LE FANTASME DE SAYOMI
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-08-2019 dans la catégorie A dormir debout
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LE FANTASME DE SAYOMI
Dans l'obscurité, tout au fond de la caverne, une créature lovée, bizarrement entortillée, qui frémit, qui se tord, et qui attend...
Très tôt le matin, Sayomi s'arrêta sur la berge du petit lac isolé et leva les yeux vers l'entrée sombre de la grotte.
Une fine brume blanchâtre flottait encore juste au-dessus de l'eau.
Écartant ses mèches brunes de son joli minois, Sayomi cligna des yeux dans la lumière matinale et examina les lieux.
On avait peine à croire que Sayomi avait dix-huit ans.
Sayomi paraissait très jeune dans son uniforme d'écolière, vêtue d'un chemisier blanc et d'une minijupe en tartan rouge.
La blancheur de son chemisier contrastait avec les verts sombres de la forêt.
Sayomi était une citadine, elle ne savait rien de la forêt. Elle avait l'air si jeune, si délicate et si voluptueusement féminine.
Elle avait garé son scooter jaune sous les arbres, au bout du chemin empierré, en laissant les clés sur le contact et ses manuels scolaires dans un panier sur le porte-bagage.
Sayomi avait bravement franchi les obstacles constitués de toiles d'araignées argentées, chargées de rosée, qui barraient le chemin.
Le feuillage dense avait griffé ses jambes nues, comme s'il voulait la retenir et l'avertir du danger.
Quand elle a aperçu pour la première fois les eaux calmes du lac, elle a reconnue la contrée visitée dans ses rêves.
Elle avait alors compris qu'elle touchait au but. Sayomi était arrivée au bon endroit.
Un poisson a troublé la surface calme du lac, faisant sursauter Sayomi.
Elle a suivit du regard le vol des grands oiseaux blancs qui disparaissaient lentement au-dessus de la canopée des arbres.
Sayomi eut un petit rire nerveux lorsqu'un petit oiseau multicolore se posa brièvement sur un rocher.
Tout, et chaque détail, correspondait exactement à son rêve.
Son cœur commençait à battre la chamade et ses joues rougirent d'émoi et de surexcitation.
Elle avait apporté son livre avec elle, ce livre qui avait tout déclenché.
Elle l'avait ouvert à la page qu'elle avait maintes et maintes fois consultée en cachette.
C'était une image de femme, une reproduction d'une icône sur bois ancienne.
La femme s'abandonnait entre les bras d'une créature tentaculaire, le Kraken.
Il était évident que la femme jouissait dans l'étreinte, qu'elle avait capitulé sous l'assaut de la créature et qu'elle se livrait corps et âme.
En regardant la photo, Sayomi ressentit ce sentiment familier de perdition et de désir grouiller au fond de son ventre.
La photo avait fasciné et ensorcelé les rêves de Sayomi depuis qu’elle l'avait découverte pour la première fois.
Elle ne pouvait se lasser de la regarder encore et encore. Elle n'avait confié ce secret à personne, pas même à sa meilleure amie.
Comment pourrait-elle expliquer ce qu'elle a ressenti en voyant cette photo alors qu'elle ne le comprenait pas elle-même?
C'est quand elle a découvert cette photo dans l'ancien livre que les rêves ont commencé à hanter ses nuits.
Le petit oiseau multicolore sur le rocher gris a pépié encore une fois puis s'est envolé.
Avec de rapides battement d'ailes, il s'envola au dessus du lac.
Sayomi le suivit du regard, puis elle fut attirée par les guirlandes de brouillard qui s'étiraient jusqu'à l'entrée de la grotte.
L'ouverture dans la roche grise et lisse lui faisait penser à la gueule d'un prédateur, tapi, guettant sa proie.
Le museau de la grotte était entouré de végétation, d'arbustes, et Sayomi sentait les battements de son cœur s'accélérer encore.
Elle ressentait une sensation d'allégresse et de fougue dans sa poitrine.
Plus bas, le remue-ménage familier, un trouble, plus intense que des papillons, agaçait son bas-ventre.
Elle l'avait souvent ressenti quand elle s'était éveillée de ses cauchemars tourmentés.
Elle escalada le sentier escarpé qui menait à la grotte hantée par le monstre.
Elle connaissait ce chemin pour l'avoir emprunté tant de fois en rêve.
C'était une piste rugueuse de végétation brisée, creusée par la créature, elle l'avait vu dans ses rêves.
Elle l'avait regardée descendre lentement vers le lac, dans le clair de lune argenté qui brillait sur ses tentacules.
Elle avait vu ses yeux au clair de lune. Elle avait vu la créature s'immerger dans l'eau calme et sombre, l'attendant.
Ce n'est que récemment qu'elle s'était rendue compte que la créature l'attendait depuis toujours.
Sayomi gravit péniblement le chemin jusqu'à l'entrée de la grotte. Ses pieds glissaient sur la pente escarpée et friable.
Elle gravit les derniers mètres sur les mains et sur les genoux, se salissant avec la terre et la végétation.
Dans son impatience, elle abandonna le précieux livre. À genoux, elle leva les yeux vers la gueule de la caverne.
Nerveuse et excitée à la fois, elle la trouvait encore plus effrayante de près. Sa jupette révélait sa culotte blanche.
Elle haletait à cause de l'escalade, ses gros seins se balançaient sous elle, serrés dans son chemiser d'écolière.
Ses longs cheveux pendaient devant son visage, masquant ses joues rougies pas l'effort.
Haletante, Sayomi était convaincue que ce qu'elle faisait maintenant était écrit depuis la nuit des temps.
Depuis qu'elle avait trouvé la photo dans le livre, ses rêves, tout ce chemin parcouru, c'était sa destinée.
Sayomi était convaincue qu'elle était faite pour ça, pour réaliser ce rêve fou d'appartenir à la créature...
Elle se dressa devant le gouffre obscur de l'entrée. Machinalement, elle remit de l'ordre dans sa tenue, lissant sa jupette sur ses hanches, réajustant son chemisier sur les rondeurs de sa poitrine. Baissant les yeux, elle vit que les deux premiers boutons de son chemisier s'étaient décrochés et que son profond décolleté exposait ses seins jeunes et fermes.
Jeune fille de bonne famille, pudique et honteuse, Sayomi leva les mains pour attacher les boutons de son chemisier.
Puis elle interrompit son geste pour réfléchir aux rêves, à la photo du livre, à l'étreinte intime de la créature et de la femme.
Elle respirait plus fort et le frémissement dans le creux de son ventre reprit de plus belle.
Elle humecta ses lèvres charnues avec la pointe de sa langue et un frisson secoua tout son être.
Elle savait ce qui l'attendait quand elle rejoindrait la créature, son destin lui avait été révélé dans ses rêves.
Résolument, audacieusement, avec un mélange d'excitation et d'appréhension nerveuse, elle laissa son chemisier dégrafé.
Elle s'imaginait déjà prise dans les membres de la créature, se soumettant à ses avances. Dans son rêve, elle était nue.
"Hello!? C'est moi, Sayomi. Je suis venue" Sa voix se propagea dans la gueule sombre de la grotte.
Sayomi a écouté mais personne ne lui a répondu. Elle ressentit une brusque angoisse qui doucha son espoir.
L'excitation devint de la trépidation. Elle était nerveuse. Son jeune corps tremblait.
Ses mamelons bandaient et s'agaçaient en se frottant contre les bonnets de son soutien-gorge.
"Tu étais dans mon rêve" criait Sayomi, enthousiaste. Ses doigts trituraient nerveusement les plis de sa jupe.
Un sourire timide adoucissait son visage, mélange d'espérance et d'anxiété.
Elle se sentait comme une jeune épouse lors de sa nuit de noces, une vestale offerte, attendant le sacrifice de sa chair.
Quelque part dans la caverne, la créature l'attendait, tapie au centre de ses tentacules tortueuses, espérant la dévirginiser.
Dans ses rêves, Sayomi rencontrait la créature dans une caverne éclairée par une faible lumière qui provenait d'une ouverture naturelle dans le plafond de la grotte. Elle l'attendait sur un confortable lit de mousse fraîche.
Au centre, il y avait un arbre tordu solitaire. Les rayons lumineux jouaient sur les longs tentacules de la créature.
Ses appendices frétillaient sensuellement les uns contre les autres, dans un mouvement érotique hypnotique.
Dans ses rêves, elle était nue dans le giron de ces bras puissants, soumise par la créature, pénétrée et utilisée, son jeune corps luisant des fluides sécrétés par la créature. Ses cuisses étaient maintenues écartées, ses reins forcés et cambrés, ses orifices utilisés.
Les ténèbres entourèrent Sayomi tandis qu'elle s'avançait lentement dans la grotte. L'ombre s'épaississait, la lumière du jour s'estompa. Elle marchait en aveugle, butant sur les obstacles, les mains tendues.
L'épais silence était rompu par le bruit rauque de sa propre respiration et les battements de son cœur.
Sayomi ressentait un sentiment de solitude, désespérément seule, sans aide dans un monde inconnu, mais elle n'avait pas peur.
Elle était appelée par la créature, convoquée par elle.
Le Kraken l'attendait avec une patience intemporelle, un appétit insatiable pour ce corps jeune et désirable.
La puissance de ses rêves était telle qu'il lui était impossible de résister au désir de s'abandonner.
Plus elle s'enfonçait profondément dans la caverne en se rapprochant de l'antre de la bête, plus Sayomi prenait conscience de son trouble sexuel croissant. Ses mamelons turgides frottaient contre la dentelle.
Elle ressentait la démangeaison poignante de son bas-ventre, une sensation qui propageait la moiteur au creux de son sexe.
Elle haletait bruyamment en avançant, ses lèvres charnues entrouvertes.
Chaque terminaison nerveuse tremblait d'anticipation, tout son jeune corps résonnait du désir d'être pénétrée.
Elle ressentait une sensation de vide douloureux dans sa chatte humide, un besoin impérieux d'être comblée.
"S'il te plaît, où te caches-tu?" murmura-t-elle dans l'obscurité, comme un plaidoyer, un appel désespéré à la créature.
Haletante, taraudée par le désir, elle quémandait la satisfaction de ses besoins.
Depuis qu'elle a découvert le livre ancien avec la photo de la femme soumise aux exigences du Kraken, Sayomi avait été hantée toutes les nuits par les mêmes rêves explicites. Ils avaient éveillé en elle des désirs inconnus.
Au matin, elle s'éveillait le cœur battant la chamade, ses vêtements de nuit en désordre, la chatte humide et fourmillante.
