Le gourdin de tonton. 20 - histoire érotique

Le gourdin de tonton. 20
La québécoise et le jurassien.

Je donne la main à Kelly, une jeune canadienne qui m’autorise à publier ses textes sur ce site suite à la lecture de mes histoires et après avoir regardé mes petites vidéos. L’auteur.

Je me saisis de son bel engin et le dirige sur mon petit trou. Il semble jouer quelques secondes autour de ma pastille et de ma chatte, puis je pousse mon bassin vers lui au moment opportun et ça entre comme une lettre à la poste dans un long mouvement rectiligne. Je sais qu’il a une sacrée bite, je m’en rends d’autant plus compte à présent par cette poussée qui n’en finit plus.
On dirait qu’il aime mon cul à mort et il ne se prive pas pour me le dire.
-Tu es aussi bonne par là aussi, c’est plus serré mais au moins là, je peux y aller franco.
- Oh ouuuuiiiiiii, vas-y ! Encule-moi avec ton braquemard, fais-toi plaisir.

Suite :
Je déguste, mais je suis aux anges. Ses couilles tapent contre ma chatte comme un métronome. Il est chaud comme la braise et sa pine aussi. Je lui demande de lâcher les chevaux et de vraiment m’enculer jusqu’au fond sans retenue. Je veux qu’il me déchire, qu’il me lacère les boyaux. Je l’encourage en poussant des cris de truie qu’on égorge, de feulements de tigresse, d’aboiements de chienne en chaleur. Je me caresse la minette pour optimiser encore plus le plaisir. Il joue à la chaise musicale, passant du trou rond à la fente, et inversement, sans même se servir de ses mains pour guider le missile. Désormais empalée sur son énorme nœud, j’essaie de rythmer la pénétration de sa bite au fond de mon cul en m’appliquant à la faire disparaître tout entière en moi. J’adore avoir une bonne grosse teub bien plantée entre mes fesses, j’ondule du bassin afin de masturber mon partenaire dans mon divin petit cul.

J'en ai la rondelle toute dilatée. Je le sens glisser et me pénétrer de plus en plus loin. Il bande toujours comme un âne et bouge au creux de mes reins. Je décide de rester passive afin qu’il contrôle seul la situation. Il se met à me pilonner le cul puis la chatte, de plus en plus loin, de plus en plus fort. Ses mains puissantes écartant mes fesses, comme s’il devinait mon désir d’être tronchée, d'être remplie, comblée par sa formidable queue. Mais je ne m’attendais-pas à la suite, il me saisit par la taille d’un bras, passe l’autre à la pliure de mes jambes, se redresse et me décolle du sol, me contraignant à m'empaler sur son chibre qui tend vers le ciel. La position est scabreuse et très acrobatique, et putain ce que je dérouille… Il me repose enfin au sol.
Je ressens enfin, ou déjà, les soubresauts de la future éjaculation après de longues minutes de ce traitement, je sens le sperme chaud qui gicle par saccades en moi, il est si habile et résistant qu’il réussit à changer de cible pour graisser mes deux réceptacles à foutre et le cri de mon énorme jouissance résonne à l’intérieur de son salon.
Il reste sur moi, comme un chien ne pouvant par retirer son sexe avant qu’il ne dégonfle, les deux mains plaquées sur mes reins, continuant lentement ses mouvements de pénétration de son rostre toujours en forme.
Je suis ravie qu’il ne se retire pas aussitôt, me laissant profiter de la grosseur qui m’emplit entièrement le vagin en écartelant mes parois intimes au maximum. Il se déplace enfin et vient plaquer sa bouche sur la mienne, sa langue essayant de se frayer un passage entre mes lèvres, puis me susurre à l’oreille :
-Tu as le cul et la chatte tartinés de mon sperme, mais en bon ouvrier, je ne range mes outils qu’après les avoir nettoyés, dont acte.
Je me mets à genoux devant lui et m’applique à lui offrir la meilleure gorge profonde possible. Sa bite a le goût musqué de mon cul et plus parfumé de ma chatte. Le mélange est corsé, j’aime bien. Je ne sais pas comment il fait, mais quelques gouttes de sperme fraiches viennent relever la sauce, puis un véritable torrent des montagnes. C’est pas des couilles qu’il a, mais la banque du sperme en entier !
Il râle très fort. Je lui pétris les couilles pendant qu’il me donne tout le sperme qu’il lui reste au goût salé. De la bonne semence d’étalon !

Tout en fixant le pénis strié par une énorme veine que je caresse avec mon majeur, j’assiste enfin à la décroissance de la bête.
Et nous avons parlé…oh, comment nous avons parlé ! Toutes nos pensées et fantasmes les plus secrets ont été évoqués. Il a répondu à ma question de tout à l’heure aux sujets de ses nièces, mais aussi des filles de mon logeur, et aussi de la voisine et aussi de….
Je comprends mieux maintenant toutes ses histoires qui m’ont permis de le connaître, et de ses vidéos édifiantes pour les sceptiques…

Kelly, une femme heureuse, et une amante comblée.
Ps ; Il me reste un jour avant de repartir au Canada, alors !!!

