Le gourdin de tonton. 21

Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Le gourdin de tonton. 21
Le gourdin de tonton. 21
La québécoise et le jurassien.
Je donne la main à Kelly, une jeune canadienne qui m’autorise à publier ses textes sur ce site suite à la lecture de mes histoires et après avoir regardé mes petites vidéos. L’auteur.
En effet sa queue est encore plus grosse que tout à l’heure et vibre sous mes doigts. Son gland est déformé par le frein qui a de la peine à le retenir. Je suis de nouveau subjuguée par cette matraque de chair peu commune, par les grosses boules qui pendent entre les jambes velues et musclées de Xavier. Je raffermis ma main sur ce monstre de la nature et en caresse la hampe de haut en bas, glissant même sur ses grosses couilles.
Suite :
-Hum oui… Ce que tu me fais est très agréable, ça te plait de me branler sous les yeux envieux de mon harem ? Tu sens comme ma queue vibre sous tes doigts ? Vas-y en douceur et ne t’arrête pas.
Mes yeux comme ma main ne lâchent plus ce sexe. Je passe mes doigts sur toute sa longueur à la limite de ses couilles remontant le long de sa hampe sur son frein, sur son gland. Je prends pour la première fois de ma vie un réel plaisir à toucher et caresser une queue sous les caresses et les bouches de six filles déchainées, entièrement nues, qui s’enlacent dans des rapports extrêmement chauds. Sans vergogne, les filles sucent mes seins, caressent ma chatte et celles d’autres filles, doigtent leur clitoris dans des râles de plaisir. Tout autour de moi, c’est l’orgie.
Je voudrais qu’il jouisse le plus vite possible, prenant un vrai plaisir à voir et sentir cette énorme queue réagir à mes caresses. Je veux en profiter au maximum le plus longtemps possible avant de me la faire chiper par une autre, la caressant lentement, la découvrant sur toute sa longueur, subjuguée par sa grosse veine, son gland, espérant l’entendre avouer son plaisir, de ressentir mon pouvoir sur cette force de la nature. Je me laisse guider par ses paroles, fermant ma main sur son gros dard, le serrant du plus fort que je peux. Ma petite main ne peut l’enserrer en entier cependant je l’emprisonne du plus que je peux pour le branler très lentement sur toute sa longueur le plus longtemps possible, essayant en même temps de résister au plaisir qui monte en moi sous toutes ses mains et ses bouches qui me dévorent, qui me caressent et s’insinuent dans tous mes orifices.
Mais Xavier ne l’entend pas de cette oreille. Il écarte mes cuisses et m’ordonne :
-Non ! Plus avec tes mains, seulement avec ta bouche jusqu’à ce que tu me fasses jouir. Mets-toi à genoux et suce-moi la queue. Et s’adressant aux filles : Pendant ce temps, continuez de vous occuper de son corps, je veux qu’elle jouisse elle aussi.
Obéissante, je lâche son sexe et le regarde dans les yeux et écoute sa voix :
-Allez ! Au boulot.
Xavier pose ses mains sur mes épaules et appuie dessus, me forçant à descendre ma tête au niveau de son jonc vigoureux. Je résiste pour le principe, mes yeux louchant devant sa monstrueuse queue à quelques centimètres de mon visage. Les filles se défoulent sexuellement sur tout mon corps et je ne peux résister à une telle débauche d'énergie, une sensation de béatitude m'envahie d'un seul coup, le ciel se déchire et ma chatte ouvre les vannes, un violant orgasme déferle dans mon esprit et dans tout mon corps, mes muscles se tétanisent puis se relâchent d'un seul coup. Ma jouissance me fait accélérer les succions. J’essaie de crier de bonheur, mordant presque la lance de Xavier que je sens se cambrer suivi d’un flot de sperme qui gicle dans ma bouche. Je continue à gémir encore quelques instants, prises de véritables spasmes, secouée en tous sens pendant qu’il explose entre mes lèvres. Sa pine expulse encore de nombreux jets de sperme avant de se tarir.
