Le docteur pervers. La révélation de ses relations vicieuses.

Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 396 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Passud ont reçu un total de 1 902 876 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 6 085 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Le docteur pervers. La révélation de ses relations vicieuses.
Corinne en était encore au début de sa relation avec le docteur Georges.
Elle vient de se faire sodomiser par ce gros pervers, dans le local, retiré des autres services.
Elle se presse, pour profiter de ce qui lui reste de temps de pause.
Elle serre ses fesses, pour éviter de perdre son sperme, inséminé profondément dans son anus.
Elle a remis sa culotte, après son départ, mais c'est pas évident quand même.
Elle le fait pour lui, il l'exige.
"Tiens ! Corinne ! On parlait de toi ! Et du Docteur Georges ! On dirait qu'il te laisse tranquille ! Non ?".
"Oui, enfin !".
"Pourquoi, tu te l'ai pas fait ? Tu sais pas ce que tu rates ! Moi, il m'a baisée, il y a 8 ans, je crois ! Et c'est ma meilleure expérience ! C'est un bon coup, ce mec !".
C'est Adeline, une aide soignante de trente ans qui parle.
"Mais t'étais déjà mariée !". Demande une autre !
"Et alors ! Moi je regrette pas, surtout quand on sait ce qu'il a entre les jambes ! Et il sait bien s'en servir !".
"Il parait ! Comment elle est ?".
Le femme montre une dimension, en écartant ses mains !
"Non ! A ce point ! Tu exagères !".
"Elle exagère pas ! Moi aussi, il m'a baisée ! Mais c'est plus vieux que ça, on s'est connu dans un autre hôpital ! On a le même âge !".
"Toi aussi, t'étais mariée ?".
"Oui, mais, tout le monde le fait ! Pourquoi pas nous ! Dommage que j'ai plus l'âge de lui plaire, j'aimerai bien recommencer avec lui ! Moi, si j'étais Corinne, je me laisserai faire ! Je foncerai !".
Corinne m'a dit que le Docteur Georges bénéficie d'une réputation de coureur de jupons.
Et qu'il passe rarement plus de deux mois, avec une nouvelle conquête.
Ceci explique cet échange entre aide soignantes.
Toutes les femmes regardent Corinne, qui pense avoir la chance d'avoir passé le cap des deux mois.
"Quoi ? Non ! J'aime trop Pascal !".
"Il est pas obligé de le savoir ! Et puis comme ça, tu nous racontes ! T'as pas envie qu'il te fasse monter au plafond ?".
"Non ! Je peux pas ! Demandez à Adeline !".
"Je peux pas ! Il aime les jeunes de ton âge, et puis, il est trop vicieux ! Il est trop porté sur la...".
"La quoi ?".
"Il voulait mon cul ! Mais ça je peux pas ! Même mon mari le fait pas ! C'est pour ça, qu'il a plus voulu me baiser ! Il en a trouvé une autre, du coup !".
"Ben, t'as eu tort ! Moi, il m'a enculée ! Et c'était bien bon ! Ca me manque d'ailleurs !".
Ajoute la femme cinquantenaire.
"Putain ! T'as pas eu mal ?". Demande Adeline.
"Mmmmm...Non ! Ca va ! Un peu au début, mais c'était pas le premier ! Moi ça m'plait ! Et c'était encore meilleur avec lui !".
l'une d'elles, harcèle Corinne:
"Tu veux pas essayer, Corinne ? Il te le fait ton mari ?".
La plus âgée intervient.
"Eh, les filles ! C'est l'heure ! Qui s'occupe de répondre à la sonnette ?".
Corinne est sauvée, par sa collègue, et par la fin du temps de pause.
Elle bosse avec un sentiment mitigé, entre la honte, et l'adrénaline du plaisir pervers secret, que lui rappelle la présence de sperme dans son anus.
Si les filles savaient qu'elle n'est pas ce qu'elle affiche, une fille douce et timide, très sage.
Sa collègue âgée la surprend en lui parlant, à l'insu des autres:
"Profites en bien ma chérie ! C'est toi qui as raison, je sais tout, je vous ai vu sortir du local ... ! Alors ? Tu t'éclates bien ! Non ?".
"Euh... Oui ! Tu dis rien aux autres ! S'il te plait !".
"Promis ! Mais tu me raconteras un peu, histoire de me rappeler des souvenirs !".
"Promis !".
"Mais, confirmes moi une chose ! Ca fait un moment qu'il te baise ! Donc, il t'encule, non ?".
Elle hésite, un moment, puis confirme:
"Euh...Oui !".
"Bravo ! ma belle ! Profites-en bien ! Moi, ça me manque ! T'as bien de la chance !".
Les mois passent.
Cela dure depuis six mois avec Georges, quatre avec Robert le soumis, je pense.
Nous sommes en Juillet.
Ce jour là, mon amant Mario ne me baise pas, j'en ai pas envie.
On le fait pas tous les jours, non plus, c'est normal.
Je rentre aussi plus tôt, parce que j'ai terminé ma tâche avant.
Je pousse la porte, j'entend des bruits de claques, et des gémissements, mais pas ceux de Corinne !
Je m'approche sans bruit, de la porte de la chambre, restée entrouverte.
Là, j'assiste au spectacle de ma femme, affublée de son gode ceinture, entrain d'enculer un inconnu quelconque.
Un autre que moi !
Elle a l'air de prendre son pied, ses yeux brillent d'excitation.
Je la vois jouer avec la béance anale de l'inconnu, et le gros gland du gode, avant de lui tirer sur les hanches, afin de s'enfoncer en lui, sur les 25 cm de l'engin !
Ensuite, la voilà qu'elle l'insulte, et l'oblige à lui sucer sa fausse queue.
Il l'appelle "Maitresse Cora !", je découvre ce coté imaginatif.
Elle revient dans sa chatte anale, et le défonce en lui claquant le cul.
Ca ne m'excite pas du tout !
J'en ai trop vu, je m'éloigne, et lui écris un mot avant de sortir, que je pose sur mon bureau.
"T'avais pas le droit de faire ça ! Je vais dormir chez Mario ! Ne m'attends pas ! Je n'aime pas cette "Maitresse Cora" !.
Je vais dans le premier bar, pour appeler mon amant.