Alors ??? Je veux encore faire le flouc avec lui, (baiser). Je mets un maillot deux pièces sous une petite robe blanche car il m’a dit de le rejoindre au bord de la piscine de la maison de ses voisins qu’il surveille en leur absence. Quelle n’est pas ma surprise en arrivant de constater que je ne suis pas la seule femme. Six filles bronzent autour de la piscine, trois belles métisses et trois filles blanches, toutes en tenue d’Eve. Adam, si l’on peut dire est aussi là, Xavier est étendu nonchalamment dans un transat avec la pompe à eau, ( la verge) en berne.
Il se lève et vient à moi puis me présente son harem :
-Kelly, je te présente Chantal, Brigitte et Julie, mes nièces, Tu connais déjà Maeva, Océane et Isis, les filles de ton logeur. Je pourrais te raconter des cracks, mais je crois que tu sais déjà à quoi t’en tenir.

Il me montre un transat libre et je vais m’y étendre après avoir retiré ma robe. Je m’étends pour que mon corps se dore au soleil, seul ma poitrine et mon pubis sont blanc. Il me badigeonne de crème solaire jusque sur mes tétons qui se durcirent sous ses caresses et la chaleur des rayons du soleil.
Inconsciemment mes mains descendent sur mon ventre de plus en plus près de ma vulve. Une chaleur et un désir puissant se saisit de moi, une main sur un sein pendant que l’autre glisse sous le maillot le long de mes poils.
Un doigt appuie sur mon clito faisant ouvrir encore plus mes jambes, je me caresse en douceur les yeux clos, mes doigts glissant le long des mes lèvres gorgées d’envie. Je jouis en silence la bouche entrouverte, le corps chauffé par se soleil de plomb, la main gauche pelotant un sein, la droite titillant mon clitoris et mon sexe trempé sous les quolibets de Chantal.

– Regardez comment elle mouille. Ah la salope, elle va en prendre plein la chatte quand Xavier va la troncher.
Je vais pour lui répondre quand Xavier m’ordonne.
– Non, laisse-la dire. Enlève ton soutif et continue à te donner du plaisir.
Je lui obéis et me masturbe comme une folle devant Xavier et ses petites connasses, provoquant Xavier devant elles :
– Je suis une salope et je veux que tu me baises comme une salope. Elles vont comprendre ce que c’est qu’une vraie femme…

Une main d’homme emprisonne l’intégralité de mon sein droit. Le presse, le malaxe doucement mais fermement, le soulevant, le tournant dans un sens, dans l’autre, le tirant vers lui, pinçant le téton érigé. Je prends un énorme plaisir à sentir sa main sur mon sein, titillant mon téton tendu à l’extrême sous le regard convergeant des filles. Mes caresses solitaires ne me donnent pas autant de plaisir que la grosse main de cet étalon.
Je suis trempée, une énorme vague de plaisir monte dans mon corps et le submerge. Ma chatte béante dégouline sur mes cuisses. Un énorme orgasme explose sous les caresses de sa main et de sa bouche sur ma poitrine quand je réalise que son autre main a glissé depuis quelques minutes le long de mon ventre sous mon slip trempé et qu’elle joue avec mes poils pubiens à la limite de mon clito. Je rouvre les yeux, resserrant les jambes et posant ma main sur celle de Xavier, tentant de la retirer hors de mon sous vêtement détrempée. Je veux lui rendre la pareille et me saisis de sa tige de chair. Ma main en ressent la douce chaleur ainsi que la douceur de la peau de cette énorme verge si réactive aux caresses de ma minuscule main. J’apprécie le contact de ma main sur cette grosse bite qui monte et descend lentement à mon rythme sur son gros bâton sous le regard envieux de six filles en train de se donner du plaisir en solitaire. Je sens tous ces regards sur ma main qui monte sur sa queue. J’aime ce contact, sentir ce sexe monstrueux vibrer sous mes doigts qui continue de grossir encore pour découvrir entièrement son gland.

En effet sa queue est encore plus grosse que tout à l’heure et vibre sous mes doigts. Son gland est déformé par le frein qui a de la peine à le retenir. Je suis de nouveau subjuguée par cette matraque de chair peu commune, par les grosses boules qui pendent entre les jambes velues et musclées de Xavier. Je raffermis ma main sur ce monstre de la nature et en caresse la hampe de haut en bas, glissant même sur ses grosses couilles.
-Hum oui… Ce que tu me fais est très agréable, ça te plait de me branler sous les yeux envieux de mon harem ? Tu sens comme ma queue vibre sous tes doigts ? Vas-y en douceur et ne t’arrête pas.

A suivre…