Le gourdin de tonton. 17
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le gourdin de tonton. 17
Le gourdin de tonton. 17
Je mets enfin mes pieds sous ses bras et la soulève du sol en tirant ses jambes par les pieds pour qu’ils ne reposent plus sur le sol. Je la soulève et la laisse redescendre, contrôlant avec douceur la pénétration de mon chibre. Elle ne peut rien faire d’autre que de subir et lorsque je laisse son corps descendre plus que de raison, nos pubis se rencontrent avec un claquement sonore. Peu de femmes peuvent se vanter d’être parvenu à prendre en entier ma verge en elles, mais il faut dire là qu’elle n’a pas trop droit à la parole à part hurler.
-Aaaahhhh ! Arrrggg ! Oh putain ce que je dérouille, ooouuuhhh !
Suite :
Mais moi aussi, je dérouille, et surtout je fatigue. Ça suffit, je veux revenir à quelque chose de plus commun car ça finit par me couper un peu mes effets pour le plus grand bonheur de Jeanne car ma teub en est devenue moins rigide donc plus souple et supportable pour elle. C’est alors que Pierre s’approche, prend ma bite pour la diriger vers l’anus de sa femme et quand je plie à nouveaux les jambes, ma teub un peu ramollie s’insinue entre ses fesses et disparait dans ses boyaux en totalité sous ses hurlements tellement aigus qu’ils briseraient des verres en cristal avant de m’encourager.
-Ouiiihhh, le pied, encore ! Encore ! On le sent passer ton défonce-cul ! Putain ce que je dérouille !
C’est facile à dire pour elle, c’est moi qui trime et elle qui jouit. Je demande à Pierre de venir s’occuper de sa femme le temps que je récupère mais il a une autre idée. Il s’approche, met ses pieds sous mes aisselles et d’une manière acrobatique vient planter sa queue dans le vagin de sa femme. Ma position fait que ma verge appuie fortement sur la paroi séparant les deux puits d’amour et il doit forcer pour réussir à se frayer un chemin sous les hurlements à vous crever les tympans de Jeanne.
Heureusement, il a glissé ses mains sous les jambes de son épouse ce qui diminue pour moi son poids et je lui en suis reconnaissant. Mais j’en ai marre de ces positions dignes du cirque Bouglione et lui fait comprendre.
Enfin ayant regagné ma liberté de mouvement, je les regarde forniquer devant moi pendant que je récupère un tant soit peu. Je suis tombé sur des drôles de zigotos adeptes du candaulisme et du triolisme… J’ai à peine le temps de reprendre mon souffle qu’il envoie la sauce, accompagnant la jouissance toujours aussi sonore de Jeanne. Ils viennent ensuite s’étendre de chaque côté de moi pour récupérer eux aussi mais quelques minutes plus tard, ces drôles de numéros se battent presque pour me sucer et branler ma queue qui aurait bien voulu un peu plus de repos. Tel un cobra, ma verge qui avait fini par se lover entre mes cuisses, reposant mollement sur mes burnes se redresse comme devant un fakir jouant de la flute à six stroumpfs. On se croirait à Saint-Claude lors du concours de fumeurs de pipes qui doivent faire durer le plus longtemps possible quelques grammes de tabac avec trois allumettes. Heureusement que je me suis déjà vidé les couilles deux fois car se sont de vrais experts dans l’art de « la pipe ».
Pierre me demande alors ce que je n’ai jamais encore pratiqué car j’ai bien assez à faire avec toutes mes conquêtes féminines.
-Xavier, Je ne sais pas si tu vas accepter mais je voudrais que tu nous sodomises à tour de rôle. Il n’y a pas de raison que seule Jeanne trouve son plaisir avec ton gourdin. Mon trou du cul n’est pas différent du sien ou des filles que tu as enculées tout l’après-midi.
Je dois dire que là, il marque un point et que cette journée est complètement folle, alors pourquoi-pas ? Mais une certaine perversion guide sa demande. Le couple se met tête-bêche ce qui permet à l’enculé(e) de se faire sucer l’ognon ou le poireau pendant que je bine consciencieusement l’anneau fripé de l’un ou de l’autre tout en profitant lui(elle) aussi d’une bouche avide qui bouge sans arrêt au rythme de mes assauts. J’ai la bite compressée dans ces conduits anaux mais il ne sera pas dit que je suis un éjaculateur précoce et que je vais me vider si vite quand une bouche prend la place d’un trou du cul pour me graisser le gourdin avant de replonger dans un cloaque. Ça fait maintenant un sacré moment que je jardine, me servant de mon plantoir pour alléser un fion qui a de la difficulté à se refermer quand je l’abandonne. Mais à l’impossible, nul n’est tenu et il faut bien une fin à chaque histoire. Quand je sens le terme proche, je les repousse et leur demande :
-Qui veut profiter de mon obole ? Ça sera la dernière de la journée et je n’ai plus que de la menue-monnaie dans mes bourses !
