Le mari de Karine
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-03-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le mari de Karine
Karine, déçue par les infidélités constantes de son mari Louis, déprime. Malgré les scènes de ménage fréquentes, l'infidèle, mène sa vie comme si de rien n'était. Heureusement que sa confidente et meilleure amie, Aurélie, l'épaule. Les deux femmes sont amies depuis les bancs de l'école, depuis que Karine sait que son mari la trompe, les deux femmes ne se quittent pratiquement plus. Elles font leur shopping ensemble, vont au spectacle, enfin bref, elles sont inséparables.
Les deux amies, au fil des jours, deviennent de plus en plus proches. Karine semble revivre, elle est plus souriante, et doucement, reprend goût à la vie. Cela fait des mois que Louis et Karine s'ignorent. Ils font chambre à part, se croisent dans le couloir, en évitant de se regarder, chacun fait sa cuisine. Pour l'instant, il n'est pas question de divorce. Quelques fois, les deux femmes dans le salon rient aux éclats. Elles regardent la télé, blottis l'une contre l'autre, Louis s'imagine pleins de choses. Les deux femmes pensent qu'il croit qu'elles sont amantes, cela les amuse, elles décident d'en rajouter une couche. Dès qu'elles l'entendent s'approcher, sur le canapé, elles se serrent l'une contre l'autre pour donner le change. Louis s'assoit dans un fauteuil, il fait semblant de regarder la télé, mais le bougre les épie.
Lentement, Aurélie, caresse la cuisse de son amie, qui fait mine d'apprécier les caresses. Puis la main se glisse sous la jupe et longe la cuisse. Karine veut stopper la main en posant la sienne sur celle de son amie. Mais, Aurélie la regarde, en fronçant les sourcils. Karine entre dans le jeu pour faire pâlir son mari volage, elle accepte la main qui continue sa progression sous le tissu. Avec douceur, les bouts des doigts butent sur l'aine, Karine se cabre légèrement, en poussant un soupir. Louis ne quitte plus des yeux le couple. Il voit la main bouger sous la jupe de sa femme, il ravale sa salive. Sans le vouloir, Karine entrouvre les jambes, elle ferme les yeux, lorsque les doigts glissent sur sa culotte en s'approchants dangereusement de son intimité.
Karine semble être ailleurs, Aurélie caresse doucement la fente que seul le fin tissu protège. Du coin de l'œil, elle surveille Louis. Le bougre s'avance plus sur le bord de son fauteuil. Aurélie remarque une bosse qui déforme le pantalon du voyeur. Louis pour cacher son érection pose ses mains dessus. Karine ouvre les yeux, ils sont brillants. Elle soupire, lorsque deux doigts appuient sur sa fente, en entraînants le tissu entre les grandes lèvres. Les deux femmes paraissent oublier la présence de Louis. Aurélie augmente le frottement sur la fente de Karine. Sa culotte s'humidifie à grande vitesse, sa respiration s'accélère. Machinalement, Karine ouvre largement les jambes. Louis n'en peut plus, il se lève et sort de la pièce en vociférant.
Aurélie retire sa main, mais ce n'est pas l'avis de son amie qui l'apostrophe :
-Non continue, c'est si bon !
Aurélie la regarde en souriant et lui répond :
-Le manque se fait ressentir Hein ma cochonne !
Karine hausse les épaules et dit en souriant :
-Ne parle pas bêtement Aurélie, tu vois que je déprime, il me faut du réconfort, d'abord, c'est toi qui as commencé !
Aurélie lui relève le menton avec deux doigts et dépose un baiser bruyant sur ses lèvres, en disant :
-Eh bien ma belle, on peut dire, toi, que tu ne manques pas de souffle !
Elle repose sa main sur la cuisse de Karine et reprend ce qu'elle avait commencé. La culotte est trempée, Aurélie suggère de la retirer. Karine d'un geste rapide ôte sa culotte et se laisse retomber sur le canapé. Aurélie lui retrousse la jupe, s'agenouille face à elle. Elle lui écarte les jambes, regarde l'abricot qui rejette son jus, et dit :
-Oh la vache comme tu mouilles ma chérie !
Sans répondre, c'est en rougissant que Karine ferme les yeux. Aurélie avance sa main entre les cuisses ouvertes et lentement enfonce deux doigts dans la vulve en ébullition de son amie. De son autre main, elle saisit le clito et le branle, tout en ramonant le puits d'amour. Le traitement parait efficace, car Karine se cabre en poussant un long râle de jouissance. Aurélie, satisfaite de son acte, dit en souriant :
-Voilà ma chérie, tu as eu ce que tu voulais !
Karine répond entre deux souffles :
-Oh, c'est si bon, et ça détend, tu sais !
Enfin, Karine se dirige vers la salle de bain pour prendre une douche. Louis refait son apparition dans le salon, il s'approche d'Aurélie et lui lance un peu narquois :
-Alors salope ma femme baise bien ?
Aurélie éclate de rire et répond :
-Tu dois le savoir mieux que moi, car tu l'as déjà baisé !
