Le gourdin de tonton. 13

- Par l'auteur HDS Mlkjhg39 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Le gourdin de tonton. 13 Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le gourdin de tonton. 13
Le gourdin de tonton. 13



Je mordille ma lèvre inférieure pour éviter de crier, regardant en bas pour voir son monstre hyper-dilaté entrer en moi et écarter mes chairs sans aucune pitié. Je pousse sur mes pieds pour remonter un peu mais tonton me tire à nouveau vers le bas. Son gland touche le fond de mon vagin et pourtant une bonne partie de sa bite est encore à l’air libre. La douleur me rend folle mais la sensation d’être pleine et possédée par cet étalon sur le retour fait que le plaisir m’emporte. Mais je dois céder ma place car Chantal s’impatiente.

Suite :
Tonton soupire, les mains croisées derrière sa tête. Je libère sa grosse bite et le membre géant continue de se dresser et de palpiter sur son ventre. Chantal s’assied doucement sur ses cuisses, essayant de ne pas regarder son sexe qu’elle prend d’une main pour saisir de nouveau étroitement cette bite massive qu’elle commence à masturber lentement, elle l’astique sur toute la longueur surdimensionnée de son barreau le faisant gémir de plaisir. Elle est fière de branler la chaude virilité fièrement dressée de son tonton, saisie d’une convoitise dévergondée incontrôlable.
Nous regardons maintenant l’énorme mandrin, tonton grimace pendant qu’elle fait aller et venir sa main droite sur la grosse tige aussi rapidement qu’elle le peut.
-Si tu préfères ça Chantal. Suggère tonton, mets-toi plutôt à genoux. J’ai envie d’une bonne pipe, mais sois prêteuse ! Faites-moi une fellation d’enfer pour nettoyer mon engin de toutes les sécrétions de vos chattes.

Chantal se met immédiatement à l’œuvre, l’immense sexe de tonton dans sa main droite, elle commence par promener ses lèvres et sa langue sur le gland, la hampe et les testicules.
C’est encore plus impressionnant de voir sa sœur qui n’arrive pas elle aussi à cercler de ses doigts la hampe majestueuse. Je regarde le monstre qu’elle tient en main, ses beaux yeux écarquillés sur le gros gland hypertrophié, elle a la bouche ouverte avec une envie non dissimulée de se nourrir du gland dilaté de plaisir. Elle se gave de bonheur, essayant de le faire entrer au plus profond dans sa gorge, mais l’engin ne peut aller très loin, occupant pleinement la bouche offerte, elle bave généreusement. Sa bouche grande ouverte, la verge la pénètre sans ménagement et elle fait une première tentative pour aller le plus loin qu’elle peut à l’intérieur. Elle a immédiatement envie de vomir et le repousse. Elle se retire une seconde et Brigitte en profite pour prendre sa place et repartir immédiatement à l’assaut de ce pic de granit.
Nous nous relayons sans discontinuer pendant une vingtaine de minutes, n’arrivant pas à le faire jouir mais on voit bien que son plaisir est vraiment très fort. Il est pire qu’un bouc en rut, ayant l’impression que son sexe va exploser tant il bande très fort, aidé du cockring et aussi de l’effet du petit cachet bleu.
Il me semble que sa verge a pris des dimensions énormes, des dimensions encore jamais atteintes.
Nous tenons toujours son membre dans nos mains et le caressons maintenant tout doucement sous ses rictus de douleur, sentant son orgasme proche et une forte envie de vider ses burnes vraiment trop pleines. Ma fente est gluante de mouille. Nos caresses ont dû multiplier ses sensations, car visiblement le gros truc tendu vibre dans nos mains. Moi aussi, je m’enflamme et crie à Chantal :
-Suce-le bien, salope, tu l’aimes, hein, la grosse queue de tonton ! Bouffe-lui ses couilles !

Elle m’écoute et avale les grosses boules. Moi je branle frénétiquement le manche pendant que Brigitte sans retenue s’efforce d’enfoncer le plus possible de la belle queue dans sa gorge. Plus rien ne compte semble-il pour elle que ce plaisir de s’enfoncer profondément la bite gonflée prête à exploser. Sa bouche, maintenant distendue, elle s’efforce d’en avaler le plus possible, dans un bruit de succion de plus en plus sonore et bavant comme une chienne. Tout en le masturbant frénétiquement, je l’encourage de la voix.
-Oui Brigitte ! Régale-toi bien ! Mange-la toute ! Suce-la profond !
-Vous êtes de vraies diablesses les filles, je ne peux plus me retenir ! S’écrie tonton.

