Le gourdin de tonton. 14

- Par l'auteur HDS Mlkjhg39 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Le gourdin de tonton. 14 Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le gourdin de tonton. 14
Le gourdin de tonton. 14



Tonton se tourne pour nous faire profiter à tour de rôle de ce serpent cracheur qui nous hypnotise.
Une fois la lance asséchée, nous nous nettoyons mutuellement comme une chatte nettoie ses chiots, goûtant son sperme légèrement acre. Mais tonton reprend la parole ;
-Je ne sais pas ce qui m’arrive, je n’arrive toujours pas à débander malgré mes éjaculations, et ça fait plus d’une heure que j’ai envie de pisser, ça va être coton…

Suite :
Il se dirige vers la salle de bain carrelée du sol au plafond avec une douche à l’italienne. Malgré la rigidité de sa verge empêchant normalement l’homme de pisser en pleine érection, quelques gouttes d’urine franchissent le méat. Plus les secondes passent, plus le jet doré prend de la puissance atteignant déjà un bon mètre. Mais quand Chantal a l’idée saugrenue de prendre sa teub en main et de la presser comme un pis de vache empêchant un jet continu, chaque filet de pisse devient un monstrueux jet de plusieurs mètres finissant par éclater en gouttelettes sur le carrelage mural à plus de deux mètres. Vous trouvez que j’exagère, mais je vais vous indiquer de petites vidéos qui corroborent mes dires : (big cock multi usages. p.ozieu ou attention devant !!! p.ozieu).
Quand enfin il a la vessie vide, sa verge toujours aussi grande a quand-même perdu un peu de sa rigidité et les veines en sont beaucoup moins saillantes. Chantal ne perdant pas le nord lance aussitôt un pavé dans la mare.
-Julie, moi et Brigitte on va te préparer le fion pour recevoir son défonce-cul qui a repris une dimension « plus acceptable ». Tu vas brailler quand même…

Mes deux sœurs entreprennent de me graisser le fion et de l’aléser un tant soit peu avec un gode déjà de bonne taille sous les yeux de tonton qui regarde ça comme si ça ne le concernait pas.
Brigitte écarte mes fesses des deux mains pendant que Chantal positionne l’engin sur mon petit trou, le guidant de la main elle force sur ma petite rondelle brune. La lubrification aidant, mon sphincter capitule d’un coup. Je pousse un cri pendant que disparait entièrement au fond de mes reins ce simili pénis.
Tonton vient les rejoindre et pointe sa langue sur mon anus qu’il libère de l’intrus en silicone et commence à l'enfoncer dans mon trou qui s'ouvre tout seul. Je sais déjà qu'il va m'enculer. Je le veux et le redoute en même temps. Je me redresse et l’implore :
-Baise-moi tonton ! Je veux ta queue dans tous mes trous !
Il me caresse la chatte avec son énorme gland, le glisse entre mes lèvres vaginales et se pousse en moi. Je suis déjà en extase en sentant son énorme pieu m'écarter la vulve et se lubrifier dans ma chatte.
-Aaahh! Quelle est bonne ta grosse pine tonton !
Mais il n’insiste pas pour ne pas reprendre trop vite du gourdin et pointe son gland contre mon trou du cul, en me disant :
-Je vais t’enculer ! Si tu veux que j’arrête, c’est maintenant ou jamais !
Je lui réponds : J’espère que mes sœurs ont bien préparé la voie, mais ta queue est si grosse… Elle ne rentrera jamais !

Comme je ne suis pas opposée formellement à la suite, tonton commence à pousser son membre dans mon cul. Je sens mon anus résister malgré-moi au bélier puis céder soudain. Je suis déchirée par son gland mais il le retire pour le présenter à Chantal lui faisant sucer son pieu énorme et encore plus le lubrifier. Il représente de nouveau son chibre, se plaçant derrière moi et me prend par les hanches.
mais ce coup-ci, il ne prend plus de gant et d’une poussée formidable, fait entrer sa verge en entier dans mon cul, attend quelques secondes puis ramone mes boyaux serrés aussi profondément qu’il peut, me dilatant l’anus à la limite de la rupture. Je crie :
-Tonton !!! arrête ! Nooonnn ! Tu me déchires le cul !