Au début, elle avait eu peur de la nature obscène et lubrique de ses rêves. Elle avait été choquée, confuse.
Elle ne comprenait pas, trop innocente de son propre corps, elle ne savait pas satisfaire les désirs impérieux de ses rêves.
Chaque nuit le même cauchemar salace recommençait.
Elle était immobilisée dans les bras d'une créature tentaculaire, elle se voyait utilisée et souillée comme un jouet sexuel.
Chaque matin, elle se réveillait trempée de sueur, les mains serrées entre ses jambes.
Elle avait honte mais elle était impuissante à résister à ces rêves qui se répétaient nuit après nuit.
Avec le temps, son sentiment sur ses rêves avaient évolué. Autrefois, elle les redoutait, elle en avait honte.
Maintenant, son avis sur les rêves de la nuit, c'était qu'elle était impatiente de les voir se réaliser.
Même pendant la journée, en classe, elle pensait à eux. Ils vivaient en elle, constamment présents.
Ce livre, cette photo et les rêves qui en découlaient, étaient son secret, elle ne l'avait dit à personne.
Ses journées étaient une longue agonie d'impatience, tandis qu'une humidité poisseuse imbibait sa culotte blanche.
Elle vivait la nuit, dans les bras de la créature, conquise et soumise. C'était devenu son obsession.
"Es-tu ici? S'il te plaît, où te caches-tu?" Psalmodiait Sayomi. Il n'y avait rien à voir, rien à entendre.Ténèbres impénétrables.
La luminosité de l'entrée de la grotte avait presque disparue.
Elle se sentait seule mais attirée inexorablement, irrésistiblement, vers le repaire de la créature dans la profondeur de la colline.
Ses mamelons sensibles et ses seins qui se balançaient, brossaient sensuellement contre l'étoffe du soutien-gorge.
Elle était parfaitement consciente d'une constante pulsation d'urgence entre ses jambes. Un besoin impérieux.
Elle savait que son corps était prêt pour l'accouplement, sa vitalité juvénile coulait dans ses veines. Sa chair était faible.
Elle était vierge. Pure. Elle désirait s'offrir à la créature, se soumettre. Se tordre nue dans ses tentacules comme dans ses rêves.
Sentir les bras tentaculaires caresser doucement sa peau nue. Connaître l'extase. Être femme.
Elle marchait sans peur, tout ce qu'elle ressentait maintenant était le besoin ardent de s'abandonner à la créature.
Elle n'éprouvait aucune honte. Elle pouvait ramper jusqu'à elle nue sur ses mains et ses genoux, rien ne pourrait l'arrêter.
Elle avait été choisie, élue, et réclamée. Devant, une faible lueur verte a fait bondir son cœur dans sa poitrine.
Elle haletait maintenant, prisonnière de ses exigences et de ses pulsions.
"Je suis là, j'arrive..." La lumière s'intensifiait au fur et à mesure qu'elle s'approchait. Elle a presque couru dans son empressement à se donner à la créature. La culotte trempée d’humidité chaude. Elle eut soudain peur que ce soit une erreur, peur de trouver la caverne vide.
"S'il te plait, attends-moi, je suis là!" sanglota-t-elle, d'une voix désespérée et pitoyable en trébuchant sur le sol inégal.
Sayomi, hors d'haleine, s'arrêta net sur le seuil. Ses cheveux défaits pendaient devant son visage transpirant.
Ses genoux, ses mains étaient sales. Son chemisier était chiffonné. Elle se tordait les doigts en clignant des yeux.
Sa respiration pantelante soulevait ses gros seins, et il y avait des toiles d'araignées dans ses cheveux.
La salle s'ouvrait devant elle, une caverne naturelle creusée au plus profond de la colline.
L'eau ruisselait doucement dans des anfractuosités sombres et secrètes.
Un rayon de lumière verte éclairait l'espace depuis une mince ouverture naturelle dans le plafond de la grotte.
Au centre de la salle, un arbre a poussé, déformé et tordu, avec quelques feuilles pâles, un tronc couvert de mousse.
Au pied de l’arbre, un tapis épais de mousse verte s’étend, couche confortable pour l'étrange créature.
Sayomi vit tout à la fois, l'arbre tordu, la mousse épaisse, la poussière qui dansait dans le rayon lumineux verdâtre.
Elle a vu le Kraken qui l'attendait comme dans ses rêves.
La créature n'avait pas d'âge, aussi vieille que le monde, aussi jeune que Sayomi elle-même.
Elle était lovée tout à côté du grand arbre, et l'arbre semblait être une brindille à côté de ce monstre.
Les tentacules de la créature ressemblaient à une tanière de serpents sombres emmêlés les uns avec les autres.
Cela grouillait, se déplaçait, se dressait, s'entortillait ou glissait paresseusement sur d'autres.
Ils étaient trop nombreux pour être comptés, trop emmêlés, trop sinueux, toujours en mouvement.
De temps en temps, une pointe charnue se dressait dans les airs en s'orientant vers Sayomi, comme si elle flairait sa présence.
Comme si elle savourait sa jeunesse et humait l'humidité de sa chatte.
Sayomi vit ses grands yeux froids, sombres et humides, la fixer sans cligner des paupières, calmes mais attentifs.
Les volutes de ses membres brillaient doucement dans la lumière verdâtre, se reflétant sur les parois.
Sa grosse tête en forme de ballon brillait alors que ses grands yeux mélancoliques étaient dans l’ombre.
Elle devina sa patience intemporelle, sa puissance, son emprise, sa connaissance intime de son corps, celle révélée dans ses rêves.
Un gémissement rauque lui échappa. Un gémissement de désir inassouvi. Ses genoux faiblirent et elle faillit s'effondrer.
Elle se reprit, mais le tourment entre ses jambes s'était intensifié et ses fluides coulaient entre ses cuisses.
La chatte en fusion, la respiration haletante, une plainte discontinue s'échappait des lèvres de Sayomi.
Sayomi ne pouvait pas parler, elle ne connaissait aucun mot pour exprimer ses sentiments.
Son visage juvénile révélait son incapacité à se faire comprendre et son appréhension.
Elle leva la main comme pour saluer la créature puis la laissa retomber. C'était un geste d'impuissance inadéquat.
Ses grands yeux sombres, en forme d’amande, exerçaient une attraction muette sur Sayomi.
Une exaltation révélée par la poitrine qui se soulevait rapidement et l'aspect de ses mamelons tendus qui poussaient son chemisier. Sayomi se tenait, échevelée, les jambes écartées, ses jus suintant à l'intérieur de ses cuisses.
"S'il te plaît!?" murmura-t-elle finalement d'une voix plaintive. C'était tout ce qu'elle pouvait dire.
Un désir ardent et fiévreux embrasait son corps juvénile mais sensuel.
Sayomi s'approcha, tremblante, au bord du cercle de lumière verte où la créature l'attendait, accroupie sur ses bras emmêlés.
Un faible sanglot s'échappa de la gorge de Sayomi, comme une bulle qui éclate à la surface de l'eau. Elle essayait d'être désirable.
Mais tout son corps était agité de tremblements. La chaleur entre ses cuisses s'intensifiait, elle avait besoin d'une libération.
Elle posa sa main tremblante sur son pubis et commença à se masser.
Sayomi se souvenait de ses rêves, de la façon dont elle s'était vue nue et se tortillant dans les méandres de ses bras tentaculaires.
Comment ces tentacules s'enroulaient autour d'elle, la fouillant et la caressant, tous ses tentacules bougeant ensemble, la tripotant partout. Elle se souvenait de ces brasiers que ses rêves avaient allumés. Elle se frotta plus énergiquement et ses sourcils se creusèrent, son joli visage se tordit de douleur et ses lèvres tremblèrent. "S'il te plait, oh s'il te plait!" elle implorait le Kraken.
Sa plainte de Sayomi a résonné dans la caverne. Le contact de sa main ne suffisait pas, elle avait besoin de plus.
Son regard désespéré glissa sur les enroulements enchevêtrés des tentacules. Ils luisaient, humides, glissant comme des serpents.
Ils brillaient dans la lumière, épais et souples, et renvoyaient une impression de puissance et d'agilité.
Elle vit les pointes épaisses et charnues, de plus en plus d'entre elles se levaient et vacillaient, pour se tourner dans sa direction.
Maintenant qu'elle était là en présence de la créature, Sayomi avait désespérément besoin de sentir son contact, ses caresses, l'examen intime de son corps jeune et désirable. Cela devenait de plus en plus difficile à supporter. Elle sentait qu'elle pourrait défaillir.
Elle avait peur de la créature, elle était intimidée par sa taille, mais elle était incapable de résister à l'attrait qu'elle exerçait sur elle.
La créature était énorme devant elle, un être étrange, impossible à comprendre, elle l'avait bien vu en rêve.
Elle connaissait ses désirs ardents. Cet appétit de sexe. Sa convoitise insatiable. Son cœur battait la chamade.
Elle souhaitait se perdre dans ses bras tentaculaires, s'offrir totalement à la créature. Ressentir son emprise.
Exulter sous ses caresses. Se tortiller nue et brillante de ses fluides pendant que la créature l'utilisait comme un jouet.
Elle avait envie de perdre la tête dans une étreinte sensuelle et impudique.
Des larmes de frustration apparurent au coin des yeux. Sa vision s'est brouillée. Son chemisier collait à sa peau moite.
Sayomi regardait la créature avec ses grands yeux désespérés. Puis, lentement, à regret, sa main quitta son pubis.
Elle se regarda dans son uniforme d'écolière, elle regarda la créature et se souvint que dans ses rêves, elle avait toujours été nue.
Sayomi, les doigts tremblants, comprit enfin ce qu'elle devait faire. Elle avait été appelée par la créature, convoquée, éduquée la nuit grâce à des rêves explicites, traumatisants et érotiques. Elle était une offrande, sacrifice de vestale lors de la nuit de noces.
Elle déglutit péniblement, en essayant de contrôler sa respiration pour paraître moins effrayée.
Maintenant que le moment était venu, Sayomi se sentait sereine sous le regard imperturbable et attentif de la créature.
Sayomi était juste un peu intimidée, et aussi un peu honteuse. Un léger frisson d'appréhension devant les nombreux tentacules.
L'incertitude sur le sort qui l'attendait quand elle se livrerait aux passions bestiales insatiables de la créature primitive.
Mais le désir de savoir, le feu qui couvait en elle, c'était impossible à combattre. Tout son jeune corps brûlait de désir.