Il halète alors que son vit se tend sous les lèvres de Brigitte qui le pompe avec ardeur et c’est dans un gémissement rauque qu’il la repousse et lâche des jets saccadés d’une puissance monstrueuse. Comme un tuyau d’arrosage que vous pressez pour obtenir un jet plus fort, le cockring a le même effet et le sperme qui a réussi à franchir ce goulot d’étranglement a pris une vitesse folle et jaillit comme une lance d’incendie, projetant sa semence dans les airs.
Avec difficulté, Brigitte se saisit de la lance pour lui faire baisser la tête et avale le foutre jusqu’au fond de sa gorge puis qui déborde de sa bouche, coulant sur son menton et entre ses seins. Chantal presse sur les couilles avec ses doigts pour extraire le suc que sa sœur déguste comme une liqueur sirupeuse, se barbouillant le visage du sperme qui finit de gicler par saccades de moins en moins fortes du méat béant. Brigitte ayant fini son festin, je la vois déglutir le sperme éjecté par tonton, se repaissant de sa semence.
Bien que tonton gémisse tellement son gland est devenu sensible, je me précipite pour recueillir une dernière goutte qui s’écoule du champignon tout en masturbant le sexe, le gland dans ma bouche car un peu de sperme baveux sort encore par le bout du méat. Je réalise soudain que la verge de tonton malgré cette éjaculation orgasmique n’a pas du tout débandée, toujours aussi raide, toujours aussi dure, toujours aussi grosse. Je recrache son engin, n’arrivant pas à décoller mon regard de cette queue toujours vibrante de l’incroyable orgasme qu’elle vient de subir et de toute cette purée éjaculée si furieusement, pas plus copieuse que d’habitude, et pourtant… Pendant ce temps, Chantal lèche toute la semence sur le corps de Brigitte, en appréciant son odeur et sa consistance épaisse. Plus rien n’existe maintenant pour nous que ce mâle exceptionnel.
Chantal qui n’a pas encore fait son tour de manège délaisse sa sœur, me repousse pour s’empaler elle aussi sur le pieu toujours en grande forme. Tonton lui empoigne ses seins et les tripote doucement, essayant de récupérer quelques forces. Elle commence à limer plus dur son vagin sur cette grosse rappe en grimaçant et frissonnant aussi quand elle tente d’enfoncer la gigantesque tige dans sa chatte vibrante, le clouant sur le divan. Il est presque en entier dedans, il n’y a que ses grosses couilles et quelques centimètres de la hampe qui émergent encore. Je ne sais pas si elle s’est déjà sentie aussi remplie de toute sa vie mais comme pour moi, on dirait que sa chatte se contracte de façon incontrôlable, se serrant et se relâchant constamment autour de la rigidité énorme qui occupe tout son vagin et entraine ses chairs intimes à chaque aller/retour. Tonton reste immobile après avoir attiré Chantal à lui, écrasant ses mamelles sur son torse. Cette salope de Brigitte en profite pour venir gober les œufs de tonton.

Mais tonton veut un peu plus de confort, il se redresse entrainant Chantal toujours empalée jusqu’à la garde et se dirige d’une démarche assurée jusqu’à sa chambre. Il se retourne et s’étend sur le lit toujours accompagné de Chantal qui décide de changer de position. Elle se relève puis recule entre les jambes de tonton, pose les mains sur sa poitrine et les pieds sur ses cuisses et avec notre aide pour diriger le missile sur sa cible, elle monte et baisse à la force de ses membres sur LE MEMBRE…
Comme cette position est assez énergivore, Brigitte et moi attendons que Chantal nous passe le « témoin », essayant de battre le record du monde de la distance sur ce phallus aussi ferme et résistant qu’un gode de silicone. Mais tonton n’en peut plus et nous ordonne :
-Vous êtes de vraies trainées et je ne sais pas pourquoi j’ai si mal à la pine. Il faut que je me ménage, prenez ma place, le dos sur le lit, les pieds au sol et écartez les cuisses !

