Le gourdin de tonton. 19 - histoire érotique

Le gourdin de tonton. 19
La québécoise et le jurassien.

Je donne la main à Kelly, une jeune canadienne qui m’autorise à publier ses textes sur ce site suite à la lecture de mes histoires et après avoir regardé mes petites vidéos. L’auteur.

Comme sur la vidéo et pour mon plus grand plaisir, il continue de se vider, arrosant mon visage avant de crépir ma poitrine de postillons spermiques. Je suis heureuse, et surtout pas déçue.
Ce n’était pas du pipeau, tout ce qu’il m’a raconté. Dommage que dans trois jours, je doive repartir à Montréal.

Suite :
Dès le lendemain, je ne perds pas de temps à trop m’apprêter, sachant qu’avec lui je vais prendre cher et que mon maquillage ne tiendra pas le coup. Je vais pour me rendre chez lui quand une des filles de mon logeur m’apostrophe :
-Bonjour madame, je vois que vous allez chez mon voisin. Il est connu comme le loup-blanc dans la rue, mais un nom d’équidé lui irait beaucoup mieux. Je vois qu’il envoie sa « grosse ligne » de plus en plus loin. Vous savez qu’il a déjà à son tableau de chasse des poissons venant de continents lointains ? Mais je ne sais pas pourquoi je vous dis tout ça, moi et mes sœurs ne somment que du menu fretin pour lui. (Lire : Petite fleur des iles, le jurassien et la petite indienne)
Je me remémore alors certaines de ses histoires et constate qu’il ne doit pas y avoir que des fantasmes dans ses textes.
Je lui en parle dès que je suis chez lui et il ne cherche même-pas à nier. Je veux bien le croire, avec un mec monté comme un cheval, qu’elles en redemandent les salopes !
Il s’est tu. Mais moi je ne veux pas qu’il se taise, déjà en transe. Alors pour éviter que plomber l’ambiance, je le pousse à continuer, en rigolant.
-Tu te la joues là, quand-même pas les trois en… ?

Il me regarde bizarrement et me dit que cela ne me regarde-pas. Mais ça, pas question, s’il ne veut rien dire, sa queue surdimensionnée, moi je la veux encore dans ma chatte et hors de question que je m’en prive. Il m’a fait trop de bien et j’en redemande encore vu que le temps m’est compté.
Je veux qu'il me baise, dans tous les sens, par tous les trous s'il le veut. Je me jette sur lui pour revoir son piston d’amour. Il me sourit, fait tomber ses chaussures avec ses pieds et fait glisser de quelques centimètres son pantalon. Il ne lui reste plus que sa chemise et n’a pas besoin de l’ôter pour me donner ce dont ce dont j’ai envie. Le vêtement glisse entrainant son boxeur qui cache difficilement la chose qui se redresse déjà à vue d’œil sous mes yeux. La bête sort comme un diable de sa boite, enfin prête au combat car ça fait un moment que je tripote son pantalon déformé par une énorme bosse.
Mes yeux s’arrondissent, ma bouche reste ouverte, pourtant je savais à quoi m’attendre.
- Tu peux toucher. Me propose-t-il.

Timidement ma main s’avance vers ce mandrin impressionnant, elle est loin d’en faire le tour
Ça m’excite de voir ma main sur un tel épi, il est vrai que ce type a l’air d’être un phénomène de la nature. Je fais coulisser la peau pour décalotter le gland congestionné qui pointe fièrement son museau
et je ne peux résister à le mettre en bouche en fermant les yeux. Une furie s'est libérée en moi.
Il glisse sa main sous ma jupe, je le laisse faire quand elle passe directement sous mon string, et je l’encourage en écartant encore plus les cuisses et en lâchant un gémissement approbateur !
- Mmmhhh ! Ouuuiiii !
Je n'ai rarement ressenti ça avec d’autres hommes, prête à cocufier la terre entière, et ça va se passer ici Maintenant ! Je ne suis plus la femme que les gens connaissent d’ordinaire.
- Montre-moi ce que tu caches sous ta jupe !
Je relève ma jupe et m’assois les cuisses écartées sur le bord du divan, dévoilant ma moule au frenchie qui s’approche.
- Kelly, ouvre ta chatte avec tes mains !
Obéissante, désormais sans pudeur, je lui montre l’intérieur nacré de mon coquillage.
- Je peux ?

D’un signe de tête je lui donne mon assentiment, et il s’avance à genoux, la langue pointant vers ma vulve suintante de mouille, son gourdin oscillant entre ses cuisses dont le gland de sa lourde queue oscille comme un métronome.
Je gémis quand mon amant explore mon vagin de ses doigts et de sa langue, des bruits de clapotis et de sucions résonnent dans la pièce, accompagnés de mes grognements de femme comblée, une douce odeur de sexe monte et se répand dans l’air. Ainsi branlée je vais vite atteindre l’orgasme surtout avec un tel partenaire. Je gémis derechef quand sa bouche cherche ma fente rose et que la pointe de sa langue plonge entre mes lèvres humides pour les écarter et qu’il puisse entrevoir les chairs fragiles de ma chatte. Il se déplace pour me mettre sa teub sur mon visage et sans me poser de question, je reprends sa bite en bouche alors qu’il recommence à lécher ma grotte juteuse.
J'ai dans ma tête la vision charnelle de nous deux, mêlant le jurassien et la québécoise, entrainés dans un soixante-neuf passionné, ses doigts écartant mes fesses pour enfouir son visage profondément dans ma chatte crémeuse, faisant glisser sa langue sur mon humidité rose, excitant mon clitoris pour le sortir de sa cachette et me faire crier de plaisir. Mon jus au goût sucré / salé, est un nectar des dieux pour lui. Sa figure est rapidement trempée par mon jus de chatte au parfum capiteux qui remplit ses narines, excitant ses sens et son envie de moi.
Pour ma part, j’exploite mes talents de suceuse expérimentée en prenant sa bite profondément dans ma bouche tandis que ma langue l’approche de plus en plus de l'orgasme.
Nous jouissons, trop vite à mon goût. J’inonde sa bouche avec de grandes quantités de cyprine tout en avalant coup après coup les rasades copieuses de son sperme épais.

