LE DÉPRAVÉ. (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-08-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LE DÉPRAVÉ. (1/1)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je me présente, Christian Vicomte de la Cramouille, nom difficile à porter mais nom descendant directement du roi de France avant que des connards décident de lui couper la tête.
Il reste de notre splendeur notre maison familiale à ma sœur et à moi.
Notre castel se trouve à Neuilly et pour rien au monde nous n’accepterions de la vendre.
Ma sœur est absente aujourd’hui car elle est partie pour l’Angleterre récupérer ma future épouse Élodie jeune femme de bonne famille de 19 ans dont les parents ont accepté notre union étant fier que leur fille devienne Vicomtesse de la Cramouille et ainsi que leur famille roturière entre dans la haute noblesse de France.
Alors qu’à trente ans les filles ont toujours été pour moi des êtres repoussants, ma sœur a fini par me convaincre que ce mariage réglera presque tous nos problèmes.
La noce doit avoir lieu dans trois jours.
Il est inconcevable qu’un noble comme moi se marie en catimini.
Là encore ma sœur Marie duchesse de La Chatte par son mariage, suivi hélas d’un divorce lorsque son mari s’est aperçu que le seul but que nous poursuivons était de vivre à leurs crochets s’est occupée de tout.
Cette période nous a tout de même permis de leur gratter assez d’argent pour refaire le toit de notre résidence mais le divorce entraînant les vivres coupés est survenu avant d’avoir réussi à leur faire changer la chaudière.
Ce mois de décembre est froid et en les attendant, je suis dans notre salon avec trois pulls.
Quand elle arrive, cette jolie blonde m’est complètement indifférente.
Ce m’est qu’un sexe féminin de plus et j’ai du mal à m’imaginer la baiser un jour.
Quoi que, la sodomiser peut-être car c’est ma pratique depuis mon adolescence.
C’est d’ailleurs l’une de mes principales sources de revenus depuis que je fréquente une boîte glauque où des hommes vieux aiment se payer des hommes jeunes d’un peu plus de trente ans.
À peine installé, le froid nous rappelle qu’il nous faut trouver de l’argent.
Je m’habile avec mes tenues pour ce genre d’endroit pendant que ma sœur prête des affaires sexy à ma future femme.
Elle semble surprise du lieu où je l’emmène mais comme son éducation lui interdit de poser des questions, elle nous suit sous Paris dans cet endroit improbable pour des personnes de notre rang qu’est le métro parisien.
Nous arrivons près d’une boîte où ma sœur est aussi connue que moi car les hommes qui s’y trouvent même s’ils sont contents de me voir aiment aussi sa bouche qui leur pratique de très belles fellations.
Dès qu’elle a ferré un premier client, je la vois empocher l’argent et partir avec Élodie vers les alcôves qui tapissent l’arrière-salle.
Dix minutes et je les vois revenir ma future en larmes.
Entre-temps, un vieux baron ou du moins c’est ce qu’il dit être s’intéresser de très près à moi.
Nous faisons affaire et je passe devant lui pour franchir le rideau. Je suis en train de me préparer lorsque j’entends des personnes arriver dans l’alcôve à côté.
La voix est celle de ma sœur qui sermonne Élodie qui semble refuser son deuxième client.
Elle la persuade que ce qu’elle a fait une fois pour la famille, elle peut le faire autant de fois que nous en aurons besoin.
Un bruit de bouche suçant une bite me fait dire qu’elle a été persuasive car dans la demi-heure que je passe avec le vieux beau l’une ou l’autre reviennent trois fois.
Après avoir remis mes vêtements, je rejoins la salle quand je vois Élodie tenant un client par la main.
Elle me croise sans me regarder, je reviens sur mes pas au moment où elle ouvre la bouche pour que l’homme se vide en elle.
Jusqu’à la fermeture, nous redoublons d’ardeur ainsi que les filles, généreux je leur offre un taxi pour entrer.
À la maison, ma sœur emmène la petite dans sa chambre afin d’éviter qu’elle n’ait une mauvaise réaction après ce qu’elle vient de subir et dans quelle famille elle est tombée.
Je connais les tendances de ma sœur qui si elle suce, refuse son intimité à tous les hommes depuis son divorce.
Les filles semblent être son nouveau plaisir et je pense que si Élodie l’a suivi sans trop rechigner, elle est pour beaucoup dans la situation.
