Le jeune homme au Pair (2)
Récit érotique écrit par Tounet39270 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Le jeune homme au Pair (2)
Chapitre 2
Bradley attrape ensuite son slip et son pantalon qu’il enfile rapidement. Il vérifie ensuite l’heure sur sa montre et dit :
-Bon, je crois que ça devrait aller pour le jet-lag, non ? dit-il en se remettant dans son rôle de père, sans même un clin d’œil ou une autre allusion à ce qui venait de se passer. Il va falloir bouger un peu, on va devoir aller chercher Jimmy.
Il glisse ses mains dans sa poche pour récupérer ses clés de voiture.
-Laisses tes affaires ici, on les ramassera plus tard. Va t’habiller, histoire de ne pas choquer le petit, ajouta-t-il avec un sourire en coin, une dernière allusion sexuelle subtile faisant référence à l’état de mon short de bain.
Je sors de la piscine en me précipitant vers ma nouvelle chambre pour enfiler un jean et un t-shirt sec. J’ai encore la vision de Bradley à poil devant moi. Je le rejoins ensuite près de sa voiture, un SUV de luxe noir qui témoigne de sa réussite d’argent immobilier.
-Ca va, tu as l’air un peu pâlot. Assieds-toi. On y va.
Je m’installe sur le siège passager, essayant de me concentrer sur l’itinéraire plutôt que su l’homme qui est en train de conduire. Le silence dure encore quelques instants, puis il le brisa avec un ton plus intime.
-Tu sais, Mathieu, c’est important que tu te sentes à l’aise ici. C’est notre maison certes, mais c’est aussi la tienne pour cette année, me dit-il avec un sourire aux lèvres. Mais il y a une chose que tu dois comprendre avec moi. Je suis un homme très… direct. Dans mon métier, on ne tourne pas autour du pot. Et dans ma vie privée non plus.
Je déglutis.
-Je… je comprends, Bradley.
Il ricane doucement tout en accélérant sur la route.
-Non, je ne crois pas que tu comprennes tout encore. Prenons l’exemple de la piscine. Tu as vu ce que tu voulais voir, n’est-ce pas ? Et qu’est-ce que j’ai fait ? Je t’ai donné ce que tu cherchais. J’aime savoir que je peux avoir un impact immédiat sur les gens. Surtout quand ils sont… sensibles. La règles, c’est que tu t’occupes de Jimmy. C’est ta priorité. Pas d’histoires, pas de drames. Sandy n’est pas du genre à tolérer les écarts. Elle est… exigeante, tu vois ? Mais pour le reste, ce qui se passe entre toi et moi… reste entre toi et moi.
Il pose sa main sur la console centrale, se rapprochant dangereusement de mon genou.
-Ce que tu as dans le pantalon, par exemple. C’était un peu agité tout à l’heure. C’est normal. Mais il va falloir apprendre à gérer tes émotions, Mathieu. Surtout si tu dois t’occuper d’un enfant toute la journée. Tu as besoin d’être concentré.
Il tourne vers une rue pavillonnaire et ralentit. Son regard s’attarde une seconde sur moi puis il reprend :
-A moins, bien sûr, que tu aies besoin d’une aide ponctuelle pour te décharger de cette pression de temps en temps. Un peu de coaching pour t’aider à t’adapter. On pourrait trouver des solutions discrètes pour que tu sois à nouveau… détendu.
C’est moi où il vient de me proposer un arrangement secret ?
-Réfléchis-y, conclut-il toujours en souriant et en arrivant devant le petit terrain de football. On arrive. Souviens-toi : ce qui se passe sous l’eau… ne sort pas de la piscine.
Le retour à la maison fut une transition brutale entre le secret étouffant de la voiture et la façade de la vie de famille. Bradley envoie Jimmy se laver, rétablissant immédiatement l’intimité nécessaire à la poursuite de son jeu.
-Jimmy, file te laver les mains, et ensuite, tu vas prendre ta douche. L’eau ça décrasse, mais ça n’enlève pas la terre.
Le petit garçon s’exécute une fois parti, l’atmosphère de la cuisine changea.
-Bon, Sandy va rentrer très tard. Je pense vers 22h, dit-il, sortant les ingrédients. J’ai besoin d’un coup de main pour le dîner. Simple : pâtes et salade.