En attendant de reprendre nos esprits, nous restons verrouillés dans cette position pour profiter de cet instant hors du temps, ne pouvant enlever nos mains du corps de l'autre. Même quand sa bite est temporairement hors d'usage, il ne peut me laisser tranquille et me bouffe la chatte jusqu'à ce que je demande grâce en sanglotant.
- Chériiiiiii, je vais jouirrrrrrrr ! Ahhhhh tu me fais trop de biennn !
Il retire son visage luisant de ma mouille, ses doigts toujours fichés dans ma vulve béante
- Tu as une chatte délicieuse, et je vais bien la prendre, avec ton accord, bien sûr.
- Si elle te fait envie, je suis d’accord. Plutôt deux fois qu’une. Si on m’avait dit ça, comment une femme presque prude, (la, j’exagère) est devenue une véritable salope prête à se laisser démonter par un étalon français.
- Kelly. Je m’allonge sur le sol et tu vas venir t’empaler sur moi, comme ça je profiterai mieux du spectacle.
- C’est vrai ? Je vais faire en sorte que tu ne rates rien.

Je me positionne et bientôt, la moitié de la hampe a disparu dans mon vagin déformé, mes doigts enserrent à la base le membre qui coulisse lentement dans ma gaine étroite. Mon visage écrasé sur sa poitrine pour ne pas hurler, je m’empale avec force, doutant de prendre la totalité de la queue dans mon vagin. Il donne de puissants coups de reins et je rebondis sur ses cuisses comme si je faisais du rodéo sur un hongre sauvage.
A chaque pénétration, je ressens cette queue longue et épaisse me remplir la chatte et ses boules taper contre ma petite rondelle. Il me baise en me regardant droit dans les yeux, sûr de son pouvoir de mâle. Je transpire de tous mes pores. Je sens sa bonne grosse matraque qui me fouille avec talent. Je fais frotter mes doigts sur mon clito au même rythme que les coups de bite que mon amant m’assène avec force, s’enfonçant maintenant quasiment jusqu’à la garde, s’amusant à claquer ses grosses couilles bien pleines sur mon cul offert. J’exprime mon bonheur par de petits cris, et il attire ma bouche sur la sienne pour y plonger sa langue et calmer mes ardeurs afin d’éviter d’en faire trop profiter le voisinage. Un coup de sonnette résonne mais il n’en tient pas compte en continuant à me troncher jusqu’à ce qu’on entende :
-Salut tonton. Oh désolée, tu es déjà en « main », on repassera plus tard.
J’ai juste le temps de voir deux jeunes filles s’éloigner sans même que ça le trouble. Je l’interroge :
-C’était qui ?
-Qui ? Ah elles ? Mes nièces. Elles auraient pu attendre avant d’entrer, je m’occuperai de leurs sorts plus tard.
Ses Nièces ? Ses petites voisines ? Mais c’est qui ce mec ? (Lire ; Le gourdin de tonton, fleur des iles). Ce qu’il a écrit n’est donc pas que des fantasmes, alors…

Je me redresse dans un sursaut d'énergie en m’interrogeant, mais ce n’est pas le moment de tergiverser. Je me présente à lui à quatre pattes et lui offre ma chatte et mon cul, mourant d'envie qu'il me baise en levrette, espérant que ce soit la première fois qu’il arrive à entrer entièrement son sexe dans le vagin d’une fille. Mais ce n’est pas ce qu’il se passe. Il se penche sur mon cul et enfourne à nouveau sa langue à l’intérieur de ma vulve, me léchant longuement. Ses caresses commencent à réveiller mon excitation. Mon vagin redevient humide, mais le désir de sentir à nouveau cette énorme bite me posséder embrase mon corps. Il me dit que ma cyprine a un goût succulent.
Il en a aussi après ma rondelle, le bougre. Je le laisse faire, tranquille. Il me lèche avec mille précautions l’anneau fripé. J’ai tout de suite compris qu’il a deux cibles en vue. Mais va-t-il directement m’enculer ? Il se déplace et je me retrouve comme une chienne attendant que le mâle fasse son boulot, sentant osciller sa teub entre mes cuisses.
Je me saisis de son bel engin et le dirige sur mon petit trou. Il semble jouer quelques secondes autour de ma pastille et de ma chatte, puis je pousse mon bassin vers lui au moment opportun et ça entre comme une lettre à la poste dans un long mouvement rectiligne. Je sais qu’il a une sacrée bite, je m’en rends d’autant plus compte à présent par cette poussée qui n’en finit plus.
On dirait qu’il aime mon cul à mort et il ne se prive pas pour me le dire.
-Tu es aussi bonne par là aussi, c’est plus serré mais au moins là, je peux y aller franco.
- Oh ouuuuiiiiiii, vas-y ! Encule-moi avec ton braquemard, fais-toi plaisir.

A suivre…