Le footing (première partie)
Récit érotique écrit par Léane [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Le footing (première partie)
Dans ce rayon running de Décathlon, le choix n’est pas facile à faire. J’ai besoin d’une brassière et d’un short cycliste. Je fais un peu de course à pied et je dois renouveler ma garde robe.
Je réussi tout de mème à trouver mon bonheur. Un short cycliste noir mi long et une jolie brassière Grise avec un liseré noir. Un zip sépare les deux seins permettant de l’ouvrir sans se contorsionner. Quand tu reviens toute transpirante et que ça colle c’est toujours plus agréable pour l’enlever.. Plein de monde dans les cabines d’essayage. Ca y’est ça me saoule et étant à peu prés sure des tailles je pars avec sans les essayer.
Arrivée à la maison direction la douche après une longue journée de travail.
La chaleur a eu raison de moi. Je fais peu à peu passer l’eau de tiède à froide, et la sensation sur mes jambes et mes pieds me relaxe un peu. Restant nue le plus souvent possible dans mon appartement, je m’avachie dans mon canapé.
Télé.. PPfff rien de bien. Je tchek mon tel.. mail sms whatsapp…
Bon je loose un peu. Le sac Décathlon sur la table basse me regarde… Il faut que j’essaie ma brassière et mon short sans enlever les étiquettes au cas ou ça ne me va pas. Merde, ou j’ai mis le ticket de caisse?
J’attrape donc la brassière et l’enfile. La taille a l’air d’aller, mes 90E sont bien maintenus sans être compressés. Je suis entièrement nue avec uniquement cette brassière et commence à trottiner dans mon salon et mon couloir pour vérifier que ça ne balotte pas trop.
Super sensation: rien ne bouge. C’est comme si je n’avais pas de poitrine.
Au fond du couloir, la porte de la salle de bain avec un grand miroir. Je me vois courir sur place le cul à l’air. Mon cerveau ne fait qu’un tour.
Ceux qui lisent mes histoires ont déjà surement devinés à quoi je pensais!!!
« -Et si j’allais courir comme ça » !!! Juste des baskets et ma brassière. Le cul nu.
Ca faisait longtemps que je n’avais pas trouvé une bêtise à faire.
Depuis mes premières découvertes du bien être que me procure le fait de me retrouver toute nue dans la nature, je pars souvent me promener dehors. Je ne perds pas une occasion de me déshabiller. Je me suis plusieurs fois exhibée devant des gens. Et à chaque fois ça me provoque une excitation sans précédent.
Je me regardais dans le miroir et je m’imaginais courir comme ça. Ca m’excitais beaucoup et je restais toute la soirée dans cette tenue.
Je me demandais surtout ou aller courir, car je ne me voyais pas aller faire mon jogging dans cette tenue dans la rue ou dans un parc. J’aime beaucoup être nue dehors, j’aime bien m’exhiber mais bon!!! Je ne Veux pas finir en garde à vue non plus. Je fantasmais en m’imaginant courir comme ça devant tout le monde. Les gens se retournant sur moi, me suivant, Me filmant.
Mais je revenais à la réalité.
Par contre je me voyais tout fait le faire dans mon petit camping naturiste et surtout sur les sentiers aux alentours. En attendant de pouvoir y retourner, je cherchais un endroit ou assouvir ce nouveau fantasme. Beaucoup d’endroits me venaient à l’esprit mais j’y trouvais à chaque fois un « Hic »
C’est en me préparant le lendemain matin pour aller au travail, que j’eu le déclic!!!
Je repensais à cet endroit ou je suis allé marcher il y à quelques semaines avec des amis. Une piste forestière qui monte jusqu’à une vigie de surveillance incendie de foret. La piste monte sur plusieurs kilomètres en lacets jusqu’au sommet ou se trouve la vigie.
Je n’ai pas la condition physique pour courir jusque la haut, mais du sommet, dans mon souvenir, on voit la piste s’étaler jusqu’en bas. Je pourrais monter tranquillement au sommet. Si personne en haut , je pourrais tenter la descente. Ayant une visibilité sur une longue distance et venant du dessus, je pourrais à tout moment me rhabiller si j’apercevais quelqu’un monter.
Mais oui je tiens mon spot.
A cette époque le soleil se couchant vers 19 h je pourrais tenter dès ce soir finissant vers 16h30.
Je Ressors donc mon gilet d’hydratation, vous savez ce genre de mini sac à dos dans lequel tu peux mettre un peu d’eau, des clés un téléphone…Le sac spécial joggeur qui se la raconte quoi!!! Je le mets dans un cabas avec ma brassière . Je peux ôter l’étiquette maintenant. J’essaie le short qui me va bien aussi et le mets également dans le cabas.
Difficile de me concentrer au travail, mon esprit étant occupé à imaginer mon footing de fin de journée.
L’heure arrive enfin. 20Min de route pour arriver au terminus de la route qui s’arrête après les dernières maisons.
Aucune voiture sur le parking, je suis contente.
Il faut que je me change. Je me place entre la voiture et les buissons et commence par enlever mes chaussures et mes chaussettes. Je sors un tapis de sol de dessous les sièges pour être plus à l’aise et enlève mon pantalon, puis ma culotte. J’étais prête à enfiler mon short de course mais le soleil sur mes fesses aidant, je me sens si vite bien que j’ai envie de me mettre toute nue avant de mettre ma tenue de sport.