"Mario, j'ai des soucis ! Je peux venir chez toi ? Je sais pas où dormir !".
"Bien sûr, mon chéri ! Je viens te chercher !".
Finalement, le malheur des uns, fait le bonheur des autres !
Il m'a baisé avant le repas, puis de 22 heures jusqu'à une heure du matin.
Ca me fait du bien, il me fait penser à autre chose, je m'évade en jouissant du cul.
Malgré notre courte nuit, il a tenu à se faire sucer, avant de se lever.
Ca faisait longtemps que je n'avais pas avalé de sperme, avant de petit déjeuner.
J'ai retrouvé ce plaisir, avec bonheur.
On est allé travailler ensemble, ensuite.
Je redoutai le retour chez moi, à midi.
La voilà devant moi, en pleurs, à mes pieds !
"Pardon ! Je le ferai plus ! C'est promis ! J'm'en fous de ce mec ! C'est toi que j'aime ! Pardon, pardon, pardon... Ca me manquait trop, tu veux jamais le faire !".
"Laisses moi ! Moi, c'est de toi que je m'en fous ! Tu mérites plus mon amour ! Je rentrerai pas ce soir, non plus ! A demain ! Enfin, peut-être !".
"Pascal ! Non !".
J'ai claqué la porte, derrière moi.
J'ai même pas mangé, un nœud à l'estomac m'en empêchait.
Je suis retourné, avec presque un heure d'avance, au boulot, Mario finissait son sandwich.
Il a vu mes yeux rouges.
"Ohh ! Toi, mon p'tit chaton ! Tu vas pas bien !".
"Prends-moi encore Mario, j'en ai besoin, j'ai besoin de tendresse ! Tu peux ?".
Comme depuis 2 semaines, il n'y avait plus que nous, sur le chantier, il m'a emmené dans une salle éloignée.
Tout en haut de l'immeuble, afin de me prendre comme une femelle, sur un tas de cartons en surplus, couverts d'une vieille couverture sale.
Il m'a aimé très longuement, avec tendresse et virilité.
A part Pierre et Gilles, je crois que j'ai jamais eu autant envie d'embrasser un mec qui m'enculait.
Après m'avoir fait éjaculer en m'enculant, il est venu se masturber au dessus de ma gorge.
Je l'ai avalé avec amour et passion.
Il s'est remit en moi, et on s'est cajolé pendant une demi heure de plus.
Il était déjà content de savoir, que je rentrerai avec lui pour dormir.
La soirée fut identique à la première, mais plus tendre.
Il n'attendait que ça ! Et j'avoue que j'ai aimé ses gestes d'amour.
Le lendemain, Corinne me surprend, en venant sur mon lieu de travail.
Elle me supplie de lui redonner une chance.
Putain, c'est dur de la voir dans cet état !
Ses yeux sont brulés par les larmes.
"Bon, écoutes ! Laisses moi du temps ! Moi aussi, je t'aime, mais tu m'as fait très mal ! Sois patiente ! C'est trop tôt ! J'ai promis à Mario de dormir chez lui, ce soir ! Je lui dois bien ça !".
"Il te baise, je pense !".
"Ben, oui ! Tu le sais ! Mais ça me fait du bien ! Ca me défoules ! D'ailleurs, je commence à penser que vivre avec un homme, c'est pas si désagréable !".
"Non ! Ne me quittes pas ! Je t'en supplie !".
"Calmes toi ! Je le ferai pas ! Je suis trop heureux comme ça ! Enfin ! J'étais heureux !".
"Bon, j'attendrai alors ! Je t'aime ! Je te demande encore pardon !".
"A part lui, t'as quelqu'un d'autre ?".
"Euh,... oui, mais je t'expliquerai, c'est une longue histoire ! On a une relation particulière ! Si tu veux, je te le présenterai !".
"Ok, pourquoi pas ! C'est une bonne idée ! Mais, pourquoi particulière ?".
"Tu verras ! Mais j'ai écouté tes conseils ! Quand tu m'as dis d'écouter mes pulsions ! Tu comprendras !".
"Ok, à demain soir ! Alors !".
Le soir venu, Mario a encore usé, et abusé de moi, me ressourçant à chaque série d'orgasmes anaux qu'il me procurait.
Il pouvait me prendre, autant comme dominateur pervers, que comme un amoureux passionné.
C'était comme un exutoire pour moi.
Surtout, quand il m'a attaché les mains aux pieds, et m'a défoncé comme une pute soumise, sur son tapis de sol.
Il m'a fait pisser comme une chienne, en m'insultant.
"Pisses salope ! Tu chialeras moins !".
Il n'avait pas tort, il m'a tellement vidé que j'avais plus de quoi pleurer !
Il s'est endormi en me fourrant sa grosse bite, avec ce gland si typique, que j'adorai.
Beaucoup plus gros que sa verge, c'est pour ça que j'ai eu du mal à m'en passer, d'ailleurs.
Le matin suivant, j'ai avalé ma dose de foutre matinal, on était vendredi.
Je l'ai informé que je dormirai chez moi, donc, vers 16 heures, il a voulu m'enculer avant que je parte.
Je suis rentré, avec son éjaculation en moi.
Corinne m'attendait avec un homme, très grand, et imposant.
L'ambiance est pesante.
Il s'est passé quelque chose avant que j'arrive, c'est sûr.
Elle a l'air secouée, un peu décoiffée, sans rouge à lèvres.
Comme après une longue fellation.
Je lis sur son visage, qu'elle craint ma réaction.
Je brise le silence:
"Bonsoir, Monsieur ! Vous êtes ?".
"Celui qui baise ta femme, comme il faut la baiser !".
"Quu... Quoi ?".
Il la pivote contre, et au dessus de l'évier, puis relève sa jupe, en lui claquant le cul.
Elle n'a plus de culotte, et visiblement, il l'a déjà baisée !
"Regardes comment, on fait ! Puisque tu sais pas le faire !".
Il écarte ses fesses, son anus est encore béant et humide de longues saillies anales.
Tout ça pollue sa chatte, peu ouverte, en rapport à son anus.
Il défait son bouton de ceinture, le pantalon tombe sur ses pieds, laissant apparaitre une verge énorme, encore reluisante de jus anal.
Cette énorme verge dure et très foncée, qu'il lui enfonce d'une traite dans l'anus.