Je suis toujours embrochée sur la verge à peine dégonflée de tonton. Je réalise enfin que sa bite monstrueuse est entrée tout entière dans mon petit trou du cul car je sens ses couilles battre contre ma vulve. Non sans mal, mais il a réussi ce que je croyais irréalisable. C’est un fait que j'ai pris sa monstrueuse queue tout entière dans mon cul, bordel… Le problème c’est que lui aussi ça l’excite et que sa queue redevient aussi dure que l’acier qui me ramone sans pitié le rectum. Ses couilles s’écrasent régulièrement sur ma chatte mais il ne tient aucun compte d’une plainte lancinante et ininterrompue de ma part. Je ne peux m’empêcher d’être surprise d’une si rapide récupération de ce mâle pourtant plus très jeune avec sa monstrueuse machine dans mon cul, je vais mettre pour la troisième fois à l’épreuve sa résistance.
Il me tient toujours par la taille et se redresse et m’emportant pour s’asseoir sur le bord du lit. Je m’enfonce littéralement sur son pieux, un orgasme foudroyant monte, je décharge ma cyprine à grands jets sous les regards médusées de mes sœurs découvrant que je suis une femme-fontaine.
-Putain sœurette ! Tu nous avais caché ça, une vraie pisseuse… S’exclame Chantal en me tirant pour libérer l’objet de sa convoitise et voir si elle aussi elle peut tâter du comte Dracul.
-Ouaisss ! Je te comprends Julie, ça c’est de la pine de concours ! Je lui donne la médaille d’or ! Jamais connu ça !

Aussitôt en entendant ça, Brigitte veut elle aussi tester « la bête ». Ce qui fait que les quinze minutes suivantes nous rejouons à la bite musicale mais en un peu plus diversifiée. Tonton se laisse faire les deux bras tendus en arrière et les mains à plat sur le lit. Trois bouches, trois anus et trois chattes se relayant sur la colonne de marbre rose aux veines redevenues très proéminentes à cause, (ou grâce) à ce fichu anneau. Les leçons d’équitations se succèdent sur notre amant assez spécial. On a même fini par lui bander les yeux et le faire s’étendre complètement pour qu’il ne sache plus à qui il a affaire. Je serre ses couilles dans ma main et fais coulisser sa bite de plus en plus vite jusqu'à la limite de ma luette dans ma bouche. J’utilise ma bouche, mes lèvres et ma langue pour l’amener comme mes sœurs à l’orgasmes en espérant une éjaculation buccale et faciale. Je suis sûre qu’il est encore capable de nous étonner. Mais lui est trop occupé à dévorer à pleines dents, (je rigole), les moules juteuses qui se collent au rocher de sa bouche.
J’ai repris la chevauchée. Brigitte et Chantal m’aident à me retirer du pénis sur lequel je me suis moi-même empalée car je suis quasiment inconsciente, ivre de bonheur et de plaisir puis m’étendent à côté de lui. Chantal s’allonge à côté de moi pendant que Brigitte se positionne de l’autre côté de tonton. Elle le branle, léchant sa queue ou embrassant sa bouche en même temps jusqu'à la jouissance du mâle. Il ne bouge pas et quand la sauce jaillit, des trainées de sperme couvrent son corps de son menton à son bas-ventre. Je me précipite sur sa queue pour la sucer et la nettoyer avant qu’une de mes sœurs ne le fassent. Puis nous nous partageons cette manne céleste, cette phénoménale quantité de sperme pour sa troisième éjaculation d’homme sur le retour.
J’ai hâte de me refaire enculer.
- Vous m’avez fait subir un véritable supplice de plaisir les filles. Mais je soupçonne l’une d’entre vous d’y être pour quelque chose… Je sais de j’ai des capacités que peu d’hommes ont, mais je constate bien qu’il y a un truc qui cloche, ou plutôt ma teub. Malgré mon cockring, je devrais débander bien plus que ça, et pourtant j’ai toujours la « trique », pas normal ça… Je ne veux pas savoir qui en est la cause mais vous allez me le payer. Mettez-vous devant moi côte à côte et je vais vous prendre en levrette chacune à votre tour. Et je continuerai et continuerai tant que je banderai.

