Le jeune homme au Pair (3) - histoire érotique

Chapitre 3

Il m’a baisé pendant une demi-heure, variant les angles, avant de me retourner sur le côté et de continuer l’assaut, rendant l’étreinte encore plus intime et profonde. Mon corps n’est plus qu’un instrument de plaisir pour Bradley.
Finalement, il approche de l’orgasme et accélère une dernière fois, ses coups de rein devenant des impacts violents et rapides. Avec un rugissement sourd et puissant, il jouit avec intensité, dix bonnes grosses giclées de sperme chaud et épais s’éparpillant en moi. La sensation du liquide brûlant m’emplit mon intérieur est le point culminant de cette soirée de soumission.
Il ne s’arrête pas immédiatement. Il continue de ma baiser un peu pour tasser le tout avant de ressortir sa queue avec un bruit de succion.
Il se redresse, sa chemise trempée de sueur puis attrape un mouchoir sur la table de nuit.
-Viens là, m’ordonne-t-il.

Il tend son énorme sexe encore tremblant et dégoulinant vers moi, toujours allongé sur le lit et épuisé. Je me redresse pour prendre sa queue en bouche pour la nettoyer de sa propre semence qui restait.
Une fois bien nettoyé, il range sa queue et referme sa braguette puis s’approche de la porte et se retourne pour me dire :
-Tu as du travail demain, Mathieu, dit-il avec calme. Demain, on se lève à 6h30.

Il ouvre la porte, me jette un dernier regard puis s’éclipse dans le silence de la grande maison me laissant seul.

Le lendemain matin, j’émerge de ma chambre et chaque pas est une torture sourde qui me contraint à marcher avec une raideur et une grande prudence. L’épuisement de la nuit dernière et la douleur dans les fesses me rendent chancelant. Je parviens à la cuisine où tout est calme.
Sandy et Bradley sont là, buvant leur café à l’îlot central. Bradley, impeccable dans son costume, est absorbé par la lecture de son journal, tandis que Sandy parcourt son téléphone, la mine sérieuse.
-Bonjour Mathieu ! lance Sandy en levant les yeux. Mon Dieu, qu’est-ce qui t’arrive ? Tu marches comme un robot.
-Bonjour, dis-je en m’appuyant contre le plan de travail et évitant de m’asseoir tout de suite. J’ai glissé cette nuit en allant aux toilettes, le sol était mouillé et je suis mal retombé. Rien de grave, juste un peu courbaturé.
Bradley abaisse son journal, son regard bleu acier rencontrant le mien avec un petit sourire narquois éclairant son visage.
-Ah, une glissade, dit-il. Il faut toujours faire attention aux surfaces glissantes, surtout quand on est… mal assuré sur ses appuis. Ça peut causer de gros dégâts dans des zones très sensibles et inattendues.
-Mets de la glace, Mathieu, me dit Sandy en hochant la tête.

Je m’approche d’eux pour m’asseoir, mais au lieu de prendre la chaise haute de l’autre côté, je me glisse sur le tabouret à côté de Bradley, de l’autre côté de l’îlot par rapport à Sandy.
En m’asseyant avec difficulté, j’ai déposé ma main dans le bas du dos de Bradley, près de ses fesses. Ce ne fut pas intentionnel mais trop tard, le geste est fait. Bradley n’a pas bougé. Il continue de lire son journal d’une main, mais avec l’autre, il la pose sur ma main en la pinçant légèrement. J’ai pris ceci pour un avertissement silencieux pour qu’il garde le contrôle.
-On dirait que tu as besoin de te tenir à quelque chose de solide ce matin, Mathieu, comment-t-il de sa voix basse pour que je sois le seul à l’entendre.

Sandy jette un coup d’œil à sa montre et se lève d’un coup.
-Bon, je dois y aller. J’ai une grosse commande à valider avant l’ouverture.

Elle embrasse Bradley sur la joue puis part en nous disant à ce soir. Elle se tourne ensuite vers moi en disant :
-Prends soin de ton dos, et surtout, prends soin de Jimmy. Il faudra le réveiller dans trente minutes pour le petit-déjeuner. Ensuite, Bradley t’emmènera à la banque.

