Le gourdin de tonton. 16

- Par l'auteur HDS Mlkjhg39 -
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le gourdin de tonton. 16 Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le gourdin de tonton. 16
Le gourdin de tonton. 16

-Depuis le temps que j’attendais ça. Vous savez, j’ai deviné depuis quelques temps qui vous êtes. Je suis assez physionomiste et quelques détails de votre maison m’ont retiré les derniers doutes. Comme dans le loto, beaucoup jouent mais peu peuvent toucher le gros lot, et là, le « gros lot », je l’ai dans ma main. C’est encore plus beau en 3D que sur un minuscule écran. Mon mari est pas mal doté comme vous pouvez le voir car tout ça l’a fait bander lui aussi, mais rien de comparable à votre boutefeu. Vous me permettez d’en goutter la gueule ?
Et son mari de me féliciter : « Putain ! C’est à peine si mes doigts se touchent quand j’enserre votre chibre ! Quel calibre !

Suite :
Mais sans attendre ma réponse, elle change de position pour embouquer mon rostre, et tout ça sous le regard de six jeunes filles, la tête posée sur leurs bras croisés appuyées sur la margelle de la piscine.
Son mari n’est pas en reste et me pétrit les boules, peut-être pour éviter les grumeaux ? Elle sait y faire la bougresse et ma queue disparait presque entièrement dans l’antre de sa bouche, dépassant sûrement la frontière de la luette. Elle a une pratique soulignant une très longue expérience doublée du pétrissage consciencieux de Pierre et des regards d’envie ou de jalousies des filles. Sans aucun effort apparent, elle me fait une « gorge profonde ». Au bout de deux minutes, je ne peux plus tenir et envoie la sauce, toujours enfoncé plus que de raison dans cette bouche/four. Les filles sont ébahies par le résultat de cette grosse gourmande car mon sperme lâché en abondance s’échappe par la commissure de ses lèvres, ce qui est assez courant, mais aussi par ses narines où de longs filets blanchâtres comme des affluents de foutre viennent rejoindre le fleuve qui s’écoule sur la main de Pierre avant de finir sur mes cuisses et mon bas-ventre.
-Bordel de merde ! S’exclame Pierre, Je l’ai déjà vu traire un sacré paquet d’homme mais c’est la première fois que j’assiste à un tel spectacle. Et regardez ! Elle ne veut pas lâcher sa lance, allons Jeanne, ne monopolise pas notre hôte !

Jeanne lâche sa proie et reprend sa respiration en toussant et se mouchant dans ses doigts pour déboucher ses bronches. Mais ce qui se passe ensuite est véritablement irréel, toutes les filles sont sorties de l’onde et se battent pour avoir chacune leur part de ma semence mêlée à la bave abondante de Jeanne qui couvre mes cuisses et mon service trois pièces. Comment voulez-vous que j’arrive à débander avec un tel traitement ? Trois belles métisses et trois filles à la peau blanches se relaient sous les yeux admirateurs de Pierre.
-T’es un sacré loustic, Xavier. Moi il me faut bien une demi-heure pour remettre le couvert alors que pour toi, ça ne t’a fait ni chaud ni froid que Jeanne t’ait vidé les burnes, et que dire de la décharge que tu as crachée, une vraie dose de cheval ! Et en plus, tu as une véritable harde de pouliches qui attendent de se faire inséminer par l’étalon du troupeau. Je savais pour les petites voisines mais pas que tes nièces aimaient aussi ta bite, de vraies mortes de faim.

Pour ne pas faire de jalouses, je les repousse et m’assieds sur la margelle, les pieds dans l’eau et les jambes écartées. Toutes les filles sont alignées, un bras sur le bord de la piscine, attendant sagement leur tour pour venir poser une main sur chacune de mes cuisses et emboucher suivant leur possibilité buccale mon chibre dressé vers le ciel. Et c’est reparti pour un nouveau tour de manège aquatique. Mais elles changent vite d’exercice car je ne peux en contenter qu’une à la fois. Trois regagnent la terre ferme, l’une m’enjambe pour que je broute sa chatte ou son cul pendant que je doigte ses copines, excitant leur clito ou cherchant leur point G. Pendant ce temps-là, les trois naïades se relaient, l’une me tournant le dos pour s’empaler sur ma bite pendant que les deux autres me branlent ou bouffent mes couilles. Pour changer de filles, il me suffit de mettre mes deux mains sur les fesses de ma cavalière et de l’envoyer faire un plat dans la piscine et c’est reparti pour un nouveau tour. L’éjaculation précédente a calmé mes ardeurs et elles doivent s’escrimer pratiquement une demi-heure pour que je rende un nouveau tribu tel le dieu Eros. Comme je ne veux pas de jalouses, j’ordonne à la chanceuse en train de me traire de cesser immédiatement et préviens ses copines que le volcan va de nouveau entrer en éruption. Mon sexe libre d’entraves monte et baisse suivant les contractions de mon périnée avant de lâcher les premières gouttes. Ce premier jet décevant est suivi de trois autres qui forment comme une arabesque de foutre dans les airs avant de venir se délayer dans l’eau à plus d’un mètre. Les suivants baissent en intensité avant que le dernier ne glisse nonchalamment sur mon gland. De son coté, Jeanne a tiré son tribut de la pine de Pierre qui débande presque aussitôt.
-Bon les filles ! Petit intermède, je leur annonce, je ne suis pas qu’une lance à foutre, merde ! laissez-moi récupérer un peu, que diable !

