Il y a une dizaine de personnes et nous nous mettons à l’arrière. Le guide nous raconte des histoires de sorcellerie, de disparition et de créatures nocturnes. Durant la visite, Vincent frôle mes doigts à plusieurs reprises. Nous essayons de rester discret cette fois-ci. La visite dure 1h30 environ. Nous remercions le guide puis nous nous éloignons du groupe pour retrouver notre chauffeur. Une fois dans la voiture, Vincent me prend contre lui et me serre très fort.
Nous sommes de retour à l’hôtel puis dans notre suite. Nous décidons pour notre dernière soirée de finir dans le jacuzzi. Nos vêtements tombent rapidement. Nous sommes face à face et nous nous regardons mutuellement. Nous entrons ensemble dans l’eau qui est chaude. Les jets massant nous caressent immédiatement. Nos mains commencent à l’explorer le corps de l’autre. Vincent se rapproche de moi et m’embrasse. Son baiser est long et humide. Nos mains s’accrochent aux rebords du jacuzzi tandis que nos bouches sont l’une contre l’autre.
Il s’installe entre mes jambes et fait passer mes jambes par-dessus les siennes au niveau de sa taille. Mes bras se positionnent sur ses épaules puis nous repartons dans un baiser passionné. Je soulève ainsi mon bassin pour une meilleure prise de la part de Vincent. Il cherche mon regard pour une approbation. Je suis souri pour dire oui. Je pose mes mains sur ses épaules pour bien m’accrocher. Cette position permet à Vincent de mieux me pénétrer. Je sens sa queue dans les moindres détails et je gémis de plaisir à chaque poussée. Ses mouvements sont lents ce qui décuple mon plaisir. Vincent prend mes jambes et les dépose ensuite sur ses épaules. Cela lui permet de me pénétrer encore plus profondément. Je gémis encore plus fort. Ses coups de reins deviennent plus soutenus et réguler, avec une puissance beaucoup plus accrue. Nos visages sont proches. Il se penche sur moi pour déposer de courts baisers chauds sur mes lèvres à chaque poussée. D’un coup, les mouvements de Vincent deviennent plus urgents ce qui me fait crier plus fort mon plaisir. Mes mains s’agrippent dans ses cheveux. Et d’un coup, je sens l’explosion de Vincent en moi et au même moment, je jouis tout ce plaisir. Je sens ses muscles se contracter et je le vois fermer ses yeux quand il se repend en moi. Il se retire tout doucement puis me relâche. Nous sommes épuisés et je viens me blottir dans ses bras.
Nous sortons ensuite du jacuzzi et partons nous coucher. Nous nous endormons enlacés.
Je me réveille le premier, toujours dans les bras de Vincent. J’observe son visage endormi. Il est vraiment beau. Il s’éveille enfin tout doucement. Il me sourit, me serre dans ses bras et vient ensuite m’embrasser. Il me regarde et me dit :
-Ce matin, ça te dit un petit-déjeuner au bord de l’eau ?
-Oui, pourquoi pas.
Nous nous préparons rapidement et descendons près de la piscine en choisissant une table à l’écart face à l’eau. Nous prenons du café et des viennoiseries et mangeons en silence mais en nous regardant avec du désir. Je sens son genou sous la table presser contre le mien et il me sourit. Nous finissons de manger puis nous nous levons doucement pour retourner dans notre suite faire nos valises. Une fois dans l’ascenseur, nous sommes seul et Vincent, me plaque contre la paroi pour un baiser fougueux.
La dernière matinée puis l’après-midi ensemble s’achèvent et nous n’avons pas faim ce midi. Notre chauffeur nous conduit jusqu’à l’aéroport. Dans l’avion, nous sommes assis l’un à côté de l’autre et nous nous prenons la main sans un mot. Après 30 minutes de vol, je fais semblant d’ajuster la couverture sur mes jambes. Je déplace mon bras et ma main disparaît juste au-dessus des cuisses de Vincent puis vers son entre-jambe. Je saisis son sexe fermement ce qui le surprend. Il est pris de court mais son visage reste concentré. Je le vois serré la mâchoire mais me laisse faire. Je le caresse de plus en plus et me penche à son oreille :
-J’en peux plus, On a la Destination brûlante. Très brûlante. Je vais aux toilettes. Rejoins-moi tout de suite.
-Non, c’est trop risqué.