Je m’approche du plan de travail en me demandant si le calme n’est qu’une simple illusion. Bradley se positionne non pas à côté de moi, mais presque derrière moi, créant une proximité excessive sous prétexte de me montrer où sont rangés les ustensiles.
-Les couverts sont là… les casseroles ici, murmure-t-il, bien trop près de mon oreille.
Puis, il arrête de bouger. Il me colle contre le plan de travail, son corps puissant pressant doucement mon dos. Je suis pris en étau entre la froideur du marbre et la chaleur intimidante de ce mec. Je n’ose plus respirer.
-Ecoute-moi bien, Mathieu, chuchote-il, sa main venant se poser sur ma hanche avec une pression légère mais possessive. J’ai pris une semaine de congés. Je ne travaille pas cette semaine. Ça va nous permettre de régler les formalités.
Il accentue la pression sur ma hanche et se penche encore plus près, faisant courir le long de mon cou le souffle chaud de sa voix.
-Je vais te montrer tout ce que tu vas devoir faire. Où est l’école, les horaires de Jimmy, les règles de la maison… Et demain, on ira à la banque pour t’aider à ouvrir un compte. On ne va rien laisser au hasard. Penser à tout ça, ça demande beaucoup de concentration. Et surtout, ça demande d’être très… disponible et flexible dans tes horaires.
Il marque une pause tout en glissant sa main vers ma taille.
-C’est pour ça que j’appelle ça du coaching intensif. Il faut que tu sois bien détendu pour assimiler toutes les informations. Et j’ai vu que tu avais des petites difficultés à te détendre tout seul, n’est-ce pas ?
La chaleur me monte à nouveau piéger contre le plan de travail sans pouvoir bouger car si je bouge, je suis obligé de frotter mon dos contre son entrejambe.
-C’est une semaine pour te mettre sur les rails, Mathieu. On va être très proches pour ça. Et si, en chemin, on doit régler quelques tensions privées pour que tu sois plus performant, je peux me rendre disponible. Est-ce que c’est clair ?
Pour seule réponse, je hoche la tête car je suis incapable à ce moment-là de former une réponse orale. Le bruit des pas de Jimmy dans l’escalier, suivi de sa voix enfantine, brise l’étreinte dangereuse dans la cuisine. Bradley me lâche et recule d’un pas rapide, reprenant son rôle de père.
-On mange ! lança Bradley, posant les assiettes sur la grande table de la salle à manger. Le dîner a été un exercice épuisant. Bradley, avec un ton naturel déconcertant, parle avec animation à son fils de sa journée. Moi, je me retrouve assis à côté du père de famille. La situation devient insupportable lorsqu’il pose sa main sur ma cuisse sous la table. Le contact est ferme et caché sous la nappe. Au début, j’ai pensé à un accident, mais sa main ne bouge pas. Il continue de parler à son fils avec un aplomb incroyable, tout en caressant discrètement le tissu de mon jean avec son pouce. J’ai le sourire forcé et ne peux rien faire de plus. Chaque bouchée me reste en travers de ma gorge. Je vois Jimmy, insouciant, raconter ses exploits de football.
-C’est ça mon champion, Mathieu est là pour t’aider avec tes devoirs et tes entraînements. Tu verras, il est très compétent et très serviable, dit Bradley, pressant légèrement ma cuisse sur l’adjectif « serviable », ce qui m’a envoyé une onde de choc.
Oui, j’ai hâte de commencer, dis-je doucement.
L’interminable dîner touche à sa fin. A 20h, l’heure du coucher sonne pour Jimmy. Bradley accompagne son fils à l’étage pour l’histoire du soir me laissant débarrasser la table. Je termine avec les nerfs à vif puis entends la porte de Jimmy se fermer. Je me dirige vite vers ma propre chambre pour être tranquille mais à peine arriver, je vois Bradley apparaître dans l’encadrement. Il est grand, imposant. Il ne sourit pas, il a juste l’air déterminé.
-On a une conversation à terminer, Mathieu.
Il ne demande pas la permission et entre dans ma chambre, refermant la porte derrière lui. Il regarde le lit puis me regarde qui suit en train de me plaquer contre le mur.
-Tu as réfléchi à ce coaching intensif que je t’ai proposé ? me dit-il à voix basse sans attendre de réponse car il fait un pas, puis un deuxième dans ma direction. Tu as besoin d’apprendre à être plus efficace dans ton travail, me chuchote-t-il en s’arrêtant juste devant moi. Et moi, j’ai la solution pour que tu sois parfaitement détendu pour le reste de la semaine.