Pour m’en convaincre lorsque je vais boire mon verre de lait du soir, les gémissements que j’entends dans leur chambre sont ceux de Marie car depuis que des seins lui sont poussés je reconnaîtrai ses gémissements entre milles.
Le jour du mariage arrive et ma future femme m’est amenée devant le maire dans la salle des mariages de notre ville au bras de son père.
Les ouis, bagues et registres expédiés, le repas est à la hauteur de notre rang comme je l’espérais payer intégralement par mon beau-père.
Ce mariage fut le point d’orges de nombreuses tractations avec lui car il voulait que moi Vicomte de la Cramouille je vienne chez nos ennemis de toujours depuis qu’un de mes ancêtres a été tué à la bagarre de Trafalgar.
Je dois être pour une fois honnête, il est mort du scorbut maladie très fréquente sur les bateaux à cette époque.
Marie a fini par les convaincre que le mariage aurait lieu dans notre ville et surtout dans notre maison familiale ancestrale.
Au moment de danser, mon beau-père demande s’il peut me parler.
Une mauvaise affaire est survenue et il lui est impossible de payer les frais de la noce. Il me demande de l’aider, qu’il me remboursera dès que ses comptes redeviendront positifs.
Là où j’aurais pu avoir des scrupules à minuit, je pars avec ma femme lui offrir sa nuit de noces plantant là les quelques invités surtout anglais qui avaient franchi le bras de mer qui sépare nos deux pays.
Nous prenons un taxi pour nous rendre plus vite à Barbès.
Nous descendons devant une maison où je connais le patron et où je suis sûr qu’elle remplacera son père pour le paiement.
C’est avec sa robe de mariée toujours sur elle que je vois le premier client de ce bordel lui prendre sa virginité.
À chaque client qui se succède, j’empoche l’argent que les gars sortent de leur poche.
Je n’ai aucun scrupule car j’ai horreur que l’on me prenne pour une bille et que sa famille est crue s’acheter un titre aux moindres frais.
Elle porte le titre, mais moi je récupère une jolie petite pute.
Après le dernier client satisfait nous rentrons et je lui permets de prendre un bain dans ma baignoire à l’eau froide bien sûr.
Je l’attends pour respecter la tradition de la nuit de noces et après l’avoir fait mettre en levrette, je m’introduis dans sa rosette lieu de grand, voire de très grands plaisirs surtout comme je le présentais car elle est vierge de l’anus malgré la nuit de débauche que je viens de lui offrir.
Au matin, elle a quitté le lit conjugal pour retourner vers ma sœur qui vient de rentrer.
Pendant deux ans, nous vivons de tout et de rien.
Une fois par mois elle retourne à Barbès et chaque fois la queue est de plus en plus grande.
Comme elle semble apprécier la sodomie, les clients affluent chaque fois qu’elle est là.
La dernière fois où nous nous y sommes rendues, j’ai même été obligé de mettre la main à la pâte pour qu’elle ait terminé avant le jour .
Du fric et du plaisir tel est ma dépravation.
Au mois de décembre, malgré la chaudière qui a redémarré j’attrape une pneumonie et pendant un mois je suis entre la vie et la mort.
Nous n’avons aucune couverture médicale que nous aurions été bien incapables de payer.
Docteur et médicaments ont raison de ce qu’il nous reste d’argent.
Pendant trois semaines Élodie est restée près de moi à m’éponger le front tellement la fièvre me fait sortir d’eau de mon corps.
Malgré deux couvertures, je frissonne et elle trouve naturelle à se mettre nue devant moi et de venir me couvrir de son corps pour me réchauffer dans ma couche.
Pour la première fois je retrouve les années de ma petite enfance où les matins quand mon père était parti ma mère ouvraient ses draps pour que je me love près de son corps nu.
Au début de ma puberté, mon sexe a commencé à ce tendre, mais jamais je n’aurais franchi le stade qui m’a conduit aux dépravations qui jalonnent ma vie.
Au fure et à mesure que mon mal disparaît le contact de son corps me met dans de mêmes dispositions que dans ma jeunesse.
C’est tout naturellement qu’au matin de la quatrième semaine, mon sexe entre dans la chatte de ma femme.
Contrairement à ce que je pensais, cette grotte est chaude et profonde et j’en tire même de plus en plus de plaisir.
Le moment le plus important de ma transformation c’est quand de moi-même je lui prends la bouche et que nous avons un baiser fusionnel.
Tout arrive à qui sait attendre car je sens en moi les prémices à un amour naissant.