Comme à l’école où la cloche marque la fin des cours, la volée de moineaux se transforment en sirènes lesbiennes, déçues de ne plus avoir leur jouet préféré. Nous finissons la journée et les filles nous quittent, déçues. Je veux faire de même mais mes hôtes s’y refusent.
-Reste Xavier, tu vas dîner avec nous, annonce Jeanne. Tout ça m’a creusée et j’ai une faim de louve, faim de bons mets et faim de toi. Ne compte pas t’en tirer à si bon compte.

Deux heures après, le repas avalé ainsi que le café et de nombreux pousse-café. Je voudrais regagner mes pénates mais je suis retenu en otage par ce couple grisé par l’alcool. Jeanne déclare :
-Changement de régime. J’en ai marre de voir un seul homme se taper plein de filles et je veux maintenant que deux hommes s’occupent de moi. J’ai déjà fait des doubles, mais jamais avec un tel étalon et je veux connaître la sensation de se faire piner par deux belles queues ! Xavier, veux-tu accepter, si tu es encore d’attaque ?

Comment refuser après ce qui s’est passé dans l’après-midi ? Je ne suis pas un mufle et ma fois, elle est encore gironde, Jeanne. Nous la laissons nous dévêtir et branler nos sexes jusqu’à ce qu’ils trouvent leur taille idéale. Elle ne peut s’empêcher de comparer nos anatomies.
-Je suis habituée à l’aiguille tordue un peu molle de Pierre qui marque 4h20 alors que pour toi Xavier, elle indique 2h10 aussi droite que la flèche d’une cathédrale. Comment une si grosse bite d’une telle longueur arrive-t-elle à être si dure ? Mystère… Mais je ne goutte pas mon plaisir de vous branler les deux en même temps. Putain qu’elle est lourde, ta queue Xavier !

Ensuite on entend plus que des borborygmes car sa bouche est obstruée par la grosse virgule de Pierre ou par mon gourdin, sinon par les deux en même temps où elle ne goutte que la gueule. Pierre me fait alors une demande :
-Avant ça, je voudrais savoir si Jeanne peut supporter la totalité de ton tenon dans sa mortaise qui comme toute bonne mortaise doit toujours être un peu plus petite pour bien tenir l’assemblage.
-Je connais une position qui ne lui laisse aucune possibilité de se rebiffer. Si jeanne accepte de tenter le coup, je veux bien me plier à ta demande. Je lui réponds et nous regardons ensemble jeanne qui opine doucement de la tête, ne sachant comment elle sera mangée.

Je lui demande de se coucher sur le sol, relève ses jambes jusqu’à ce qu’elles encadrent sa belle poitrine et la cloue comme un papillon sur une feuille de carton en mettant tout le poids du haut de mon corps sur mes mains positionnées à la pliure de ses jambes au niveau des genoux. Mais le clou qui va transpercer son corps n’est pas encore entré en service, je bouge un peu pour mettre mon missile sur la bonne trajectoire et mets le feu aux poudres. Je m’enfonce tout doucement et manœuvre plusieurs fois pour tester l’élasticité de sa gaine vaginale puis malgré une résistance faible, j’arrive à enfoncer la totalité de ma verge jusqu’à ce que mes burnes frappent sur ses fesses. Heureusement que la maison est assez isolée car elle me casse les oreilles par un cri ininterrompu.
Mais ça ne suffit pas à Pierre qui veut au bout de quelques minutes que je prenne sa femme en faisant le pont inversé. C’est quoi ça ? Il m’explique la position en même temps qu’on la met en pratique.
-Xavier, tu te couches au sol sur le dos, Jeanne se fiche sur toi dans l’autre sens, les pieds posés au sol autour de ta tête ainsi que les mains au niveau de tes cuisses. C’est elle au début qui est active et toi passif, mais quand tu le veux, tu poses tes mains à la pliure de ses genoux comme tout à l’heure et à la force de tes bras, tu la fais descendre et monter à ton rythme et c’est toi maintenant qui gère la pénétration de ta verge dans son vagin.

Je m’applique a faire cette figure que je ne connaissais pas. Je dois dire que c’est assez jouissif, mais aussi très fatigant. Pierre s’en aperçoit et nous propose aussitôt une autre position, que j’espère pas trop acrobatique.
-Xavier, tu connais celle du marteau-pilon ? Je veux que tu fasses brailler Jeanne comme une truie qu’on égorge et je suis sûr de ne pas être déçu, dis, tu veux ?

Celle-là, je la connais mais on ne peut pas dire que Pierre aime la simplicité, et je vais devoir encore une fois donner de ma personne. Je me mets donc en position contre un mur, comme pour faire le poirier, les fesses et le bas du dos appuyés sur le mur et les épaules et la tête sur le sol. Jeanne vient s’appuyer dos au mur et se saisit de ma teub pour la tirer vers le bas pour moi mais vers le haut pour Pierre. Je n’aime pas trop car comme je ne suis pas un homme qui bande mou, c’est assez désagréable. Elle s’empale sur ma queue avec délicatesse car mon chibre maltraité veut revenir à une position plus naturelle et frotte avec force sur une seule face de son vagin, lui aussi maltraité.
Je mets enfin mes pieds sous ses bras et la soulève du sol en tirant ses jambes par les pieds pour qu’ils ne reposent plus sur le sol. Je la soulève et la laisse redescendre, contrôlant avec douceur la pénétration de mon chibre. Elle ne peut rien faire d’autre que de subir et lorsque je laisse son corps descendre plus que de raison, nos pubis se rencontrent avec un claquement sonore. Peu de femmes peuvent se vanter d’être parvenu à prendre en entier ma verge en elles, mais il faut dire là qu’elle n’a pas trop droit à la parole à part hurler.
-Aaaahhhh ! Arrrggg ! Oh putain ce que je dérouille, ooouuuhhh !

A suivre…

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