Sayomi ne pouvait pas lire le regard imperturbable et cruel de la créature. Ses doigts tremblants dégrafèrent les boutons de son chemisier. Tout son corps tremblait, sa bouche était sèche et son cœur battait la chamade, mais elle dégrafa lentement son chemisier.
Elle se sentait si menue et si vulnérable en se déshabillant devant ce monstre. Elle ôta son chemisier et le laissa tomber au sol, dévoilant le soutien-gorge en dentelle blanche bien rempli.
Un soupir lui échappa en détachant son soutien-gorge et en libérant ses beaux seins blancs.
Ses seins nus se balançaient lourdement, ses tétons fièrement érigés, tandis que Sayomi penchée en avant, ôtait sa jupe.
Elle ne pouvait se résoudre à lever la tête et à dévisager la créature, et elle quitta sa culotte toujours la tête basse.
Elle ôta ses chaussures et un gémissement lui échappa en sentant le contact froid du doux tapis de mousse sous ses pieds.
Finalement, elle enleva ses lunettes. Nue, elle les considéra un instant, puis les jeta sur la pile de ses vêtements en tas.
Devant elle, elle entendit la créature bouger, elle ressentit son intérêt grandissant.
Elle entendit le doux bruissement de ses tentacules tandis qu'ils se trémoussaient les uns sur les autres avec une agitation croissante. Les yeux baissés sur le tapis de mousse épaisse, elle sentit la créature bouger, s'éveiller, s'exciter devant elle.
Ses mamelons tremblaient autant de froid que d'excitation et, entre ses jambes, sa chatte en fusion sécrétait ses jus.
Son corps vibrait d'un mélange complexe d'appréhension et de désir.
Elle regardait le tapis de mousse verte à travers le rideau de ses cheveux noirs qui pendaient devant son visage.
Ses seins laiteux brillaient doucement dans la lumière, ses tétons étaient durs et gonflés. Sa peau claire était douce et souple.
Ses hanches étaient rondes, ses jambes longues et musclées. Elle se sentait novice et féminine.
Et très vulnérable devant le grand nombre de bras tentaculaires qui s'éveillaient.
Lentement, très lentement, Sayomi leva son regard. Un changement radical de physionomie s'opérait chez la créature.
Tout son corps lourd et trapu se redressait. Ses bras tentaculaires s'agitaient et se tordaient autour de son corps.
Pour la première fois, Sayomi aperçut sa bouche sans lèvres.
Sayomi se souvenait de la photo dans le livre, de la façon dont la créature semblait posséder la femme avec sa bouche tandis qu'elle l'enserrait dans ses tentacules et qu'elle la cajolait sur tout le corps.
Sayomi releva la tête, se redressa en bombant fièrement sa poitrine, et se tint entièrement nue devant la créature.
Face à face, la fille et la créature se dévisageaient, s'examinaient, se jaugeaient. Sayomi vit son reflet dans ses yeux pâles.
Les bras tentaculaires ondulaient tout autour d'elle. Sayomi vit leurs pointes charnues, comment elles scintillaient, mouillées par les jus qu'elles sécrétaient. Certains membres s'étiraient et exposaient leurs organes sexuels dissimulés à l'intérieur.
Les jambes de Sayomi étaient vacillantes mais l'impérieux désir au fond de son ventre força Sayomi à s'approcher encore.
Avec quelques pas prudents, elle pénétra dans le champ d'action des bras tentaculaires de la créature.
Ils se rassemblèrent tout autour d'elle pour l'envelopper, tandis que ses yeux l'examinaient avec attention.
Sayomi tremblait tandis qu'une multitude d'anguilles souples et luisantes s'agitait autour d'elle.
Ils se tordaient dans l'air comme des serpents qui vont attaquer. Leurs fluides suintaient à leurs extrémités.
Sayomi vit en gros plan les formes vulgaires de nombreux organes sexuels gonflés émergeant lentement de leurs gaines à l'intérieur des bras tentaculaires, tout en suintant leurs jus.
Un tentacule, semblable à un serpent noir, frôla le mollet de Sayomi et elle frémit.
Elle sentit un autre glisser furtivement entre ses genoux, forçant ses cuisses à s'écarter.
De surprise, autant que pour garder l'équilibre, elle écarta les bras.
Ils furent immédiatement saisis par les bras tentaculaires qui, tels des serpents, s'enroulèrent et capturèrent ses poignets.
Docile, elle s'est soumise. Elle les sentait caresser sa peau, ses épaules, son dos. Elle a commencé à gémir, bouche grande ouverte.
Elle essayait de regarder, de suivre leurs mouvements, mais ils étaient trop nombreux. Ils sont tous entrés en action à la fois.
Elle était maintenue au centre d'une masse grouillante de bras tentaculaires qui se tortillaient en tout sens.
La pointe charnue d'un tentacule glissa rapidement entre ses seins et laissa derrière lui une traînée de bave visqueuse et luisante.
Elle sentit le passage bavant d'un autre, glisser entre ses cuisses. Ses chevilles étaient encerclées, maintenant ses jambes écartées.
Elle s'est sentie soulevée du sol, sans effort, réclamée par le Kraken.
Les paupières de Sayomi papillonnèrent. Elle gémissait de plaisir autant que d'appréhension.
Elle s'était livrée à la créature qui hantait ses rêves et elle était maintenant en sa possession. Son jouet.
Un corps féminin jeune et ardent que le monstre utiliserait et souillerait pour calmer sa perpétuelle concupiscence.
Les nombreux bras tentaculaires de la créature ont commencé à examiner son corps, à explorer sa jeune chair, caressant sa peau, tourmentant ses zones érogènes. Ils glissaient en suçant ses chairs tendres, laissant derrière eux des traînées de bave luisante.
Ses seins gonflés, ses cuisses fuselées, ses fesses charnues, chaque centimètre de son corps captif était sollicité.
Sayomi se sentit sondée avidement entre ses cuisses largement écartées, explorant la raie de ses fesses.
Elle baissa les yeux pour regarder plusieurs tentacules se bousculer entre ses cuisses ouvertes.
Les bras tentaculaires se balançaient, humides et luisants, leurs extrémités charnues dressées pour exposer leurs organes sexuels.
Ils fouillaient en caressant l'intérieur de ses cuisses, les zones vulnérables, inondant la chatte de bave huileuse.
Ses hanches se secouaient en vain et elle se tordait sous les caresses des tentacules de la créature. Son corps scintillait de bave.
Ses poils pubiens étaient emmêlés et couverts de bave huileuse. Ses mamelons étaient dressés et lancinants.
Sayomi gémissante, agitait sa tête d'un côté à l'autre. Elle était impuissante, maintenue bras et jambes écartées, capturée par les bras tentaculaires de la créature, stimulée, intimement sondée et pénétrée. Aucune partie de son corps n'a réchappé.
Son visage exprimait la honte mais au plus profond d'elle-même, elle était en rut, au paroxysme de la convoitise.
Partout, le glissement onctueux des tentacules humides la pénétraient intimement, explorant ses zones secrètes.
Ses cuisses étaient maintenues écartées, ouvertes, ses seins étaient sucés, pressés et caressés.
Son corps était couvert de traces de bave huileuse laissées par les bras tentaculaires qui glissaient sur elle.
Sayomi implorait, une litanie de mots incompréhensibles, incapable de se contrôler, saisie d'une fièvre charnelle.
Gémissante et geignante, elle se tortillait, les sens vibrants sous les attouchements du monstre tentaculaire.
De sa chatte inondée suintait ses jus qui se mélangeaient à la bave déposée par les tentacules. Elle tentait de saisir les bras tentaculaires qui flottaient à proximité, mais ils glissaient entre ses doigts, huileux et lisses.
Elle parvint à se saisir d'un bras et caressa avec gourmandise et impatience l'organe sexuel qui se dressait, puissant et vif.
Sayomi suppliait le monstre continuellement maintenant. Les nerfs exacerbés, sa peau, ses sens brûlaient de désir.
Elle s'exposait, elle s'offrait, elle mendiait, consumée de désir. Son corps se tordait, se contorsionnait, rien d'autre ne comptait.
Sa soif de sexe devenait douloureuse, elle planait, elle était en extase, plongée dans une tourmente sexuelle intense.
Un cri, un seul, à bout de souffle, submergée de désir, désespérée: "S'il te plaît, oh, s'il te plaît..."Elle avait atteint son pic d'excitation sexuelle. Elle était prête. Tout son corps le réclamait.
Impatiente, elle poussait avidement ses hanches contre les nombreux organes sexuels bandés qui se blottissaient entre ses cuisses largement écartées. Ses doigts enserraient désespérément les tentacules qui glissaient de son emprise en la taquinant. Elle leva la tête en grognant, essayant désespérément de capturer un organe gonflé et dégoulinant pour l'insérer avidement dans sa bouche.
Sayomi gémit de frustration de ne pouvoir obtenir ce qu'elle voulait, puis sentit que la créature la déplaçait.
Les bras tentaculaires bougèrent en se contorsionnant sur elle pour prendre une nouvelle prise plus ferme.
Elle fut abaissée, retournée, manipulée et tripotée. Elle a été passée en douceur et sans effort à travers une forêt de tentacules en mouvement, passant de tentacule en tentacule jusqu'à ce qu'elle se retrouve face aux grands yeux impassibles de la créature.
Ses genoux furent repliés, ses cuisses largement écartées, ses bras tirés sur les côtés, son corps soigneusement positionné.
En soulevant sa tête, Sayomi regarda vers le bas de son corps et, entre ses cuisses largement écartées, elle vit la tête de la créature apparaître entre ses jambes.
Les tentacules entre ses cuisses ont été retirés. Sayomi écarquillait ses grands yeux. Elle était bouche bée.
Les grands yeux impassibles de la créature la fixaient, l'hypnotisaient, la transperçaient, luisant d'un feu intérieur.
Suspendue et maintenue dans les bras tentaculaires, Sayomi fut présentée lentement devant la bouche qui l'attendait.
La clarté vert pâle se reflétait sur le crâne de la créature, mais sa bouche était un contour flou dans l'ombre.
Sayomi pouvait seulement apercevoir la longue langue flexible, tandis qu'elle était guidée inexorablement vers elle.
L'excitation de Sayomi augmenta au fur et à mesure que son entrejambe approchait de la bouche de la créature.
Elle entra dans l'ombre de la tête immense. Les yeux de la créature étaient gigantesques, des globes noirs et étincelants.
