Le collègue que tout le monde déteste (9)

- Par l'auteur HDS Tounet39270 -
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Récit libertin : Le collègue que tout le monde déteste (9) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-12-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le collègue que tout le monde déteste (9)
Chapitre 9

Vincent fait mine de vouloir ajuster ma cravate, un geste qui pourrait passer pour une courtoisie entre collègues en s’apprêtant à entrer en réunion. Cependant, sa main ne touche pas ma cravate. Au lieu de cela, il se penche près de mon visage, son souffle chaud contre mon oreille et me murmure :
-Je t’aime. Je voulais te le dire ce matin mais je n’ai pas osé. Je t’aime.

Cette déclaration me frappe avec force comme une décharge électrique. Ce n’est pas un mot de code cette fois-ci, c’est une vérité brute.
La porte s’ouvre complètement et je sens une vague de chaleur et de choc monter de mon cœur à la gorge. Je suis totalement déstabilisé, incapable de répondre, de sourire ou même de bouger. Je suis Vincent dans le bureau, mon visage reste figé par cette révélation.
Je prends place à ses côtés devant notre boss et le mot « je t’aime » résonne dans mes oreilles. Mon cœur bat la chamade. Je dois maintenant faire face à mon patron tout en cachant la déclaration que Vincent vient de me faire.

Le boss est satisfait de notre rapport sur notre semaine d’immersion à Barcelone, nous remercie et nous raccompagne jusqu’à sa porte de son bureau. J’ai envie de parler à Vincent mais le boss reste là, vers la porte de son bureau en nous regardant. Il va ensuite discuter un peu avec la secrétaire, je m’approche de lui. J’attends un peu qu’il tourne la tête vers moi pour lui faire comprendre qu’il faut que l’on parle. Il me regarde enfin et je me dirige discrètement vers la fenêtre dans le couloir qui se trouve un peu isolée. Vincent reste stoïque et me répondant par un clin d’œil à peine visible et un minuscule sourire mais ne semble pas avoir compris que j’ai un grand besoin de lui parler.
J’essaie à nouveau autre chose en faisant tomber un stylo sur le sol juste à ses pieds. Je me baisse pour le ramasser et j’essaie de lui dire à voix basse et rapidement :
-Le dossier…

Mais il se baisse au même moment que moi et nous nous cognons la tête. Et je pense qu’il n’a pas compris car il me répond :
-Pas ici Tobias.

Je me redresse le visage en feu en ayant échouer et je vois Vincent s’éloigner, l’air satisfait. Je me retrouve seul dans le couloir avec le cœur qui bat à cent à l’heure. Comment vais-je faire pour le lui faire comprendre ?
Je retourne à mon bureau et Mya me regarde sans rien dire. J’ai encore les mains qui tremblent par cette révélation. J’ouvre rapidement l’application de messagerie interne et je tape directement notre code secret : « Le Dossier est en Suspens, ce n’est pas un jeu, donne-moi juste une heure et un lieu. » J’envoie le message et mon cœur se resserre un peu plus. Je me remets au travail en attendant sa réponse avec impatience. Je regarde l’heure souvent. Quelques minutes plus tard, Vincent me répond enfin : « Parking souterrain, niveau -2 à 19h00, soit discret. »

Vers 11h, Mya se penche vers moi et me dit :
-Tu as l’air tout stressé depuis la réunion de ce matin avec le Boss et Vincent.
-Non, non, ça va mais tu sais comment peut-être ce con de Lansac (le boss) et Vincent reste comme à son habitude quoi.
-C’est quand même étrange, je vous ai vu parler ensemble ce matin dans le hall. Ça avait l’air d’aller entre vous pourtant ce matin. Je t’ai même vu sourire quand tu l’as vu tout à l’heure.
-Pfffu, tu te fais des idées, Mya.

L’heure du la pause déjeuner approche et tout le monde se rassemble dans la cafétéria. Je m’installe à une table avec Mya et une autre collègue. Je vois Vincent et je l’observe s’asseoir seul, à une table isolée, lisant un rapport. Au milieu du repas, Vincent lève les yeux et me regarde avec soutenance, comme s’il ne voyait pas les autre autour de lui. J’en ai des frissons dans tout le corps. Je baisse immédiatement les yeux, fixant mon assiette mais je suis devenu rouge écarlate. Je le sens au niveau de mes joues. Je sais ce que veux dire ce regard, je ne suis pas fou et moi aussi j’ai envie de lui. L’attente va être longue jusqu’à 19h00.

En fin d’après-midi, alors que tout le monde commence à terminer leur journée, Mya revient vers moi et me demande avec beaucoup de curiosité :
-Je sais que tu penses que je suis folle mais il faut que je te demande quelque chose ?
-Qu’est-ce qu’il y a encore ?
-J’ai vu comment Vincent te regardait ce midi. Et ce n’est pas un regard d’un collègue lambda ou que tu détestes. C’était plus… intense, comme si vous aviez un secret entre vous.