Ce refus a jeté un froid mais je ne reste pas sur ce refus. Je remets en place la couverture sur mes genoux et sur les siens aussi puis je repose ma main sur sa queue déjà dure. Il me regarde avec mécontentement mais ne dit toujours rien. J’ouvre sa braguette doucement et plonge ma main à l’intérieur. Il ferme les yeux mais ne dit encore rien et je lui susurre :
-Ce n’est pas pour le risque, c’est pour l’urgence.
Vincent essaie de se concentrer mais il devient trop excité par le contact de ma main qui caresse son sexe. Il serre sa mâchoire pour ne rien montrer. Il inspire un grand coup et se tourne vers moi.
-T’es vraiment dingue tu sais. C’est la dernière fois que tu me fais faire ça. Au bureau, ce ne sera pas possible. Tu pars devant et je te rejoins dans deux minutes mais tu fais attention qu’il n’y ait personne, ok ?
Je ne réponds pas et je me lève directement en direction des toilettes. Vincent se lève deux minutes plus tard et se dirige aussi vers les toilettes dans une démarche calme comme s’il voulait se dégourdir les jambes. Il arrive enfin dans la petite cabine des toilettes, puis referme la porte avec un clic pour la verrouiller.
Il n’y a pas de préliminaires. Vincent me pousse immédiatement contre la porte verrouillée. Nos bouches se retrouvent l’une contre l’autre pour un baiser brutal et silencieux. Nos mains s’agitent pour retirer les vêtements nécessaires avec une rapidité chaotique. Le temps nous ait compté. Vincent me maintient plaqué contre la porte. Il soulève mon bassin en le soutenant de ses puissantes mains. Il me pénètre d’un coup avec une vigueur immédiate et sans retenue. Ses mouvements sont rapides, précis et puissants. Sa queue est tellement puissante que je suis obligé de mettre ma main devant ma bouche pour ne pas faire de bruit. Chaque coup de reins est un choc électrique dans mon corps et aussi amplifié par l’endroit où nous sommes. Ses muscles sont tendus, sa respiration est courte contre mon cou. J’ai un peu mal mais il continue de me pénétrer violemment en l’ignorant mais ce n’est pas grave car j’en ai envie.
Vincent accélère dans un rythme animal. Je m’agrippe à lui, mes ongles s’enfonçant dans son dos. Il lâche un grognement étouffé contre ma bouche, ses muscles se contractent avec force et il éjacule de puissants jets de sperme en moi. Il se retire ensuite brusquement, ajuste ses vêtements et me dit :
-Habilles-toi et sors de la cabine après moi en attendant un peu.
Il me fait un léger baiser et ressort de la cabine. J’obéis, mes mains tremblent encore de ce qui vient de se passer et je souris bêtement. Nous regagnons nos sièges et Vincent me prend la main jusqu’à l’atterrissage et je pose ma tête sur son épaule en lui disant :
-Je ne veux pas dormir seul ce soir.
Vincent comprend et me dit qu’il restera dormir chez moi si je le souhaite ce que j’accepte immédiatement. Nous arrivons et récupérons la voiture de Vincent pour notre retour chez moi. Une fois chez moi et la porte fermée, Il me pousse contre le mur du couloir et m’embrasse passionnément.
-Tu m’as rendu fou dans cet avion, tu sais ? Je te déteste de ne pas pouvoir te dire non, c’est dingue quand même.