J’avale tout et continue à le téter encore un bon moment puis je lui nettoie son chibre avec ma langue avant de me redresser, toute tremblante. Aussitôt, Maeva se met à quatre pattes, suivit de ses sœurs pendant que ses nièces s’occupent du soldat qui a baissé sa tête. Et comme d’habitude, Xavier ne met pas longtemps à être de nouveau en érection. Quel homme ! Ou plutôt, quel mâle ! C’est la première fois de ma vie que je suis spectatrice et je dois dire que le spectacle n’est pas commun. Déjà voir un couple en pleine baise est jouissif, mais là, j’ai devant moi un étalon hyper membré qui va s’occuper de six pouliches en chaleur…
Les trois cousines viennent se positionner devant les métisses, comme des chevaux de chaque côté d’une barrière canadienne, (cherchez ce qu’est une barrière canadienne) comme dans les westerns. Elles se gamahuchent à qui mieux-mieux, se tripotent les seins. Pendant ce temps, Xavier se positionne à tour de rôle entre des cuisses offertes et tel un étalon reproducteur, il fait coulisser sa queue dans chaque chatte accueillante, jusqu’à la ressortir et la renfonce d’un coup, arrachant un hoquet de douleur ou de plaisir suivant les filles, et il recommence encore et encore. Des fois, il dérape et sodomise sa proie. Ma chatte en coule devant une telle débauche. La douleur doit être immense pour Isis car elle se débat. Il lui claque les fesses, il la saisit par les hanches puis attrape ses cheveux pour qu’elle cesse de gigoter, l’obligeant à se cambrer encore plus sous ses cris de douleur puis d’encouragement :
- Oh putain de merde ! tu m’éclates le cul avec ta grosse queue, putain ce que je dérouille, ne t’arrête pas mon salaud, oh ouuuiii !!!
Il ne la ramone plus maintenant, il la pilonne carrément, comme un fou, lui tire encore plus les cheveux, à bout de souffle. Alors, sans crier gare, il décule et passe à la fille suivante. Comment peut-il troncher six filles en même temps ? Je ne saurais dire, c’est pas humainement possible. Je ne sais pas s’il avait préparé son coup en faisant jouer son gland dans ces chattes et ces culs, il s'en sert comme d'un piston. Un baiseur comme ça, on ne devrait pas le laisser errer dans les rues ...
La scène dure pratiquement une demi-heure avant qu’une nouvelle fois, il jouisse, arrosant des visages tendus, en attente de leur récompense. On doit faire un usage immodéré de la poire à lavement dans cette rue.
Il se retourne enfin vers moi, reprenant conscience de ma présence. Xavier se rapproche de moi pour me rouler une pelle, une main titillant une pointe érigée, l’autre faisant de même avec mon clito gonflé à bloc. Je me saisis du sexe de Xavier et c'est sans doute la plus belle image qu’il va me rester de cette dernière journée : ma main entourant à peine son sexe et s'y promenant lentement de haut en bas. Je l'embrasse, l'encourage, lui murmurant plein de mots tendres au creux de l'oreille. Je sens son sexe qui avait perdu de sa superbe durcir contre ma jambe, je frissonne de partout.
-Ok, ça suffit, tu as bien profité du spectacle, il est temps que je te baise maintenant ma petite canadienne ! Tu vas te mettre à quatre-pattes toi aussi, cambre-toi au maximum comme une chienne en chaleur qui donne son cul au chien bâtard du voisin !
Ma chatte coule telle une fontaine à l’idée d’être pourfendue par cette queue insatiable. Je prends conscience que maintenant il ne va s’occuper que de moi. Ça fait trop longtemps qu’il a délaissé mon minou. Moi aussi je veux ma part de bien-être et de bonheur.
Il se penche, met sa main entre mes cuisses pour récolter de la mouille sur ma chatte et l’étale entre mes fesses. Je sais qu’il ne va pas se contenter que de ma chatte. Un peu d’appréhension me saisit à nouveau, surtout en jetant un œil sur son sexe qui semble encore plus gonflé qu’avant, comme s’il avait enflé à force de buriner toutes ses filles en fleur. Il s’enfonce enfin en moi, plus profondément encore, butant avec force de son gland sur le col de mon utérus. J’ai l’impression d’être transpercée de part et d’autre de mon corps. Il se penche et se saisit à pleine mains de mes seins qu’il malmène, ce qui me fait hurler de douleur. Il ne me ménage pas plus que les donzelles avant de retirer son rostre, laissant béante ma chatte endolorie. Après quelques minutes de ce traitement, il se retire, en nage, la bite toujours fièrement dressée et s’agenouille derrière moi, crache sur mon anus, y introduit son majeur puis son index, fait quelques va et vient pour en évaluer la souplesse.
-Tu vois, tu t’habitues, tu es aussi salope qu’elles et tu vas donc subir la même punition.