Sa main se lève et vient se poser doucement sur ma gorge.
-Et je crois qu’on ne va pas pouvoir attendre jusqu’à demain.
Il retire sa main de ma gorge sans se reculer. Au lieu de ça, il laisse ses doigts remonter pour caresser doucement mon visage en effleurant ma joue. J’ai l’impression d’être sous son contrôle. Les yeux grands ouverts, je me laisse faire tout en regardant ses yeux bleus. Je regarde ensuite intensément ses lèvres en imaginant la sensation d’un baiser de sa part. Bradley se penche encore, si près que je sens son souffle chaud et léger sur ma propre bouche.
-Tu sais Mathieu, tu as de très belles lèvres. Elles ont l’air très… douces. J’aime beaucoup quand tu me regardes comme ça. Avec cette… faim. C’est une bonne chose. Il faut avoir de l’appétit pour tout ce que la Californie a à offrir. Et moi, je peux t’offrir beaucoup de chose, Mathieu. Beaucoup de nouvelles expériences. Mais pour ça, il faut que tu sois à l’aise avec moi. Très à l’aise.
Il rapproche sa bouche de la mienne, mais s’arrête au dernier instant.
-Et je vois que tu es très, très impatient de commencer n’est-ce pas ? Tes yeux me disent que tu n’attends qu’une chose.
Je n’attends qu’une chose : lui sauter dans les bras pour l’embrasser. Je suis à deux doigts de prendre cette initiative. J’ouvre légèrement la bouche, prêt à le supplier, quand il recule imperceptiblement, juste assez pour briser le contact physique et visuel avec ses lèvres.
Son visage est si proche du mien que je ne peux me concentrer que sur ses lèvres tentatrices.
-Tu as faim, n’est-ce pas ? Tes yeux le crient. Mais je veux goûter à tes lèvres quand tu es à mon entière merci, me dit-il en rapprochant sa bouche de la mienne. Alors que je suis suspendu à ses mots, attendant un signe et s’en que je ne m’y attende, il m’embrasse enfin.
Cette fois, ce n’est pas un effleurement. C’est un baiser soudain, profond, qui me saisit par surprise. Bradley ouvre la bouche et y insère sa langue, transformant l’échange en une déclaration passionnée et autoritaire. Sa langue m’explore, ne me laissant aucune chance de reprendre le contrôle.
Il m’attrape par la taille, ses mains puissantes m’agrippant. D’un mouvement rapide et surprenant, il me soulève légèrement et me colle contre le mur, mes pieds quittant presque le sol. La pression de son corps musclé contre le mien est écrasante.
Il rompt le baiser, son souffle heurtant mon cou. Il me maintient toujours plaqué contre le mur, nos corps l’un contre l’autre ne laissant aucun doute sur ses intentions.
-Tu vois, je suis efficace, Mathieu, dit-il en pressant son bassin contre le mien. On n’a pas toute la nuit. Sandy rentre dans un peu moins de deux heures, on n’a que peu de temps devant nous. Je crois que le coaching intensif doit être rapide et efficace ce soir. On ne va pas y passer des heures. Tu as besoin de repos. Mais il faut que tu sois parfaitement satisfait pour être concentré demain matin.
Il lâche ma taille, laissant ses mains glisser sur l’intérieur de mes cuisses.
-Alors, on y va ? Je ne veux pas perdre de temps à te convaincre. On fait ça maintenant et on n’en parle plus. C’est oui ou non, Mathieu ?
Je me sens désarmé, ivre de baisers, le corps tremblant de désir et de soumission. Je fixe son visage et fit :
-Oui.
-Excellent choix, Mathieu. Tu es efficace, dit-il triomphant.
Sans plus de cérémonie, Bradley prit la commande de mon corps. Il commença par me déshabiller totalement en retirant mon t-shirt et mon jean. A ce moment-là, je me suis senti vulnérable et incroyablement excité. Il me pousse ensuite doucement, mais fermement, en direction du sol.
-A genoux, Mathieu. On commence par te détendre de la bonne manière.