Sayomi ne pouvait que regarder entre ses cuisses écartées. Elle en mourait d'envie. Elle ne pouvait pas détourner son regard.
Son cœur battait la chamade et son ventre brûlait de désir et d'impatience.
Entre ses cuisses, Sayomi vit la langue de la créature, épaisse pointe sombre, qui cherchait avidement sa chatte.
Elle sentit la gueule de la bête aspirer sa chatte et ses yeux soudain anxieux s'ouvrirent encore plus largement.
Un froncement de sourcil révélait son appréhension, sa bouche s'ouvrit, Sayomi manquait d'air.
Elle secouait violemment la tête d'un côté à l'autre. Ses cheveux poissaient de transpiration.
Puis elle sentit la bouche de la créature complètement scellée sur sa chatte. Nichée là, bouche à bouche. Positionnée.
Ses jambes largement écartées accueillaient l'énorme tête de la créature désormais enfouie entre ses cuisses.
Dès le premier contact intimement choquant de la langue épaisse et flexible, Sayomi se cambra.
Elle frissonnait de manière incontrôlable. Elle luttait avec les tentacules qui maintenaient ses bras.
Ses hanches se secouaient sauvagement et elle retomba dans les bras de la créature tandis que des vagues d'extase la ravageaient.
Sayomi était maintenue en place, la chatte sur la bouche de la créature, vulnérable aux explorations intimes de sa langue, largement ouverte, ruisselante, impudique et avide de sensations.
Son dos se cambra et ses seins ronds durcirent quand elle sentit la langue de la créature, épaisse, sensuelle et glissante, s'insinuer entre ses fesses. Elle la sentit sonder son trou de cul, le goûter, puis son centre d'intérêt se déplaça.
La bête lécha sa chatte sensible avec gourmandise, et Sayomi se tortilla sauvagement sous la caresse buccale.
Ses hanches se secouaient furieusement, mais Sayomi ne pouvait pas rompre le contact de la langue épaisse et agile qui sondait intimement son ventre.
Elle était immobilisée fermement en position, impuissante, le Kraken maintenait sa prise sans effort apparent.
Elle sentait la langue s'enfoncer profondément dans sa chatte en goûtant ses jus.
Ses hanches se poussèrent de manière incontrôlable pour présenter son ouverture à la convoitise de la créature.
Sayomi rejeta la tête en arrière. Son corps captif, tendu entre les bras de la créature, étincelait de sueur dans la lumière verdâtre.
Sayomi sentait la langue glissante et frétillante violer sa chatte, l'étirer. La langue faisait de curieux va et vient à l'intérieur d'elle.
Sayomi cria et son corps trembla lorsqu'un jet jaillit brusquement de sa chatte.
Un long gémissement de pur plaisir, puis un cri de douleur fut arraché à son être tandis que la langue de la bête s'enfonçait au plus profond de sa chatte ravagée.
Chaque terminaison nerveuse était sollicitée pendant que la langue de la créature accélérait son rythme puissant et profond.
Sayomi se tortillait en sentant la langue épaisse et agile de la créature la fouiller en la remplissant toute.
Une passion primitive et profonde, un besoin insatiable et douloureux. La langue de la créature s'enfonçait, s'appropriant la jeune chatte affamée, plongeant au plus profond, ressortant, de plus en plus vite, de plus en plus fort.
Sayomi utilisait ses hanches avec empressement pour amplifier les pénétrations de la langue du Kraken.
Elle associait la convoitise de la créature à sa propre rapacité désespérée de béatitude.
La langue de la bête faisait des bruits visqueux et humides entre les cuisses écartées de Sayomi.
Chaque fois que la langue de la créature se retirait, Sayomi ressentait un sentiment fugace d'abandon et de vide.
Elle se frottait désespérément la chatte contre la bouche baveuse du Kraken.
La salive de la bête se mêlait à ses jus et trempait ses jeunes fesses.
Sayomi suppliait. Plus vite, plus fort, plus profond. Encore! Encore! Il en fallait plus pour étancher sa jeune soif de plaisir.
D'autres tentacules caressèrent son jeune corps pâle et nu. Sayomi était maintenant trempée par la bave sécrétée par les tentacules. Elle n'était consciente de rien d'autre que de son besoin insatiable d'euphorie.
Sayomi sentit un tentacule sonder son cul et gémit de plaisir quand la tige épaisse et enflée de l'organe sexuel pénétra sans à-coups entre ses fesses.
Elle soupira, se raidit puis frissonna lorsque le tentacule explora sa cavité anale.
Elle le sentait glisser à l'intérieur, l'organe sexuel visqueux glissait dans ses entrailles.
La bave secrétée par le tentacule lubrifiait son anus, se mélangeait à ses propres jus tandis que le bras épais commençait à pomper rythmiquement dans et hors de son cul, s'accordant au rythme de sa langue dans sa chatte.
La bouche de Sayomi s'ouvrit en grand, elle haletait et geignait en sentant la langue et le bras de la créature se mettre à l'unisson à l'intérieur d'elle. Son corps était secoué par les puissants coups. Ses seins se balançaient fortement à chaque poussée.
Profitant de la jeune bouche grande ouverte, un autre tentacule apparut et bâillonna Sayomi en plongeant dans l'orifice offert.
Un doux gémissement d'extase féminin, ses lèvres étaient étirées au maximum par le gros organe du tentacule.
Ses yeux s'écarquillèrent puis ses paupières battirent.
Sayomi était entièrement possédée par le Kraken. Soumise à ses caprices, à ses envies, à ses besoins.
Sayomi était fermement maintenue, dominée, asservie, son corps nu et vulnérable perdu dans une forêt de bras tentaculaires ondulants, la violant en la caressant.
Il n'y avait aucune issue, aucun répit dans cette fornication perverse de la créature. Le corps juvénile se tordait en tout sens.
Ses hanches s'agitaient à chaque poussée de la bête. La langue du Kraken distendait sa chatte.
Un tentacule s'enfouissait dans son cul. Un autre dans sa gorge s'enfonçait profondément.
Quand elle a roulé sa tête d'un côté à l'autre, le bras tentaculaire n'a éprouvé aucune difficulté à suivre le mouvement.
Le rêve avait révélé une faim insatiable au plus profond d'elle, et chaque fois qu'elle atteignait l'extase, elle pulvérisait un jet de jus de sa chatte ravagée, et sa fringale augmentait.
Sayomi creusa ses reins pendant que l'organe enfoui au fond de son cul éjaculait un foutre épais et visqueux. D'autres tentacules qui n'avaient pas trouvé de place dans ses orifices s'enroulaient sur ses seins, les manipulaient, les caressaient, les suçaient.
L'organe qui s'était vidé dans son cul débandait en se retirant, et un autre, immédiatement, l'a remplacé.
Il s'est glissé comme un serpent charnu dans son trou du cul lubrifié par son prédécesseur.
Le brasier à l'intérieur du ventre de Sayomi était dévorant. Son appétit douloureux ne connaissait aucune limite.
Sayomi savourait chaque attouchement, chaque palpation, chaque violation.
Son jeune corps tremblait de désir pendant que l'organe, dans son cul, l'empalait avec une puissante détermination.
Ses yeux s'écarquillèrent lorsque l'organe, dans sa bouche, s'épaissit et se contracta.
Soudain, sa bouche s'emplit d'un éjaculas crémeux et saumâtre.
Sayomi s'étouffait, essayant d'avaler cette trop grande gorgée, mais déjà l'organe se retirait.
Avant que le suivant prenne sa place, Sayomi put cracher le trop-plein.
Immédiatement, un autre tentacule l'a remplacé et il a continué à violer sa bouche juvénile et enthousiaste.
Sayomi baissa les yeux à travers la forêt de tentacules enchevêtrés qui tricotaient son corps.
Elle regarda brièvement le Kraken dans les yeux. La bête l'observait, épiant les réactions de ce jeune corps novice.
Elle se sentit déplacée, manipulée de nouveau et, un instant plus tard, la créature a retiré sa langue de sa chatte.
Immédiatement, un bras tentaculaire équipé d'un énorme organe bandé a remplacé la langue.
Sans le voir, Sayomi comprit instantanément que cet organe était d'une dimension bien supérieure aux autres.
Sa chatte, pourtant abondamment lubrifiée, souffrait pour accueillir le nouveau venu.
Le bras tentaculaire fléchit contre l'entrée, avant que l'organe ne puisse pénétrer lentement la vulve de la fille.
Cambrant ses hanches, creusant ses reins, Sayomi s'ouvrait, s'écartait pour recevoir, centimètre par centimètre, le monstrueux organe, qui emplissait totalement et profondément la petite chatte ravagée.
Après un moment de calme destiné à laisser la petite chatte s'habituer à sa présence, l'organe surdimensionné et obscène commença ses va-et-vient, lentement, profondément, puis de plus en plus vite.
Le tentacule enfoui dans son cul s'est dégorgé puis s'est retiré, pour être immédiatement remplacé par un autre.
Sayomi sentait sa chatte, son cul, sa bouche, évacuer la semence du Kraken, visqueuse et épaisse, en s'écoulant de ses orifices.
Elle a de nouveau été empalée dans ses trois orifices par trois organes sexuels épais, visqueux et énergiques.
Sayomi se tordait, aux prises avec une délire d'extrême excitation sexuelle, son jeune corps exultait dans ce coït interminable.
De nouveau, Sayomi a été soulevée et retournée, impuissante dans les bras de la créature. Son corps meurtri était manipulé et baisé.
Sa vision était obstruée par la forêt de tentacules qui la forniquaient.
Lorsqu’un organe éjaculait puissamment en elle, il se retirait et un autre prenait immédiatement sa place.
Tout son corps luisait de bave et de foutre mélangé dans la faible lueur verdâtre. La chatte ravagée, le trou du cul endolori, la mâchoire distendue, Sayomi était violée encore et encore par l'ignoble Kraken, et elle adorait cela.
Dolente, Sayomi était comme une poupée de chiffon dans les bras tentaculaires de la créature, maintenue fermement, tandis que la bête usait et abusait de sa chatte, de son cul, et de sa bouche.
Sayomi tremblante, ruisselante, geignante et gémissante fut pénétrée encore et encore, sans pouvoir réagir.
Des organes dilatés se faufilaient, la pilonnaient, la matraquaient pour décharger leurs spermes gluants et épais.
Sayomi était perdue dans un monde de plaisir informe, au centre d'une mer de tentacules plongeants et éjaculant.
Sa raison s'amenuisait, ses souvenirs s'estompaient, seule subsistait cette image d'une femme violée par une créature de l'enfer.