Me voyant allé de miens en miens, elle a l’impudeur de se lever et de déambuler nue dans notre chambre.
J’admire la grâce de ses formes et lorsque je rêve c’est sa vulve qui me vient à l’esprit et non plus des formes phalliques.
Marie pour sa part continue à nous approvisionner après des nuits qui doivent la conduire dans nos lieux de perdition.
Un soir, je vois Élodie partir de la chambre et revenir avec la tenue qu’hélas je connais trop bien.
Elle souhaite reprendre sa place pour aider la famille à s’en sortir.
Mon amour éclate au grand jour à ce moment là et je me lève pour la déshabiller et lui faire l’amour toute la nuit.
Cette nuit-là, elle m’a offert son anus que j’ai eu plaisir à pénétrer non pas comme celui d’une fille que je prends pour ignorer sa chatte mais pour le plaisir de nos deux corps.
Au matin, je convoque ma sœur pour une réunion de famille.
Au menu, la vente de notre castel.
Contrairement à ce que je pensais ces trois voies sur trois qui acceptent que nous nous séparions du berceau de notre famille.
Des maisons de cette classe dans cette région même avec de nombreux travaux sont si rares que la vente se fait rapidement.
Deux ans se sont passés. Marie est restée à Paris et a rejoint un réseau d’escorte.
Je vois sa silhouette sur le site où elle trouve ses clients.
Élodie et moi sommes partis en province dans un petit village de 2 800 habitants qui ont été contents de la réouverture de leur menuiserie fermée depuis dix ans.
Le bois dans ma jeunesse était ma seule passion et c’est après une formation improbable pour moi ayant le nom et le titre que je porte que j’ai pu acheter cette menuiserie.
Les habitants ont été si heureux qu’ils viennent de m’élire maire de la commune sans être candidat comme le permet la loi des petites communes qui au deuxième tour peuvent voter pour le candidat de leur choix.
Est-ce le menuiser ou le vicomte de la Cramouille et la vicomtesse promue au rang de premier adjoint qu’ils élisent.
Je préfère l’ignorer car la seule chose qui m’intéresse, c’est le bonheur de mon fils qui vient de fêter sa première année et ma fille dans le ventre de ma femme qui va nous rejoindre dans les semaines prochaines…
Je me présente, Christian Vicomte de la Cramouille, nom difficile à porter mais nom descendant directement du roi de France avant que des connards décident de lui couper la tête.
Il reste de notre splendeur notre maison familiale à ma sœur et à moi.
Notre castel se trouve à Neuilly et pour rien au monde nous n’accepterions de la vendre.
Ma sœur est absente aujourd’hui car elle est partie pour l’Angleterre récupérer ma future épouse Élodie jeune femme de bonne famille de 19 ans dont les parents ont accepté notre union étant fier que leur fille devienne Vicomtesse de la Cramouille et ainsi que leur famille roturière entre dans la haute noblesse de France.
Alors qu’à trente ans les filles ont toujours été pour moi des êtres repoussants, ma sœur a fini par me convaincre que ce mariage réglera presque tous nos problèmes.
La noce doit avoir lieu dans trois jours.
Il est inconcevable qu’un noble comme moi se marie en catimini.
Là encore ma sœur Marie duchesse de La Chatte par son mariage, suivi hélas d’un divorce lorsque son mari s’est aperçu que le seul but que nous poursuivons était de vivre à leurs crochets s’est occupée de tout.
Cette période nous a tout de même permis de leur gratter assez d’argent pour refaire le toit de notre résidence mais le divorce entraînant les vivres coupés est survenu avant d’avoir réussi à leur faire changer la chaudière.
Ce mois de décembre est froid et en les attendant, je suis dans notre salon avec trois pulls.
Quand elle arrive, cette jolie blonde m’est complètement indifférente.
Ce m’est qu’un sexe féminin de plus et j’ai du mal à m’imaginer la baiser un jour.
Quoi que, la sodomiser peut-être car c’est ma pratique depuis mon adolescence.
C’est d’ailleurs l’une de mes principales sources de revenus depuis que je fréquente une boîte glauque où des hommes vieux aiment se payer des hommes jeunes d’un peu plus de trente ans.
À peine installé, le froid nous rappelle qu’il nous faut trouver de l’argent.
Je m’habile avec mes tenues pour ce genre d’endroit pendant que ma sœur prête des affaires sexy à ma future femme.