Je souris avec des yeux brillants. Ses mots raisonnent en moi mais je n’ai pas le temps de réfléchir et de répondre que Vincent me pousse contre le mur. Nos bouches se retrouvent dans un baiser vorace et presque douloureux. Ses mains saisissent le tissu de mes vêtements avec une violence folle. Il arrache ma chemise en faisant sauter les boutons. Mon jean est déchiré lui aussi. Je suis pris par surprise, mais je ne peux pas lui résister. J’arrache la chemise de Vincent à mon tour. La passion est trop forte. Vincent me soulève d’un coup. Mes jambes se placent instinctivement autour de sa taille. Il baisse juste sa braguette pour sortir sa queue bien raide et me pénètre d’un coup sec et violent ce qui provoque chez moi un cri de surprise, de douleur mais aussi d’excitation. Sa pénétration est profonde, rapide. Ma tête cogne contre le mur. Mes mains s’agrippent à ses épaules en enfonçant mes doigts dans sa chair. Vincent grogne comme un animal en rut. Ses dents effleurent mon cou. Nos souffles sont courts et saccadés. Nous sommes toujours dans le couloir de mon entrée et tout le monde pourrait nous entendre sur le palier mais je m’en fiche royalement. Vincent maintient un rythme frénétique et à chaque coup de bite, cela prouve qu’il me possède. Il a le contrôle sur moi. Je me cambre encore plus pour qu’il soit bien au fond de mon cul. Il ne met pas longtemps à jouir. Sa jouissance est violente. Je sens son jus retrouver le reste qu’il m’a mis dans l’avion. Il y en a tellement qu’une partie coule sur le sol. Dans sa jouissance, Vincent lâche un cri bestial en penchant sa tête en arrière. Il s’affaisse ensuite sur moi, ses bras me serrant si fort que cela me coupe le souffle. Nous sommes en sueur mais nous restons collés contre le mur en nous regardant. Je sens son cœur battre contre ma poitrine et je l’embrasse.
Vincent lâche enfin prise tout doucement ce qui me permet de reprendre mon souffle moi aussi. Nous nous asseyons par terre en nous appuyant contre le mur. Nous nous regardons toujours mais cette fois-ci avec de la tendresse. Il jette un regard sur nos vêtements déchirés sur le sol, puis tourne son regard vers moi.
-Mon Dieu, tes vêtements… j’ai perdu la tête.
-On dirait que c’est plutôt moi qui te fais perdre la tête.
-Tu n’imagines même pas à quel point ?
Vincent prend mon visage entre ses mains en me le caressant.
-Je suis désolé d’avoir été si… si brutal. Je te voulais tellement, et la frustration du vol… Je te jure que je ne voulais pas te faire mal.
-C’est l’adrénaline mais j’ai adoré. Par contre, à partir de demain, il faudra que l’on se batte contre cette tension qu’il y a entre nous.
-Je sais, la tension est trop forte. Nous avons besoin d’une soupape, mais d’une soupape contrôlée. Plus de cabines d’avion, plus de couloirs.
-Donc si je te parle au bureau de Dossier en suspens, je ne veux pas que tu me répondes par Destination Brûlantes et que tu m’ignores. Je veux que tu me donnes une heure et un lieu discrets même si ce n’est que pour dix minutes. On ne peut pas laisser la pression monter à ce point. C’est dangereux.
-D’accord. On va y arriver, je te le promets.
Nous nous relevons, ramassons les débris de vêtements puis partons vers mon lit. Nous nous glissons dans le lit et nous blottissons l’un contre l’autre. Vincent me prend dans ses bras, sa tête reposant dans mon cou. Nous nous endormons rapidement.
Le réveil sonne tôt ce matin et nous nous réveillons immédiatement et nous nous préparons rapidement. Nous buvons notre café dans un silence total puis juste avant de franchir la porte d’entrée, Vincent me tire vers lui pour m’embrasser rapidement sur la bouche.
-On se voit tout à l’heure au travail.
-Oui.
Il quitte l’appartement, se dirigeant vers sa voiture. J’attends dix minutes pour m’assurer qu’il est bien parti et je sors à mon tour pour prendre ma voiture.
Je me dirige vers mon bureau dans l’open space, d’un air concentré et d’un pas vif. Je ne suis pas encore installé que Mya est déjà ici.
-Cool, tu es enfin de retour. Alors, c’était comment avec ce bouffon de Vincent ?
-C’était plus que chiant.
Elle rigole et me dit que nous en parlerons un peu plus pendant notre pause déjeuner.
En début d’après-midi, un mail m’est envoyé de la part du boss qui exige un point sur notre séjour à Barcelone avec Vincent. Je me lève et pars en direction de son bureau et je vois Vincent sortir de son bureau à son tour pour se diriger au même endroit. Nous nous tenons maintenant côte à côte devant le bureau du boss. Nos visages sont neutres. Nos corps sont séparés par une distance professionnelle mais la tension de la nuit dernière est encore présente. La porte du boss s’entrouvre, la secrétaire fait signe d’attendre une seconde.
Vincent fait mine de vouloir ajuster ma cravate, un geste qui pourrait passer pour une courtoisie entre collègues en s’apprêtant à entrer en réunion. Cependant, sa main ne touche pas ma cravate. Au lieu de cela, il se penche près de mon visage, son souffle chaud contre mon oreille et me murmure :
-Je t’aime. Je voulais te le dire ce matin mais je n’ai pas osé. Je t’aime.