Je suis pris de court par cette révélation mais j’essaie de ne rien lui montrer.
-Tu sais que tu as une imagination débordante et complètement dingue ? Je pense que s’il me regardait c’est parce que nous avons été une semaine ensemble à faire des choses en duo et que ça s’est bien déroulé. Donc rien de plus. Alors, maintenant, j’ai encore pas mal de taf en retard donc si tu veux bien, je vais m’y remettre.

Elle repart à sa place un peu vexée mais n’a pas l’air convaincue. Mais quelle commère quand même. Il va enfin être 19h00 et je commence à tout ranger. Je mets mon manteau et je sais que Vincent est déjà descendu car je l’ai vu partir. J’arrive dans le parking souterrain et je vois sa voiture garée dans un coin sombre et isolé. Je me dirige rapidement vers la voiture, ouvre la portière côté passager et monte à l’intérieur. Je le regarde qui fixe le pare-brise sans bouger et lui dis :
-Le Dossier est en suspens, qu’est-ce qui t’as pris de me dire ça au bureau ? Je ne savais plus ce que je devais faire, j’ai été désemparé par ce que tu m’as dit ce matin.
-Je sais, je sais que ce n’était pas le lieu mais je n’ai pas pu le retenir. Mais avec tout ce qui s’est passé entre nous ces derniers temps, j’ai vu que tu tenais le coup au bureau et je ne sais pas ce qui m’a pris. J’ai vu le visage fermé que tu as au bureau et j’ai cru qu’en fait on était redevenu comme avant. J’ai cru que nous deux, c’était fini.
-Bien sûr que non que tout n’est pas fini. Bien au contraire. Vincent, regarde-moi dans les yeux.

Il tourne la tête pour me regarder mais pas totalement.
-J’ai été déstabilisé par ce que tu m’as dit.
-Oui, mais tu n’as rien montré qui me prouve que toi aussi.
-Le boss est sorti au même moment, comment voulais-tu que je le fasse ?
-Ok je comprends, je suis désolé. Je voulais juste te dire que tout ce que nous avons vécu, pour moi, c’est réel et je t’ai dit la vérité : je t’aime. Et je sais qu’en te le disant au bureau, ça resterait gravé en toi et que ce n’était pas que du sexe à Barcelone.
-Vincent, je t’aime aussi et ce que je ressens pour toi est réel aussi.

Je prends sa main, il me regarde et je l’embrasse passionnément. Vincent répond à ce baiser avec une ferveur immédiate en me serrant contre lui, sa main derrière ma nuque. Nos corps se rapprochent et nous ne pensons à plus rien d’autre même pas au monde extérieur.
-Tu viens chez moi ce soir ?
-Et ta femme ?
-Je te l’ai dit, elle est partie.
-Alors, oui je viens. Je te retrouve dans une petite heure ok ?
-Oui.

Je descends de sa voiture pour rejoindre la mienne et il démarre sans attendre. J’arrive chez moi sans prendre le temps d’allumer la lumière, je jette quelques affaires (trousse de toilette, vêtements de rechange) dans un sac de sport et je repars aussi vite que je suis arrivé. J’arrive chez Vincent qui m’attends et me fait rentrer en me disant :
-Enfin, j’ai cru que tu étais perdu.

Je m’approche de lui et l’embrasse encore une fois avec un baiser encore plus long. Il m’attrape par la taille et me prend dans ses bras en me soulevant légèrement. Il ne dit rien mais presse sa bouche contre la mienne dans un baiser profond et tendre. Il traverse le salon jusqu’à la cuisine et me dépose doucement sur la table en marbre. Il me regarde et commence à me déshabiller. Une fois que je suis nu sur cette table, il se recule et me scrute avec un regard de braise. Il se déshabille doucement à son tour tout doucement. Ses mains viennent ensuite caresser le haut de mon corps et il vient déposer des baisers sur ma nuque en redescendant jusqu’à mon nombril. Puis, il se redresse et se positionne entre mes jambes qu’il écarte. Sa queue déjà bien droite et bien dure vient se coller contre la mienne qui bande depuis que je suis rentré chez lui. Il prend mon visage entre ses mains puis me dit un nouveau je t’aime avant de déposer ses lèvres sur les miennes puis insérer sa langue dans ma bouche.
Doucement, il m’aide à me retourner sur la table pour que je me retrouve à genoux sur le marbre en penchant mon corps légèrement en avant, mes mains s’appuyant sur la table pour l’équilibre. Ses mains parcourent mon dos et mes hanches. Il se rapproche et commence par déposer des baisers légers, chauds et humides sur le bas de mon dos, descendant progressivement sur mes fesses. Il prend ensuite possession de mon anus avec une douceur qui ne laisse aucun doute sur ce qu’il se prépare à faire. Je suis entièrement soumis à lui dans cette position et j’aime ça. Sa bouche se pose sur mon anus et je sens enfin sa langue rentrer dans mon petit trou et y faire des allers retours. Je gémis immédiatement et je me cambre encore d’avantage pour offrir ma rosette à mon amant. Il me lèche ensuite avant de replonger sa langue puis un doigt en moi. Après quelques instants, il me rentre un deuxième puis un troisième doigt. Je gémis de plus en plus et il continue son exploration avec un quatrième doigt. Il se redresse ensuite, me fais descendre de la table mais en allongeant mon torse contre celle-ci. Il écarte mes jambes et se place derrière moi sa queue prête à me pénétrer. Il introduit son gland et je n’en peux plus alors je décide de reculer mon cul et d’avaler son membre bien dur d’un seul coup ce qui le surprend avec un grognement de plaisir. Il a commencé à me prendre avec lenteur puis il a pris un peu plus d’assurance. Ses mains entourent ma taille en me maintenant fermement contre lui. A chaque coup de reins, la table de cuisine tremble. Il m’a pris dans cette position pendant plusieurs minutes (je ne sais pas combien tellement c’était bon). Tout en me prenant par derrière, il me murmure tendrement :
-Tu es à moi, Tobias. Tu es mon secret, je t’aime.