Dans l'obscurité verdâtre au fond de la caverne, quelque chose se tord, quelque chose se cambre, quelque chose baise ...
Très tôt le matin, Sayomi s'arrêta sur la berge du petit lac isolé et leva les yeux vers l'entrée sombre de la grotte.
Une fine brume blanchâtre flottait encore juste au-dessus de l'eau.
Écartant ses mèches brunes de son joli minois, Sayomi cligna des yeux dans la lumière matinale et examina les lieux.
On avait peine à croire que Sayomi avait dix-huit ans.
Sayomi paraissait très jeune dans son uniforme d'écolière, vêtue d'un chemisier blanc et d'une minijupe en tartan rouge.
La blancheur de son chemisier contrastait avec les verts sombres de la forêt.
Sayomi était une citadine, elle ne savait rien de la forêt. Elle avait l'air si jeune, si délicate et si voluptueusement féminine.
Elle avait garé son scooter jaune sous les arbres, au bout du chemin empierré, en laissant les clés sur le contact et ses manuels scolaires dans un panier sur le porte-bagage.
Sayomi avait bravement franchi les obstacles constitués de toiles d'araignées argentées, chargées de rosée, qui barraient le chemin.
Le feuillage dense avait griffé ses jambes nues, comme s'il voulait la retenir et l'avertir du danger.
Quand elle a aperçu pour la première fois les eaux calmes du lac, elle a reconnue la contrée visitée dans ses rêves.
Elle avait alors compris qu'elle touchait au but. Sayomi était arrivée au bon endroit.
Un poisson a troublé la surface calme du lac, faisant sursauter Sayomi.
Elle a suivit du regard le vol des grands oiseaux blancs qui disparaissaient lentement au-dessus de la canopée des arbres.
Sayomi eut un petit rire nerveux lorsqu'un petit oiseau multicolore se posa brièvement sur un rocher.
Tout, et chaque détail, correspondait exactement à son rêve.
Son cœur commençait à battre la chamade et ses joues rougirent d'émoi et de surexcitation.
Elle avait apporté son livre avec elle, ce livre qui avait tout déclenché.
Elle l'avait ouvert à la page qu'elle avait maintes et maintes fois consultée en cachette.
C'était une image de femme, une reproduction d'une icône sur bois ancienne.
La femme s'abandonnait entre les bras d'une créature tentaculaire, le Kraken.
Il était évident que la femme jouissait dans l'étreinte, qu'elle avait capitulé sous l'assaut de la créature et qu'elle se livrait corps et âme.
En regardant la photo, Sayomi ressentit ce sentiment familier de perdition et de désir grouiller au fond de son ventre.
La photo avait fasciné et ensorcelé les rêves de Sayomi depuis qu’elle l'avait découverte pour la première fois.
Elle ne pouvait se lasser de la regarder encore et encore. Elle n'avait confié ce secret à personne, pas même à sa meilleure amie.
Comment pourrait-elle expliquer ce qu'elle a ressenti en voyant cette photo alors qu'elle ne le comprenait pas elle-même?
C'est quand elle a découvert cette photo dans l'ancien livre que les rêves ont commencé à hanter ses nuits.
Le petit oiseau multicolore sur le rocher gris a pépié encore une fois puis s'est envolé.
Avec de rapides battement d'ailes, il s'envola au dessus du lac.
Sayomi le suivit du regard, puis elle fut attirée par les guirlandes de brouillard qui s'étiraient jusqu'à l'entrée de la grotte.
L'ouverture dans la roche grise et lisse lui faisait penser à la gueule d'un prédateur, tapi, guettant sa proie.
Le museau de la grotte était entouré de végétation, d'arbustes, et Sayomi sentait les battements de son cœur s'accélérer encore.
Elle ressentait une sensation d'allégresse et de fougue dans sa poitrine.
Plus bas, le remue-ménage familier, un trouble, plus intense que des papillons, agaçait son bas-ventre.
Elle l'avait souvent ressenti quand elle s'était éveillée de ses cauchemars tourmentés.
Elle escalada le sentier escarpé qui menait à la grotte hantée par le monstre.
Elle connaissait ce chemin pour l'avoir emprunté tant de fois en rêve.
C'était une piste rugueuse de végétation brisée, creusée par la créature, elle l'avait vu dans ses rêves.
Elle l'avait regardée descendre lentement vers le lac, dans le clair de lune argenté qui brillait sur ses tentacules.
Elle avait vu ses yeux au clair de lune. Elle avait vu la créature s'immerger dans l'eau calme et sombre, l'attendant.
Ce n'est que récemment qu'elle s'était rendue compte que la créature l'attendait depuis toujours.
Sayomi gravit péniblement le chemin jusqu'à l'entrée de la grotte. Ses pieds glissaient sur la pente escarpée et friable.
Elle gravit les derniers mètres sur les mains et sur les genoux, se salissant avec la terre et la végétation.
Dans son impatience, elle abandonna le précieux livre. À genoux, elle leva les yeux vers la gueule de la caverne.
Nerveuse et excitée à la fois, elle la trouvait encore plus effrayante de près. Sa jupette révélait sa culotte blanche.
Elle haletait à cause de l'escalade, ses gros seins se balançaient sous elle, serrés dans son chemiser d'écolière.
Ses longs cheveux pendaient devant son visage, masquant ses joues rougies pas l'effort.
Haletante, Sayomi était convaincue que ce qu'elle faisait maintenant était écrit depuis la nuit des temps.
Depuis qu'elle avait trouvé la photo dans le livre, ses rêves, tout ce chemin parcouru, c'était sa destinée.
Sayomi était convaincue qu'elle était faite pour ça, pour réaliser ce rêve fou d'appartenir à la créature...
Elle se dressa devant le gouffre obscur de l'entrée. Machinalement, elle remit de l'ordre dans sa tenue, lissant sa jupette sur ses hanches, réajustant son chemisier sur les rondeurs de sa poitrine. Baissant les yeux, elle vit que les deux premiers boutons de son chemisier s'étaient décrochés et que son profond décolleté exposait ses seins jeunes et fermes.
Jeune fille de bonne famille, pudique et honteuse, Sayomi leva les mains pour attacher les boutons de son chemisier.
Puis elle interrompit son geste pour réfléchir aux rêves, à la photo du livre, à l'étreinte intime de la créature et de la femme.
Elle respirait plus fort et le frémissement dans le creux de son ventre reprit de plus belle.
Elle humecta ses lèvres charnues avec la pointe de sa langue et un frisson secoua tout son être.
Elle savait ce qui l'attendait quand elle rejoindrait la créature, son destin lui avait été révélé dans ses rêves.
Résolument, audacieusement, avec un mélange d'excitation et d'appréhension nerveuse, elle laissa son chemisier dégrafé.
Elle s'imaginait déjà prise dans les membres de la créature, se soumettant à ses avances. Dans son rêve, elle était nue.
"Hello!? C'est moi, Sayomi. Je suis venue" Sa voix se propagea dans la gueule sombre de la grotte.
Sayomi a écouté mais personne ne lui a répondu. Elle ressentit une brusque angoisse qui doucha son espoir.
L'excitation devint de la trépidation. Elle était nerveuse. Son jeune corps tremblait.
Ses mamelons bandaient et s'agaçaient en se frottant contre les bonnets de son soutien-gorge.
"Tu étais dans mon rêve" criait Sayomi, enthousiaste. Ses doigts trituraient nerveusement les plis de sa jupe.
Un sourire timide adoucissait son visage, mélange d'espérance et d'anxiété.
Elle se sentait comme une jeune épouse lors de sa nuit de noces, une vestale offerte, attendant le sacrifice de sa chair.
Quelque part dans la caverne, la créature l'attendait, tapie au centre de ses tentacules tortueuses, espérant la dévirginiser.
Dans ses rêves, Sayomi rencontrait la créature dans une caverne éclairée par une faible lumière qui provenait d'une ouverture naturelle dans le plafond de la grotte. Elle l'attendait sur un confortable lit de mousse fraîche.
Au centre, il y avait un arbre tordu solitaire. Les rayons lumineux jouaient sur les longs tentacules de la créature.
Ses appendices frétillaient sensuellement les uns contre les autres, dans un mouvement érotique hypnotique.
Dans ses rêves, elle était nue dans le giron de ces bras puissants, soumise par la créature, pénétrée et utilisée, son jeune corps luisant des fluides sécrétés par la créature. Ses cuisses étaient maintenues écartées, ses reins forcés et cambrés, ses orifices utilisés.
Les ténèbres entourèrent Sayomi tandis qu'elle s'avançait lentement dans la grotte. L'ombre s'épaississait, la lumière du jour s'estompa. Elle marchait en aveugle, butant sur les obstacles, les mains tendues.
L'épais silence était rompu par le bruit rauque de sa propre respiration et les battements de son cœur.
Sayomi ressentait un sentiment de solitude, désespérément seule, sans aide dans un monde inconnu, mais elle n'avait pas peur.
Elle était appelée par la créature, convoquée par elle.
Le Kraken l'attendait avec une patience intemporelle, un appétit insatiable pour ce corps jeune et désirable.
La puissance de ses rêves était telle qu'il lui était impossible de résister au désir de s'abandonner.
Plus elle s'enfonçait profondément dans la caverne en se rapprochant de l'antre de la bête, plus Sayomi prenait conscience de son trouble sexuel croissant. Ses mamelons turgides frottaient contre la dentelle.
Elle ressentait la démangeaison poignante de son bas-ventre, une sensation qui propageait la moiteur au creux de son sexe.
Elle haletait bruyamment en avançant, ses lèvres charnues entrouvertes.
Chaque terminaison nerveuse tremblait d'anticipation, tout son jeune corps résonnait du désir d'être pénétrée.
Elle ressentait une sensation de vide douloureux dans sa chatte humide, un besoin impérieux d'être comblée.
"S'il te plaît, où te caches-tu?" murmura-t-elle dans l'obscurité, comme un plaidoyer, un appel désespéré à la créature.
Haletante, taraudée par le désir, elle quémandait la satisfaction de ses besoins.
Depuis qu'elle a découvert le livre ancien avec la photo de la femme soumise aux exigences du Kraken, Sayomi avait été hantée toutes les nuits par les mêmes rêves explicites. Ils avaient éveillé en elle des désirs inconnus.
Au matin, elle s'éveillait le cœur battant la chamade, ses vêtements de nuit en désordre, la chatte humide et fourmillante.
Au début, elle avait eu peur de la nature obscène et lubrique de ses rêves. Elle avait été choquée, confuse.