Ils se battent presque pour déguster mon sperme moins abondant que les deux premières fois et beaucoup plus liquide. Mais ils sont heureux comme des croyants se faisant baptiser par le Pape à grands coups de goupillon. Je ne sais pas comment ils s’y prennent mais pas une seule goutte n’est perdue, signe d’une très grande expérience. Je suis fourbu, après un dernier verre pour la route (soi une centaine de mètres, je les quitte mais je crois bien que j’ai mis un doigt, ou plutôt la queue, dans un engrenage qui si je ne me méfie pas pourrait m’être fatal. A consommer avec modération, l’alcool et le reste si je veux faire de vieux jours.
Une journée bien remplie et les burnes vides, après une douche rapide, je m’écroule sur mon lit, satisfait du devoir accompli. Ma réputation d’étalon va encore progressé si ce qui vient de se passer s’ébruite, et avec tant de bouches…
Océane et Isis :
Vous vous rappelez de nous ? Les sœurs de Maeva dans « petites fleurs des iles » ?
Avant de nous retrouver au bord de la piscine, il s’est passé bien des choses que nous n’avons pas encore racontées. Vous ne croyez quand même pas que nous nous sommes contentées de branler et sucer son énorme dard. Mais il a fallu être opiniâtres et aussi vaincre notre appréhension d’avoir comme partenaire un homme qui a pratiquement trois fois notre âge mais qui réduit nos partenaires sexuels de notre génération au rôle de petits garçons à peine pubères qui ne peuvent tenir la comparaison tant par leurs actes que par leurs sexes ridicules par rapport à celui de notre voisin, sans parler de l’endurance incroyable de Xavier.
Mais cela est une autre histoire que j’espère vous pourrez lire dans la saga : fleur des iles quand l’auteur décidera de les conter.
Je mets enfin mes pieds sous ses bras et la soulève du sol en tirant ses jambes par les pieds pour qu’ils ne reposent plus sur le sol. Je la soulève et la laisse redescendre, contrôlant avec douceur la pénétration de mon chibre. Elle ne peut rien faire d’autre que de subir et lorsque je laisse son corps descendre plus que de raison, nos pubis se rencontrent avec un claquement sonore. Peu de femmes peuvent se vanter d’être parvenu à prendre en entier ma verge en elles, mais il faut dire là qu’elle n’a pas trop droit à la parole à part hurler.
-Aaaahhhh ! Arrrggg ! Oh putain ce que je dérouille, ooouuuhhh !
Suite :
Mais moi aussi, je dérouille, et surtout je fatigue. Ça suffit, je veux revenir à quelque chose de plus commun car ça finit par me couper un peu mes effets pour le plus grand bonheur de Jeanne car ma teub en est devenue moins rigide donc plus souple et supportable pour elle. C’est alors que Pierre s’approche, prend ma bite pour la diriger vers l’anus de sa femme et quand je plie à nouveaux les jambes, ma teub un peu ramollie s’insinue entre ses fesses et disparait dans ses boyaux en totalité sous ses hurlements tellement aigus qu’ils briseraient des verres en cristal avant de m’encourager.
-Ouiiihhh, le pied, encore ! Encore ! On le sent passer ton défonce-cul ! Putain ce que je dérouille !
C’est facile à dire pour elle, c’est moi qui trime et elle qui jouit. Je demande à Pierre de venir s’occuper de sa femme le temps que je récupère mais il a une autre idée. Il s’approche, met ses pieds sous mes aisselles et d’une manière acrobatique vient planter sa queue dans le vagin de sa femme. Ma position fait que ma verge appuie fortement sur la paroi séparant les deux puits d’amour et il doit forcer pour réussir à se frayer un chemin sous les hurlements à vous crever les tympans de Jeanne.
Heureusement, il a glissé ses mains sous les jambes de son épouse ce qui diminue pour moi son poids et je lui en suis reconnaissant. Mais j’en ai marre de ces positions dignes du cirque Bouglione et lui fait comprendre.