Cette déclaration me frappe avec force comme une décharge électrique. Ce n’est pas un mot de code cette fois-ci, c’est une vérité brute.
La porte s’ouvre complètement et je sens une vague de chaleur et de choc monter de mon cœur à la gorge. Je suis totalement déstabilisé, incapable de répondre, de sourire ou même de bouger. Je suis Vincent dans le bureau, mon visage reste figé par cette révélation.
Je prends place à ses côtés devant notre boss et le mot « je t’aime » résonne dans mes oreilles. Mon cœur bat la chamade. Je dois maintenant faire face à mon patron tout en cachant la déclaration que Vincent vient de me faire.
Fin du chapitre 8.
Il se baisse avec une rapidité surprenante puis retire mon short de bain avec une rapidité féroce. Il attrape ma queue encore molle et le prend dans sa bouche. Son contact est chaud. J’ouvre la bouche mais aucun son n’en sort. Sa pipe est rapide, intense et amplifie encore la peur d’être découverts.
Je suis toujours pressé contre le mur froid de la cabine. Je dois étouffer les gémissements dans ma main. Je ferme les yeux et agrippe mes mains sur les épaules de Vincent. Sa pipe n’est pas encore au point mais j’aime ce qu’il me fait. Il utilise sa main pour me maintenir fermement contre le mur. Sa pipe se fait plus rapide. J’atteins le sommet du plaisir, mon corps se raidit. Je me mords le revers de la main pour étouffer mon cri lorsque je jouis dans sa bouche. Vincent avale tout mon jus avec un peu de mal puis se redresse en souriant. Il remet mon short et me fixe du regard et me dit :
-Maintenant, on monte dans notre chambre.
Nous nous rhabillons en vitesse en marchons rapidement vers les ascenseurs nos corps encore vibrants de ce plaisir volé.
Nous arrivons dans la chambre puis nous nous déshabillons rapidement en jetant nos shorts de bain et nos serviettes mouillées. Je me laisse ensuite tomber sur le lit encore sous l’effet de l’extase de ce que Vincent vient de faire. Il me rejoint pour déposer un doux baiser sur mes lèvres et sur mon épaule.
-Allé, va prendre ta douche, me dit-il. Ce soir on sort manger dans le quartier gothique puis après on reste là-bas pour la visite sur le thème des fantômes et vampires.
-Je n’étais pas au courant de ce programme.
-Je sais, j’avais vu une brochure là-dessus et je me suis dit que ça pouvait être sympa.
-Ok.
Je pars prendre ma douche et Vincent m’y rejoint mais cette fois-ci nous restons calme puis nous nous habillons. Vincent porte une chemise en lin sombre et un pantalon ajusté mais sans sous-vêtement. Je m’habille à peu près pareil mais dans des couleurs neutres. Nous quittons ensuite la chambre en direction de notre voiture avec chauffeur en direction du centre historique.
Nous nous installons dans un restaurant discret mais plutôt élégant. Vers la fin du repas Vincent me dit :
-C’est notre dernière soirée ici. On repart demain en milieu d’après-midi. Je dois dire que je suis vraiment heureux d’avoir été choisi pour partir avec toi et ça je ne l’aurais jamais cru avant.
-Moi aussi tu sais.
Après ce super dîner, nous partons rejoindre le groupe de touristes près de la Plaça Sant Jaume pour une visite de mystères. Il y a une dizaine de personnes et nous nous mettons à l’arrière. Le guide nous raconte des histoires de sorcellerie, de disparition et de créatures nocturnes. Durant la visite, Vincent frôle mes doigts à plusieurs reprises. Nous essayons de rester discret cette fois-ci. La visite dure 1h30 environ. Nous remercions le guide puis nous nous éloignons du groupe pour retrouver notre chauffeur. Une fois dans la voiture, Vincent me prend contre lui et me serre très fort.
Nous sommes de retour à l’hôtel puis dans notre suite. Nous décidons pour notre dernière soirée de finir dans le jacuzzi. Nos vêtements tombent rapidement. Nous sommes face à face et nous nous regardons mutuellement. Nous entrons ensemble dans l’eau qui est chaude. Les jets massant nous caressent immédiatement. Nos mains commencent à l’explorer le corps de l’autre. Vincent se rapproche de moi et m’embrasse. Son baiser est long et humide. Nos mains s’accrochent aux rebords du jacuzzi tandis que nos bouches sont l’une contre l’autre.