Elle ne comprenait pas, trop innocente de son propre corps, elle ne savait pas satisfaire les désirs impérieux de ses rêves.
Chaque nuit le même cauchemar salace recommençait.
Elle était immobilisée dans les bras d'une créature tentaculaire, elle se voyait utilisée et souillée comme un jouet sexuel.
Chaque matin, elle se réveillait trempée de sueur, les mains serrées entre ses jambes.
Elle avait honte mais elle était impuissante à résister à ces rêves qui se répétaient nuit après nuit.
Avec le temps, son sentiment sur ses rêves avaient évolué. Autrefois, elle les redoutait, elle en avait honte.
Maintenant, son avis sur les rêves de la nuit, c'était qu'elle était impatiente de les voir se réaliser.
Même pendant la journée, en classe, elle pensait à eux. Ils vivaient en elle, constamment présents.
Ce livre, cette photo et les rêves qui en découlaient, étaient son secret, elle ne l'avait dit à personne.
Ses journées étaient une longue agonie d'impatience, tandis qu'une humidité poisseuse imbibait sa culotte blanche.
Elle vivait la nuit, dans les bras de la créature, conquise et soumise. C'était devenu son obsession.
"Es-tu ici? S'il te plaît, où te caches-tu?" Psalmodiait Sayomi. Il n'y avait rien à voir, rien à entendre.Ténèbres impénétrables.
La luminosité de l'entrée de la grotte avait presque disparue.
Elle se sentait seule mais attirée inexorablement, irrésistiblement, vers le repaire de la créature dans la profondeur de la colline.
Ses mamelons sensibles et ses seins qui se balançaient, brossaient sensuellement contre l'étoffe du soutien-gorge.
Elle était parfaitement consciente d'une constante pulsation d'urgence entre ses jambes. Un besoin impérieux.
Elle savait que son corps était prêt pour l'accouplement, sa vitalité juvénile coulait dans ses veines. Sa chair était faible.
Elle était vierge. Pure. Elle désirait s'offrir à la créature, se soumettre. Se tordre nue dans ses tentacules comme dans ses rêves.
Sentir les bras tentaculaires caresser doucement sa peau nue. Connaître l'extase. Être femme.
Elle marchait sans peur, tout ce qu'elle ressentait maintenant était le besoin ardent de s'abandonner à la créature.
Elle n'éprouvait aucune honte. Elle pouvait ramper jusqu'à elle nue sur ses mains et ses genoux, rien ne pourrait l'arrêter.
Elle avait été choisie, élue, et réclamée. Devant, une faible lueur verte a fait bondir son cœur dans sa poitrine.
Elle haletait maintenant, prisonnière de ses exigences et de ses pulsions.
"Je suis là, j'arrive..." La lumière s'intensifiait au fur et à mesure qu'elle s'approchait. Elle a presque couru dans son empressement à se donner à la créature. La culotte trempée d’humidité chaude. Elle eut soudain peur que ce soit une erreur, peur de trouver la caverne vide.
"S'il te plait, attends-moi, je suis là!" sanglota-t-elle, d'une voix désespérée et pitoyable en trébuchant sur le sol inégal.
Sayomi, hors d'haleine, s'arrêta net sur le seuil. Ses cheveux défaits pendaient devant son visage transpirant.
Ses genoux, ses mains étaient sales. Son chemisier était chiffonné. Elle se tordait les doigts en clignant des yeux.
Sa respiration pantelante soulevait ses gros seins, et il y avait des toiles d'araignées dans ses cheveux.
La salle s'ouvrait devant elle, une caverne naturelle creusée au plus profond de la colline.
L'eau ruisselait doucement dans des anfractuosités sombres et secrètes.
Un rayon de lumière verte éclairait l'espace depuis une mince ouverture naturelle dans le plafond de la grotte.
Au centre de la salle, un arbre a poussé, déformé et tordu, avec quelques feuilles pâles, un tronc couvert de mousse.
Au pied de l’arbre, un tapis épais de mousse verte s’étend, couche confortable pour l'étrange créature.
Sayomi vit tout à la fois, l'arbre tordu, la mousse épaisse, la poussière qui dansait dans le rayon lumineux verdâtre.
Elle a vu le Kraken qui l'attendait comme dans ses rêves.
La créature n'avait pas d'âge, aussi vieille que le monde, aussi jeune que Sayomi elle-même.
Elle était lovée tout à côté du grand arbre, et l'arbre semblait être une brindille à côté de ce monstre.
Les tentacules de la créature ressemblaient à une tanière de serpents sombres emmêlés les uns avec les autres.
Cela grouillait, se déplaçait, se dressait, s'entortillait ou glissait paresseusement sur d'autres.
Ils étaient trop nombreux pour être comptés, trop emmêlés, trop sinueux, toujours en mouvement.
De temps en temps, une pointe charnue se dressait dans les airs en s'orientant vers Sayomi, comme si elle flairait sa présence.
Comme si elle savourait sa jeunesse et humait l'humidité de sa chatte.
Sayomi vit ses grands yeux froids, sombres et humides, la fixer sans cligner des paupières, calmes mais attentifs.
Les volutes de ses membres brillaient doucement dans la lumière verdâtre, se reflétant sur les parois.
Sa grosse tête en forme de ballon brillait alors que ses grands yeux mélancoliques étaient dans l’ombre.
Elle devina sa patience intemporelle, sa puissance, son emprise, sa connaissance intime de son corps, celle révélée dans ses rêves.
Un gémissement rauque lui échappa. Un gémissement de désir inassouvi. Ses genoux faiblirent et elle faillit s'effondrer.
Elle se reprit, mais le tourment entre ses jambes s'était intensifié et ses fluides coulaient entre ses cuisses.
La chatte en fusion, la respiration haletante, une plainte discontinue s'échappait des lèvres de Sayomi.
Sayomi ne pouvait pas parler, elle ne connaissait aucun mot pour exprimer ses sentiments.
Son visage juvénile révélait son incapacité à se faire comprendre et son appréhension.
Elle leva la main comme pour saluer la créature puis la laissa retomber. C'était un geste d'impuissance inadéquat.
Ses grands yeux sombres, en forme d’amande, exerçaient une attraction muette sur Sayomi.
Une exaltation révélée par la poitrine qui se soulevait rapidement et l'aspect de ses mamelons tendus qui poussaient son chemisier. Sayomi se tenait, échevelée, les jambes écartées, ses jus suintant à l'intérieur de ses cuisses.
"S'il te plaît!?" murmura-t-elle finalement d'une voix plaintive. C'était tout ce qu'elle pouvait dire.
Un désir ardent et fiévreux embrasait son corps juvénile mais sensuel.
Sayomi s'approcha, tremblante, au bord du cercle de lumière verte où la créature l'attendait, accroupie sur ses bras emmêlés.
Un faible sanglot s'échappa de la gorge de Sayomi, comme une bulle qui éclate à la surface de l'eau. Elle essayait d'être désirable.
Mais tout son corps était agité de tremblements. La chaleur entre ses cuisses s'intensifiait, elle avait besoin d'une libération.
Elle posa sa main tremblante sur son pubis et commença à se masser.
Sayomi se souvenait de ses rêves, de la façon dont elle s'était vue nue et se tortillant dans les méandres de ses bras tentaculaires.
Comment ces tentacules s'enroulaient autour d'elle, la fouillant et la caressant, tous ses tentacules bougeant ensemble, la tripotant partout. Elle se souvenait de ces brasiers que ses rêves avaient allumés. Elle se frotta plus énergiquement et ses sourcils se creusèrent, son joli visage se tordit de douleur et ses lèvres tremblèrent. "S'il te plait, oh s'il te plait!" elle implorait le Kraken.
Sa plainte de Sayomi a résonné dans la caverne. Le contact de sa main ne suffisait pas, elle avait besoin de plus.
Son regard désespéré glissa sur les enroulements enchevêtrés des tentacules. Ils luisaient, humides, glissant comme des serpents.
Ils brillaient dans la lumière, épais et souples, et renvoyaient une impression de puissance et d'agilité.
Elle vit les pointes épaisses et charnues, de plus en plus d'entre elles se levaient et vacillaient, pour se tourner dans sa direction.
Maintenant qu'elle était là en présence de la créature, Sayomi avait désespérément besoin de sentir son contact, ses caresses, l'examen intime de son corps jeune et désirable. Cela devenait de plus en plus difficile à supporter. Elle sentait qu'elle pourrait défaillir.
Elle avait peur de la créature, elle était intimidée par sa taille, mais elle était incapable de résister à l'attrait qu'elle exerçait sur elle.
La créature était énorme devant elle, un être étrange, impossible à comprendre, elle l'avait bien vu en rêve.
Elle connaissait ses désirs ardents. Cet appétit de sexe. Sa convoitise insatiable. Son cœur battait la chamade.
Elle souhaitait se perdre dans ses bras tentaculaires, s'offrir totalement à la créature. Ressentir son emprise.
Exulter sous ses caresses. Se tortiller nue et brillante de ses fluides pendant que la créature l'utilisait comme un jouet.
Elle avait envie de perdre la tête dans une étreinte sensuelle et impudique.
Des larmes de frustration apparurent au coin des yeux. Sa vision s'est brouillée. Son chemisier collait à sa peau moite.
Sayomi regardait la créature avec ses grands yeux désespérés. Puis, lentement, à regret, sa main quitta son pubis.
Elle se regarda dans son uniforme d'écolière, elle regarda la créature et se souvint que dans ses rêves, elle avait toujours été nue.
Sayomi, les doigts tremblants, comprit enfin ce qu'elle devait faire. Elle avait été appelée par la créature, convoquée, éduquée la nuit grâce à des rêves explicites, traumatisants et érotiques. Elle était une offrande, sacrifice de vestale lors de la nuit de noces.
Elle déglutit péniblement, en essayant de contrôler sa respiration pour paraître moins effrayée.
Maintenant que le moment était venu, Sayomi se sentait sereine sous le regard imperturbable et attentif de la créature.
Sayomi était juste un peu intimidée, et aussi un peu honteuse. Un léger frisson d'appréhension devant les nombreux tentacules.
L'incertitude sur le sort qui l'attendait quand elle se livrerait aux passions bestiales insatiables de la créature primitive.
Mais le désir de savoir, le feu qui couvait en elle, c'était impossible à combattre. Tout son jeune corps brûlait de désir.