Il la secoue comme un bourrin, elle me crie qu'elle jouit du cul.
Je bande malgré moi.
Putain, je m'attendais pas à ça ! C'est brutal comme révélation !
Mais, en même temps, ça fait partie de mes plaisirs, la voir jouir avec un autre.
Un vieux pervers qui la baise, où l'encule, en l'occurrence.
Mais c'est différent des autres fois, il est plus dominateur !
Il n'y a pas cette bienveillance, qu'on ressent souvent entre libertins.
C'est du sexe pur et brutal ! Sadique !
"Tu la vois ta femme ! Tu vois comme elle aime ma grosse bite ? Dis-lui que tu l'aimes, ma grosse bite dans ton cul de salope !".
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhh ! Oui ! Je l'aime sa grosse bite ! Regardes, comme il me fait jouir, Pascal !".
Il lui retire sa grosse verge, elle lui réclame de continuer !
"Non ! Docteur Georges ! Encore ! Défoncez moi le cul !".
Docteur Georges ? Le vicieux dont elle me parlait sans cesse ?
Celui qu'elle avait repoussé, d'après ses dires ?
Et elle le vouvoie !
Elle gicle par terre, plusieurs fois, il lui frappe le cul avec ses grandes mains, avec la queue aussi.
Il joue, en faisant pivoter le bout de sa verge, dans son trou béant.
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Docteur ! Vous savez que ça me fait craquer, quand vous faites ça !".
"J'fais ce que j'ai envie ! Dis-lui qu't'es ma chienne ! Allez dis-le !".
"Ouiiiiii ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhh ! Je suis sa chienne ! J'aime sa grosse bite ! Regardes comme il m'encule bien ! Mon bébé ! J'ai besoin de ça".
Il passe sans cesse, de sa chatte, à son anus, pratique qu'elle refusait à tout autre amant.
Puis, il la laisse en plan, épuisée d'orgasmes, pliée au dessus de l'évier.
Je reste tétanisé, sans réaction, sauf celle de bander.
Il vient vite sur moi, m'ôtant toute possibilité de fuir, et me plie devant sa verge, en utilisant toute sa force.
Sa grosse queue force mes lèvres, il me baise la gorge.
"Toi aussi, tu vas avoir ton compte ! Alors comme ça, tu la rends malheureuse ! A partir de maintenant, je t'annonce qu'elle t'appartient plus depuis six mois ! T'as pas ton mot à dire ! Toi, t'es que le cocu ! Et moi, les cocus, je les baise ! Corinne, aide-moi ! Déshabilles le !".
Il me relève avec sa force herculéenne, et me couche le haut du corps contre la table cuisine.
Ma femme me dénude les fesses, puis passe de l'autre coté pour me tenir les bras.
"Putain, il est trop beau, ton mec ! Regardes-moi ce cul ! Je vais me régaler à lui défoncer sa p'tite chatte de cocu ! Comme ça ! A sec !".
Il pousse déjà !
Je suis obligé de m'écarter l'anus, avec mon sphincter, pour avoir moins mal.
"Regardes bien, ma princesse ! Il va se prendre ma grosse bite, lui aussi ! Je vais le punir pour ce qu'il t'as fait !".
Par bonheur, en quelque poussées, le foutre de Mario le fait entrer d'une traite, j'ai moyennement mal.
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Monsieur pas comme ça ! s'il vous plait ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Orhhhhh ! Oui ! Orhhhh ! C'est bon !".
Il réveille le plaisir que j'ai vécu avec Mario.
Corinne se masturbe d'une main, en nous regardant.
"Mais ! C'est qu'il s'est déjà fait péter la rondelle, cette salope ! Il a du foutre dans la chatte ! Qui c'est qui t'as enculé ? Dis-moi ?".
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! C'est mon chef de chantier ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Il s'appele Mario !".
"Mario, c'est quoi ça ? Un Espagnol ?".
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Un portugais ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis !...".
"Corinne ! Viens là ! A coté de lui ! Je vais t'enculer aussi !".
A partir de là, il passe de son cul au mien, sans discontinuer.
Corinne me tient la main, en jouissant du cul, et me regarde amoureusement, quand c'est mon tour.
C'est encore le cas, quand il lance:
"Va chercher ce que tu sais ! Tu vas m'aider !".
Elle revient affublée de son gode ceinture, et attend sa sortie anale, pour m'empaler elle aussi.
Lui me remplit la gorge, pendant qu'elle se régale en m'insultant.
Elle n'a jamais été aussi dominante avec moi.
Elle me fait orgasmer malgré moi, tout en jouissant, elle aussi.
Ensuite, c'est encore au tour de Georges, qui me fait éjaculer, ce qui m'étonne encore.
Puisque ça m'est arrivé plus tôt, avec Mario !
Ma femme prend la suite, je gicle abondamment, par terre.
Elle m'insulte, m'humilie encore davantage, devant son amant dominateur.
Ils s'embrassent pendant qu'elle me défonce analement.
Je suis le cocu soumis, elle me prend par les cheveux, pour m'imposer un rythme de fellation sur la bite de Georges.
"Suces le mieux que ça ! Sale chienne !".
J'ai eu mon compte ! Tout ça s'ajoute à Mario !
Je vis des orgasmes malgré moi, c'est mécanique !
Il vient derrière elle, et l'encule, alors qu'elle est encore dans mon anus.
Il le fait en écartant la lanière sur le coté.
Corinne est secouée analement, elle jouit puissamment.
Je prend chacun des assauts qu'elle encaisse, comme si c'était dans ma chatte qu'il se déchainait.
Elle s'écroule sur mon dos, elle a trop joui, elle aussi.
"Allez pousses toi ! J'vais me vider les couilles, dans la chatte de ton cocu !".
Elle s'assoit sur le coté, en me prenant la main !
Et assiste à ma dernière humiliation anale.
Il se déverse après une interminable saillie.
"C'est bien mon amour ! Tu l'as bien fait jouir ! C'était bon, pas vrai ? Il encule bien !".
Je garde le silence.
"Orghhhhhhhhh ! C'est une bonne pute, lui aussi ! J'vais revenir le baiser, ta fiotte de mari ! Il a une bonne chatte !".