-Oh oui ouiii ! J ’adore ta queue au fond de ma chatte, au fond de mon cul, défonce-moi, mon étalon jurassien
Et là, il retire ses doigts qui change de trou et pose son gland mafflu sur mon œillet. Il pousse doucement pour franchir le Rubicon et la douleur m’envahit comme un éclair, le temps d’une fraction de seconde, les larmes coulent d’un coup. Il m’assène ensuite le coup de grâce comme le toréador avec son épée à la mise à mort en plantant au plus profond de mon anus son énorme défonce-cul. Je ne suis plus qu’une loque, mon cul un réceptacle pour une foreuse surdimensionnée. Je me fais enculer par une immense queue qui me déchire le fion et qui me transporte vers les plus hautes cimes du plaisir, imaginant tout le plaisir que prend Xavier lui aussi. Je ne suis plus moi-même, lui montrant tout mon bonheur de me faire éclater le cul par sa superbe queue infatigable et hurler à la ronde tout le bonheur que je ressens avec des mots crus. Je suis dans un monde merveilleux qui me satisfait pleinement malgré le fait qu’il lui fasse tant de partenaires pour se vider les burnes.
Sa colonne de chair vibre dans mon anus, annonciatrice d’une énième éjac. Il appuie avec deux doigts sur la base de sa verge, bloquant son sperme puis se reculant vivement, il interrompt le contact entre son chibre et mon derrière et avant de retirer ses doigts. J’arrive à voir en tournant la tête son sperme sortir de sa queue toujours dressée qui est animée d’une vie propre et expulsant de longues giclées de foutre avec des soubresauts. Trois énormes giclées de foutre s’écrasent sur mon dos, de mes fesses à mes cheveux. Je suis fière et surexcitée d’avoir réussi malgré ses précédentes agapes sexuelles à obtenir un tel tribut de cet homme.
Xavier est complètement harassé. Il débande enfin et sa queue ramollie pend entre ses cuisses, position inhabituelle quand il est avec une femme. Pour la première fois depuis que nous nous sommes rencontrés - il y a quelques jours - il m’enlace et me donne un baiser (d’adieu ?) plein de tendresse sur la bouche et me murmure à l’oreille :
-Ma petite Québécoise, j’espère que tu garderas un bon souvenir du Jura, de ses pics et de ses lacs.
En fait de pic, je n’ai pas vu le Crêt de la neige mais son formidable gourdin, et pour ce qui est des lacs, le seul que j’ai vu était plein d’un liquide blanchâtre que j’ai bu comme une noyée buvant la tasse…
Le retour va être difficile, mais que de souvenirs inoubliables…
La québécoise et le jurassien.
Je donne la main à Kelly, une jeune canadienne qui m’autorise à publier ses textes sur ce site suite à la lecture de mes histoires et après avoir regardé mes petites vidéos. L’auteur.
En effet sa queue est encore plus grosse que tout à l’heure et vibre sous mes doigts. Son gland est déformé par le frein qui a de la peine à le retenir. Je suis de nouveau subjuguée par cette matraque de chair peu commune, par les grosses boules qui pendent entre les jambes velues et musclées de Xavier. Je raffermis ma main sur ce monstre de la nature et en caresse la hampe de haut en bas, glissant même sur ses grosses couilles.
Suite :
-Hum oui… Ce que tu me fais est très agréable, ça te plait de me branler sous les yeux envieux de mon harem ? Tu sens comme ma queue vibre sous tes doigts ? Vas-y en douceur et ne t’arrête pas.
Mes yeux comme ma main ne lâchent plus ce sexe. Je passe mes doigts sur toute sa longueur à la limite de ses couilles remontant le long de sa hampe sur son frein, sur son gland. Je prends pour la première fois de ma vie un réel plaisir à toucher et caresser une queue sous les caresses et les bouches de six filles déchainées, entièrement nues, qui s’enlacent dans des rapports extrêmement chauds. Sans vergogne, les filles sucent mes seins, caressent ma chatte et celles d’autres filles, doigtent leur clitoris dans des râles de plaisir. Tout autour de moi, c’est l’orgie.
Je voudrais qu’il jouisse le plus vite possible, prenant un vrai plaisir à voir et sentir cette énorme queue réagir à mes caresses. Je veux en profiter au maximum le plus longtemps possible avant de me la faire chiper par une autre, la caressant lentement, la découvrant sur toute sa longueur, subjuguée par sa grosse veine, son gland, espérant l’entendre avouer son plaisir, de ressentir mon pouvoir sur cette force de la nature. Je me laisse guider par ses paroles, fermant ma main sur son gros dard, le serrant du plus fort que je peux. Ma petite main ne peut l’enserrer en entier cependant je l’emprisonne du plus que je peux pour le branler très lentement sur toute sa longueur le plus longtemps possible, essayant en même temps de résister au plaisir qui monte en moi sous toutes ses mains et ses bouches qui me dévorent, qui me caressent et s’insinuent dans tous mes orifices.