Il ne perd pas de temps et défait sa ceinture et ouvre sa braguette. Le spectacle est conforme à ce que j’ai vu à la piscine, mais en centuple : son énorme queue en pleine érection jaillit. Elle est imposante, une masse de chair dure et pulsante, couronnée d’une perle de précum qui brille sur son gland. Il dépose ensuite son gland contre ma bouche. Obéissant et consumé par le désir, je le prends en bouche immédiatement ? Je le suce avec toute la ferveur et l’excitation accumulées de la journée. Le goût de sa peau, la pression, le contact enfin réalisé avec ce mec qui me domine me fait monter une vague de plaisir intense.
Après quelques minutes de fellation en l’entendant gémir, il retire son sexe de ma bouche.
-Assez. J’ai un autre trou à explorer, me dit-il en reprenant le contrôle.
Il me tire du sol et, me pousse vers le lit en me faisant mettre à genoux de nouveau, mais cette fois-ci sur le matelas, le dos tourné. Je suis donc en position d’attente et de soumission complète. Il s’approche de moi par derrière. D’abord, il sépare mes fesses et me dévore mon petit cul ferme avec sa langue experte et gourmande. Je hurle silencieusement, mon corps se cambrant sous l’assaut.
Enfin, sans préparation supplémentaire autre que sa propre salive, il écarte mes fesses, positionne la tête de sa grosse bite contre l’entrée de mon cul et commence à pousser. Malgré l’excitation, la taille de Bradley est intimidante. Je sens une douleur vive et un étirement brutal.
Bradley, conscient de la taille de sa queue, pousse lentement, s’arrêtant pour me permettre de m’adapter, mais sans jamais retirer son organe.
-Sois docile, Mathieu. Laisse-moi te mettre à l’aise.
Puis, il me pénètre entièrement. La sensation d’être totalement possédé par lui est à la fois douloureuse et extatique.
-Bienvenue à Walnut-Creek, Mathieu. Maintenant, on travaille.
Il commence alors ses vas et viens, dominant tout mon corps. La pénétration a été brutale, mais Bradley n’a laissé aucune place à la pitié une fois à l’intérieur de mon cul. Il a commencé par des allers-retours, méthodiques, me permettant de m’habituer à l’énormité de sa présence. Le plaisir et la douleur s’entremêlent. Puis, sentant que je commence à m’adapter, il a accéléré.
Il accélère le rythme, et très vite, il démonte mon cul sans ménagement. Ses coups de bassin sont puissants, frappant profondément, chaque impact résonnant dans ma chambre. Je suis écartelé mais c’est tellement bon. Après plusieurs allers-retours rapide et vigoureux, la sensation devient trop forte. Je commence à crier mon plaisir entre l’extase et la souffrance. Bradley ne ralentit pas la cadence et d’une main ferme, il enfonce ma tête dans mon oreiller. Mes cris sont étouffés, transformés en gémissements sourds, me forçant au silence et à la soumission.
Il maintient la pression un instant, puis, sans prévenir, il ressort son sexe entièrement. Je sens un vide déchirant avant qu’il ne replante sa queue avec force.
Il m’a baisé pendant une demi-heure, variant les angles, avant de me retourner sur le côté et de continuer l’assaut, rendant l’étreinte encore plus intime et profonde. Mon corps n’est plus qu’un instrument de plaisir pour Bradley.
Finalement, il approche de l’orgasme et accélère une dernière fois, ses coups de rein devenant des impacts violents et rapides. Avec un rugissement sourd et puissant, il jouit avec intensité, dix bonnes grosses giclées de sperme chaud et épais s’éparpillant en moi. La sensation du liquide brûlant m’emplit mon intérieur est le point culminant de cette soirée de soumission.
Il ne s’arrête pas immédiatement. Il continue de ma baiser un peu pour tasser le tout avant de ressortir sa queue avec un bruit de succion.
Il se redresse, sa chemise trempée de sueur puis attrape un mouchoir sur la table de nuit.
-Viens là, m’ordonne-t-il.
Il tend son énorme sexe encore tremblant et dégoulinant vers moi, toujours allongé sur le lit et épuisé. Je me redresse pour prendre sa queue en bouche pour la nettoyer de sa propre semence qui restait.
Une fois bien nettoyé, il range sa queue et referme sa braguette puis s’approche de la porte et se retourne pour me dire :
-Tu as du travail demain, Mathieu, dit-il avec calme. Demain, on se lève à 6h30.
Il ouvre la porte, me jette un dernier regard puis s’éclipse dans le silence de la grande maison me laissant seul.