Il ajoute, peu de temps après:
"Viens me laver la queue ! Cocu ! Et fais, ça bien ! Toi aussi, ma princesse !".
Je l'ai fait sans conviction, mais devant le bonheur de ma femme, qui lui léchait la bite avec passion, je savais plus trop comment prendre tout ça.
Surtout, quand elle m'imposait de l'embrasser avec le foutre de son amant.
Pour assoir sa domination, il a poussé beaucoup trop loin le curseur, pour moi.
Il est resté pour diner, faisant comme si je n'étais pas là !
Ensuite, il m'a imposé de dormir dans la chambre d'amis.
Alors qu'il la baisait encore comme une pute, dans notre lit.
Il est à peine 21 H, je les entends baiser.
Elle lui est vraiment soumise, je pense l'avoir perdue, à cet instant précis.
Au début, j'essaie de me forcer, à regarder un film à la télévision, en attendant de me coucher.
C'est trop dur, je peux pas rester pour subir ça !
Sans bruit, je me suis habillé, lui écrit un mot d'adieu, et une fois sorti, pendant qu'elle jouissait encore, surement en anal, j'ai rappelé Mario.
Il était tard, mais il est venu.
Il m'a fait plaisir en se passant de me questionner, et en s'abstenant de me baiser également.
Je l'ai remercié de cette attention, au petit matin, en le suçant comme jamais.
Mais cette fois, il m'a placé au dessus de lui, et m'a possédé merveilleusement bien, en me disant qu'il m'aimait.
Ca me changeait de la veille !
J'ai rappelé Corinne.
"Il est toujours là, je suppose ?".
"Oui, il est là ! Où tu es ? Tu m'as dit que tu voulais le connaitre ! Pourquoi t'es parti ?".
"Bon, je rentrerai plus, alors ! Je suis pas un cocu soumis ! Tu as perdu de vue, tout ce qu'on a voulu vivre ! C'est pas moi, ça ! A mon avis, il t'a retourné ce mec ! Tu fais tout ce qu'il veut ! Il t'a transformée en esclave sexuelle ! Je peux pas l'accepter ! J'ai choisis pour toi ! Je vous laisse vivre votre histoire !".
"Pascal ! Non !...clic !".
J'ai raccroché ! C'est mieux comme ça !
Le souci, c'est qu'il la baisait encore, quand elle est venue répondre !
Elle est retournée près de lui, et n'a pas eu la force de le contrarier en lui résistant.
Il l'a démontée vaginalement et analement, jusqu'au repas, qu'il s'est fait servir en "maitre", puis est rentré chez lui.
"Tu viens chez moi, lundi ! OK ?".
"Euh... je ne peux plus ! Pascal veux me quitter, si je continues de te voir !".
"J'm'en fous de ce qu'il veut ! T'es ma pute ! Tu viens lundi ! En plus de notre cachette du matin !".
"... Oui ! Docteur !".
"Voilà, c'est plus simple ! Comme ça ! Non ? Fais lui croire que c'est fini ! Tu sais que tu as de la chance ? Je reste jamais aussi longtemps, avec une fille, en général ! Ca t'fait pas plaisir ?".
"... Oui !".
J'ai rappelé.
"Il est plus là, tu dois rentrer ! Il faut qu'on parle, c'est toi que j'aime ! Laisses moi m'expliquer ! C'est pas ce que tu crois !".
Elle réussit à me convaincre.
Une fois chez moi, j'ai pris le gode ceinture, et l'ai découpé en petits morceaux.
Ce truc avait baisé un autre mec que moi, je pouvais plus l'apprécier.
Elle m'a avoué qu'elle aurait du mal à se séparer de Georges, à cause de son emprise.
"Tu l'aimes ?".
"Non ! Je crois pas ! Je... je sais pas en fait ! C'est pas de l'amour, mais il est comme une drogue ! Je crois que je dois faire une psychanalyse ! Je sais plus qui je suis ! J'me reconnais plus ! Aide-moi, mon amour !".
"Putain ! Pourquoi t'as besoin de lui ?".
"Tu sais que j'ai toujours été attirée par la soumission, et un peu la domination aussi ! Tu m'as dis que je pouvais explorer mes penchants de mon coté, mais j'arrive pas à en assumer les conséquences sur mon esprit !".
"Donc, t'es en train de dire que c'est ma faute !".
"Non, je dis pas ça ! Mais, j'ai pas l'habitude ! C'est ma première relation de ce genre !".
"J'avoue que c'est pas facile, moi aussi, j'ai eu du mal avec Fred ! Et j'ai compris qu'on doit se passer de certains plaisirs, pour vivre heureux. Tu aimes ce qu'il te fait ?".
"Oui ! Beaucoup ! Je suis désolée mon amour !".
"Tu vois d'autres amants ?".
"Non, j'en ai plus besoin ! Même pas le kiné !".
"Tu le vois quand ?".
"Ben, il est médecin à l'Hôpital ! Donc, il me baise souvent le matin, dans un local qu'on utilise rarement, entre aide-soignante, et je vais chez lui, tous les vendredis ! Tu dois t'en douter ! Et des après-midis, quand il envie !".
"En plus ! On avait dit pas de connaissances ! J'vais devoir me battre avec lui ! Alors ! J'en prendrais plein la gueule, Mais il en prendra lui aussi ! J'vais pas le laisser détruire mon couple ! Ni ma famille ! C'est lui où moi !".
"Non, je vais lui résister ! Il a profité d'un moment de faiblesse ! J'aurai jamais du accepter qu'il me baise ! Mais j'étais en manque de sexe, et en besoin de me détruire aussi ! C'est toi qui as raison, il me manipule ! J'irai pas au RDV lundi !".
Elle a tenu bon, au début.
Puis, il est revenu à la charge, en la harcelant au travail, avec des attentions attendrissantes.
Il lui demandait de l'attendre au local habituel, pour faire le point sur leur relation, au début.
Puis, elle a cédé à nouveau. Elle était trop accroc à sa grosse verge.
Elle n'a jamais revu Robert, le soumis.
Elle vient de se faire sodomiser par ce gros pervers, dans le local, retiré des autres services.
Elle se presse, pour profiter de ce qui lui reste de temps de pause.
Elle serre ses fesses, pour éviter de perdre son sperme, inséminé profondément dans son anus.