Vérification: personne à l’horizon et zou… à poil ( enfin, sans poil)
J’ai déjà plus envie de m’habiller et de partir comme ça.
« -Sois prudente, calmes toi!!! » me dis je.
J’enfile donc ma brassière, mets une paire de chaussettes sport et mes baskets.
Je mets mon petit sac. Je me plais beaucoup dans cette tenue en regardant mon reflet dans la vitre de la portière.
J’enfile finalement mon short, ferme la voiture et pars sur la piste. Le soleil de l’automne est encore chaud, et l’air sur ma peau me fait un bien fou. J’ai hâte de pouvoir enlever mon short. J’espère qu’aucun imprévu ne va venir modifier mon plan.
Il me faut presque une heure pour atteindre la vigie. Je vous avoue que durant la montée, je me suis amusée à plusieurs reprise à baisser mon short à mi cuisses. Aussitôt le cul à l’air, je sentais l’excitation monter.
La vigie était là, à une centaine de mètres; j’arrivais enfin. Le site semblait désert. Je faisais un peu le tour pour m’en assurer. Ce qui me rassura aussi c’est que j’étais sur un cul de sac. Seul un petit sentier se perdait dans les romarins et les quelques pins ayant survécus à un vieil incendie.
Cela faisait quelques minutes que j’étais arrivée et il était temps de redescendre… enfin.
Le soleil déclinait depuis un moment et n’allait pas tarder à passer derrière la colline en face.
Plus personne ne monterai maintenant. Je pouvais donc tenter cette nouvelle folie en restant vigilante quand mème.
J’enlevais donc mon short et le glissais entre mon sac et ma brassière. Je caressais mes cuisses en remontant sur mes hanches comme pour me prouver que j’étais bien nue. Ne sentir aucun obstacle sur ma peau me plaisait énormément.
M’assurant une dernière fois d’aucune présence sur la piste en contre-bas, je m’élançais enfin.
Quel bonheur, je conseille à toutes les femmes de tenter l’expérience.
Ma Brassière remplissait son rôle à merveille. Ma poitrine restait immobile. Je n’aurais jamais pu courir les seins à l’air. J’aurais eu rapidement mal.
Mon sac me gênait un peu aussi, mais ça peux paraître con, mais avec ce petit sac dédié aux joggeurs je trouvais que cela faisait plus proféssionelle. J’aurais mème du mettre une casquette.
Je trouvais ça super excitant,Equipée comme une pro du cou jusqu’à mi ventre, puis complètement nue jusqu’aux chevilles et enfin une belle paire de chaussures de courses.
Je descendais en courant doucement, surveillant régulièrement en contre-bas.
J’avais presque envie de voir du monde arriver. Quel bonheur de courir à moitié nue.
Je repensais alors à Camille. Vous vous souvenez de Camille? Ma petite amoureuse du camping naturiste qui se sentait frustrée avec ses tout petits seins. J’aurais voulu être comme elle pour pouvoir courir entièrement nue.
La piste venait de passer à l’ombre. Encore deux virages en épingle et je voyais déjà ma voiture au loin.
Je ralentissais, voulant reculer le moment ou je devrais me rhabiller pour rentrer.
La voiture était maintenant à quelques mètres. La barriere empêchant les véhicules de venir me barrait la route.
Durant cette descente qui dura environ 40 min, je me rendis compte que par moments j’oubliais ma tenue. Je me sentais tellement à l’aise les fesses nues . Quand aucun vêtement ne vient frotter sur la peau, La transpiration est immédiatement séchée par le vent. Seul ce petit sac à dos me gênait.
J’essaierai sans lui, la prochaine fois, car j’ai bien entendu envie de renouveler l’expérience.
Je retrouvais ma voiture, enlevais mon sac et le posais au sol. Restant aux aguets, je tirais sur le zip de ma brassière libérant ma poitrine.
Enfin complètement à poil. D’ici je pouvais voir si du monde montait vers moi et je reculais le moment de me rhabiller. Je faisais quelques pas et me rhabillais à contre coeur.
J’ai pris l’habitude de revenir régulièrement faire mon petit footing à moitié nue ici.
En venant en fin de journée, j’ai croisé de manière rare des promeneurs qui étaient en train de descendre. Montant habillée je n’ai jamais causé le trouble, mais j’avais vraiment envie de croiser du monde pendant la descente en étant les fesses et la chatte à l’air.
Aussi, un lundi ou j’étais en repos, je décidais de monter le matin tôt.
Je me disais que je pourrais attendre à la vigie en surveillant la piste. Et que si quelqu’un montait, je pourrais me lancer et le croiser nue.
Je me retrouvais donc vers 9h au sommet de cette colline, au pied de la vigie.
Je trouvais un endroit entre quelques arbustes, d’ou assise, je pouvais voir le parking au loin et la piste. Si du monde arrivait je ne pourrais pas le rater.
Assise dans l’herbe au soleil, je fantasmais sur une éventuelle confrontation, imaginant différentes personnes. M’exhiber devant un couple me plairait beaucoup. Je pense ne pas craindre grand chose. Je vois mal le monsieur abandonner sa femme pour me courir après. Maintenant si les deux me courent après, je me laisserais volontiers rattraper.