Mais Xavier ne l’entend pas de cette oreille. Il écarte mes cuisses et m’ordonne :
-Non ! Plus avec tes mains, seulement avec ta bouche jusqu’à ce que tu me fasses jouir. Mets-toi à genoux et suce-moi la queue. Et s’adressant aux filles : Pendant ce temps, continuez de vous occuper de son corps, je veux qu’elle jouisse elle aussi.
Obéissante, je lâche son sexe et le regarde dans les yeux et écoute sa voix :
-Allez ! Au boulot.
Xavier pose ses mains sur mes épaules et appuie dessus, me forçant à descendre ma tête au niveau de son jonc vigoureux. Je résiste pour le principe, mes yeux louchant devant sa monstrueuse queue à quelques centimètres de mon visage. Les filles se défoulent sexuellement sur tout mon corps et je ne peux résister à une telle débauche d'énergie, une sensation de béatitude m'envahie d'un seul coup, le ciel se déchire et ma chatte ouvre les vannes, un violant orgasme déferle dans mon esprit et dans tout mon corps, mes muscles se tétanisent puis se relâchent d'un seul coup. Ma jouissance me fait accélérer les succions. J’essaie de crier de bonheur, mordant presque la lance de Xavier que je sens se cambrer suivi d’un flot de sperme qui gicle dans ma bouche. Je continue à gémir encore quelques instants, prises de véritables spasmes, secouée en tous sens pendant qu’il explose entre mes lèvres. Sa pine expulse encore de nombreux jets de sperme avant de se tarir.
J’avale tout et continue à le téter encore un bon moment puis je lui nettoie son chibre avec ma langue avant de me redresser, toute tremblante. Aussitôt, Maeva se met à quatre pattes, suivit de ses sœurs pendant que ses nièces s’occupent du soldat qui a baissé sa tête. Et comme d’habitude, Xavier ne met pas longtemps à être de nouveau en érection. Quel homme ! Ou plutôt, quel mâle ! C’est la première fois de ma vie que je suis spectatrice et je dois dire que le spectacle n’est pas commun. Déjà voir un couple en pleine baise est jouissif, mais là, j’ai devant moi un étalon hyper membré qui va s’occuper de six pouliches en chaleur…
Les trois cousines viennent se positionner devant les métisses, comme des chevaux de chaque côté d’une barrière canadienne, (cherchez ce qu’est une barrière canadienne) comme dans les westerns. Elles se gamahuchent à qui mieux-mieux, se tripotent les seins. Pendant ce temps, Xavier se positionne à tour de rôle entre des cuisses offertes et tel un étalon reproducteur, il fait coulisser sa queue dans chaque chatte accueillante, jusqu’à la ressortir et la renfonce d’un coup, arrachant un hoquet de douleur ou de plaisir suivant les filles, et il recommence encore et encore. Des fois, il dérape et sodomise sa proie. Ma chatte en coule devant une telle débauche. La douleur doit être immense pour Isis car elle se débat. Il lui claque les fesses, il la saisit par les hanches puis attrape ses cheveux pour qu’elle cesse de gigoter, l’obligeant à se cambrer encore plus sous ses cris de douleur puis d’encouragement :
- Oh putain de merde ! tu m’éclates le cul avec ta grosse queue, putain ce que je dérouille, ne t’arrête pas mon salaud, oh ouuuiii !!!
Il ne la ramone plus maintenant, il la pilonne carrément, comme un fou, lui tire encore plus les cheveux, à bout de souffle. Alors, sans crier gare, il décule et passe à la fille suivante. Comment peut-il troncher six filles en même temps ? Je ne saurais dire, c’est pas humainement possible. Je ne sais pas s’il avait préparé son coup en faisant jouer son gland dans ces chattes et ces culs, il s'en sert comme d'un piston. Un baiseur comme ça, on ne devrait pas le laisser errer dans les rues ...
La scène dure pratiquement une demi-heure avant qu’une nouvelle fois, il jouisse, arrosant des visages tendus, en attente de leur récompense. On doit faire un usage immodéré de la poire à lavement dans cette rue.
Il se retourne enfin vers moi, reprenant conscience de ma présence. Xavier se rapproche de moi pour me rouler une pelle, une main titillant une pointe érigée, l’autre faisant de même avec mon clito gonflé à bloc. Je me saisis du sexe de Xavier et c'est sans doute la plus belle image qu’il va me rester de cette dernière journée : ma main entourant à peine son sexe et s'y promenant lentement de haut en bas. Je l'embrasse, l'encourage, lui murmurant plein de mots tendres au creux de l'oreille. Je sens son sexe qui avait perdu de sa superbe durcir contre ma jambe, je frissonne de partout.
