Le contrat temporaire
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le contrat temporaire
A cette époque, je prenais le bus pour aller bosser dans une entreprise à 20 km de ma ville.
Nous étions peu à l'utiliser, j'avais pour habitude de me mettre au fond, sur la dernière rangée de sièges.
Un matin, vers 7 h, je fais signe au chauffeur.
Je me dirige vers le fond et remarque un homme d'une quarantaine d'années, qu'il me semble connaitre.
Toutefois, il m'est impossible de me souvenir dans quelles circonstances, je l'ai connu.
On se dit bonjour, je m'assois à un siège de lui.
Il me demande:
"On se connait ! Je crois !".
"Oui, mais je sais plus d'où !".
Puis il reconnais un signe distinctif sur mon bras.
"Ah, ça y est, je me souviens !".
"C'était ou ?".
Il me répond à voix basse en se touchant les couilles:
"Au Mourillon, sur le chemin des bagnards, merci d'ailleurs, j'ai adoré !".
Je blêmis, tout me revient, la scène, son éjaculation, son vice pendant ma fellation.
Il ricane, et ajoute:
"Remets-toi ! Ca reste entre nous ! Tu y va souvent ?".
Il pose sa main sur ma cuisse, par chance les sièges nous cachent et sont vides.
"De temps en temps ! Et toi ?".
"Je suis marié, j'y vais quand je peux ! J'aime bien de temps en temps ! Moi aussi !".
Il regarde ma bouche, il est visiblement entrain de s'exciter en fixant mes lèvres.
Il se caresse la queue à travers le pantalon.
Je scrute les allées pour vérifier que personne ne nous voit.
Il ouvre sa braguette et sort sa longue queue.
Il attire ma main sur son sexe et me demande:
"Tu veux pas me branler ? J'en ai envie ! Ca t'excite pas ?".
"Je sais pas ! Si un peu !".
Je caresse sa bite sur toute sa longueur, il y ajoute de la salive discrètement pour plus de plaisir.
Je le vois gémir en se laissant aller sous mes doigts.
"Hummm! Tu m'as bien fait jouir l'autre fois, avec ta bouche ! C'était bon !".
"Merci ! J'aime donner du plaisir comme ça !".
"Mmmmmmmm ! Ca se voit ! Dommage qu'on puisse pas recommencer ! Tu t'arrêtes ou ?".
Je lui donne le nom du village et l'entreprise ou je bosse.
"Moi aussi, j'y vais, c'est pour un job, j'ai pas envie d'y bosser, mais j'ai besoin d'argent !".
"Moi aussi, je vais arrêter, c'est des escrocs ! Je sais qu'ils ne vont pas renouveler mon contrat, en plus !".
Sa bite est au maximum de sa dureté entre mes doigts, il gémit de plus en plus fort, entre ses lèvres.
Cela fait dix longues minutes que je le masturbe.
Il murmure:
"Ahhh ! Tu t'appelles comment ?".
"Pascal !".
"Pascal, je vais gicler, je vais en mettre partout ! Tu veux pas finir avec ta bouche, discrètement ?".
Je lance un rapide coup d'œil dans les rangées, personne ne se doute de ce que l'on fait.
Je ne vois que des hauts de cranes, regardant vers l'avant, et certains qui ont l'air de dormir.
Je me penche sur mon voisin de bus et je m'enfonce le plus profondément possible sur sa queue.
Tout de suite, je reconnais le gout du sperme, j'ai un reflux en me faisant inonder la glotte.
Son bassin est secoué de spasmes vifs qui me remplissent la gorge.
J'avale longuement son foutre gluant et chaud.
Son gout âpre et légèrement salé me comble de bonheur, j'adore boire du sperme, le matin !
Il me garde empalé sur sa bite pendant un long instant.
"Oh, putain, jeune ! C'était génial encore ! J'adore me vider les couilles dans ta bouche !".
Je lui demande:
"C'est bon, je peux me relever ? Personne ne regarde ?".
"Oui, vas-y !".
Je me redresse et lui précise:
"Merci, moi aussi, j'aime bien te sucer !".
"Super, si je reste bosser ici, on recommencera alors ! Par contre, je m'arrête là, je baise pas les mecs !".
"Pas grave, ça me suffit !".
Ce fut étrange de travailler à ses cotés, le premier jour, en pensant que j'avais son foutre dans le ventre.
Il me lançait de nombreux clins d'œil, auxquels je souriais automatiquement.
Le retour fut différent, le bus étant rempli, rien n'était possible.
Il est resté un mois, et moi, 2 de plus, pour finir mes 5 mois de contrat.
Comme on devait marcher un moment, avant d'arriver à l'entreprise, nous avons pensé à nous cacher derrière un bloc de garages pour nous adonner à notre plaisir commun.
Cela se passait quand ce n'était pas faisable dans le bus.
A force de complicité, il a eu envie de me baiser.
"Quoi ? Mais tu m'as dit que c'était pas ton truc !".
"Je sais, mais avec toi, j'en ai envie, je sais pas pourquoi ! Allez, baisses ton pantalon, on a pas beaucoup de temps !".
Il m'a défoncé l'anus et a éjaculé assez rapidement, j'ai juste eu le temps de jouir une fois.
Cela s'est passé en troisième semaine, nous avons recommencé 4 fois, la dernière à été beaucoup plus intense, il y a pris gout !
Je me suis fait virer comme un malpropre, et l'entreprise a été accusée de licenciements abusifs.
C'était courant dans les années 80 !
Ils testaient les ouvriers pendant un mois, puis gardaient les meilleurs en faisant un contrat de 5 mois, inclus l'essai.