Sayomi ne pouvait pas lire le regard imperturbable et cruel de la créature. Ses doigts tremblants dégrafèrent les boutons de son chemisier. Tout son corps tremblait, sa bouche était sèche et son cœur battait la chamade, mais elle dégrafa lentement son chemisier.
Elle se sentait si menue et si vulnérable en se déshabillant devant ce monstre. Elle ôta son chemisier et le laissa tomber au sol, dévoilant le soutien-gorge en dentelle blanche bien rempli.
Un soupir lui échappa en détachant son soutien-gorge et en libérant ses beaux seins blancs.
Ses seins nus se balançaient lourdement, ses tétons fièrement érigés, tandis que Sayomi penchée en avant, ôtait sa jupe.
Elle ne pouvait se résoudre à lever la tête et à dévisager la créature, et elle quitta sa culotte toujours la tête basse.
Elle ôta ses chaussures et un gémissement lui échappa en sentant le contact froid du doux tapis de mousse sous ses pieds.
Finalement, elle enleva ses lunettes. Nue, elle les considéra un instant, puis les jeta sur la pile de ses vêtements en tas.
Devant elle, elle entendit la créature bouger, elle ressentit son intérêt grandissant.
Elle entendit le doux bruissement de ses tentacules tandis qu'ils se trémoussaient les uns sur les autres avec une agitation croissante. Les yeux baissés sur le tapis de mousse épaisse, elle sentit la créature bouger, s'éveiller, s'exciter devant elle.
Ses mamelons tremblaient autant de froid que d'excitation et, entre ses jambes, sa chatte en fusion sécrétait ses jus.
Son corps vibrait d'un mélange complexe d'appréhension et de désir.
Elle regardait le tapis de mousse verte à travers le rideau de ses cheveux noirs qui pendaient devant son visage.
Ses seins laiteux brillaient doucement dans la lumière, ses tétons étaient durs et gonflés. Sa peau claire était douce et souple.
Ses hanches étaient rondes, ses jambes longues et musclées. Elle se sentait novice et féminine.
Et très vulnérable devant le grand nombre de bras tentaculaires qui s'éveillaient.
Lentement, très lentement, Sayomi leva son regard. Un changement radical de physionomie s'opérait chez la créature.
Tout son corps lourd et trapu se redressait. Ses bras tentaculaires s'agitaient et se tordaient autour de son corps.
Pour la première fois, Sayomi aperçut sa bouche sans lèvres.
Sayomi se souvenait de la photo dans le livre, de la façon dont la créature semblait posséder la femme avec sa bouche tandis qu'elle l'enserrait dans ses tentacules et qu'elle la cajolait sur tout le corps.
Sayomi releva la tête, se redressa en bombant fièrement sa poitrine, et se tint entièrement nue devant la créature.
Face à face, la fille et la créature se dévisageaient, s'examinaient, se jaugeaient. Sayomi vit son reflet dans ses yeux pâles.
Les bras tentaculaires ondulaient tout autour d'elle. Sayomi vit leurs pointes charnues, comment elles scintillaient, mouillées par les jus qu'elles sécrétaient. Certains membres s'étiraient et exposaient leurs organes sexuels dissimulés à l'intérieur.
Les jambes de Sayomi étaient vacillantes mais l'impérieux désir au fond de son ventre força Sayomi à s'approcher encore.
Avec quelques pas prudents, elle pénétra dans le champ d'action des bras tentaculaires de la créature.
Ils se rassemblèrent tout autour d'elle pour l'envelopper, tandis que ses yeux l'examinaient avec attention.
Sayomi tremblait tandis qu'une multitude d'anguilles souples et luisantes s'agitait autour d'elle.
Ils se tordaient dans l'air comme des serpents qui vont attaquer. Leurs fluides suintaient à leurs extrémités.
Sayomi vit en gros plan les formes vulgaires de nombreux organes sexuels gonflés émergeant lentement de leurs gaines à l'intérieur des bras tentaculaires, tout en suintant leurs jus.
Un tentacule, semblable à un serpent noir, frôla le mollet de Sayomi et elle frémit.
Elle sentit un autre glisser furtivement entre ses genoux, forçant ses cuisses à s'écarter.
De surprise, autant que pour garder l'équilibre, elle écarta les bras.
Ils furent immédiatement saisis par les bras tentaculaires qui, tels des serpents, s'enroulèrent et capturèrent ses poignets.
Docile, elle s'est soumise. Elle les sentait caresser sa peau, ses épaules, son dos. Elle a commencé à gémir, bouche grande ouverte.
Elle essayait de regarder, de suivre leurs mouvements, mais ils étaient trop nombreux. Ils sont tous entrés en action à la fois.
Elle était maintenue au centre d'une masse grouillante de bras tentaculaires qui se tortillaient en tout sens.
La pointe charnue d'un tentacule glissa rapidement entre ses seins et laissa derrière lui une traînée de bave visqueuse et luisante.
Elle sentit le passage bavant d'un autre, glisser entre ses cuisses. Ses chevilles étaient encerclées, maintenant ses jambes écartées.
Elle s'est sentie soulevée du sol, sans effort, réclamée par le Kraken.
Les paupières de Sayomi papillonnèrent. Elle gémissait de plaisir autant que d'appréhension.
Elle s'était livrée à la créature qui hantait ses rêves et elle était maintenant en sa possession. Son jouet.
Un corps féminin jeune et ardent que le monstre utiliserait et souillerait pour calmer sa perpétuelle concupiscence.
Les nombreux bras tentaculaires de la créature ont commencé à examiner son corps, à explorer sa jeune chair, caressant sa peau, tourmentant ses zones érogènes. Ils glissaient en suçant ses chairs tendres, laissant derrière eux des traînées de bave luisante.
Ses seins gonflés, ses cuisses fuselées, ses fesses charnues, chaque centimètre de son corps captif était sollicité.
Sayomi se sentit sondée avidement entre ses cuisses largement écartées, explorant la raie de ses fesses.
Elle baissa les yeux pour regarder plusieurs tentacules se bousculer entre ses cuisses ouvertes.
Les bras tentaculaires se balançaient, humides et luisants, leurs extrémités charnues dressées pour exposer leurs organes sexuels.
Ils fouillaient en caressant l'intérieur de ses cuisses, les zones vulnérables, inondant la chatte de bave huileuse.
Ses hanches se secouaient en vain et elle se tordait sous les caresses des tentacules de la créature. Son corps scintillait de bave.
Ses poils pubiens étaient emmêlés et couverts de bave huileuse. Ses mamelons étaient dressés et lancinants.
Sayomi gémissante, agitait sa tête d'un côté à l'autre. Elle était impuissante, maintenue bras et jambes écartées, capturée par les bras tentaculaires de la créature, stimulée, intimement sondée et pénétrée. Aucune partie de son corps n'a réchappé.
Son visage exprimait la honte mais au plus profond d'elle-même, elle était en rut, au paroxysme de la convoitise.
Partout, le glissement onctueux des tentacules humides la pénétraient intimement, explorant ses zones secrètes.
Ses cuisses étaient maintenues écartées, ouvertes, ses seins étaient sucés, pressés et caressés.
Son corps était couvert de traces de bave huileuse laissées par les bras tentaculaires qui glissaient sur elle.
Sayomi implorait, une litanie de mots incompréhensibles, incapable de se contrôler, saisie d'une fièvre charnelle.
Gémissante et geignante, elle se tortillait, les sens vibrants sous les attouchements du monstre tentaculaire.
De sa chatte inondée suintait ses jus qui se mélangeaient à la bave déposée par les tentacules. Elle tentait de saisir les bras tentaculaires qui flottaient à proximité, mais ils glissaient entre ses doigts, huileux et lisses.
Elle parvint à se saisir d'un bras et caressa avec gourmandise et impatience l'organe sexuel qui se dressait, puissant et vif.
Sayomi suppliait le monstre continuellement maintenant. Les nerfs exacerbés, sa peau, ses sens brûlaient de désir.
Elle s'exposait, elle s'offrait, elle mendiait, consumée de désir. Son corps se tordait, se contorsionnait, rien d'autre ne comptait.
Sa soif de sexe devenait douloureuse, elle planait, elle était en extase, plongée dans une tourmente sexuelle intense.
Un cri, un seul, à bout de souffle, submergée de désir, désespérée: "S'il te plaît, oh, s'il te plaît..."Elle avait atteint son pic d'excitation sexuelle. Elle était prête. Tout son corps le réclamait.
Impatiente, elle poussait avidement ses hanches contre les nombreux organes sexuels bandés qui se blottissaient entre ses cuisses largement écartées. Ses doigts enserraient désespérément les tentacules qui glissaient de son emprise en la taquinant. Elle leva la tête en grognant, essayant désespérément de capturer un organe gonflé et dégoulinant pour l'insérer avidement dans sa bouche.
Sayomi gémit de frustration de ne pouvoir obtenir ce qu'elle voulait, puis sentit que la créature la déplaçait.
Les bras tentaculaires bougèrent en se contorsionnant sur elle pour prendre une nouvelle prise plus ferme.
Elle fut abaissée, retournée, manipulée et tripotée. Elle a été passée en douceur et sans effort à travers une forêt de tentacules en mouvement, passant de tentacule en tentacule jusqu'à ce qu'elle se retrouve face aux grands yeux impassibles de la créature.
Ses genoux furent repliés, ses cuisses largement écartées, ses bras tirés sur les côtés, son corps soigneusement positionné.
En soulevant sa tête, Sayomi regarda vers le bas de son corps et, entre ses cuisses largement écartées, elle vit la tête de la créature apparaître entre ses jambes.
Les tentacules entre ses cuisses ont été retirés. Sayomi écarquillait ses grands yeux. Elle était bouche bée.
Les grands yeux impassibles de la créature la fixaient, l'hypnotisaient, la transperçaient, luisant d'un feu intérieur.
Suspendue et maintenue dans les bras tentaculaires, Sayomi fut présentée lentement devant la bouche qui l'attendait.
La clarté vert pâle se reflétait sur le crâne de la créature, mais sa bouche était un contour flou dans l'ombre.
Sayomi pouvait seulement apercevoir la longue langue flexible, tandis qu'elle était guidée inexorablement vers elle.
L'excitation de Sayomi augmenta au fur et à mesure que son entrejambe approchait de la bouche de la créature.
Elle entra dans l'ombre de la tête immense. Les yeux de la créature étaient gigantesques, des globes noirs et étincelants.
Sayomi ne pouvait que regarder entre ses cuisses écartées. Elle en mourait d'envie. Elle ne pouvait pas détourner son regard.
Son cœur battait la chamade et son ventre brûlait de désir et d'impatience.