-Ok, ça suffit, tu as bien profité du spectacle, il est temps que je te baise maintenant ma petite canadienne ! Tu vas te mettre à quatre-pattes toi aussi, cambre-toi au maximum comme une chienne en chaleur qui donne son cul au chien bâtard du voisin !
Ma chatte coule telle une fontaine à l’idée d’être pourfendue par cette queue insatiable. Je prends conscience que maintenant il ne va s’occuper que de moi. Ça fait trop longtemps qu’il a délaissé mon minou. Moi aussi je veux ma part de bien-être et de bonheur.
Il se penche, met sa main entre mes cuisses pour récolter de la mouille sur ma chatte et l’étale entre mes fesses. Je sais qu’il ne va pas se contenter que de ma chatte. Un peu d’appréhension me saisit à nouveau, surtout en jetant un œil sur son sexe qui semble encore plus gonflé qu’avant, comme s’il avait enflé à force de buriner toutes ses filles en fleur. Il s’enfonce enfin en moi, plus profondément encore, butant avec force de son gland sur le col de mon utérus. J’ai l’impression d’être transpercée de part et d’autre de mon corps. Il se penche et se saisit à pleine mains de mes seins qu’il malmène, ce qui me fait hurler de douleur. Il ne me ménage pas plus que les donzelles avant de retirer son rostre, laissant béante ma chatte endolorie. Après quelques minutes de ce traitement, il se retire, en nage, la bite toujours fièrement dressée et s’agenouille derrière moi, crache sur mon anus, y introduit son majeur puis son index, fait quelques va et vient pour en évaluer la souplesse.
-Tu vois, tu t’habitues, tu es aussi salope qu’elles et tu vas donc subir la même punition.
-Oh oui ouiii ! J ’adore ta queue au fond de ma chatte, au fond de mon cul, défonce-moi, mon étalon jurassien
Et là, il retire ses doigts qui change de trou et pose son gland mafflu sur mon œillet. Il pousse doucement pour franchir le Rubicon et la douleur m’envahit comme un éclair, le temps d’une fraction de seconde, les larmes coulent d’un coup. Il m’assène ensuite le coup de grâce comme le toréador avec son épée à la mise à mort en plantant au plus profond de mon anus son énorme défonce-cul. Je ne suis plus qu’une loque, mon cul un réceptacle pour une foreuse surdimensionnée. Je me fais enculer par une immense queue qui me déchire le fion et qui me transporte vers les plus hautes cimes du plaisir, imaginant tout le plaisir que prend Xavier lui aussi. Je ne suis plus moi-même, lui montrant tout mon bonheur de me faire éclater le cul par sa superbe queue infatigable et hurler à la ronde tout le bonheur que je ressens avec des mots crus. Je suis dans un monde merveilleux qui me satisfait pleinement malgré le fait qu’il lui fasse tant de partenaires pour se vider les burnes.
Sa colonne de chair vibre dans mon anus, annonciatrice d’une énième éjac. Il appuie avec deux doigts sur la base de sa verge, bloquant son sperme puis se reculant vivement, il interrompt le contact entre son chibre et mon derrière et avant de retirer ses doigts. J’arrive à voir en tournant la tête son sperme sortir de sa queue toujours dressée qui est animée d’une vie propre et expulsant de longues giclées de foutre avec des soubresauts. Trois énormes giclées de foutre s’écrasent sur mon dos, de mes fesses à mes cheveux. Je suis fière et surexcitée d’avoir réussi malgré ses précédentes agapes sexuelles à obtenir un tel tribut de cet homme.
Xavier est complètement harassé. Il débande enfin et sa queue ramollie pend entre ses cuisses, position inhabituelle quand il est avec une femme. Pour la première fois depuis que nous nous sommes rencontrés - il y a quelques jours - il m’enlace et me donne un baiser (d’adieu ?) plein de tendresse sur la bouche et me murmure à l’oreille :
-Ma petite Québécoise, j’espère que tu garderas un bon souvenir du Jura, de ses pics et de ses lacs.
En fait de pic, je n’ai pas vu le Crêt de la neige mais son formidable gourdin, et pour ce qui est des lacs, le seul que j’ai vu était plein d’un liquide blanchâtre que j’ai bu comme une noyée buvant la tasse…
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