L’excitation montant et le soleil aidant mon corps à s’échauffer je commençais à me caresser.
J’enlevais mon short, me sachant seule et mes doigts ne tardèrent pas à rejoindre mon sexe tout mouillé. Comme j’aime me masturber au soleil.
Je vis enfin une silhouette sur la route tout en bas. Une personne arrivait sans voiture.
Surement un habitant des maisons du quartier.
Il était loin, il faut un très long moment pour monter jusqu’ici. Je surveillais donc sa progression tout en m’excitant de plus en plus. Je faisais quelques pas sur le petit sentier qui partait au dela de la vigie. Personne de ce coté la non plus.
Je pouvais mieux distinguer la personne qui montait maintenant. Il n’avait pas l’air tout jeune. Il semblait mème assez vieux.
Il devait être à 5 min de moi.
« -Allez vas’y, c’est le moment. « me disais -je
Je mettais mon petit sac sur le dos et partais en courant dans sa direction.
Un virage en lacet nous séparait encore. Mon coeur accélérait comme ma respiration.
Nous allions nous croiser en plein dans le virage. Encore quelques secondes et…
Il s’arrêta net en me voyant. J’étais à moins de 10 mètres de lui. Je me disais:
« - ca y’est il voit ma chatte!!!
Que j’aime ce moment précis ou une personne découvre mon corps.
Je lui disais alors:
-Bonjour, Pardon je ne vous avez pas vu arriver sinon j’aurais remis mon short.
-C’est pas grave, c’est…. Surprenant comme tenue pour courir.
Il devait avoir presque 70 ans, et je me disais que je le connaissais. Je l’avais déjà croisé quand je montais. Je pensais à ce couple que j’avais déjà vu ici. Je me disais que ne craignais pas grand chose de lui.
Aussi je m’arrêtais de courir et entamais la discussion.
d’habitude je cours habillée, vous imaginez bien, mais ce matin je sais pas ce qui m’a pris.
En tout cas c’est très agréable de tomber nez à nez avec une jolie femme nue.
Merci vous êtes gentil. Mais j’ai juste enlever le bas, je ne suis pas toute nue. J’ai encore ma brassière.Je suis quand même pudique, vous voyez.
Pudique!!! pour moi vous êtes à poil!!! C’est drôle , et vous n’avez pas peur comme ça?
Je le fais souvent et dans des endroits isolés. Je n’ai jamais eu de problème. Je ne vous avez pas vu sinon je serai pas restée comme ça.
Je suis content de vous avoir surprise alors, ma promenade aurait été moins joyeuse si vous vous étiez rhabillée avant.
Ça vous ennuie si je marche un moment avec vous? Je n’avez plus envie de repartir. Je sentais en moi cette envie de rester à m’exhiber devant cet homme
Mais vous descendiez, Moi je continue vers en haut.
Ce n’est pas grave Si vous voulez je veux bien marcher en votre compagnie. Mais je comprendrai que ça vous embête.
Non ça ne me gène pas au contraire c’est un plaisir. Ca fait bien longtemps que je n’ai pas vu une aussi belle femme . Et surtout le cul à l’air dans la colline.
Merci beaucoup, je suis ravie de vous faire plaisir.
Nous nous mirent à marcher l’un à coté de l’autre en rejoignant la vigie que j’avais quitté il y à tout juste 5 min. Il se dirigea vers le sentier que je n’avais jamais emprunté. Ce sentier était bien plus étroit et nous devions marcher l’un derrière l’autre.
« -Je vous suis? Ou je peux passer devant si vous préférez. » lui disais je;
-Je vous en prie allez y. Je veux profiter de la vue.
Il marchait juste derrière moi et pouvait mater mon cul tout autant qu’il voulait.
Ca m’excitait énormément. J’avais envie de me mettre complètement à poil mais en mème temps cette tenue cachant tout le haut de mon corps me plaisait beaucoup.
Nous avancions sur ce sentier qui semblait peu fréquenté . En effet les buissons de part et d’autres étaient vraiment rapprochés me griffant souvent les jambes.
J’attendais le moment ou il poserai ses mains sur mes fesses. J’avais envie qu’il me touche. Mais je ne sentais toujours rien. Alors je forçais un peu les choses.
Ah mince, attendez une seconde je dois refaire mon lacet.
Je me penchais en avant faisant mine de renouer ma chaussure pour lui offrir la plus belle vue de mes fesses. Je prenais mon temps. Mais toujours rien. Pas de mains sur moi. Il me lança finalement:
Vous aves un sacré joli cul.
Enfin une occasion de l’inviter à en profiter un peu plus.
-Vous pouvez me toucher si vous voulez.
Je l’entendis respirer un grand coup et enfin je sentis ses mains sur moi.
Il posa une main sur chaque fesse et les caressa doucement en décrivant de larges cercles.
Ses mains étaient chaude et un peu moite.
Je restais penchée en avant. Il serrait ses doigts comme pour pétrir ma peau puis relâchait sa pression pour à nouveau recommencer.
Quel bonheur. Je m’offrais à ce petit papi. Je ne sais pas dire le temps mais il resta un long moment à me peloter le cul. J’avais une folle envie de me masturber en même temps.
Je me redressais et lui faisais face.