Entre ses cuisses, Sayomi vit la langue de la créature, épaisse pointe sombre, qui cherchait avidement sa chatte.
Elle sentit la gueule de la bête aspirer sa chatte et ses yeux soudain anxieux s'ouvrirent encore plus largement.
Un froncement de sourcil révélait son appréhension, sa bouche s'ouvrit, Sayomi manquait d'air.
Elle secouait violemment la tête d'un côté à l'autre. Ses cheveux poissaient de transpiration.
Puis elle sentit la bouche de la créature complètement scellée sur sa chatte. Nichée là, bouche à bouche. Positionnée.
Ses jambes largement écartées accueillaient l'énorme tête de la créature désormais enfouie entre ses cuisses.
Dès le premier contact intimement choquant de la langue épaisse et flexible, Sayomi se cambra.
Elle frissonnait de manière incontrôlable. Elle luttait avec les tentacules qui maintenaient ses bras.
Ses hanches se secouaient sauvagement et elle retomba dans les bras de la créature tandis que des vagues d'extase la ravageaient.
Sayomi était maintenue en place, la chatte sur la bouche de la créature, vulnérable aux explorations intimes de sa langue, largement ouverte, ruisselante, impudique et avide de sensations.
Son dos se cambra et ses seins ronds durcirent quand elle sentit la langue de la créature, épaisse, sensuelle et glissante, s'insinuer entre ses fesses. Elle la sentit sonder son trou de cul, le goûter, puis son centre d'intérêt se déplaça.
La bête lécha sa chatte sensible avec gourmandise, et Sayomi se tortilla sauvagement sous la caresse buccale.
Ses hanches se secouaient furieusement, mais Sayomi ne pouvait pas rompre le contact de la langue épaisse et agile qui sondait intimement son ventre.
Elle était immobilisée fermement en position, impuissante, le Kraken maintenait sa prise sans effort apparent.
Elle sentait la langue s'enfoncer profondément dans sa chatte en goûtant ses jus.
Ses hanches se poussèrent de manière incontrôlable pour présenter son ouverture à la convoitise de la créature.
Sayomi rejeta la tête en arrière. Son corps captif, tendu entre les bras de la créature, étincelait de sueur dans la lumière verdâtre.
Sayomi sentait la langue glissante et frétillante violer sa chatte, l'étirer. La langue faisait de curieux va et vient à l'intérieur d'elle.
Sayomi cria et son corps trembla lorsqu'un jet jaillit brusquement de sa chatte.
Un long gémissement de pur plaisir, puis un cri de douleur fut arraché à son être tandis que la langue de la bête s'enfonçait au plus profond de sa chatte ravagée.
Chaque terminaison nerveuse était sollicitée pendant que la langue de la créature accélérait son rythme puissant et profond.
Sayomi se tortillait en sentant la langue épaisse et agile de la créature la fouiller en la remplissant toute.
Une passion primitive et profonde, un besoin insatiable et douloureux. La langue de la créature s'enfonçait, s'appropriant la jeune chatte affamée, plongeant au plus profond, ressortant, de plus en plus vite, de plus en plus fort.
Sayomi utilisait ses hanches avec empressement pour amplifier les pénétrations de la langue du Kraken.
Elle associait la convoitise de la créature à sa propre rapacité désespérée de béatitude.
La langue de la bête faisait des bruits visqueux et humides entre les cuisses écartées de Sayomi.
Chaque fois que la langue de la créature se retirait, Sayomi ressentait un sentiment fugace d'abandon et de vide.
Elle se frottait désespérément la chatte contre la bouche baveuse du Kraken.
La salive de la bête se mêlait à ses jus et trempait ses jeunes fesses.
Sayomi suppliait. Plus vite, plus fort, plus profond. Encore! Encore! Il en fallait plus pour étancher sa jeune soif de plaisir.
D'autres tentacules caressèrent son jeune corps pâle et nu. Sayomi était maintenant trempée par la bave sécrétée par les tentacules. Elle n'était consciente de rien d'autre que de son besoin insatiable d'euphorie.
Sayomi sentit un tentacule sonder son cul et gémit de plaisir quand la tige épaisse et enflée de l'organe sexuel pénétra sans à-coups entre ses fesses.
Elle soupira, se raidit puis frissonna lorsque le tentacule explora sa cavité anale.
Elle le sentait glisser à l'intérieur, l'organe sexuel visqueux glissait dans ses entrailles.
La bave secrétée par le tentacule lubrifiait son anus, se mélangeait à ses propres jus tandis que le bras épais commençait à pomper rythmiquement dans et hors de son cul, s'accordant au rythme de sa langue dans sa chatte.
La bouche de Sayomi s'ouvrit en grand, elle haletait et geignait en sentant la langue et le bras de la créature se mettre à l'unisson à l'intérieur d'elle. Son corps était secoué par les puissants coups. Ses seins se balançaient fortement à chaque poussée.
Profitant de la jeune bouche grande ouverte, un autre tentacule apparut et bâillonna Sayomi en plongeant dans l'orifice offert.
Un doux gémissement d'extase féminin, ses lèvres étaient étirées au maximum par le gros organe du tentacule.
Ses yeux s'écarquillèrent puis ses paupières battirent.
Sayomi était entièrement possédée par le Kraken. Soumise à ses caprices, à ses envies, à ses besoins.
Sayomi était fermement maintenue, dominée, asservie, son corps nu et vulnérable perdu dans une forêt de bras tentaculaires ondulants, la violant en la caressant.
Il n'y avait aucune issue, aucun répit dans cette fornication perverse de la créature. Le corps juvénile se tordait en tout sens.
Ses hanches s'agitaient à chaque poussée de la bête. La langue du Kraken distendait sa chatte.
Un tentacule s'enfouissait dans son cul. Un autre dans sa gorge s'enfonçait profondément.
Quand elle a roulé sa tête d'un côté à l'autre, le bras tentaculaire n'a éprouvé aucune difficulté à suivre le mouvement.
Le rêve avait révélé une faim insatiable au plus profond d'elle, et chaque fois qu'elle atteignait l'extase, elle pulvérisait un jet de jus de sa chatte ravagée, et sa fringale augmentait.
Sayomi creusa ses reins pendant que l'organe enfoui au fond de son cul éjaculait un foutre épais et visqueux. D'autres tentacules qui n'avaient pas trouvé de place dans ses orifices s'enroulaient sur ses seins, les manipulaient, les caressaient, les suçaient.
L'organe qui s'était vidé dans son cul débandait en se retirant, et un autre, immédiatement, l'a remplacé.
Il s'est glissé comme un serpent charnu dans son trou du cul lubrifié par son prédécesseur.
Le brasier à l'intérieur du ventre de Sayomi était dévorant. Son appétit douloureux ne connaissait aucune limite.
Sayomi savourait chaque attouchement, chaque palpation, chaque violation.
Son jeune corps tremblait de désir pendant que l'organe, dans son cul, l'empalait avec une puissante détermination.
Ses yeux s'écarquillèrent lorsque l'organe, dans sa bouche, s'épaissit et se contracta.
Soudain, sa bouche s'emplit d'un éjaculas crémeux et saumâtre.
Sayomi s'étouffait, essayant d'avaler cette trop grande gorgée, mais déjà l'organe se retirait.
Avant que le suivant prenne sa place, Sayomi put cracher le trop-plein.
Immédiatement, un autre tentacule l'a remplacé et il a continué à violer sa bouche juvénile et enthousiaste.
Sayomi baissa les yeux à travers la forêt de tentacules enchevêtrés qui tricotaient son corps.
Elle regarda brièvement le Kraken dans les yeux. La bête l'observait, épiant les réactions de ce jeune corps novice.
Elle se sentit déplacée, manipulée de nouveau et, un instant plus tard, la créature a retiré sa langue de sa chatte.
Immédiatement, un bras tentaculaire équipé d'un énorme organe bandé a remplacé la langue.
Sans le voir, Sayomi comprit instantanément que cet organe était d'une dimension bien supérieure aux autres.
Sa chatte, pourtant abondamment lubrifiée, souffrait pour accueillir le nouveau venu.
Le bras tentaculaire fléchit contre l'entrée, avant que l'organe ne puisse pénétrer lentement la vulve de la fille.
Cambrant ses hanches, creusant ses reins, Sayomi s'ouvrait, s'écartait pour recevoir, centimètre par centimètre, le monstrueux organe, qui emplissait totalement et profondément la petite chatte ravagée.
Après un moment de calme destiné à laisser la petite chatte s'habituer à sa présence, l'organe surdimensionné et obscène commença ses va-et-vient, lentement, profondément, puis de plus en plus vite.
Le tentacule enfoui dans son cul s'est dégorgé puis s'est retiré, pour être immédiatement remplacé par un autre.
Sayomi sentait sa chatte, son cul, sa bouche, évacuer la semence du Kraken, visqueuse et épaisse, en s'écoulant de ses orifices.
Elle a de nouveau été empalée dans ses trois orifices par trois organes sexuels épais, visqueux et énergiques.
Sayomi se tordait, aux prises avec une délire d'extrême excitation sexuelle, son jeune corps exultait dans ce coït interminable.
De nouveau, Sayomi a été soulevée et retournée, impuissante dans les bras de la créature. Son corps meurtri était manipulé et baisé.
Sa vision était obstruée par la forêt de tentacules qui la forniquaient.
Lorsqu’un organe éjaculait puissamment en elle, il se retirait et un autre prenait immédiatement sa place.
Tout son corps luisait de bave et de foutre mélangé dans la faible lueur verdâtre. La chatte ravagée, le trou du cul endolori, la mâchoire distendue, Sayomi était violée encore et encore par l'ignoble Kraken, et elle adorait cela.
Dolente, Sayomi était comme une poupée de chiffon dans les bras tentaculaires de la créature, maintenue fermement, tandis que la bête usait et abusait de sa chatte, de son cul, et de sa bouche.
Sayomi tremblante, ruisselante, geignante et gémissante fut pénétrée encore et encore, sans pouvoir réagir.
Des organes dilatés se faufilaient, la pilonnaient, la matraquaient pour décharger leurs spermes gluants et épais.
Sayomi était perdue dans un monde de plaisir informe, au centre d'une mer de tentacules plongeants et éjaculant.
Sa raison s'amenuisait, ses souvenirs s'estompaient, seule subsistait cette image d'une femme violée par une créature de l'enfer.
Dans l'obscurité verdâtre au fond de la caverne, quelque chose se tord, quelque chose se cambre, quelque chose baise ...
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