Elle a remis sa culotte, après son départ, mais c'est pas évident quand même.
Elle le fait pour lui, il l'exige.
"Tiens ! Corinne ! On parlait de toi ! Et du Docteur Georges ! On dirait qu'il te laisse tranquille ! Non ?".
"Oui, enfin !".
"Pourquoi, tu te l'ai pas fait ? Tu sais pas ce que tu rates ! Moi, il m'a baisée, il y a 8 ans, je crois ! Et c'est ma meilleure expérience ! C'est un bon coup, ce mec !".
C'est Adeline, une aide soignante de trente ans qui parle.
"Mais t'étais déjà mariée !". Demande une autre !
"Et alors ! Moi je regrette pas, surtout quand on sait ce qu'il a entre les jambes ! Et il sait bien s'en servir !".
"Il parait ! Comment elle est ?".
Le femme montre une dimension, en écartant ses mains !
"Non ! A ce point ! Tu exagères !".
"Elle exagère pas ! Moi aussi, il m'a baisée ! Mais c'est plus vieux que ça, on s'est connu dans un autre hôpital ! On a le même âge !".
"Toi aussi, t'étais mariée ?".
"Oui, mais, tout le monde le fait ! Pourquoi pas nous ! Dommage que j'ai plus l'âge de lui plaire, j'aimerai bien recommencer avec lui ! Moi, si j'étais Corinne, je me laisserai faire ! Je foncerai !".
Corinne m'a dit que le Docteur Georges bénéficie d'une réputation de coureur de jupons.
Et qu'il passe rarement plus de deux mois, avec une nouvelle conquête.
Ceci explique cet échange entre aide soignantes.
Toutes les femmes regardent Corinne, qui pense avoir la chance d'avoir passé le cap des deux mois.
"Quoi ? Non ! J'aime trop Pascal !".
"Il est pas obligé de le savoir ! Et puis comme ça, tu nous racontes ! T'as pas envie qu'il te fasse monter au plafond ?".
"Non ! Je peux pas ! Demandez à Adeline !".
"Je peux pas ! Il aime les jeunes de ton âge, et puis, il est trop vicieux ! Il est trop porté sur la...".
"La quoi ?".
"Il voulait mon cul ! Mais ça je peux pas ! Même mon mari le fait pas ! C'est pour ça, qu'il a plus voulu me baiser ! Il en a trouvé une autre, du coup !".
"Ben, t'as eu tort ! Moi, il m'a enculée ! Et c'était bien bon ! Ca me manque d'ailleurs !".
Ajoute la femme cinquantenaire.
"Putain ! T'as pas eu mal ?". Demande Adeline.
"Mmmmm...Non ! Ca va ! Un peu au début, mais c'était pas le premier ! Moi ça m'plait ! Et c'était encore meilleur avec lui !".
l'une d'elles, harcèle Corinne:
"Tu veux pas essayer, Corinne ? Il te le fait ton mari ?".
La plus âgée intervient.
"Eh, les filles ! C'est l'heure ! Qui s'occupe de répondre à la sonnette ?".
Corinne est sauvée, par sa collègue, et par la fin du temps de pause.
Elle bosse avec un sentiment mitigé, entre la honte, et l'adrénaline du plaisir pervers secret, que lui rappelle la présence de sperme dans son anus.
Si les filles savaient qu'elle n'est pas ce qu'elle affiche, une fille douce et timide, très sage.
Sa collègue âgée la surprend en lui parlant, à l'insu des autres:
"Profites en bien ma chérie ! C'est toi qui as raison, je sais tout, je vous ai vu sortir du local ... ! Alors ? Tu t'éclates bien ! Non ?".
"Euh... Oui ! Tu dis rien aux autres ! S'il te plait !".
"Promis ! Mais tu me raconteras un peu, histoire de me rappeler des souvenirs !".
"Promis !".
"Mais, confirmes moi une chose ! Ca fait un moment qu'il te baise ! Donc, il t'encule, non ?".
Elle hésite, un moment, puis confirme:
"Euh...Oui !".
"Bravo ! ma belle ! Profites-en bien ! Moi, ça me manque ! T'as bien de la chance !".
Les mois passent.
Cela dure depuis six mois avec Georges, quatre avec Robert le soumis, je pense.
Nous sommes en Juillet.
Ce jour là, mon amant Mario ne me baise pas, j'en ai pas envie.
On le fait pas tous les jours, non plus, c'est normal.
Je rentre aussi plus tôt, parce que j'ai terminé ma tâche avant.
Je pousse la porte, j'entend des bruits de claques, et des gémissements, mais pas ceux de Corinne !
Je m'approche sans bruit, de la porte de la chambre, restée entrouverte.
Là, j'assiste au spectacle de ma femme, affublée de son gode ceinture, entrain d'enculer un inconnu quelconque.
Un autre que moi !
Elle a l'air de prendre son pied, ses yeux brillent d'excitation.
Je la vois jouer avec la béance anale de l'inconnu, et le gros gland du gode, avant de lui tirer sur les hanches, afin de s'enfoncer en lui, sur les 25 cm de l'engin !
Ensuite, la voilà qu'elle l'insulte, et l'oblige à lui sucer sa fausse queue.
Il l'appelle "Maitresse Cora !", je découvre ce coté imaginatif.
Elle revient dans sa chatte anale, et le défonce en lui claquant le cul.
Ca ne m'excite pas du tout !
J'en ai trop vu, je m'éloigne, et lui écris un mot avant de sortir, que je pose sur mon bureau.
"T'avais pas le droit de faire ça ! Je vais dormir chez Mario ! Ne m'attends pas ! Je n'aime pas cette "Maitresse Cora" !.
Je vais dans le premier bar, pour appeler mon amant.
"Mario, j'ai des soucis ! Je peux venir chez toi ? Je sais pas où dormir !".
"Bien sûr, mon chéri ! Je viens te chercher !".
Finalement, le malheur des uns, fait le bonheur des autres !
Il m'a baisé avant le repas, puis de 22 heures jusqu'à une heure du matin.
Ca me fait du bien, il me fait penser à autre chose, je m'évade en jouissant du cul.
Malgré notre courte nuit, il a tenu à se faire sucer, avant de se lever.
Ca faisait longtemps que je n'avais pas avalé de sperme, avant de petit déjeuner.