Elle quitte la cuisine, nous laissant avec tous les deux. Il relâcha l’emprise sur ma main mais maintient son regard sur moi. Quand Sandy part, Bradley se lève calmement, prend une tasse et y verse du café frais puis m’en sert une tasse aussi.
-Bois ça. Ça va te réveiller, m’ordonne-il en posant la tasse devant moi.

Il se rassoit ensuite et reprend son journal.
-Dans quinze minutes, il faudra que tu montes pour préparer Jimmy pour son petit-déjeuner, l’habiller, brossage de dents. Nous n’avons pas de temps à perdre, on doit être à l’école à l’heure.

J’obéis et je bois mon café tout en le regardant. Lorsque je me relève, je vais doucement tellement j’ai mal.
A 8h30, nous avons déposé Jimmy à l’école puis Bradley se tourne vers moi dans la voiture :
-Et voilà. Maintenant, tu es officiellement en service. Et maintenant, on s’occupe de toi.

Nous ne sommes pas aller immédiatement vers la banque. Il m’a conduit jusqu’au cœur de cette belle ville, dans un quartier commerçant animé puis se gara et nous sommes partis boire un café chez Starbucks.
Assis à une petite table, il laissa tomber le masque de l’employeur :
-Tu as mal, n’est-ce pas ?
-Oui.
-Bien, c’est normal quand on a un coaching aussi intensif, dit-il en se penchant vers moi. Mais dis-moi, Mathieu... est-ce que tu as aimé la nuit dernière ?
-Oui, Bradley. J’ai… j’ai aimé, murmurais-je en fixant ma tasse
-Et est-ce que tu aimerais que ça recommence ? enchaîna Bradley. On est seuls toute la semaine en journée ? Il y a de nombreuses façons de t’aider à te détendre après toutes les formalités administratives.
-Oui. Je… je le voudrais.
-Parfait. Maintenant, on va à la banque puis on rentre pour que je m’occupe de toi.

Le passage à la banque fut une formalité pour Bradley. Une fois l’affaire réglée, nous sommes rentrés à la maison. Une fois dans la maison, Bradley se dirige vers l’escalier, s’arrêt et se retourne pour me lancer un regard suggestif.
-Monte, Mathieu.

Je l’ai suivi immédiatement, la douleur lancinante dans les fesses toujours présente. Il me fait rentrer dans sa grande chambre, ou devrais-je dire sa suite.
-Allonge-toi sur le lit, face contre terre.

J’obéis sans aucune hésitation.
-Je t’ai fait mal hier. Un bon massage est ce qu’il te faut pour être en forme pour le reste de la semaine, me dit-il en s’approchant. Mais pour que ce soit efficace, tu sais ce qu’il faut faire. Mets-toi nu, Mathieu.

Je le fais en silence et m’installe sur le lit.
-Parfait. Je vais te masser ces jolies fesses bien fermes pour enlever toutes les tensions.

Il prend de l’huile de massage dans sa commode et commence à masser mon dos et mes fesses. Ses mains sont fortes et me pétrissent doucement les muscles endoloris. Pendant qu’il me masse, il se déshabille lui aussi, complètement. Il laisse tomber ses vêtements au sol et, dans un geste d’intimité totale, s’assoit à califourchon sur mes jambes, son corps nu et puissant directement sur moi.
Il masse avec délicatesse, ses pouces travaillant les insertions musculaires, soulageant ma douleur. Mais le contact de son corps nu sur moi, l’odeur de sa peau, ont rendus l’acte insupportable de sensualité.
Au fur et à mesure que le massage se poursuit, je sens l’effet grandissant de Bradley sur moi : son sexe commence à grossir, sa masse dure et chaude repose contre le bas de mon dos.
Après un moment, il arrête son massage, mais reste assit sur mes jambes. Il se penche et me murmure tout près de mon oreille :
-Est-ce que ça va mieux, Mathieu ? Est-ce que le mal s’en va ?

Le corps détendu par le massage et en alerte par son érection contre moi, j’arrive à murmurer :
-Oui, beaucoup mieux Bradley.
-Et dis-moi, Mathieu… Est-ce que tu as envie de moi, dit-il en se redressant légèrement et déplaçant le poids de son énorme sexe.
-Oui, Bradley, j’ai envie de toi, lui répondis-je un peu honteusement mais emplie de désir.