Elle semble surprise du lieu où je l’emmène mais comme son éducation lui interdit de poser des questions, elle nous suit sous Paris dans cet endroit improbable pour des personnes de notre rang qu’est le métro parisien.
Nous arrivons près d’une boîte où ma sœur est aussi connue que moi car les hommes qui s’y trouvent même s’ils sont contents de me voir aiment aussi sa bouche qui leur pratique de très belles fellations.
Dès qu’elle a ferré un premier client, je la vois empocher l’argent et partir avec Élodie vers les alcôves qui tapissent l’arrière-salle.
Dix minutes et je les vois revenir ma future en larmes.
Entre-temps, un vieux baron ou du moins c’est ce qu’il dit être s’intéresser de très près à moi.
Nous faisons affaire et je passe devant lui pour franchir le rideau. Je suis en train de me préparer lorsque j’entends des personnes arriver dans l’alcôve à côté.
La voix est celle de ma sœur qui sermonne Élodie qui semble refuser son deuxième client.
Elle la persuade que ce qu’elle a fait une fois pour la famille, elle peut le faire autant de fois que nous en aurons besoin.
Un bruit de bouche suçant une bite me fait dire qu’elle a été persuasive car dans la demi-heure que je passe avec le vieux beau l’une ou l’autre reviennent trois fois.
Après avoir remis mes vêtements, je rejoins la salle quand je vois Élodie tenant un client par la main.
Elle me croise sans me regarder, je reviens sur mes pas au moment où elle ouvre la bouche pour que l’homme se vide en elle.
Jusqu’à la fermeture, nous redoublons d’ardeur ainsi que les filles, généreux je leur offre un taxi pour entrer.
À la maison, ma sœur emmène la petite dans sa chambre afin d’éviter qu’elle n’ait une mauvaise réaction après ce qu’elle vient de subir et dans quelle famille elle est tombée.
Je connais les tendances de ma sœur qui si elle suce, refuse son intimité à tous les hommes depuis son divorce.
Les filles semblent être son nouveau plaisir et je pense que si Élodie l’a suivi sans trop rechigner, elle est pour beaucoup dans la situation.
Pour m’en convaincre lorsque je vais boire mon verre de lait du soir, les gémissements que j’entends dans leur chambre sont ceux de Marie car depuis que des seins lui sont poussés je reconnaîtrai ses gémissements entre milles.
Le jour du mariage arrive et ma future femme m’est amenée devant le maire dans la salle des mariages de notre ville au bras de son père.
Les ouis, bagues et registres expédiés, le repas est à la hauteur de notre rang comme je l’espérais payer intégralement par mon beau-père.
Ce mariage fut le point d’orges de nombreuses tractations avec lui car il voulait que moi Vicomte de la Cramouille je vienne chez nos ennemis de toujours depuis qu’un de mes ancêtres a été tué à la bagarre de Trafalgar.
Je dois être pour une fois honnête, il est mort du scorbut maladie très fréquente sur les bateaux à cette époque.
Marie a fini par les convaincre que le mariage aurait lieu dans notre ville et surtout dans notre maison familiale ancestrale.
Au moment de danser, mon beau-père demande s’il peut me parler.
Une mauvaise affaire est survenue et il lui est impossible de payer les frais de la noce. Il me demande de l’aider, qu’il me remboursera dès que ses comptes redeviendront positifs.
Là où j’aurais pu avoir des scrupules à minuit, je pars avec ma femme lui offrir sa nuit de noces plantant là les quelques invités surtout anglais qui avaient franchi le bras de mer qui sépare nos deux pays.
Nous prenons un taxi pour nous rendre plus vite à Barbès.
Nous descendons devant une maison où je connais le patron et où je suis sûr qu’elle remplacera son père pour le paiement.
C’est avec sa robe de mariée toujours sur elle que je vois le premier client de ce bordel lui prendre sa virginité.
À chaque client qui se succède, j’empoche l’argent que les gars sortent de leur poche.
Je n’ai aucun scrupule car j’ai horreur que l’on me prenne pour une bille et que sa famille est crue s’acheter un titre aux moindres frais.
Elle porte le titre, mais moi je récupère une jolie petite pute.
Après le dernier client satisfait nous rentrons et je lui permets de prendre un bain dans ma baignoire à l’eau froide bien sûr.
Je l’attends pour respecter la tradition de la nuit de noces et après l’avoir fait mettre en levrette, je m’introduis dans sa rosette lieu de grand, voire de très grands plaisirs surtout comme je le présentais car elle est vierge de l’anus malgré la nuit de débauche que je viens de lui offrir.