-Vous pouvez faire pareil de ce coté si ça vous tente…
Oh oui, laisse moi te toucher partout. Tu m’excite tant.
Il avança sa main, la paume vers le haut, et ses doigts allèrent directement entre mes cuisses.
Il n’eu aucun mal à se frayer un chemin à l’intérieur de mon vagin. Un doigt puis rapidement un second. Le papi retrouvait sa jeunesse. J’écartais un peu mes pieds pour lui faciliter le chemin. Il remuait ses doigts dans mon corps et je me tenais à ses épaules en gémissant.
-Enleves le reste, montres moi tes seins, enleves tout.
Je jetais mon sac au sol et j’ouvrais ma brassière libérant mes seins. J’étais enfin complètement nue devant ce monsieur.
Mon dieu quels nichons magnifiques!!!
Profitez en autant que vous voulez, mon corps est à vous.
OOh oui merci ma belle.
Il promenait ses mains sur tout mon corps. Prenait mes seins dans chaque main, puis montait sur mes épaules, descendait le long de mes bras, remontait à nouveau sur mes épaules et descendait jusqu’à mes cuisses sans jamais rompre le contact avec ma peau.
Il ne délaissa aucun centimètre de mon corps et me caressa pendant de longues minutes.
Quel bonheur de me faire tripoter comme ça au milieu des collines sous le soleil, complètement à poil.
-Laisses moi te lécher les seins, s’il te plait
oui oh oui allez y
Il se mit a me lécher non seulement mes tétons, mais l’ensemble de chaque sein. Puis il enfoui son visage entre entre les deux, en les serrant de ses mains pour les resserrer.
Je tenais sa tète à deux mains.
On aurait dit un adolescent découvrant le corps d’une femme pour la première fois.
Ne tenant plus, je glissais mes doigts sur ma vulve dégoulinante de mouille et commençais à me doigter en meme temps.
Au diable la retenue. Au point ou j’en étais je n’avais plus honte de rien.
D’abord doucement puis je me doigtais furieusement.
Le sentant, il sortit enfin son visage de ma poitrine pour me regarder me toucher.
Il posa une main sur ma fesse . Lui attrapant l’autre main libre je le guidais jusqu’à ma chatte et il commença à me masturber tandis que je me doigtais toujours avec deux doigts.
Je sentis un violent orgasme me traverser. J’étais secouée de spasmes et me tendais sur mes jambes en gémissant longuement.
-Et bien, demoiselle, ça va mieux?
Oui , merci à vous ç’était vraiment trop bien. Mais à mon tour de vous faire plaisir!!!
Je posais ma main sur la bosse de son pantalon. Papi bandait encore…
En voulant ouvrir son pantalon ,il eu un léger mouvement de recul, comme si il ne voulait pas que je dévoile son sexe.
-Vous ne voulez pas que je vous fasse du bien.
-"Je sais pas trop, tu sais ça fait bien longtemps qu’une femme ne m’a pas touché. Et puis elle n’a peut etre pas très bon gout!!! « Me dit il l’air un peu gêné.
Je pensais surtout le toucher, le masturber. Pas forcément le sucer.
Je ne veux surtout pas vous mettre mal à l’aise. C’est vous qui décidez. Je n’ai pas l’intention de vous violer.
Tu es une sacré salope dis moi!!!
Il sortit finalement sa queue. A moitié en érection, je l’attrapais aussitôt. Elle n’était vraiment pas très grosse. Il avait juste ouvert sa braguette et je pouvais le masturber doucement. Sa queue enfla rapidement dans ma main.
-J’avais oublié comme c’est bon. Continue…
Il me caressait les seins en même temps.
J’avais soif de sexe.
J’adore cette nouvelle sexualité que je découvre au fil de mes nouvelles aventures. Je n’aurai jamais imaginé devenir un jour une exhibitionniste. En plus du fait de prendre énormément de plaisir à me promener nue dans la nature, je me rendais compte à quel point me retrouver à poil devant un inconnu m’excitais.
Je m’accroupissais devant lui pour le masturber. J’hésitais à le sucer car effectivement il me semblais bien que son hygiène n’était pas des plus irréprochable.
Je me contentais donc de branler cette petite queue en direction de mes seins en espérant recevoir quand même un peu de sperme sur ma poitrine.
Ca ne tarda pas à arriver, mais pas de grandes giclées sur mon corps.
Mon papi n’était plus tout jeune.
Il jouit en poussant quelques râles discrets et sa timide semence alla se répandre entre mes seins.
-Merci merci . Tu es un cadeau du ciel, si j’avais su qu’en allant promener ce matin il m’arrive une chose pareille…
-Je dois vous avouer une chose. En fait je vous avais vu arriver tout à l’heure, et j’ai fait exprès de venir vers vous à moitié nue. J’aime m’exhiber. Ca me rends dingue.
-Et bien dis donc !!! Tu peux continuer à le faire autant que tu voudras pour moi.
-J’adorerai
S’en suivi une discussion un peu irréelle dans laquelle il m’expliqua qu’il était veuf depuis plusieurs années, qu’il habitait une des dernières maisons ( comme j’y avais pensé en le voyant arriver). Il voulait que je vienne chez lui pour manger, ou boire un café.
Il me donna le numéro de sa maison.
Ce qui arrivera les jours et semaines à venir, je vous le raconterai dans la suite de ce récit.