Le visage de Bradley s’éclaire d’une expression de pure satisfaction, mais à ma grande surprise, il est devenu plus tendre. Il se penche et m’embrasse tendrement la nuque qui me fait frissonner.
-Mon pauvre Mathieu, il faut vraiment te détendre complètement. Hier, c’était la mise en service, mais aujourd’hui, on passe à l’entretien de routine.

Il me pince doucement la fesse puis :
-Tu t’es fait mal en glissant, hein ? On dirait que ton derrière à besoin d’être déverrouillé en douceur aujourd’hui. On ne va pas y aller comme un déménageur de l’immobilier pressé, dit-il en se relevant et s’étirant puis revient vers moi. On va faire les choses bien, Mathieu. Mais avant, il y a une étape essentielle du coaching : pour que ce soit agréable pour tout le monde, tu vas devoir apprendre à me prendre en bouche. Bien. Profondément.

Il se positionne au bord du lit. Sa grosse queue dure et luisante de précum est à l’aplomb de mon visage.
-Viens, Mathieu. Je veux que tu ailles chercher la profondeur. Tes poumons doivent-être bien décompressés après le voyage.

Obéissant, je me hisse sur le lit, prenant sa verge en bouche. Il contrôle ma tête en la guidant doucement mais fermement pour que j’aille au-delà de mes limites habituelles. Ma gorge se contacte, mais le désir et l’autorité de Bradley m’aide à endurer. J’ai du m’y prendre à plusieurs reprises mais après quelques minutes de cette leçon de gorge profonde où je pouvais sentir ses grosses couilles taper mon visage, Bradley se retira.
-Très bien. Tu apprends vite, Mathieu. Maintenant, place aux soins.

Il me fait glisser vers le milieu du lit et me retourne sur le dos. Il prend le temps de me caresser, de m’embrasser sur la bouche. Puis, il se positionne entre mes jambes. Il prend bien son temps pour bien préparer mon cul. Il utilise l’huile et ses doigts, insérant d’abord un, puis deux, puis trois doigts, étirant doucement l’ouverture, tout en me parlant, me rassurant et me préparant à ce qui allait arriver.
-Laisses-moi te faire du bien. Je te promets que cette fois, tu ne sentiras que le plaisir, me dit-il en se positionnant. Regarde-moi.

Il inséra lentement la tête de sa bite dans l’ouverture lubrifiée de mon petit cul. La préparation a bien fait son œuvre. Il pousse doucement, et s’ancre entièrement en moi.
Une fois connecté, il relève mes jambes pour les poser sur ses épaules, une position qui accentue la profondeur de la pénétration et permet le contact face à face. Je peux voir l’intensité du désir sans ses yeux bleus tandis qu’il commence à bouger en moi.
-C’est ça, le vrai coaching, Mathieu. On travaille en douceur sur les zones sensibles.

Bradley me pénétra doucement en levant mes jambes sur ses épaules, avec des mouvements lents et langoureux. Puis le rythme changea. Les mouvements sont devenus plus rapide à très rapide. Je gémis, non pas de douleur mais de pure extase.
Dans un élan de passion, Bradley mit fin à la position face à face ? Avec une force étonnante, il me prit sur ses genoux, m’enroulant autour de sa taille musclée.
Il se lève et me porte toujours ancré en moi, et commence à marcher lentement dans la chambre, avant de me plaquer contre un mur, puis de revenir vers le lit. Il me soulève et me fait monter et descendre sur sa verge bien dure, l’effort intense étant transmis par la force de ses bras ? Je suis son jouet, sa possession, porté et baisé avec une vigueur animale qui témoigne de sa passion.
Les baisers sont profonds, les caresses sont tendres mais possessifs. Nous baisons pendant presque une heure intense, alternant les positions, Bradley s’assurant que mon plaisir est aussi intense que le sien.
Alors que son orgasme approche, il cesse brusquement ses mouvements, en me maintenant toujours sur lui. Sa verge toujours profondément ancrée, mais immobile.
-Tu as été parfait, Mathieu. Mon jeune homme Au Pair est incroyable, me souffla-t-il, son visage à quelques centimètres du mien. Maintenant, le moment de vérité. Qu’est-ce que tu préfères ? Être fécondé encore une fois, en pressant son corps contre le mien, ou est-ce que tu préfères goûter toute ma jouissance en fond de gorge ?
-En bouche, dis-je épuisé, les yeux embués de plaisir et ne pouvant pas refuser l’ultime acte d’intimité.