Au matin, elle a quitté le lit conjugal pour retourner vers ma sœur qui vient de rentrer.
Pendant deux ans, nous vivons de tout et de rien.
Une fois par mois elle retourne à Barbès et chaque fois la queue est de plus en plus grande.
Comme elle semble apprécier la sodomie, les clients affluent chaque fois qu’elle est là.
La dernière fois où nous nous y sommes rendues, j’ai même été obligé de mettre la main à la pâte pour qu’elle ait terminé avant le jour .
Du fric et du plaisir tel est ma dépravation.
Au mois de décembre, malgré la chaudière qui a redémarré j’attrape une pneumonie et pendant un mois je suis entre la vie et la mort.
Nous n’avons aucune couverture médicale que nous aurions été bien incapables de payer.
Docteur et médicaments ont raison de ce qu’il nous reste d’argent.
Pendant trois semaines Élodie est restée près de moi à m’éponger le front tellement la fièvre me fait sortir d’eau de mon corps.
Malgré deux couvertures, je frissonne et elle trouve naturelle à se mettre nue devant moi et de venir me couvrir de son corps pour me réchauffer dans ma couche.
Pour la première fois je retrouve les années de ma petite enfance où les matins quand mon père était parti ma mère ouvraient ses draps pour que je me love près de son corps nu.
Au début de ma puberté, mon sexe a commencé à ce tendre, mais jamais je n’aurais franchi le stade qui m’a conduit aux dépravations qui jalonnent ma vie.
Au fure et à mesure que mon mal disparaît le contact de son corps me met dans de mêmes dispositions que dans ma jeunesse.
C’est tout naturellement qu’au matin de la quatrième semaine, mon sexe entre dans la chatte de ma femme.
Contrairement à ce que je pensais, cette grotte est chaude et profonde et j’en tire même de plus en plus de plaisir.
Le moment le plus important de ma transformation c’est quand de moi-même je lui prends la bouche et que nous avons un baiser fusionnel.
Tout arrive à qui sait attendre car je sens en moi les prémices à un amour naissant.
Me voyant allé de miens en miens, elle a l’impudeur de se lever et de déambuler nue dans notre chambre.
J’admire la grâce de ses formes et lorsque je rêve c’est sa vulve qui me vient à l’esprit et non plus des formes phalliques.
Marie pour sa part continue à nous approvisionner après des nuits qui doivent la conduire dans nos lieux de perdition.
Un soir, je vois Élodie partir de la chambre et revenir avec la tenue qu’hélas je connais trop bien.
Elle souhaite reprendre sa place pour aider la famille à s’en sortir.
Mon amour éclate au grand jour à ce moment là et je me lève pour la déshabiller et lui faire l’amour toute la nuit.
Cette nuit-là, elle m’a offert son anus que j’ai eu plaisir à pénétrer non pas comme celui d’une fille que je prends pour ignorer sa chatte mais pour le plaisir de nos deux corps.
Au matin, je convoque ma sœur pour une réunion de famille.
Au menu, la vente de notre castel.
Contrairement à ce que je pensais ces trois voies sur trois qui acceptent que nous nous séparions du berceau de notre famille.
Des maisons de cette classe dans cette région même avec de nombreux travaux sont si rares que la vente se fait rapidement.
Deux ans se sont passés. Marie est restée à Paris et a rejoint un réseau d’escorte.
Je vois sa silhouette sur le site où elle trouve ses clients.
Élodie et moi sommes partis en province dans un petit village de 2 800 habitants qui ont été contents de la réouverture de leur menuiserie fermée depuis dix ans.
Le bois dans ma jeunesse était ma seule passion et c’est après une formation improbable pour moi ayant le nom et le titre que je porte que j’ai pu acheter cette menuiserie.
Les habitants ont été si heureux qu’ils viennent de m’élire maire de la commune sans être candidat comme le permet la loi des petites communes qui au deuxième tour peuvent voter pour le candidat de leur choix.
Est-ce le menuiser ou le vicomte de la Cramouille et la vicomtesse promue au rang de premier adjoint qu’ils élisent.
Je préfère l’ignorer car la seule chose qui m’intéresse, c’est le bonheur de mon fils qui vient de fêter sa première année et ma fille dans le ventre de ma femme qui va nous rejoindre dans les semaines prochaines…
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