Enfin ayant regagné ma liberté de mouvement, je les regarde forniquer devant moi pendant que je récupère un tant soit peu. Je suis tombé sur des drôles de zigotos adeptes du candaulisme et du triolisme… J’ai à peine le temps de reprendre mon souffle qu’il envoie la sauce, accompagnant la jouissance toujours aussi sonore de Jeanne. Ils viennent ensuite s’étendre de chaque côté de moi pour récupérer eux aussi mais quelques minutes plus tard, ces drôles de numéros se battent presque pour me sucer et branler ma queue qui aurait bien voulu un peu plus de repos. Tel un cobra, ma verge qui avait fini par se lover entre mes cuisses, reposant mollement sur mes burnes se redresse comme devant un fakir jouant de la flute à six stroumpfs. On se croirait à Saint-Claude lors du concours de fumeurs de pipes qui doivent faire durer le plus longtemps possible quelques grammes de tabac avec trois allumettes. Heureusement que je me suis déjà vidé les couilles deux fois car se sont de vrais experts dans l’art de « la pipe ».
Pierre me demande alors ce que je n’ai jamais encore pratiqué car j’ai bien assez à faire avec toutes mes conquêtes féminines.
-Xavier, Je ne sais pas si tu vas accepter mais je voudrais que tu nous sodomises à tour de rôle. Il n’y a pas de raison que seule Jeanne trouve son plaisir avec ton gourdin. Mon trou du cul n’est pas différent du sien ou des filles que tu as enculées tout l’après-midi.
Je dois dire que là, il marque un point et que cette journée est complètement folle, alors pourquoi-pas ? Mais une certaine perversion guide sa demande. Le couple se met tête-bêche ce qui permet à l’enculé(e) de se faire sucer l’ognon ou le poireau pendant que je bine consciencieusement l’anneau fripé de l’un ou de l’autre tout en profitant lui(elle) aussi d’une bouche avide qui bouge sans arrêt au rythme de mes assauts. J’ai la bite compressée dans ces conduits anaux mais il ne sera pas dit que je suis un éjaculateur précoce et que je vais me vider si vite quand une bouche prend la place d’un trou du cul pour me graisser le gourdin avant de replonger dans un cloaque. Ça fait maintenant un sacré moment que je jardine, me servant de mon plantoir pour alléser un fion qui a de la difficulté à se refermer quand je l’abandonne. Mais à l’impossible, nul n’est tenu et il faut bien une fin à chaque histoire. Quand je sens le terme proche, je les repousse et leur demande :
-Qui veut profiter de mon obole ? Ça sera la dernière de la journée et je n’ai plus que de la menue-monnaie dans mes bourses !
Ils se battent presque pour déguster mon sperme moins abondant que les deux premières fois et beaucoup plus liquide. Mais ils sont heureux comme des croyants se faisant baptiser par le Pape à grands coups de goupillon. Je ne sais pas comment ils s’y prennent mais pas une seule goutte n’est perdue, signe d’une très grande expérience. Je suis fourbu, après un dernier verre pour la route (soi une centaine de mètres, je les quitte mais je crois bien que j’ai mis un doigt, ou plutôt la queue, dans un engrenage qui si je ne me méfie pas pourrait m’être fatal. A consommer avec modération, l’alcool et le reste si je veux faire de vieux jours.
Une journée bien remplie et les burnes vides, après une douche rapide, je m’écroule sur mon lit, satisfait du devoir accompli. Ma réputation d’étalon va encore progressé si ce qui vient de se passer s’ébruite, et avec tant de bouches…
Océane et Isis :
Vous vous rappelez de nous ? Les sœurs de Maeva dans « petites fleurs des iles » ?
Avant de nous retrouver au bord de la piscine, il s’est passé bien des choses que nous n’avons pas encore racontées. Vous ne croyez quand même pas que nous nous sommes contentées de branler et sucer son énorme dard. Mais il a fallu être opiniâtres et aussi vaincre notre appréhension d’avoir comme partenaire un homme qui a pratiquement trois fois notre âge mais qui réduit nos partenaires sexuels de notre génération au rôle de petits garçons à peine pubères qui ne peuvent tenir la comparaison tant par leurs actes que par leurs sexes ridicules par rapport à celui de notre voisin, sans parler de l’endurance incroyable de Xavier.
Mais cela est une autre histoire que j’espère vous pourrez lire dans la saga : fleur des iles quand l’auteur décidera de les conter.
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Oui, et il le prouve dans ses vidéos
Est-ce que mlkjhg39 et tonton sont là même personne ?
Il a fort à faire dans son quartier
Si les voisins s'en mêlent...
J'espère qu'il y aura encore une suite
Je vais voir s'il a posté la suite
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