Tonton pénètre Brigitte de son dard. Je vois ce long manche disparaître lentement dans le cul de ma sœur, comment ce petit orifice peut-il avaler tout ça ? Il la défonce de toutes ses forces, je vois ses seins remuer violement de gauche à droite pendant qu’elle vocifère une litanie de mots obscènes telle une possédée du démon lors d’un exorciste.
Il change de monture et commence alors une course endiablée entre ma chatte et mon cul avec son gros nœud avant de limer inlassablement mon derrière. La douleur de l'intrusion initiale est si vive qu’il m’écarte les fesses au maximum pour minorer ma douleur. Après quelques minutes de folie, je deviens une poupée inarticulée complètement en son pouvoir, mon cul est en feu.
- Doucement tonton ! recommande Brigitte, angoissée par une telle violence.
- Ne t’inquiète pas, j’ai mon lubrifiant ! Et comme pour Chantal il me tartine le trou à bites J’ai l’impression d’entendre les chairs craquer, tellement la pression extérieure est forte, mais le vagin et l’anus de la femme ont d’extraordinaires élasticités.
Quel plaisir quand un nouvel orgasme secoue mon corps et je sens mon sphincter se contracter, je n'en reviens pas de la sensation d'être sodomiser par un tel organe, mon cul se contracte à plusieurs reprises comme pour expulser l’intrus.
Je jouis d'une façon irréelle inondant de longs jets de cyprine le sol et tombe presque en syncope. Ma chatte mouille tellement qu'une grosse tâche s’étale par terre. La tension monte de plus en plus dans mon bas-ventre. Je sens que mon sexe va exploser. Je ne sais pas si je suis fascinée par son endurance ou tout simplement écœurée. Mais je me sens soudain toute vide car tonton encule maintenant Chantal qui piaffait d’impatience telle une jument sentant l’étalon en rut. Mes yeux ne peuvent se détacher de l’engin. Il est épais, noueux et énorme, et ses deux grosses couilles pendantes sont du même acabit. Il est vrai que je n’en ai jamais vu de cette taille.

À ce rythme, il ne devrait pas pouvoir tenir bien longtemps, mais il fait des pauses et nous en profitons pour traire son chibre. Nous n’arrêtons pas de le branler, approchant nos bouches pour l’embrasser ou gober ses burnes. Il voudrait se calmer mais nous entretenons ce volcan prêt à entrer en éruption. Avec ma langue je lèche le gland et l’aspire par à-coup. Nous maintenons le rythme jusqu’à ce qu’il éclate. Je regarde mes sœurs tout en continuant à le sucer.
Il n’en peut plus, ses yeux sont comme révulsés, mais on continue notre manège tel un supplice. Il se laisse enfin aller. Son sperme monte encore une fois dans sa queue qui vibre que contentement.
J’arrête de le sucer mais conserve sa queue dans ma bouche où sa semence jaillit. Je reçois tout ne voulant pas partager, ma bouche en est pleine mais j’arrive à ne pas en perdre une goutte car le débit n’a plus rien à voir avec ses précédentes éjaculations, la source doit commencer à se tarir.
Je retire sa queue de ma bouche que j’ouvre en grand en regardant mes sœurs pour qu’elles constatent ma victoire, puis la referme et doucement commence à déglutir.

Je me relève et embrasse tonton, nos bouches s’unissent dans un long baiser passionné sous le regard envieux de mes sœurs mais cette journée était la mienne au départ. Je suis heureuse et comblée. Je sens contre mon ventre encore de la vigueur, je la juge en empoignant aussitôt dans une savante masturbation cette bête enfin assoupie, étonnée des ressources de mon tonton à moi, fatigué de tant d’efforts physiques intenses.

Je veux profiter de mon amant et faire comme mes sœurs profitant qu’il a pas mal baissé pavillon. Je m’attaque à nouveau à son engin, m’arrêtant parfois pour lécher son gland odorant ou lui prenant les couilles en bouche et soudainement, j’avale jusqu’à la luette cette grosse queue, réussissant à faire ma première gorge profonde en allant toucher de mes lèvres les poils poivre et sel du pubis. Je viens de réaliser un sacré exploit, (en trichant un peu). Mais que se passe-t-il ? Le chibre recommence déjà une nouvelle croissance. Non ! Ce n’est pas possible ! Il ne faut jamais s’approcher d’un fauve qui dort car il peut se réveiller.
Je sais bien qu’un étalon peut saillir tout son troupeau de jument mais ça fait déjà plusieurs heures que ce phénomène nous tringle par tous les trous possibles. Il ne va pas encore remettre ça ? J’étouffe et recrache la bête incontrôlable.

Quand soudain une voix s’élève, c’est celle de maman :
-Oh mon Dieu ! Qu’as-tu fait Xavier ? C’est pas possible…
Elle s’approche, on a droit chacune à une gifle et on se rhabille en vitesse quand elle reprend ses jérémiades.
-Tu n’as décidément pas changé, une vraie bite sur patte. Mais mes filles Xavier, mes filles !!! Va falloir qu’on cause. Et elle se sauve en pleurant…

Une suite ? Sûrement …

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