Fin du chapitre 2.
Bradley attrape ensuite son slip et son pantalon qu’il enfile rapidement. Il vérifie ensuite l’heure sur sa montre et dit :
-Bon, je crois que ça devrait aller pour le jet-lag, non ? dit-il en se remettant dans son rôle de père, sans même un clin d’œil ou une autre allusion à ce qui venait de se passer. Il va falloir bouger un peu, on va devoir aller chercher Jimmy.
Il glisse ses mains dans sa poche pour récupérer ses clés de voiture.
-Laisses tes affaires ici, on les ramassera plus tard. Va t’habiller, histoire de ne pas choquer le petit, ajouta-t-il avec un sourire en coin, une dernière allusion sexuelle subtile faisant référence à l’état de mon short de bain.
Je sors de la piscine en me précipitant vers ma nouvelle chambre pour enfiler un jean et un t-shirt sec. J’ai encore la vision de Bradley à poil devant moi. Je le rejoins ensuite près de sa voiture, un SUV de luxe noir qui témoigne de sa réussite d’argent immobilier.
-Ca va, tu as l’air un peu pâlot. Assieds-toi. On y va.
Je m’installe sur le siège passager, essayant de me concentrer sur l’itinéraire plutôt que su l’homme qui est en train de conduire. Le silence dure encore quelques instants, puis il le brisa avec un ton plus intime.
-Tu sais, Mathieu, c’est important que tu te sentes à l’aise ici. C’est notre maison certes, mais c’est aussi la tienne pour cette année, me dit-il avec un sourire aux lèvres. Mais il y a une chose que tu dois comprendre avec moi. Je suis un homme très… direct. Dans mon métier, on ne tourne pas autour du pot. Et dans ma vie privée non plus.
Je déglutis.
-Je… je comprends, Bradley.
Il ricane doucement tout en accélérant sur la route.
-Non, je ne crois pas que tu comprennes tout encore. Prenons l’exemple de la piscine. Tu as vu ce que tu voulais voir, n’est-ce pas ? Et qu’est-ce que j’ai fait ? Je t’ai donné ce que tu cherchais. J’aime savoir que je peux avoir un impact immédiat sur les gens. Surtout quand ils sont… sensibles. La règles, c’est que tu t’occupes de Jimmy. C’est ta priorité. Pas d’histoires, pas de drames. Sandy n’est pas du genre à tolérer les écarts. Elle est… exigeante, tu vois ? Mais pour le reste, ce qui se passe entre toi et moi… reste entre toi et moi.
Il pose sa main sur la console centrale, se rapprochant dangereusement de mon genou.
-Ce que tu as dans le pantalon, par exemple. C’était un peu agité tout à l’heure. C’est normal. Mais il va falloir apprendre à gérer tes émotions, Mathieu. Surtout si tu dois t’occuper d’un enfant toute la journée. Tu as besoin d’être concentré.
Il tourne vers une rue pavillonnaire et ralentit. Son regard s’attarde une seconde sur moi puis il reprend :
-A moins, bien sûr, que tu aies besoin d’une aide ponctuelle pour te décharger de cette pression de temps en temps. Un peu de coaching pour t’aider à t’adapter. On pourrait trouver des solutions discrètes pour que tu sois à nouveau… détendu.
C’est moi où il vient de me proposer un arrangement secret ?
-Réfléchis-y, conclut-il toujours en souriant et en arrivant devant le petit terrain de football. On arrive. Souviens-toi : ce qui se passe sous l’eau… ne sort pas de la piscine.
Le retour à la maison fut une transition brutale entre le secret étouffant de la voiture et la façade de la vie de famille. Bradley envoie Jimmy se laver, rétablissant immédiatement l’intimité nécessaire à la poursuite de son jeu.
-Jimmy, file te laver les mains, et ensuite, tu vas prendre ta douche. L’eau ça décrasse, mais ça n’enlève pas la terre.
Le petit garçon s’exécute une fois parti, l’atmosphère de la cuisine changea.
-Bon, Sandy va rentrer très tard. Je pense vers 22h, dit-il, sortant les ingrédients. J’ai besoin d’un coup de main pour le dîner. Simple : pâtes et salade.
Je m’approche du plan de travail en me demandant si le calme n’est qu’une simple illusion. Bradley se positionne non pas à côté de moi, mais presque derrière moi, créant une proximité excessive sous prétexte de me montrer où sont rangés les ustensiles.
