Le gourdin de tonton. 18 - histoire érotique

Le gourdin de tonton. 18
La québécoise et le jurassien.

Je donne la main à Kelly, une jeune canadienne qui m’autorise à publier ses textes sur ce site suite à la lecture de mes histoires et après avoir regardé mes petites vidéos. L’auteur.

Bonjour à toutes et tous qui aimez le sexe débridé.

D’abord je me présente : Mon prénom est Kelly. Je suis une fille de 25 ans qui aime se faire de petits plaisirs. Je mesure 165 cm, de longs cheveux bruns, avec une poitrine opulente, mes mamelons larges et sensibles, ajoutant à mes formes une allure douce et généreuse sans oublier un joli petit cul accueillant qui est toujours prêt à recevoir avec un plaisir profond et assumé.
Je suis québécoise et ça fait quelques temps que j’échange sur le net avec un homme français qui me plait, bien qu’il soit plus âgé que moi, ce qui n’est pas dans mes habitudes. Je l’ai découvert en lisant ses histoires sur le net. Mais quand j’ai découvert son physique avantageux sur ses avatars puis ses vidéos incroyables, (à vous de les dénicher) je ne pense plus qu’à le rencontrer. Je profite de mon congé et un séjour en France, me réservant cinq jours pour le rencontrer dans son Jura natal. Il m’a donné son adresse et je vais tenter le tout pour le tout.

Je suis dans sa ville dans un Airbnb situé juste en face de chez lui. (Lire petite fleur des iles). Je l’observe toute une journée avant de franchir le Rubicon, ou plutôt la rue. Mais je ne veux pas sonner chez lui comme une femme venant pour un sondage. Je suis vêtue d’un grand manteau pour cacher ce que je porte en dessous, c’est à dire vêtue simplement d’un string, mon soutien-gorge en dentelle rouge et mon porte jarretelle.
Il vient m’ouvrir la porte et il me sourit, me reconnaissant, car moi aussi, je lui ai envoyé des photos de moi plus que subjectives. Il me fait entrer au salon et me propose de retirer mon manteau. Il se glisse derrière moi, prend le manteau au niveau de mes épaules et doucement le fait glisser pour le récupérer et aller le déposer sur le dossier d’une chaise. Mais son regard glisse aussi sur moi au fur et à mesure qu’il me découvre en petite tenue.
Il revient vers moi et pose ses mains sur mes hanches puis les fait glisser jusqu’à prendre mes foufounes (fesses) charnues dans ses mains, comme si c’était normal de se retrouver de but en blanc devant une quasi inconnue en sous vêtement.
-Kelly, tu es superbe, encore plus belle en vraie. A ce que je voie, tu veux brûler les étapes. Viens !

Il me prend par la main et me mène à sa chambre où trône un grand lit. Je sais ce qui se cache dans son pantalon et je peux deviner que la vue de mon corps l’excite déjà. Il me pousse sur son lit et je m’étale sur le dos. Il est devant moi et enlève ses vêtements. Il est maintenant torse-nu et s’attaque à la ceinture de son pantalon. Je pourrai bientôt voir sa pompe à eau (bite) pour la première fois et constater si elle est si grosse que ce que je me l’imagine après l’avoir vue dans ses vidéos.
Quand il baisse pantalon et slip sur ses chevilles, je dois dire que même si je savais à quoi m’attendre, je suis en admiration en découvrant une poutre massive qui malgré son poids, se dresse devant moi. Il s’étend à côté de moi et m’embrasse doucement, me faisant goûter ses lèvres. Sa langue est plus sauvage et explore la mienne qui lui répond. Sans cesser de m’embrasser, il m’enlève le peu de vêtements qu’il me reste comme le ferait un prestidigitateur très adroit de ses mains.

Sa bouche quitte la mienne et ses lèvres laissent une trainée humide sur mon cou et ma poitrine avant de terminer sa course sur mon téton droit depuis longtemps érigé. Il suce aussi son jumeau pour ne pas faire de jaloux, le remplaçant par sa main qui pétrit mon autre sein et en pince le bout entre ses doigts.
Je laisse échapper quelques gémissements sous cette double attaque, mais il n’en a cure et continue l’exploration de mon corps. Sa bouche et ses mains expertes descendent sur mon ventre jusqu’à ma chatte déjà toute mouillée. Il la lèche pour goûter mon jus. Il doit lui plaire car il insiste, comme incapable d’arrêter tellement il en aime le goût et s’abreuve à ma fontaine.
Je gémis fort et le supplie de ne pas s’arrêter, prête à faire le flouc (faire l’amour) avec lui. On voit que cet endroit n’a aucun secret pour lui.
-Oh oui continue ! Ahhh ! Tu sais t’y prendre, mon salaud !