Mais je peux vous dire déjà qu’après avoir hésité à y aller, j’ai finis par franchir le pas…
(A suivre…)
Je réussi tout de mème à trouver mon bonheur. Un short cycliste noir mi long et une jolie brassière Grise avec un liseré noir. Un zip sépare les deux seins permettant de l’ouvrir sans se contorsionner. Quand tu reviens toute transpirante et que ça colle c’est toujours plus agréable pour l’enlever.. Plein de monde dans les cabines d’essayage. Ca y’est ça me saoule et étant à peu prés sure des tailles je pars avec sans les essayer.
Arrivée à la maison direction la douche après une longue journée de travail.
La chaleur a eu raison de moi. Je fais peu à peu passer l’eau de tiède à froide, et la sensation sur mes jambes et mes pieds me relaxe un peu. Restant nue le plus souvent possible dans mon appartement, je m’avachie dans mon canapé.
Télé.. PPfff rien de bien. Je tchek mon tel.. mail sms whatsapp…
Bon je loose un peu. Le sac Décathlon sur la table basse me regarde… Il faut que j’essaie ma brassière et mon short sans enlever les étiquettes au cas ou ça ne me va pas. Merde, ou j’ai mis le ticket de caisse?
J’attrape donc la brassière et l’enfile. La taille a l’air d’aller, mes 90E sont bien maintenus sans être compressés. Je suis entièrement nue avec uniquement cette brassière et commence à trottiner dans mon salon et mon couloir pour vérifier que ça ne balotte pas trop.
Super sensation: rien ne bouge. C’est comme si je n’avais pas de poitrine.
Au fond du couloir, la porte de la salle de bain avec un grand miroir. Je me vois courir sur place le cul à l’air. Mon cerveau ne fait qu’un tour.
Ceux qui lisent mes histoires ont déjà surement devinés à quoi je pensais!!!
« -Et si j’allais courir comme ça » !!! Juste des baskets et ma brassière. Le cul nu.
Ca faisait longtemps que je n’avais pas trouvé une bêtise à faire.
Depuis mes premières découvertes du bien être que me procure le fait de me retrouver toute nue dans la nature, je pars souvent me promener dehors. Je ne perds pas une occasion de me déshabiller. Je me suis plusieurs fois exhibée devant des gens. Et à chaque fois ça me provoque une excitation sans précédent.
Je me regardais dans le miroir et je m’imaginais courir comme ça. Ca m’excitais beaucoup et je restais toute la soirée dans cette tenue.
Je me demandais surtout ou aller courir, car je ne me voyais pas aller faire mon jogging dans cette tenue dans la rue ou dans un parc. J’aime beaucoup être nue dehors, j’aime bien m’exhiber mais bon!!! Je ne Veux pas finir en garde à vue non plus. Je fantasmais en m’imaginant courir comme ça devant tout le monde. Les gens se retournant sur moi, me suivant, Me filmant.
Mais je revenais à la réalité.
Par contre je me voyais tout fait le faire dans mon petit camping naturiste et surtout sur les sentiers aux alentours. En attendant de pouvoir y retourner, je cherchais un endroit ou assouvir ce nouveau fantasme. Beaucoup d’endroits me venaient à l’esprit mais j’y trouvais à chaque fois un « Hic »
C’est en me préparant le lendemain matin pour aller au travail, que j’eu le déclic!!!
Je repensais à cet endroit ou je suis allé marcher il y à quelques semaines avec des amis. Une piste forestière qui monte jusqu’à une vigie de surveillance incendie de foret. La piste monte sur plusieurs kilomètres en lacets jusqu’au sommet ou se trouve la vigie.
Je n’ai pas la condition physique pour courir jusque la haut, mais du sommet, dans mon souvenir, on voit la piste s’étaler jusqu’en bas. Je pourrais monter tranquillement au sommet. Si personne en haut , je pourrais tenter la descente. Ayant une visibilité sur une longue distance et venant du dessus, je pourrais à tout moment me rhabiller si j’apercevais quelqu’un monter.
Mais oui je tiens mon spot.
A cette époque le soleil se couchant vers 19 h je pourrais tenter dès ce soir finissant vers 16h30.
Je Ressors donc mon gilet d’hydratation, vous savez ce genre de mini sac à dos dans lequel tu peux mettre un peu d’eau, des clés un téléphone…Le sac spécial joggeur qui se la raconte quoi!!! Je le mets dans un cabas avec ma brassière . Je peux ôter l’étiquette maintenant. J’essaie le short qui me va bien aussi et le mets également dans le cabas.
Difficile de me concentrer au travail, mon esprit étant occupé à imaginer mon footing de fin de journée.
L’heure arrive enfin. 20Min de route pour arriver au terminus de la route qui s’arrête après les dernières maisons.
Aucune voiture sur le parking, je suis contente.
Il faut que je me change. Je me place entre la voiture et les buissons et commence par enlever mes chaussures et mes chaussettes. Je sors un tapis de sol de dessous les sièges pour être plus à l’aise et enlève mon pantalon, puis ma culotte. J’étais prête à enfiler mon short de course mais le soleil sur mes fesses aidant, je me sens si vite bien que j’ai envie de me mettre toute nue avant de mettre ma tenue de sport.