Ces deux phrases me font gémir encore plus et sans même me toucher, j’ai joui sur le carrelage. Je sens en même temps le plaisir monter en Vincent qui se met à crier et en me serrant contre lui de toutes ses forces et envoyer tout son jus au plus profond de mon cul. C’est chaud, c’est intense. Nous restons dans cette position un instant et sans sortir de mon cul, il me redresse, me fait tourner la tête et m’embrasse avec fougue.
Nous nous rhabillons lentement, préparant un dîner simple dans sa grande cuisine qui est redevenue un espace ordinaire. La nuit n’est faite que de tendresse en nous blottissant l’un contre l’autre.
Le lendemain matin, le réveil est très paisible, marqué par de doux baisers. Nous nous préparons rapidement pour partir travailler chacun de notre côté. Nous nous embrassons avant de se quitter pour nos voitures respectives et quand je vais pour démarrer la mienne, il ne se passe rien. J’interpelle Vincent et lui explique que je suis en panne et que vu l’heure, je ne peux pas me permettre de partir en bus. Il comprend la situation et me dit :
-Monte, on prend ma voiture. On se gare à l’abris des regards et quand on arrive là-bas, on fait comme si on venait de se croiser ok ?
-Ok.

Nous arrivons à l’agence dans sa voiture en faisant ce qu’il a dit. Immédiatement, je sens que quelque chose cloche. Le hall est toujours bondé de monde mais les têtes se tournent vers nous en nous regardant bizarrement. Des chuchotements se répandent dans l’air et je crois entendre des « je savais qu’il y avait quelque chose…. » ou des « Et ça fait semblant de ne pas s’apprécier… » ou même « Mya a tout vu… ».
Vincent me regarde en sentant le froid dans le hall et quand il voit mon visage, il comprend tout de suite.

Devant tous les regards, Vincent réduit délibérément la distance entre nous. Il pose une main sur le dos de la mienne. Il lève la tête et fixe froidement nos collègues qui nous regardent. Son regard veut tout dire en défiant quiconque d’oser commenter. Nous atteignons l’ascenseur, il appuie sur le bouton tout en maintenant ma main. Une fois la porte fermée, il se retourne vers moi et me dit :
-Je crois que ton amie Mya est au courant et qu’elle a tout dit. Maintenant, plus de sous-entendu entre nous. Tu ne paniques pas, tu ne réponds à personne et tu te mets directement à ton bureau. Et quand je reviendrai vers toi, je t’apporterai un café.

Il ne me laisse pas le temps de répondre et m’embrasse directement. Un baiser rapide et ferme sur la bouche pour me donner du courage. Les portes de l’ascenseur s’ouvrent et la tension est encore plus forte ici. Alors que nous traversons le hall de l’agence, je sens les regards sur nous et au loin, je la vois avec son visage triomphant et plein de nervosité. Je me tourne vers Vincent et lui dit :
-Je dois lui parler Vincent, je ne peux pas laisser ça.

Il m’arrête net en voyant la présence de quelqu’un plus important : le boss. Il est debout près des ascenseurs, et est témoin de notre arrivée et de la vague de chuchotement qui nous entoure. Sans que je ne m’y attende et devant tout le personnel, y compris le boss et Mya, il lâche son sac qu’il tenait dans son autre main et se tourne vers moi. Je regarde ses yeux d’un bleu brûlant, remplis d’une détermination féroce. Sans aucune hésitation, il prend mon visage entre ses mains, m’attire puis m’embrasse. Ce n’est pas un baiser tendre mais plus un baiser de possession qui résonne comme un acte de défi.
Tout le monde se tait à ce moment précis. Le boss qui allait nous saluer, reste stupéfait, sa bouche grande ouverte. Mya, elle n’a eu aucune réaction. Vincent prit la parole pour s’adresser à tout le monde :
-Je crois que maintenant, le secret est terminé ‘avec une voix claire, forte et aucune trace de doute). Mya, si tu avais eu la décence de garder ta bouche fermée, on aurait préféré mais maintenant, tout le monde peut voir que tu n’es qu’une source de ragots de bas étage.

Il prend ensuite ma main, la serre fermement et se dirige vers les ascenseurs en disant :
-On va voir le PDG maintenant ou alors on va s’asseoir à nos bureaux pour le regarder sonner ?

Fin du chapitre 9.

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