J'ai retrouvé ce plaisir, avec bonheur.
On est allé travailler ensemble, ensuite.
Je redoutai le retour chez moi, à midi.
La voilà devant moi, en pleurs, à mes pieds !
"Pardon ! Je le ferai plus ! C'est promis ! J'm'en fous de ce mec ! C'est toi que j'aime ! Pardon, pardon, pardon... Ca me manquait trop, tu veux jamais le faire !".
"Laisses moi ! Moi, c'est de toi que je m'en fous ! Tu mérites plus mon amour ! Je rentrerai pas ce soir, non plus ! A demain ! Enfin, peut-être !".
"Pascal ! Non !".
J'ai claqué la porte, derrière moi.
J'ai même pas mangé, un nœud à l'estomac m'en empêchait.
Je suis retourné, avec presque un heure d'avance, au boulot, Mario finissait son sandwich.
Il a vu mes yeux rouges.
"Ohh ! Toi, mon p'tit chaton ! Tu vas pas bien !".
"Prends-moi encore Mario, j'en ai besoin, j'ai besoin de tendresse ! Tu peux ?".
Comme depuis 2 semaines, il n'y avait plus que nous, sur le chantier, il m'a emmené dans une salle éloignée.
Tout en haut de l'immeuble, afin de me prendre comme une femelle, sur un tas de cartons en surplus, couverts d'une vieille couverture sale.
Il m'a aimé très longuement, avec tendresse et virilité.
A part Pierre et Gilles, je crois que j'ai jamais eu autant envie d'embrasser un mec qui m'enculait.
Après m'avoir fait éjaculer en m'enculant, il est venu se masturber au dessus de ma gorge.
Je l'ai avalé avec amour et passion.
Il s'est remit en moi, et on s'est cajolé pendant une demi heure de plus.
Il était déjà content de savoir, que je rentrerai avec lui pour dormir.
La soirée fut identique à la première, mais plus tendre.
Il n'attendait que ça ! Et j'avoue que j'ai aimé ses gestes d'amour.
Le lendemain, Corinne me surprend, en venant sur mon lieu de travail.
Elle me supplie de lui redonner une chance.
Putain, c'est dur de la voir dans cet état !
Ses yeux sont brulés par les larmes.
"Bon, écoutes ! Laisses moi du temps ! Moi aussi, je t'aime, mais tu m'as fait très mal ! Sois patiente ! C'est trop tôt ! J'ai promis à Mario de dormir chez lui, ce soir ! Je lui dois bien ça !".
"Il te baise, je pense !".
"Ben, oui ! Tu le sais ! Mais ça me fait du bien ! Ca me défoules ! D'ailleurs, je commence à penser que vivre avec un homme, c'est pas si désagréable !".
"Non ! Ne me quittes pas ! Je t'en supplie !".
"Calmes toi ! Je le ferai pas ! Je suis trop heureux comme ça ! Enfin ! J'étais heureux !".
"Bon, j'attendrai alors ! Je t'aime ! Je te demande encore pardon !".
"A part lui, t'as quelqu'un d'autre ?".
"Euh,... oui, mais je t'expliquerai, c'est une longue histoire ! On a une relation particulière ! Si tu veux, je te le présenterai !".
"Ok, pourquoi pas ! C'est une bonne idée ! Mais, pourquoi particulière ?".
"Tu verras ! Mais j'ai écouté tes conseils ! Quand tu m'as dis d'écouter mes pulsions ! Tu comprendras !".
"Ok, à demain soir ! Alors !".
Le soir venu, Mario a encore usé, et abusé de moi, me ressourçant à chaque série d'orgasmes anaux qu'il me procurait.
Il pouvait me prendre, autant comme dominateur pervers, que comme un amoureux passionné.
C'était comme un exutoire pour moi.
Surtout, quand il m'a attaché les mains aux pieds, et m'a défoncé comme une pute soumise, sur son tapis de sol.
Il m'a fait pisser comme une chienne, en m'insultant.
"Pisses salope ! Tu chialeras moins !".
Il n'avait pas tort, il m'a tellement vidé que j'avais plus de quoi pleurer !
Il s'est endormi en me fourrant sa grosse bite, avec ce gland si typique, que j'adorai.
Beaucoup plus gros que sa verge, c'est pour ça que j'ai eu du mal à m'en passer, d'ailleurs.
Le matin suivant, j'ai avalé ma dose de foutre matinal, on était vendredi.
Je l'ai informé que je dormirai chez moi, donc, vers 16 heures, il a voulu m'enculer avant que je parte.
Je suis rentré, avec son éjaculation en moi.
Corinne m'attendait avec un homme, très grand, et imposant.
L'ambiance est pesante.
Il s'est passé quelque chose avant que j'arrive, c'est sûr.
Elle a l'air secouée, un peu décoiffée, sans rouge à lèvres.
Comme après une longue fellation.
Je lis sur son visage, qu'elle craint ma réaction.
Je brise le silence:
"Bonsoir, Monsieur ! Vous êtes ?".
"Celui qui baise ta femme, comme il faut la baiser !".
"Quu... Quoi ?".
Il la pivote contre, et au dessus de l'évier, puis relève sa jupe, en lui claquant le cul.
Elle n'a plus de culotte, et visiblement, il l'a déjà baisée !
"Regardes comment, on fait ! Puisque tu sais pas le faire !".
Il écarte ses fesses, son anus est encore béant et humide de longues saillies anales.
Tout ça pollue sa chatte, peu ouverte, en rapport à son anus.
Il défait son bouton de ceinture, le pantalon tombe sur ses pieds, laissant apparaitre une verge énorme, encore reluisante de jus anal.
Cette énorme verge dure et très foncée, qu'il lui enfonce d'une traite dans l'anus.
Il la secoue comme un bourrin, elle me crie qu'elle jouit du cul.
Je bande malgré moi.
Putain, je m'attendais pas à ça ! C'est brutal comme révélation !
Mais, en même temps, ça fait partie de mes plaisirs, la voir jouir avec un autre.
Un vieux pervers qui la baise, où l'encule, en l'occurrence.
Mais c'est différent des autres fois, il est plus dominateur !
Il n'y a pas cette bienveillance, qu'on ressent souvent entre libertins.
C'est du sexe pur et brutal ! Sadique !