Mais ils ne reconduisaient jamais, sinon, cela impliquait un contrat indéterminé !
Nous étions peu à l'utiliser, j'avais pour habitude de me mettre au fond, sur la dernière rangée de sièges.
Un matin, vers 7 h, je fais signe au chauffeur.
Je me dirige vers le fond et remarque un homme d'une quarantaine d'années, qu'il me semble connaitre.
Toutefois, il m'est impossible de me souvenir dans quelles circonstances, je l'ai connu.
On se dit bonjour, je m'assois à un siège de lui.
Il me demande:
"On se connait ! Je crois !".
"Oui, mais je sais plus d'où !".
Puis il reconnais un signe distinctif sur mon bras.
"Ah, ça y est, je me souviens !".
"C'était ou ?".
Il me répond à voix basse en se touchant les couilles:
"Au Mourillon, sur le chemin des bagnards, merci d'ailleurs, j'ai adoré !".
Je blêmis, tout me revient, la scène, son éjaculation, son vice pendant ma fellation.
Il ricane, et ajoute:
"Remets-toi ! Ca reste entre nous ! Tu y va souvent ?".
Il pose sa main sur ma cuisse, par chance les sièges nous cachent et sont vides.
"De temps en temps ! Et toi ?".
"Je suis marié, j'y vais quand je peux ! J'aime bien de temps en temps ! Moi aussi !".
Il regarde ma bouche, il est visiblement entrain de s'exciter en fixant mes lèvres.
Il se caresse la queue à travers le pantalon.
Je scrute les allées pour vérifier que personne ne nous voit.
Il ouvre sa braguette et sort sa longue queue.
Il attire ma main sur son sexe et me demande:
"Tu veux pas me branler ? J'en ai envie ! Ca t'excite pas ?".
"Je sais pas ! Si un peu !".
Je caresse sa bite sur toute sa longueur, il y ajoute de la salive discrètement pour plus de plaisir.
Je le vois gémir en se laissant aller sous mes doigts.
"Hummm! Tu m'as bien fait jouir l'autre fois, avec ta bouche ! C'était bon !".
"Merci ! J'aime donner du plaisir comme ça !".
"Mmmmmmmm ! Ca se voit ! Dommage qu'on puisse pas recommencer ! Tu t'arrêtes ou ?".
Je lui donne le nom du village et l'entreprise ou je bosse.
"Moi aussi, j'y vais, c'est pour un job, j'ai pas envie d'y bosser, mais j'ai besoin d'argent !".
"Moi aussi, je vais arrêter, c'est des escrocs ! Je sais qu'ils ne vont pas renouveler mon contrat, en plus !".
Sa bite est au maximum de sa dureté entre mes doigts, il gémit de plus en plus fort, entre ses lèvres.
Cela fait dix longues minutes que je le masturbe.
Il murmure:
"Ahhh ! Tu t'appelles comment ?".
"Pascal !".
"Pascal, je vais gicler, je vais en mettre partout ! Tu veux pas finir avec ta bouche, discrètement ?".
Je lance un rapide coup d'œil dans les rangées, personne ne se doute de ce que l'on fait.
Je ne vois que des hauts de cranes, regardant vers l'avant, et certains qui ont l'air de dormir.
Je me penche sur mon voisin de bus et je m'enfonce le plus profondément possible sur sa queue.
Tout de suite, je reconnais le gout du sperme, j'ai un reflux en me faisant inonder la glotte.
Son bassin est secoué de spasmes vifs qui me remplissent la gorge.
J'avale longuement son foutre gluant et chaud.
Son gout âpre et légèrement salé me comble de bonheur, j'adore boire du sperme, le matin !
Il me garde empalé sur sa bite pendant un long instant.
"Oh, putain, jeune ! C'était génial encore ! J'adore me vider les couilles dans ta bouche !".
Je lui demande:
"C'est bon, je peux me relever ? Personne ne regarde ?".
"Oui, vas-y !".
Je me redresse et lui précise:
"Merci, moi aussi, j'aime bien te sucer !".
"Super, si je reste bosser ici, on recommencera alors ! Par contre, je m'arrête là, je baise pas les mecs !".
"Pas grave, ça me suffit !".
Ce fut étrange de travailler à ses cotés, le premier jour, en pensant que j'avais son foutre dans le ventre.
Il me lançait de nombreux clins d'œil, auxquels je souriais automatiquement.
Le retour fut différent, le bus étant rempli, rien n'était possible.
Il est resté un mois, et moi, 2 de plus, pour finir mes 5 mois de contrat.
Comme on devait marcher un moment, avant d'arriver à l'entreprise, nous avons pensé à nous cacher derrière un bloc de garages pour nous adonner à notre plaisir commun.
Cela se passait quand ce n'était pas faisable dans le bus.
A force de complicité, il a eu envie de me baiser.
"Quoi ? Mais tu m'as dit que c'était pas ton truc !".
"Je sais, mais avec toi, j'en ai envie, je sais pas pourquoi ! Allez, baisses ton pantalon, on a pas beaucoup de temps !".
Il m'a défoncé l'anus et a éjaculé assez rapidement, j'ai juste eu le temps de jouir une fois.
Cela s'est passé en troisième semaine, nous avons recommencé 4 fois, la dernière à été beaucoup plus intense, il y a pris gout !
Je me suis fait virer comme un malpropre, et l'entreprise a été accusée de licenciements abusifs.
C'était courant dans les années 80 !
Ils testaient les ouvriers pendant un mois, puis gardaient les meilleurs en faisant un contrat de 5 mois, inclus l'essai.
Mais ils ne reconduisaient jamais, sinon, cela impliquait un contrat indéterminé !
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