Vérification: personne à l’horizon et zou… à poil ( enfin, sans poil)
J’ai déjà plus envie de m’habiller et de partir comme ça.
« -Sois prudente, calmes toi!!! » me dis je.
J’enfile donc ma brassière, mets une paire de chaussettes sport et mes baskets.
Je mets mon petit sac. Je me plais beaucoup dans cette tenue en regardant mon reflet dans la vitre de la portière.
J’enfile finalement mon short, ferme la voiture et pars sur la piste. Le soleil de l’automne est encore chaud, et l’air sur ma peau me fait un bien fou. J’ai hâte de pouvoir enlever mon short. J’espère qu’aucun imprévu ne va venir modifier mon plan.
Il me faut presque une heure pour atteindre la vigie. Je vous avoue que durant la montée, je me suis amusée à plusieurs reprise à baisser mon short à mi cuisses. Aussitôt le cul à l’air, je sentais l’excitation monter.
La vigie était là, à une centaine de mètres; j’arrivais enfin. Le site semblait désert. Je faisais un peu le tour pour m’en assurer. Ce qui me rassura aussi c’est que j’étais sur un cul de sac. Seul un petit sentier se perdait dans les romarins et les quelques pins ayant survécus à un vieil incendie.
Cela faisait quelques minutes que j’étais arrivée et il était temps de redescendre… enfin.
Le soleil déclinait depuis un moment et n’allait pas tarder à passer derrière la colline en face.
Plus personne ne monterai maintenant. Je pouvais donc tenter cette nouvelle folie en restant vigilante quand mème.
J’enlevais donc mon short et le glissais entre mon sac et ma brassière. Je caressais mes cuisses en remontant sur mes hanches comme pour me prouver que j’étais bien nue. Ne sentir aucun obstacle sur ma peau me plaisait énormément.
M’assurant une dernière fois d’aucune présence sur la piste en contre-bas, je m’élançais enfin.
Quel bonheur, je conseille à toutes les femmes de tenter l’expérience.
Ma Brassière remplissait son rôle à merveille. Ma poitrine restait immobile. Je n’aurais jamais pu courir les seins à l’air. J’aurais eu rapidement mal.
Mon sac me gênait un peu aussi, mais ça peux paraître con, mais avec ce petit sac dédié aux joggeurs je trouvais que cela faisait plus proféssionelle. J’aurais mème du mettre une casquette.
Je trouvais ça super excitant,Equipée comme une pro du cou jusqu’à mi ventre, puis complètement nue jusqu’aux chevilles et enfin une belle paire de chaussures de courses.
Je descendais en courant doucement, surveillant régulièrement en contre-bas.
J’avais presque envie de voir du monde arriver. Quel bonheur de courir à moitié nue.
Je repensais alors à Camille. Vous vous souvenez de Camille? Ma petite amoureuse du camping naturiste qui se sentait frustrée avec ses tout petits seins. J’aurais voulu être comme elle pour pouvoir courir entièrement nue.
La piste venait de passer à l’ombre. Encore deux virages en épingle et je voyais déjà ma voiture au loin.
Je ralentissais, voulant reculer le moment ou je devrais me rhabiller pour rentrer.
La voiture était maintenant à quelques mètres. La barriere empêchant les véhicules de venir me barrait la route.
Durant cette descente qui dura environ 40 min, je me rendis compte que par moments j’oubliais ma tenue. Je me sentais tellement à l’aise les fesses nues . Quand aucun vêtement ne vient frotter sur la peau, La transpiration est immédiatement séchée par le vent. Seul ce petit sac à dos me gênait.
J’essaierai sans lui, la prochaine fois, car j’ai bien entendu envie de renouveler l’expérience.
Je retrouvais ma voiture, enlevais mon sac et le posais au sol. Restant aux aguets, je tirais sur le zip de ma brassière libérant ma poitrine.
Enfin complètement à poil. D’ici je pouvais voir si du monde montait vers moi et je reculais le moment de me rhabiller. Je faisais quelques pas et me rhabillais à contre coeur.
J’ai pris l’habitude de revenir régulièrement faire mon petit footing à moitié nue ici.
En venant en fin de journée, j’ai croisé de manière rare des promeneurs qui étaient en train de descendre. Montant habillée je n’ai jamais causé le trouble, mais j’avais vraiment envie de croiser du monde pendant la descente en étant les fesses et la chatte à l’air.
Aussi, un lundi ou j’étais en repos, je décidais de monter le matin tôt.
Je me disais que je pourrais attendre à la vigie en surveillant la piste. Et que si quelqu’un montait, je pourrais me lancer et le croiser nue.
Je me retrouvais donc vers 9h au sommet de cette colline, au pied de la vigie.
Je trouvais un endroit entre quelques arbustes, d’ou assise, je pouvais voir le parking au loin et la piste. Si du monde arrivait je ne pourrais pas le rater.
Assise dans l’herbe au soleil, je fantasmais sur une éventuelle confrontation, imaginant différentes personnes. M’exhiber devant un couple me plairait beaucoup. Je pense ne pas craindre grand chose. Je vois mal le monsieur abandonner sa femme pour me courir après. Maintenant si les deux me courent après, je me laisserais volontiers rattraper.
L’excitation montant et le soleil aidant mon corps à s’échauffer je commençais à me caresser.