"Tu la vois ta femme ! Tu vois comme elle aime ma grosse bite ? Dis-lui que tu l'aimes, ma grosse bite dans ton cul de salope !".
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhh ! Oui ! Je l'aime sa grosse bite ! Regardes, comme il me fait jouir, Pascal !".
Il lui retire sa grosse verge, elle lui réclame de continuer !
"Non ! Docteur Georges ! Encore ! Défoncez moi le cul !".
Docteur Georges ? Le vicieux dont elle me parlait sans cesse ?
Celui qu'elle avait repoussé, d'après ses dires ?
Et elle le vouvoie !
Elle gicle par terre, plusieurs fois, il lui frappe le cul avec ses grandes mains, avec la queue aussi.
Il joue, en faisant pivoter le bout de sa verge, dans son trou béant.
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Docteur ! Vous savez que ça me fait craquer, quand vous faites ça !".
"J'fais ce que j'ai envie ! Dis-lui qu't'es ma chienne ! Allez dis-le !".
"Ouiiiiii ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhh ! Je suis sa chienne ! J'aime sa grosse bite ! Regardes comme il m'encule bien ! Mon bébé ! J'ai besoin de ça".
Il passe sans cesse, de sa chatte, à son anus, pratique qu'elle refusait à tout autre amant.
Puis, il la laisse en plan, épuisée d'orgasmes, pliée au dessus de l'évier.
Je reste tétanisé, sans réaction, sauf celle de bander.
Il vient vite sur moi, m'ôtant toute possibilité de fuir, et me plie devant sa verge, en utilisant toute sa force.
Sa grosse queue force mes lèvres, il me baise la gorge.
"Toi aussi, tu vas avoir ton compte ! Alors comme ça, tu la rends malheureuse ! A partir de maintenant, je t'annonce qu'elle t'appartient plus depuis six mois ! T'as pas ton mot à dire ! Toi, t'es que le cocu ! Et moi, les cocus, je les baise ! Corinne, aide-moi ! Déshabilles le !".
Il me relève avec sa force herculéenne, et me couche le haut du corps contre la table cuisine.
Ma femme me dénude les fesses, puis passe de l'autre coté pour me tenir les bras.
"Putain, il est trop beau, ton mec ! Regardes-moi ce cul ! Je vais me régaler à lui défoncer sa p'tite chatte de cocu ! Comme ça ! A sec !".
Il pousse déjà !
Je suis obligé de m'écarter l'anus, avec mon sphincter, pour avoir moins mal.
"Regardes bien, ma princesse ! Il va se prendre ma grosse bite, lui aussi ! Je vais le punir pour ce qu'il t'as fait !".
Par bonheur, en quelque poussées, le foutre de Mario le fait entrer d'une traite, j'ai moyennement mal.
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Monsieur pas comme ça ! s'il vous plait ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Orhhhhh ! Oui ! Orhhhh ! C'est bon !".
Il réveille le plaisir que j'ai vécu avec Mario.
Corinne se masturbe d'une main, en nous regardant.
"Mais ! C'est qu'il s'est déjà fait péter la rondelle, cette salope ! Il a du foutre dans la chatte ! Qui c'est qui t'as enculé ? Dis-moi ?".
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! C'est mon chef de chantier ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Il s'appele Mario !".
"Mario, c'est quoi ça ? Un Espagnol ?".
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Un portugais ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis !...".
"Corinne ! Viens là ! A coté de lui ! Je vais t'enculer aussi !".
A partir de là, il passe de son cul au mien, sans discontinuer.
Corinne me tient la main, en jouissant du cul, et me regarde amoureusement, quand c'est mon tour.
C'est encore le cas, quand il lance:
"Va chercher ce que tu sais ! Tu vas m'aider !".
Elle revient affublée de son gode ceinture, et attend sa sortie anale, pour m'empaler elle aussi.
Lui me remplit la gorge, pendant qu'elle se régale en m'insultant.
Elle n'a jamais été aussi dominante avec moi.
Elle me fait orgasmer malgré moi, tout en jouissant, elle aussi.
Ensuite, c'est encore au tour de Georges, qui me fait éjaculer, ce qui m'étonne encore.
Puisque ça m'est arrivé plus tôt, avec Mario !
Ma femme prend la suite, je gicle abondamment, par terre.
Elle m'insulte, m'humilie encore davantage, devant son amant dominateur.
Ils s'embrassent pendant qu'elle me défonce analement.
Je suis le cocu soumis, elle me prend par les cheveux, pour m'imposer un rythme de fellation sur la bite de Georges.
"Suces le mieux que ça ! Sale chienne !".
J'ai eu mon compte ! Tout ça s'ajoute à Mario !
Je vis des orgasmes malgré moi, c'est mécanique !
Il vient derrière elle, et l'encule, alors qu'elle est encore dans mon anus.
Il le fait en écartant la lanière sur le coté.
Corinne est secouée analement, elle jouit puissamment.
Je prend chacun des assauts qu'elle encaisse, comme si c'était dans ma chatte qu'il se déchainait.
Elle s'écroule sur mon dos, elle a trop joui, elle aussi.
"Allez pousses toi ! J'vais me vider les couilles, dans la chatte de ton cocu !".
Elle s'assoit sur le coté, en me prenant la main !
Et assiste à ma dernière humiliation anale.
Il se déverse après une interminable saillie.
"C'est bien mon amour ! Tu l'as bien fait jouir ! C'était bon, pas vrai ? Il encule bien !".
Je garde le silence.
"Orghhhhhhhhh ! C'est une bonne pute, lui aussi ! J'vais revenir le baiser, ta fiotte de mari ! Il a une bonne chatte !".
Il ajoute, peu de temps après:
"Viens me laver la queue ! Cocu ! Et fais, ça bien ! Toi aussi, ma princesse !".
Je l'ai fait sans conviction, mais devant le bonheur de ma femme, qui lui léchait la bite avec passion, je savais plus trop comment prendre tout ça.
Surtout, quand elle m'imposait de l'embrasser avec le foutre de son amant.
Pour assoir sa domination, il a poussé beaucoup trop loin le curseur, pour moi.
Il est resté pour diner, faisant comme si je n'étais pas là !
Ensuite, il m'a imposé de dormir dans la chambre d'amis.