Nous lui obéissons et le regardons debout, un véritable cep de vigne noueux toujours dressé. Il se met à genoux entre les cuisses de Chantal entourée de Brigitte et de moi et lui dévore le minou, la faisant brailler mais il ne nous oublie pas et une main experte fouraille mon berlingot. Pas de doute qu’il fasse la même chose à Brigitte. Je coule déjà pas mal mais ça devient encore pire quand il nous demande d’intervertir nos places et que c’est sa langue et ses lèvres qui prennent le relais. Je monte vite dans les tours et étanche sa soif directement à ma source. Je voudrais que ça dure encore mais maintenant c’est avec Brigitte qu’il est à l’œuvre, le bas du visage brillant de nos humeurs abondantes. Après plus de vingt minutes de ce traitement, il décide de changer nos positions. Tonton se relève et malgré tout le temps passé à nous gamahucher la moule, son chibre est toujours aussi imposant, roide comme une stalactite de glace brûlante. Il n’a pas débandé d’un iota !!!
-Vous connaissez « la chenille », les filles ? Je vais vous apprendre une autre façon de la pratiquer ! Toutes à genoux et sur les coudes et vous broutez la chatte offerte de vos sœurs. Moi je m’occupe de la dernière à ma façon et quand je claque dans mes mains, elle vient prendre la place de la première de la file…

On se dépêche de lui obéir et je me retrouve coincée entre Brigitte qui me broute le minou et Chantal auquel je rends la pareille. Je ressens les coups de boutoir de tonton en train de troncher Brigitte avec application. Au claquement, Chantal se dépêche de se relever et de se repositionner derrière Brigitte. Tonton reprend comme un métronome son dur labeur et malgré les deux maillons que sont mes sœurs, ses coups de reins font déraper les coups de langue de Brigitte de ma vulve à mon anus qui n’en demandait pas tant. Nouveau claquement, c’est à mon tour… Je prends la dernière place de la chenille fraternelle et sans prendre aucune précaution, tonton m’enfile son gourdin dans ma chatte heureusement détrempée par ma mouille et la salive de Brigitte.
Malgré ça, je dérouille comme jamais. Je me demande de combien de centimètres supplémentaires la circonférence du vit de tonton a grossi. Probablement beaucoup moins que ce que je crois mais suffisamment pour que mes cris soient étouffés entre les lèvres vaginales de Chantal. Son mandrin a une dureté que je n’ai jamais connue. L’effet du cachet bleu et surtout cet anneau qui étrangle la base de son chibre y sont pour quelque chose. Putain ce que je dérouille… J’espère qu’il ne va pas en profiter pour me sodomiser, ça serait horrible.
Nous faisons quatre tours de manège complets connaissant de multiples orgasmes sur cette queue détrempée de nos mouilles respectives avant que de nouveau tonton nous annonce sa jouissance proche. Nous nous dépêchons de nous mettre en éventail devant lui pour profiter de la nouvelle manne promise. Contrairement à la première fois, il ne veut pas qu’on le branle et nous assistons à « la danse de la lance ». Son gourdin comme animé d’une vie propre monte et baisse au rythme des contractions de son périnée. De nouveau les jets de semence se succèdent, nombreux et puissants car pour franchir l’anneau, le foutre monte en pression, parcours la hampe si dilatée que le canal spermique est lui aussi réduit et quand sa crème franchit la fente de son gland violacé tellement gorgé de sang, la pression est telle qu’un filament blanchâtre de plus d’un mètre s’élève dans les airs et finit sa course dans les cheveux de Chantal, la mieux placée. Tonton se tourne pour nous faire profiter à tour de rôle de ce serpent cracheur qui nous hypnotise.
Une fois la lance asséchée, nous nous nettoyons mutuellement comme une chatte nettoie ses chiots, goûtant son sperme légèrement acre. Mais tonton reprend la parole ;
-Je ne sais pas ce qui m’arrive, je n’arrive toujours pas à débander malgré mes éjaculations, et ça fait plus d’une heure que j’ai envie de pisser, ça va être coton…

A suivre…

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