-Les couverts sont là… les casseroles ici, murmure-t-il, bien trop près de mon oreille.
Puis, il arrête de bouger. Il me colle contre le plan de travail, son corps puissant pressant doucement mon dos. Je suis pris en étau entre la froideur du marbre et la chaleur intimidante de ce mec. Je n’ose plus respirer.
-Ecoute-moi bien, Mathieu, chuchote-il, sa main venant se poser sur ma hanche avec une pression légère mais possessive. J’ai pris une semaine de congés. Je ne travaille pas cette semaine. Ça va nous permettre de régler les formalités.
Il accentue la pression sur ma hanche et se penche encore plus près, faisant courir le long de mon cou le souffle chaud de sa voix.
-Je vais te montrer tout ce que tu vas devoir faire. Où est l’école, les horaires de Jimmy, les règles de la maison… Et demain, on ira à la banque pour t’aider à ouvrir un compte. On ne va rien laisser au hasard. Penser à tout ça, ça demande beaucoup de concentration. Et surtout, ça demande d’être très… disponible et flexible dans tes horaires.
Il marque une pause tout en glissant sa main vers ma taille.
-C’est pour ça que j’appelle ça du coaching intensif. Il faut que tu sois bien détendu pour assimiler toutes les informations. Et j’ai vu que tu avais des petites difficultés à te détendre tout seul, n’est-ce pas ?
La chaleur me monte à nouveau piéger contre le plan de travail sans pouvoir bouger car si je bouge, je suis obligé de frotter mon dos contre son entrejambe.
-C’est une semaine pour te mettre sur les rails, Mathieu. On va être très proches pour ça. Et si, en chemin, on doit régler quelques tensions privées pour que tu sois plus performant, je peux me rendre disponible. Est-ce que c’est clair ?
Pour seule réponse, je hoche la tête car je suis incapable à ce moment-là de former une réponse orale. Le bruit des pas de Jimmy dans l’escalier, suivi de sa voix enfantine, brise l’étreinte dangereuse dans la cuisine. Bradley me lâche et recule d’un pas rapide, reprenant son rôle de père.
-On mange ! lança Bradley, posant les assiettes sur la grande table de la salle à manger. Le dîner a été un exercice épuisant. Bradley, avec un ton naturel déconcertant, parle avec animation à son fils de sa journée. Moi, je me retrouve assis à côté du père de famille. La situation devient insupportable lorsqu’il pose sa main sur ma cuisse sous la table. Le contact est ferme et caché sous la nappe. Au début, j’ai pensé à un accident, mais sa main ne bouge pas. Il continue de parler à son fils avec un aplomb incroyable, tout en caressant discrètement le tissu de mon jean avec son pouce. J’ai le sourire forcé et ne peux rien faire de plus. Chaque bouchée me reste en travers de ma gorge. Je vois Jimmy, insouciant, raconter ses exploits de football.
-C’est ça mon champion, Mathieu est là pour t’aider avec tes devoirs et tes entraînements. Tu verras, il est très compétent et très serviable, dit Bradley, pressant légèrement ma cuisse sur l’adjectif « serviable », ce qui m’a envoyé une onde de choc.
Oui, j’ai hâte de commencer, dis-je doucement.
L’interminable dîner touche à sa fin. A 20h, l’heure du coucher sonne pour Jimmy. Bradley accompagne son fils à l’étage pour l’histoire du soir me laissant débarrasser la table. Je termine avec les nerfs à vif puis entends la porte de Jimmy se fermer. Je me dirige vite vers ma propre chambre pour être tranquille mais à peine arriver, je vois Bradley apparaître dans l’encadrement. Il est grand, imposant. Il ne sourit pas, il a juste l’air déterminé.
-On a une conversation à terminer, Mathieu.
Il ne demande pas la permission et entre dans ma chambre, refermant la porte derrière lui. Il regarde le lit puis me regarde qui suit en train de me plaquer contre le mur.
-Tu as réfléchi à ce coaching intensif que je t’ai proposé ? me dit-il à voix basse sans attendre de réponse car il fait un pas, puis un deuxième dans ma direction. Tu as besoin d’apprendre à être plus efficace dans ton travail, me chuchote-t-il en s’arrêtant juste devant moi. Et moi, j’ai la solution pour que tu sois parfaitement détendu pour le reste de la semaine.