Il s’installe entre mes jambes et fait passer mes jambes par-dessus les siennes au niveau de sa taille. Mes bras se positionnent sur ses épaules puis nous repartons dans un baiser passionné. Je soulève ainsi mon bassin pour une meilleure prise de la part de Vincent. Il cherche mon regard pour une approbation. Je suis souri pour dire oui. Je pose mes mains sur ses épaules pour bien m’accrocher. Cette position permet à Vincent de mieux me pénétrer. Je sens sa queue dans les moindres détails et je gémis de plaisir à chaque poussée. Ses mouvements sont lents ce qui décuple mon plaisir. Vincent prend mes jambes et les dépose ensuite sur ses épaules. Cela lui permet de me pénétrer encore plus profondément. Je gémis encore plus fort. Ses coups de reins deviennent plus soutenus et réguler, avec une puissance beaucoup plus accrue. Nos visages sont proches. Il se penche sur moi pour déposer de courts baisers chauds sur mes lèvres à chaque poussée. D’un coup, les mouvements de Vincent deviennent plus urgents ce qui me fait crier plus fort mon plaisir. Mes mains s’agrippent dans ses cheveux. Et d’un coup, je sens l’explosion de Vincent en moi et au même moment, je jouis tout ce plaisir. Je sens ses muscles se contracter et je le vois fermer ses yeux quand il se repend en moi. Il se retire tout doucement puis me relâche. Nous sommes épuisés et je viens me blottir dans ses bras.
Nous sortons ensuite du jacuzzi et partons nous coucher. Nous nous endormons enlacés.
Je me réveille le premier, toujours dans les bras de Vincent. J’observe son visage endormi. Il est vraiment beau. Il s’éveille enfin tout doucement. Il me sourit, me serre dans ses bras et vient ensuite m’embrasser. Il me regarde et me dit :
-Ce matin, ça te dit un petit-déjeuner au bord de l’eau ?
-Oui, pourquoi pas.
Nous nous préparons rapidement et descendons près de la piscine en choisissant une table à l’écart face à l’eau. Nous prenons du café et des viennoiseries et mangeons en silence mais en nous regardant avec du désir. Je sens son genou sous la table presser contre le mien et il me sourit. Nous finissons de manger puis nous nous levons doucement pour retourner dans notre suite faire nos valises. Une fois dans l’ascenseur, nous sommes seul et Vincent, me plaque contre la paroi pour un baiser fougueux.
La dernière matinée puis l’après-midi ensemble s’achèvent et nous n’avons pas faim ce midi. Notre chauffeur nous conduit jusqu’à l’aéroport. Dans l’avion, nous sommes assis l’un à côté de l’autre et nous nous prenons la main sans un mot. Après 30 minutes de vol, je fais semblant d’ajuster la couverture sur mes jambes. Je déplace mon bras et ma main disparaît juste au-dessus des cuisses de Vincent puis vers son entre-jambe. Je saisis son sexe fermement ce qui le surprend. Il est pris de court mais son visage reste concentré. Je le vois serré la mâchoire mais me laisse faire. Je le caresse de plus en plus et me penche à son oreille :
-J’en peux plus, On a la Destination brûlante. Très brûlante. Je vais aux toilettes. Rejoins-moi tout de suite.
-Non, c’est trop risqué.
Ce refus a jeté un froid mais je ne reste pas sur ce refus. Je remets en place la couverture sur mes genoux et sur les siens aussi puis je repose ma main sur sa queue déjà dure. Il me regarde avec mécontentement mais ne dit toujours rien. J’ouvre sa braguette doucement et plonge ma main à l’intérieur. Il ferme les yeux mais ne dit encore rien et je lui susurre :
-Ce n’est pas pour le risque, c’est pour l’urgence.
Vincent essaie de se concentrer mais il devient trop excité par le contact de ma main qui caresse son sexe. Il serre sa mâchoire pour ne rien montrer. Il inspire un grand coup et se tourne vers moi.
-T’es vraiment dingue tu sais. C’est la dernière fois que tu me fais faire ça. Au bureau, ce ne sera pas possible. Tu pars devant et je te rejoins dans deux minutes mais tu fais attention qu’il n’y ait personne, ok ?