J’enlevais mon short, me sachant seule et mes doigts ne tardèrent pas à rejoindre mon sexe tout mouillé. Comme j’aime me masturber au soleil.
Je vis enfin une silhouette sur la route tout en bas. Une personne arrivait sans voiture.
Surement un habitant des maisons du quartier.
Il était loin, il faut un très long moment pour monter jusqu’ici. Je surveillais donc sa progression tout en m’excitant de plus en plus. Je faisais quelques pas sur le petit sentier qui partait au dela de la vigie. Personne de ce coté la non plus.
Je pouvais mieux distinguer la personne qui montait maintenant. Il n’avait pas l’air tout jeune. Il semblait mème assez vieux.
Il devait être à 5 min de moi.
« -Allez vas’y, c’est le moment. « me disais -je
Je mettais mon petit sac sur le dos et partais en courant dans sa direction.
Un virage en lacet nous séparait encore. Mon coeur accélérait comme ma respiration.
Nous allions nous croiser en plein dans le virage. Encore quelques secondes et…
Il s’arrêta net en me voyant. J’étais à moins de 10 mètres de lui. Je me disais:
« - ca y’est il voit ma chatte!!!
Que j’aime ce moment précis ou une personne découvre mon corps.
Je lui disais alors:
-Bonjour, Pardon je ne vous avez pas vu arriver sinon j’aurais remis mon short.
-C’est pas grave, c’est…. Surprenant comme tenue pour courir.
Il devait avoir presque 70 ans, et je me disais que je le connaissais. Je l’avais déjà croisé quand je montais. Je pensais à ce couple que j’avais déjà vu ici. Je me disais que ne craignais pas grand chose de lui.
Aussi je m’arrêtais de courir et entamais la discussion.
d’habitude je cours habillée, vous imaginez bien, mais ce matin je sais pas ce qui m’a pris.
En tout cas c’est très agréable de tomber nez à nez avec une jolie femme nue.
Merci vous êtes gentil. Mais j’ai juste enlever le bas, je ne suis pas toute nue. J’ai encore ma brassière.Je suis quand même pudique, vous voyez.
Pudique!!! pour moi vous êtes à poil!!! C’est drôle , et vous n’avez pas peur comme ça?
Je le fais souvent et dans des endroits isolés. Je n’ai jamais eu de problème. Je ne vous avez pas vu sinon je serai pas restée comme ça.
Je suis content de vous avoir surprise alors, ma promenade aurait été moins joyeuse si vous vous étiez rhabillée avant.
Ça vous ennuie si je marche un moment avec vous? Je n’avez plus envie de repartir. Je sentais en moi cette envie de rester à m’exhiber devant cet homme
Mais vous descendiez, Moi je continue vers en haut.
Ce n’est pas grave Si vous voulez je veux bien marcher en votre compagnie. Mais je comprendrai que ça vous embête.
Non ça ne me gène pas au contraire c’est un plaisir. Ca fait bien longtemps que je n’ai pas vu une aussi belle femme . Et surtout le cul à l’air dans la colline.
Merci beaucoup, je suis ravie de vous faire plaisir.
Nous nous mirent à marcher l’un à coté de l’autre en rejoignant la vigie que j’avais quitté il y à tout juste 5 min. Il se dirigea vers le sentier que je n’avais jamais emprunté. Ce sentier était bien plus étroit et nous devions marcher l’un derrière l’autre.
« -Je vous suis? Ou je peux passer devant si vous préférez. » lui disais je;
-Je vous en prie allez y. Je veux profiter de la vue.
Il marchait juste derrière moi et pouvait mater mon cul tout autant qu’il voulait.
Ca m’excitait énormément. J’avais envie de me mettre complètement à poil mais en mème temps cette tenue cachant tout le haut de mon corps me plaisait beaucoup.
Nous avancions sur ce sentier qui semblait peu fréquenté . En effet les buissons de part et d’autres étaient vraiment rapprochés me griffant souvent les jambes.
J’attendais le moment ou il poserai ses mains sur mes fesses. J’avais envie qu’il me touche. Mais je ne sentais toujours rien. Alors je forçais un peu les choses.
Ah mince, attendez une seconde je dois refaire mon lacet.
Je me penchais en avant faisant mine de renouer ma chaussure pour lui offrir la plus belle vue de mes fesses. Je prenais mon temps. Mais toujours rien. Pas de mains sur moi. Il me lança finalement:
Vous aves un sacré joli cul.
Enfin une occasion de l’inviter à en profiter un peu plus.
-Vous pouvez me toucher si vous voulez.
Je l’entendis respirer un grand coup et enfin je sentis ses mains sur moi.
Il posa une main sur chaque fesse et les caressa doucement en décrivant de larges cercles.
Ses mains étaient chaude et un peu moite.
Je restais penchée en avant. Il serrait ses doigts comme pour pétrir ma peau puis relâchait sa pression pour à nouveau recommencer.
Quel bonheur. Je m’offrais à ce petit papi. Je ne sais pas dire le temps mais il resta un long moment à me peloter le cul. J’avais une folle envie de me masturber en même temps.
Je me redressais et lui faisais face.
-Vous pouvez faire pareil de ce coté si ça vous tente…
Oh oui, laisse moi te toucher partout. Tu m’excite tant.
Il avança sa main, la paume vers le haut, et ses doigts allèrent directement entre mes cuisses.