Sa main se lève et vient se poser doucement sur ma gorge.
-Et je crois qu’on ne va pas pouvoir attendre jusqu’à demain.
Il retire sa main de ma gorge sans se reculer. Au lieu de ça, il laisse ses doigts remonter pour caresser doucement mon visage en effleurant ma joue. J’ai l’impression d’être sous son contrôle. Les yeux grands ouverts, je me laisse faire tout en regardant ses yeux bleus. Je regarde ensuite intensément ses lèvres en imaginant la sensation d’un baiser de sa part. Bradley se penche encore, si près que je sens son souffle chaud et léger sur ma propre bouche.
-Tu sais Mathieu, tu as de très belles lèvres. Elles ont l’air très… douces. J’aime beaucoup quand tu me regardes comme ça. Avec cette… faim. C’est une bonne chose. Il faut avoir de l’appétit pour tout ce que la Californie a à offrir. Et moi, je peux t’offrir beaucoup de chose, Mathieu. Beaucoup de nouvelles expériences. Mais pour ça, il faut que tu sois à l’aise avec moi. Très à l’aise.
Il rapproche sa bouche de la mienne, mais s’arrête au dernier instant.
-Et je vois que tu es très, très impatient de commencer n’est-ce pas ? Tes yeux me disent que tu n’attends qu’une chose.
Je n’attends qu’une chose : lui sauter dans les bras pour l’embrasser. Je suis à deux doigts de prendre cette initiative. J’ouvre légèrement la bouche, prêt à le supplier, quand il recule imperceptiblement, juste assez pour briser le contact physique et visuel avec ses lèvres.
Son visage est si proche du mien que je ne peux me concentrer que sur ses lèvres tentatrices.
-Tu as faim, n’est-ce pas ? Tes yeux le crient. Mais je veux goûter à tes lèvres quand tu es à mon entière merci, me dit-il en rapprochant sa bouche de la mienne. Alors que je suis suspendu à ses mots, attendant un signe et s’en que je ne m’y attende, il m’embrasse enfin.
Cette fois, ce n’est pas un effleurement. C’est un baiser soudain, profond, qui me saisit par surprise. Bradley ouvre la bouche et y insère sa langue, transformant l’échange en une déclaration passionnée et autoritaire. Sa langue m’explore, ne me laissant aucune chance de reprendre le contrôle.
Il m’attrape par la taille, ses mains puissantes m’agrippant. D’un mouvement rapide et surprenant, il me soulève légèrement et me colle contre le mur, mes pieds quittant presque le sol. La pression de son corps musclé contre le mien est écrasante.
Il rompt le baiser, son souffle heurtant mon cou. Il me maintient toujours plaqué contre le mur, nos corps l’un contre l’autre ne laissant aucun doute sur ses intentions.
-Tu vois, je suis efficace, Mathieu, dit-il en pressant son bassin contre le mien. On n’a pas toute la nuit. Sandy rentre dans un peu moins de deux heures, on n’a que peu de temps devant nous. Je crois que le coaching intensif doit être rapide et efficace ce soir. On ne va pas y passer des heures. Tu as besoin de repos. Mais il faut que tu sois parfaitement satisfait pour être concentré demain matin.
Il lâche ma taille, laissant ses mains glisser sur l’intérieur de mes cuisses.
-Alors, on y va ? Je ne veux pas perdre de temps à te convaincre. On fait ça maintenant et on n’en parle plus. C’est oui ou non, Mathieu ?
Je me sens désarmé, ivre de baisers, le corps tremblant de désir et de soumission. Je fixe son visage et fit :
-Oui.
-Excellent choix, Mathieu. Tu es efficace, dit-il triomphant.
Sans plus de cérémonie, Bradley prit la commande de mon corps. Il commença par me déshabiller totalement en retirant mon t-shirt et mon jean. A ce moment-là, je me suis senti vulnérable et incroyablement excité. Il me pousse ensuite doucement, mais fermement, en direction du sol.
-A genoux, Mathieu. On commence par te détendre de la bonne manière.