Je ne réponds pas et je me lève directement en direction des toilettes. Vincent se lève deux minutes plus tard et se dirige aussi vers les toilettes dans une démarche calme comme s’il voulait se dégourdir les jambes. Il arrive enfin dans la petite cabine des toilettes, puis referme la porte avec un clic pour la verrouiller.
Il n’y a pas de préliminaires. Vincent me pousse immédiatement contre la porte verrouillée. Nos bouches se retrouvent l’une contre l’autre pour un baiser brutal et silencieux. Nos mains s’agitent pour retirer les vêtements nécessaires avec une rapidité chaotique. Le temps nous ait compté. Vincent me maintient plaqué contre la porte. Il soulève mon bassin en le soutenant de ses puissantes mains. Il me pénètre d’un coup avec une vigueur immédiate et sans retenue. Ses mouvements sont rapides, précis et puissants. Sa queue est tellement puissante que je suis obligé de mettre ma main devant ma bouche pour ne pas faire de bruit. Chaque coup de reins est un choc électrique dans mon corps et aussi amplifié par l’endroit où nous sommes. Ses muscles sont tendus, sa respiration est courte contre mon cou. J’ai un peu mal mais il continue de me pénétrer violemment en l’ignorant mais ce n’est pas grave car j’en ai envie.
Vincent accélère dans un rythme animal. Je m’agrippe à lui, mes ongles s’enfonçant dans son dos. Il lâche un grognement étouffé contre ma bouche, ses muscles se contractent avec force et il éjacule de puissants jets de sperme en moi. Il se retire ensuite brusquement, ajuste ses vêtements et me dit :
-Habilles-toi et sors de la cabine après moi en attendant un peu.
Il me fait un léger baiser et ressort de la cabine. J’obéis, mes mains tremblent encore de ce qui vient de se passer et je souris bêtement. Nous regagnons nos sièges et Vincent me prend la main jusqu’à l’atterrissage et je pose ma tête sur son épaule en lui disant :
-Je ne veux pas dormir seul ce soir.
Vincent comprend et me dit qu’il restera dormir chez moi si je le souhaite ce que j’accepte immédiatement. Nous arrivons et récupérons la voiture de Vincent pour notre retour chez moi. Une fois chez moi et la porte fermée, Il me pousse contre le mur du couloir et m’embrasse passionnément.
-Tu m’as rendu fou dans cet avion, tu sais ? Je te déteste de ne pas pouvoir te dire non, c’est dingue quand même.
Je souris avec des yeux brillants. Ses mots raisonnent en moi mais je n’ai pas le temps de réfléchir et de répondre que Vincent me pousse contre le mur. Nos bouches se retrouvent dans un baiser vorace et presque douloureux. Ses mains saisissent le tissu de mes vêtements avec une violence folle. Il arrache ma chemise en faisant sauter les boutons. Mon jean est déchiré lui aussi. Je suis pris par surprise, mais je ne peux pas lui résister. J’arrache la chemise de Vincent à mon tour. La passion est trop forte. Vincent me soulève d’un coup. Mes jambes se placent instinctivement autour de sa taille. Il baisse juste sa braguette pour sortir sa queue bien raide et me pénètre d’un coup sec et violent ce qui provoque chez moi un cri de surprise, de douleur mais aussi d’excitation. Sa pénétration est profonde, rapide. Ma tête cogne contre le mur. Mes mains s’agrippent à ses épaules en enfonçant mes doigts dans sa chair. Vincent grogne comme un animal en rut. Ses dents effleurent mon cou. Nos souffles sont courts et saccadés. Nous sommes toujours dans le couloir de mon entrée et tout le monde pourrait nous entendre sur le palier mais je m’en fiche royalement. Vincent maintient un rythme frénétique et à chaque coup de bite, cela prouve qu’il me possède. Il a le contrôle sur moi. Je me cambre encore plus pour qu’il soit bien au fond de mon cul. Il ne met pas longtemps à jouir. Sa jouissance est violente. Je sens son jus retrouver le reste qu’il m’a mis dans l’avion. Il y en a tellement qu’une partie coule sur le sol. Dans sa jouissance, Vincent lâche un cri bestial en penchant sa tête en arrière. Il s’affaisse ensuite sur moi, ses bras me serrant si fort que cela me coupe le souffle. Nous sommes en sueur mais nous restons collés contre le mur en nous regardant. Je sens son cœur battre contre ma poitrine et je l’embrasse.