Il sourit, un sourire de conquérant. Il retire sa queue de mon cul, et la guide rapidement vers ma bouche. Je fais de mon mieux pour prendre l’énorme membre, mais ne peut pas tout avaler en bouche tant son éjaculation est soudaine et torrentielle.
Son sperme chaud me recouvre le menton et les joues. Bradley retire son sexe, et avec une douceur inattendue et troublante, ramasse son jus sur mes joues avec le bout de sa verge puis me la tend en bouche pour que je puisse finir d’absorber le précieux liquide.
Nous nous écroulons côte à côte sur le lit défait. Nous sommes allongés, son corps contre le mien puis je passe mes mains sur son torse puissant et musclé, le caressant et goûtant au calme et à la tendresse qui vient de succéder la tempête.
Il ferme les yeux, en totale détente.
Je savoure cet instant de calme, quand mon regard tombe sur le radio réveil. La panique remplace la tendresse.
-Bradley ! On est en retard ! Jimmy !

Le visage de Bradley, d’abord assoupi, se transforma en une expression de concentration intense.
-Merde.

Nous nous sommes rhabillés en vitesse. Bradley avec l’efficacité d’un homme habitué à gérer les crises et moi avec la raideur post-coïtale. En quelques minutes, nous avons fait le lit à la hâte, effaçant toutes les traces de notre après-midi torride. Nous sommes ensuite aller chercher Jimmy en trombe et sommes arrivés à l’heure.
Le reste de l’après-midi a filé à une allure folle. J’ai enchaîné mon rôle de jeune homme Au Pair en m’occupant du goûter, en aidant Jimmy avec un peu de lecture. Le dîner à vite été préparé car j’ai fait réchauffer les restes, avant de faire manger Jimmy et de le mettre au lit.

A 21h, nous nous sommes retrouvés dans le grand salon en attendant le retour de Sandy pour manger ensemble. Bradley s’est installé à mes côtés sur le grand canapé d’angle. La lumière tamisée, sa main trouva la mienne en discutant avec moi.
Lorsque Sandy est arrivée, fatiguée de sa journée, nous avons discutés tous les trois autour du dîner tardif. Bradley, d’un naturel déconcertant, commence à faire quelques remarques que Sandy n’a pas compris. Il est assis à mes côtés, en face de sa femme et je ne sais plus où me mettre.
-Mathieu a été très efficace aujourd’hui, Sandy. On a été très profonds dans les détails administratifs. N’est-ce pas Mathieu ?

Puis, avec le summum de l’audace, alors que Sandy lui parle de son stock de robes, il est parvenu à glisser sa main tranquillement dans mon pantalon, sous prétexte de me tendre une serviette de table.
Il est arrivé à me mettre un doigt dans le boxer, avec un frottement rapide et stimulant me déclenchant une érection instantanée.
L’excitation d’être surpris par Sandy est là, une montée d’adrénaline rend le plaisir plus intense, mais elle ne voit rien. Trop de fatigue je suppose.
Vers 23h, elle se met à bailler à plusieurs reprises.
-Je suis épuisée. Je vais me coucher, annonce-t-elle, embrassant son mari et me souhaitant une bonne nuit.

J’ai encore le corps en ébullition à cause du doigt de Bradley mais je me lève car la fatigue se fait ressentir pour moi aussi. Je me tourne vers lui :
-Bonne nuit, Bradley.

Il ne bouge pas du canapé. Il m’attrape par le bras avant que je ne puisse m’éloigner et me tire vers lui.
-Tu crois que c’est fini, Mathieu ? Après une journée si intense ? me demande-t-il avec son regard bleu foncé et brûlant. Je ne désire pas un simple « bonne nuit ».

Il me tire entre ses jambes, son visage tout près.
-Ce soir, tu vas me montrer à quel point tu as apprécié mon coaching intensif. Je veux quelque chose de plus… torride.

Fin du chapitre 3.