Il ne perd pas de temps et défait sa ceinture et ouvre sa braguette. Le spectacle est conforme à ce que j’ai vu à la piscine, mais en centuple : son énorme queue en pleine érection jaillit. Elle est imposante, une masse de chair dure et pulsante, couronnée d’une perle de précum qui brille sur son gland. Il dépose ensuite son gland contre ma bouche. Obéissant et consumé par le désir, je le prends en bouche immédiatement ? Je le suce avec toute la ferveur et l’excitation accumulées de la journée. Le goût de sa peau, la pression, le contact enfin réalisé avec ce mec qui me domine me fait monter une vague de plaisir intense.
Après quelques minutes de fellation en l’entendant gémir, il retire son sexe de ma bouche.
-Assez. J’ai un autre trou à explorer, me dit-il en reprenant le contrôle.
Il me tire du sol et, me pousse vers le lit en me faisant mettre à genoux de nouveau, mais cette fois-ci sur le matelas, le dos tourné. Je suis donc en position d’attente et de soumission complète. Il s’approche de moi par derrière. D’abord, il sépare mes fesses et me dévore mon petit cul ferme avec sa langue experte et gourmande. Je hurle silencieusement, mon corps se cambrant sous l’assaut.
Enfin, sans préparation supplémentaire autre que sa propre salive, il écarte mes fesses, positionne la tête de sa grosse bite contre l’entrée de mon cul et commence à pousser. Malgré l’excitation, la taille de Bradley est intimidante. Je sens une douleur vive et un étirement brutal.
Bradley, conscient de la taille de sa queue, pousse lentement, s’arrêtant pour me permettre de m’adapter, mais sans jamais retirer son organe.
-Sois docile, Mathieu. Laisse-moi te mettre à l’aise.
Puis, il me pénètre entièrement. La sensation d’être totalement possédé par lui est à la fois douloureuse et extatique.
-Bienvenue à Walnut-Creek, Mathieu. Maintenant, on travaille.
Il commence alors ses vas et viens, dominant tout mon corps. La pénétration a été brutale, mais Bradley n’a laissé aucune place à la pitié une fois à l’intérieur de mon cul. Il a commencé par des allers-retours, méthodiques, me permettant de m’habituer à l’énormité de sa présence. Le plaisir et la douleur s’entremêlent. Puis, sentant que je commence à m’adapter, il a accéléré.
Il accélère le rythme, et très vite, il démonte mon cul sans ménagement. Ses coups de bassin sont puissants, frappant profondément, chaque impact résonnant dans ma chambre. Je suis écartelé mais c’est tellement bon. Après plusieurs allers-retours rapide et vigoureux, la sensation devient trop forte. Je commence à crier mon plaisir entre l’extase et la souffrance. Bradley ne ralentit pas la cadence et d’une main ferme, il enfonce ma tête dans mon oreiller. Mes cris sont étouffés, transformés en gémissements sourds, me forçant au silence et à la soumission.
Il maintient la pression un instant, puis, sans prévenir, il ressort son sexe entièrement. Je sens un vide déchirant avant qu’il ne replante sa queue avec force.
Il m’a baisé pendant une demi-heure, variant les angles, avant de me retourner sur le côté et de continuer l’assaut, rendant l’étreinte encore plus intime et profonde. Mon corps n’est plus qu’un instrument de plaisir pour Bradley.
Finalement, il approche de l’orgasme et accélère une dernière fois, ses coups de rein devenant des impacts violents et rapides. Avec un rugissement sourd et puissant, il jouit avec intensité, dix bonnes grosses giclées de sperme chaud et épais s’éparpillant en moi. La sensation du liquide brûlant m’emplit mon intérieur est le point culminant de cette soirée de soumission.
Il ne s’arrête pas immédiatement. Il continue de ma baiser un peu pour tasser le tout avant de ressortir sa queue avec un bruit de succion.
Il se redresse, sa chemise trempée de sueur puis attrape un mouchoir sur la table de nuit.
-Viens là, m’ordonne-t-il.
Il tend son énorme sexe encore tremblant et dégoulinant vers moi, toujours allongé sur le lit et épuisé. Je me redresse pour prendre sa queue en bouche pour la nettoyer de sa propre semence qui restait.
Une fois bien nettoyé, il range sa queue et referme sa braguette puis s’approche de la porte et se retourne pour me dire :
-Tu as du travail demain, Mathieu, dit-il avec calme. Demain, on se lève à 6h30.
Il ouvre la porte, me jette un dernier regard puis s’éclipse dans le silence de la grande maison me laissant seul.
Fin du chapitre 2.
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