Il n’eu aucun mal à se frayer un chemin à l’intérieur de mon vagin. Un doigt puis rapidement un second. Le papi retrouvait sa jeunesse. J’écartais un peu mes pieds pour lui faciliter le chemin. Il remuait ses doigts dans mon corps et je me tenais à ses épaules en gémissant.
-Enleves le reste, montres moi tes seins, enleves tout.
Je jetais mon sac au sol et j’ouvrais ma brassière libérant mes seins. J’étais enfin complètement nue devant ce monsieur.
Mon dieu quels nichons magnifiques!!!
Profitez en autant que vous voulez, mon corps est à vous.
OOh oui merci ma belle.
Il promenait ses mains sur tout mon corps. Prenait mes seins dans chaque main, puis montait sur mes épaules, descendait le long de mes bras, remontait à nouveau sur mes épaules et descendait jusqu’à mes cuisses sans jamais rompre le contact avec ma peau.
Il ne délaissa aucun centimètre de mon corps et me caressa pendant de longues minutes.
Quel bonheur de me faire tripoter comme ça au milieu des collines sous le soleil, complètement à poil.
-Laisses moi te lécher les seins, s’il te plait
oui oh oui allez y
Il se mit a me lécher non seulement mes tétons, mais l’ensemble de chaque sein. Puis il enfoui son visage entre entre les deux, en les serrant de ses mains pour les resserrer.
Je tenais sa tète à deux mains.
On aurait dit un adolescent découvrant le corps d’une femme pour la première fois.
Ne tenant plus, je glissais mes doigts sur ma vulve dégoulinante de mouille et commençais à me doigter en meme temps.
Au diable la retenue. Au point ou j’en étais je n’avais plus honte de rien.
D’abord doucement puis je me doigtais furieusement.
Le sentant, il sortit enfin son visage de ma poitrine pour me regarder me toucher.
Il posa une main sur ma fesse . Lui attrapant l’autre main libre je le guidais jusqu’à ma chatte et il commença à me masturber tandis que je me doigtais toujours avec deux doigts.
Je sentis un violent orgasme me traverser. J’étais secouée de spasmes et me tendais sur mes jambes en gémissant longuement.
-Et bien, demoiselle, ça va mieux?
Oui , merci à vous ç’était vraiment trop bien. Mais à mon tour de vous faire plaisir!!!
Je posais ma main sur la bosse de son pantalon. Papi bandait encore…
En voulant ouvrir son pantalon ,il eu un léger mouvement de recul, comme si il ne voulait pas que je dévoile son sexe.
-Vous ne voulez pas que je vous fasse du bien.
-"Je sais pas trop, tu sais ça fait bien longtemps qu’une femme ne m’a pas touché. Et puis elle n’a peut etre pas très bon gout!!! « Me dit il l’air un peu gêné.
Je pensais surtout le toucher, le masturber. Pas forcément le sucer.
Je ne veux surtout pas vous mettre mal à l’aise. C’est vous qui décidez. Je n’ai pas l’intention de vous violer.
Tu es une sacré salope dis moi!!!
Il sortit finalement sa queue. A moitié en érection, je l’attrapais aussitôt. Elle n’était vraiment pas très grosse. Il avait juste ouvert sa braguette et je pouvais le masturber doucement. Sa queue enfla rapidement dans ma main.
-J’avais oublié comme c’est bon. Continue…
Il me caressait les seins en même temps.
J’avais soif de sexe.
J’adore cette nouvelle sexualité que je découvre au fil de mes nouvelles aventures. Je n’aurai jamais imaginé devenir un jour une exhibitionniste. En plus du fait de prendre énormément de plaisir à me promener nue dans la nature, je me rendais compte à quel point me retrouver à poil devant un inconnu m’excitais.
Je m’accroupissais devant lui pour le masturber. J’hésitais à le sucer car effectivement il me semblais bien que son hygiène n’était pas des plus irréprochable.
Je me contentais donc de branler cette petite queue en direction de mes seins en espérant recevoir quand même un peu de sperme sur ma poitrine.
Ca ne tarda pas à arriver, mais pas de grandes giclées sur mon corps.
Mon papi n’était plus tout jeune.
Il jouit en poussant quelques râles discrets et sa timide semence alla se répandre entre mes seins.
-Merci merci . Tu es un cadeau du ciel, si j’avais su qu’en allant promener ce matin il m’arrive une chose pareille…
-Je dois vous avouer une chose. En fait je vous avais vu arriver tout à l’heure, et j’ai fait exprès de venir vers vous à moitié nue. J’aime m’exhiber. Ca me rends dingue.
-Et bien dis donc !!! Tu peux continuer à le faire autant que tu voudras pour moi.
-J’adorerai
S’en suivi une discussion un peu irréelle dans laquelle il m’expliqua qu’il était veuf depuis plusieurs années, qu’il habitait une des dernières maisons ( comme j’y avais pensé en le voyant arriver). Il voulait que je vienne chez lui pour manger, ou boire un café.
Il me donna le numéro de sa maison.
Ce qui arrivera les jours et semaines à venir, je vous le raconterai dans la suite de ce récit.
Mais je peux vous dire déjà qu’après avoir hésité à y aller, j’ai finis par franchir le pas…
(A suivre…)
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