Vincent lâche enfin prise tout doucement ce qui me permet de reprendre mon souffle moi aussi. Nous nous asseyons par terre en nous appuyant contre le mur. Nous nous regardons toujours mais cette fois-ci avec de la tendresse. Il jette un regard sur nos vêtements déchirés sur le sol, puis tourne son regard vers moi.
-Mon Dieu, tes vêtements… j’ai perdu la tête.
-On dirait que c’est plutôt moi qui te fais perdre la tête.
-Tu n’imagines même pas à quel point ?
Vincent prend mon visage entre ses mains en me le caressant.
-Je suis désolé d’avoir été si… si brutal. Je te voulais tellement, et la frustration du vol… Je te jure que je ne voulais pas te faire mal.
-C’est l’adrénaline mais j’ai adoré. Par contre, à partir de demain, il faudra que l’on se batte contre cette tension qu’il y a entre nous.
-Je sais, la tension est trop forte. Nous avons besoin d’une soupape, mais d’une soupape contrôlée. Plus de cabines d’avion, plus de couloirs.
-Donc si je te parle au bureau de Dossier en suspens, je ne veux pas que tu me répondes par Destination Brûlantes et que tu m’ignores. Je veux que tu me donnes une heure et un lieu discrets même si ce n’est que pour dix minutes. On ne peut pas laisser la pression monter à ce point. C’est dangereux.
-D’accord. On va y arriver, je te le promets.
Nous nous relevons, ramassons les débris de vêtements puis partons vers mon lit. Nous nous glissons dans le lit et nous blottissons l’un contre l’autre. Vincent me prend dans ses bras, sa tête reposant dans mon cou. Nous nous endormons rapidement.
Le réveil sonne tôt ce matin et nous nous réveillons immédiatement et nous nous préparons rapidement. Nous buvons notre café dans un silence total puis juste avant de franchir la porte d’entrée, Vincent me tire vers lui pour m’embrasser rapidement sur la bouche.
-On se voit tout à l’heure au travail.
-Oui.
Il quitte l’appartement, se dirigeant vers sa voiture. J’attends dix minutes pour m’assurer qu’il est bien parti et je sors à mon tour pour prendre ma voiture.
Je me dirige vers mon bureau dans l’open space, d’un air concentré et d’un pas vif. Je ne suis pas encore installé que Mya est déjà ici.
-Cool, tu es enfin de retour. Alors, c’était comment avec ce bouffon de Vincent ?
-C’était plus que chiant.
Elle rigole et me dit que nous en parlerons un peu plus pendant notre pause déjeuner.
En début d’après-midi, un mail m’est envoyé de la part du boss qui exige un point sur notre séjour à Barcelone avec Vincent. Je me lève et pars en direction de son bureau et je vois Vincent sortir de son bureau à son tour pour se diriger au même endroit. Nous nous tenons maintenant côte à côte devant le bureau du boss. Nos visages sont neutres. Nos corps sont séparés par une distance professionnelle mais la tension de la nuit dernière est encore présente. La porte du boss s’entrouvre, la secrétaire fait signe d’attendre une seconde.
Vincent fait mine de vouloir ajuster ma cravate, un geste qui pourrait passer pour une courtoisie entre collègues en s’apprêtant à entrer en réunion. Cependant, sa main ne touche pas ma cravate. Au lieu de cela, il se penche près de mon visage, son souffle chaud contre mon oreille et me murmure :
-Je t’aime. Je voulais te le dire ce matin mais je n’ai pas osé. Je t’aime.
Cette déclaration me frappe avec force comme une décharge électrique. Ce n’est pas un mot de code cette fois-ci, c’est une vérité brute.
La porte s’ouvre complètement et je sens une vague de chaleur et de choc monter de mon cœur à la gorge. Je suis totalement déstabilisé, incapable de répondre, de sourire ou même de bouger. Je suis Vincent dans le bureau, mon visage reste figé par cette révélation.
Je prends place à ses côtés devant notre boss et le mot « je t’aime » résonne dans mes oreilles. Mon cœur bat la chamade. Je dois maintenant faire face à mon patron tout en cachant la déclaration que Vincent vient de me faire.
Fin du chapitre 8.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Tounet39270
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...