Alors qu'il la baisait encore comme une pute, dans notre lit.
Il est à peine 21 H, je les entends baiser.
Elle lui est vraiment soumise, je pense l'avoir perdue, à cet instant précis.
Au début, j'essaie de me forcer, à regarder un film à la télévision, en attendant de me coucher.
C'est trop dur, je peux pas rester pour subir ça !
Sans bruit, je me suis habillé, lui écrit un mot d'adieu, et une fois sorti, pendant qu'elle jouissait encore, surement en anal, j'ai rappelé Mario.
Il était tard, mais il est venu.
Il m'a fait plaisir en se passant de me questionner, et en s'abstenant de me baiser également.
Je l'ai remercié de cette attention, au petit matin, en le suçant comme jamais.
Mais cette fois, il m'a placé au dessus de lui, et m'a possédé merveilleusement bien, en me disant qu'il m'aimait.
Ca me changeait de la veille !
J'ai rappelé Corinne.
"Il est toujours là, je suppose ?".
"Oui, il est là ! Où tu es ? Tu m'as dit que tu voulais le connaitre ! Pourquoi t'es parti ?".
"Bon, je rentrerai plus, alors ! Je suis pas un cocu soumis ! Tu as perdu de vue, tout ce qu'on a voulu vivre ! C'est pas moi, ça ! A mon avis, il t'a retourné ce mec ! Tu fais tout ce qu'il veut ! Il t'a transformée en esclave sexuelle ! Je peux pas l'accepter ! J'ai choisis pour toi ! Je vous laisse vivre votre histoire !".
"Pascal ! Non !...clic !".
J'ai raccroché ! C'est mieux comme ça !
Le souci, c'est qu'il la baisait encore, quand elle est venue répondre !
Elle est retournée près de lui, et n'a pas eu la force de le contrarier en lui résistant.
Il l'a démontée vaginalement et analement, jusqu'au repas, qu'il s'est fait servir en "maitre", puis est rentré chez lui.
"Tu viens chez moi, lundi ! OK ?".
"Euh... je ne peux plus ! Pascal veux me quitter, si je continues de te voir !".
"J'm'en fous de ce qu'il veut ! T'es ma pute ! Tu viens lundi ! En plus de notre cachette du matin !".
"... Oui ! Docteur !".
"Voilà, c'est plus simple ! Comme ça ! Non ? Fais lui croire que c'est fini ! Tu sais que tu as de la chance ? Je reste jamais aussi longtemps, avec une fille, en général ! Ca t'fait pas plaisir ?".
"... Oui !".
J'ai rappelé.
"Il est plus là, tu dois rentrer ! Il faut qu'on parle, c'est toi que j'aime ! Laisses moi m'expliquer ! C'est pas ce que tu crois !".
Elle réussit à me convaincre.
Une fois chez moi, j'ai pris le gode ceinture, et l'ai découpé en petits morceaux.
Ce truc avait baisé un autre mec que moi, je pouvais plus l'apprécier.
Elle m'a avoué qu'elle aurait du mal à se séparer de Georges, à cause de son emprise.
"Tu l'aimes ?".
"Non ! Je crois pas ! Je... je sais pas en fait ! C'est pas de l'amour, mais il est comme une drogue ! Je crois que je dois faire une psychanalyse ! Je sais plus qui je suis ! J'me reconnais plus ! Aide-moi, mon amour !".
"Putain ! Pourquoi t'as besoin de lui ?".
"Tu sais que j'ai toujours été attirée par la soumission, et un peu la domination aussi ! Tu m'as dis que je pouvais explorer mes penchants de mon coté, mais j'arrive pas à en assumer les conséquences sur mon esprit !".
"Donc, t'es en train de dire que c'est ma faute !".
"Non, je dis pas ça ! Mais, j'ai pas l'habitude ! C'est ma première relation de ce genre !".
"J'avoue que c'est pas facile, moi aussi, j'ai eu du mal avec Fred ! Et j'ai compris qu'on doit se passer de certains plaisirs, pour vivre heureux. Tu aimes ce qu'il te fait ?".
"Oui ! Beaucoup ! Je suis désolée mon amour !".
"Tu vois d'autres amants ?".
"Non, j'en ai plus besoin ! Même pas le kiné !".
"Tu le vois quand ?".
"Ben, il est médecin à l'Hôpital ! Donc, il me baise souvent le matin, dans un local qu'on utilise rarement, entre aide-soignante, et je vais chez lui, tous les vendredis ! Tu dois t'en douter ! Et des après-midis, quand il envie !".
"En plus ! On avait dit pas de connaissances ! J'vais devoir me battre avec lui ! Alors ! J'en prendrais plein la gueule, Mais il en prendra lui aussi ! J'vais pas le laisser détruire mon couple ! Ni ma famille ! C'est lui où moi !".
"Non, je vais lui résister ! Il a profité d'un moment de faiblesse ! J'aurai jamais du accepter qu'il me baise ! Mais j'étais en manque de sexe, et en besoin de me détruire aussi ! C'est toi qui as raison, il me manipule ! J'irai pas au RDV lundi !".
Elle a tenu bon, au début.
Puis, il est revenu à la charge, en la harcelant au travail, avec des attentions attendrissantes.
Il lui demandait de l'attendre au local habituel, pour faire le point sur leur relation, au début.
Puis, elle a cédé à nouveau. Elle était trop accroc à sa grosse verge.
Elle n'a jamais revu Robert, le soumis.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Passud
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Pascal là ton couple a pris un sacré coup Corinne comme je le pressentais (voir mon précédent commentaire) a fait rentrer un prédateur qui est brutal et ne pense qu’à humilier ta femme et toi aussi en abusant de sa force et de la soumission complète de tafemme.Heureusement tu as réagi dès que t’as pu et mis les choses au point quoique à la fin tu nous précise que Corinne en hypersexuelle à recraquee j’espère qu’elle a quand même mis des limites. Dans ce dernier récit tu ne parles pas de ta fille j’osé penser que vous l’aviez mise à l’abri.Daniel
Lamentable, cocu content sans couille… Pas étonnant que la France est ds un tel merdier. Un coup de taser au médecin et ensuite lui bruler les noix et sa verge avec un chalumeau de cuisine devant Corinne attachée et bâillonnée.