Après plusieurs minutes de ce gamahuchage qui me fait décoller plusieurs fois, Il se redresse et approche son bas-ventre de ma tête. Il se place de façon que ma vue soit bloquée par son pal tendu pour que je puisse lui rendre la pareille et à mon tour le sucer. Je commence par lécher son mandrin hors du commun partout, tout le long de la hampe qui n’en finit pas, sur ses bourses prometteuses et sur son gland si massif que j’encercle de mes lèvres pulpeuses pour ensuite l’enfoncer dans ma bouche. J’en avais rêvé depuis notre échange sur le net et là je suis gâtée.
Je ne suis pas inexperte dans cette discipline et lui montre tout mon talent pour la fellation. Il découvre pourquoi je suis si bonne pour ça et que je n’avais pas raconté des craques dans nos échanges. Il ronronne comme un chat qu’on caresse et fait des va et vient dans ma bouche de plus en plus profonds. Je m’étouffe car malgré ma petite expérience, je n’ai jamais été confrontée à un tel calibre, mais je tiens bon, laissant son gland franchir ma luette et gonfler mon cou.

Il se retire de plusieurs centimètres, donnant des coups de reins de plus en plus vite. Sa lance semble grossir encore plus, comme si c’était encore possible, me faisant pressentir l’orgasme qui monte en lui. J’attends qu’il m’inonde la bouche et la poitrine comme dans la vidéo qu’il m’a envoyée et qui m’a fait tant kiffer. On y voyait sa bite expulser un nombre incroyable de jets de sperme qui couvraient les seins d’une belle black de trainées blanchâtres. (Vidéo privée non diffusée)
Mais il la retire de ma bouche pour rapidement la mettre dans ma chatte. Je laisse échapper un long et fort gémissement, puisque pour la première fois je reçois une aussi grosse bite en moi. Incapable de m’arrêter de gémir sous ses assauts, je suis au summum du plaisir.
Il commence doucement pour que mon vagin s’habitue à ce calibre peu commun puis y va de plus en plus fort en missionnaire pour ensuite me tourner et me mettre en levrette et me reprendre à nouveau.
Il tient le coup, le salaud ! C’est rare qu’un homme me tronche si longtemps avant de déclarer forfait et j’enchaine les orgasmes comme jamais, noyant sa pine de ma cyprine qui mousse sur sa queue. Il continue de me l’enfoncer profondément en moi comme un métronome. Je sens de nouveau l’orgasme monter en moi jusqu’à ce que mon jus explose à nouveau sur lui.
-Encule-moi, s’il te plait, j’adore ça et veux tout connaître avec toi avant mon départ.

Sans se laisser le temps de se reposer après sa dépense d’énergie, il place son défonce-cul sur mon anus et l’enfonce doucement dans mon rectum qui n’a jamais été à telle fête. Je serre quand même les dents vu le diamètre inusité pour moi de son gourdin, mais il constate qu’il est loin d’être le premier à passer par là, que j’ai l’habitude de me faire prendre le cul et la rentre jusqu’au fond d’une seule poussée qui me coupe la respiration. Il recommence alors ses va et vient, toujours aussi infatigable et je recommence à gémir de plus en plus fort pour que tous les voisins puissent entendre à quel point cet homme est un super-étalon, mais ils doivent sûrement être habitués à entendre les cris de truies qu’on égorge avec un tel phénomène.
Mais toute chose a une fin, il doit sentir son orgasme arriver sous peu. Il retire sa verge congestionnée de mon cul qui reste béant et je ressens un grand vide en moi. Il se branle, je vois ses doigts à peine toucher son pouce tellement son pénis est massif. Il explose sur mon visage où j’ai la bouche grande ouverte pour goûter son jus.
Comme sur la vidéo et pour mon plus grand plaisir, il continue de se vider, arrosant mon visage avant de crépir ma poitrine de postillons spermiques. Je suis heureuse, et surtout pas déçue.
Ce n’était pas du pipeau, tout ce qu’il m’a raconté. Dommage que dans trois jours, je doive repartir à Montréal.

A suivre…