Louis veut l'attraper par le bras, mais Aurélie, s'échappe en riant, il court derrière en rageant, il la coince, la plaque contre le mur et la serre fortement. Aurélie se débat en riant, le bougre, un peu vexé, pose ses lèvres sur celle d'Aurélie, elle tente de le repousser en appuyant sur son torse, sans succès, l'homme est fort. La langue du mâle s'introduit dans sa bouche et se noue à la sienne. Une chose inattendue se produit, Aurélie prend par le cou Louis et lui rend son baiser. Le baiser est très long, les deux corps enlacés chutent sur le sol. La main de Louis glisse sous la jupe d'Aurélie et passe plusieurs fois sur l'entrejambe. Louis dit :
C'est d'avoir baisé ma femme, que tu mouilles autant, salope !
Aurélie répond sans se démonter :
-Je me suis excitée en lui fouillant la chatte, baise-moi salaud, je suis chaude comme de la braise !
Louis lui arrache la culotte, il sort sa bite qu'est déjà tendue. Il prend place entre les cuisses de la demandeuse et lui enfonce sa queue jusqu'aux couilles dans le ventre sans faire de préliminaires. Aurélie pousse un long râle pendant la pénétration. Elle s'accroche à son amant qui commence un pilonnage en règle. La bite puissante de Louis voyage dans le vagin en raclant les muqueuses, cela provoque chez Aurélie des gémissements de bêtes blessées. Rapidement, elle jouit en se cramponnant à son amant. Louis donne encore quelques violents coups de reins avant de lui remplir le ventre de sa crème. Enfin les amants se séparent. Louis monte dans sa chambre, Aurélie retourne au salon. Enfin Karine sort de la salle de bain vêtue d'un peignoir de bain que ferme une ceinture assortit.
Elle va s'assoir près de son amie, les deux se regardent, Aurélie a le regard fuyant. Karine lui demande :
-Oh toi ça ne va pas, qu'est-ce que tu as, aller raconte !
Aurélie, très gênée, se racle la gorge et dit avec des trémolos dans la voix, je ne mérite pas ton amitié, je suis une chienne, je viens de faire l'amour avec ton mari !
Karine sursaute, regarde son amie et dit :
-Mais tu sais ma chérie, tu fais ta vie comme tu l'entends, Louis, je le hais, tu peux baiser avec lui autant de fois que tu veux, cela m'est égal, mais j'admire ton courage de me l'avoir avouée !
Aurélie est stupéfaite, elle qui s'attendait à des cris, eh bien non Karine s'en bat les cils.
Elle enlace son amie et lui donne plein de baisers sur le visage. Karine en souriant lui demande :
-Alors c'est un bon coup mon mari ?
Aurélie dit :
-Pour être honnête, c'était un coup à la sauvette, du rapide quoi !
Karine ajoute :
Dommage parce que c'est un bon baiseur d'habitude, il est où cet enfoiré !
Aurélie Lui dit :
-Il est monté !
Karine la prend par le bras et dit :
-Viens, tu ne peux rester sur un échec ma chérie, allons lui réclamer ton dû !
Aurélie semble inquiète, elle dit :
-Mais tu es sérieuse Karine, tu veux que je recommence avec Louis ?
Karine répond :
-Oh oui, il t'a fait ça comme un soudard, il doit recommencer le salaud !
Les deux amies, au fil des jours, deviennent de plus en plus proches. Karine semble revivre, elle est plus souriante, et doucement, reprend goût à la vie. Cela fait des mois que Louis et Karine s'ignorent. Ils font chambre à part, se croisent dans le couloir, en évitant de se regarder, chacun fait sa cuisine. Pour l'instant, il n'est pas question de divorce. Quelques fois, les deux femmes dans le salon rient aux éclats. Elles regardent la télé, blottis l'une contre l'autre, Louis s'imagine pleins de choses. Les deux femmes pensent qu'il croit qu'elles sont amantes, cela les amuse, elles décident d'en rajouter une couche. Dès qu'elles l'entendent s'approcher, sur le canapé, elles se serrent l'une contre l'autre pour donner le change. Louis s'assoit dans un fauteuil, il fait semblant de regarder la télé, mais le bougre les épie.
Lentement, Aurélie, caresse la cuisse de son amie, qui fait mine d'apprécier les caresses. Puis la main se glisse sous la jupe et longe la cuisse. Karine veut stopper la main en posant la sienne sur celle de son amie. Mais, Aurélie la regarde, en fronçant les sourcils. Karine entre dans le jeu pour faire pâlir son mari volage, elle accepte la main qui continue sa progression sous le tissu. Avec douceur, les bouts des doigts butent sur l'aine, Karine se cabre légèrement, en poussant un soupir. Louis ne quitte plus des yeux le couple. Il voit la main bouger sous la jupe de sa femme, il ravale sa salive. Sans le vouloir, Karine entrouvre les jambes, elle ferme les yeux, lorsque les doigts glissent sur sa culotte en s'approchants dangereusement de son intimité.
Karine semble être ailleurs, Aurélie caresse doucement la fente que seul le fin tissu protège. Du coin de l'œil, elle surveille Louis. Le bougre s'avance plus sur le bord de son fauteuil. Aurélie remarque une bosse qui déforme le pantalon du voyeur. Louis pour cacher son érection pose ses mains dessus. Karine ouvre les yeux, ils sont brillants. Elle soupire, lorsque deux doigts appuient sur sa fente, en entraînants le tissu entre les grandes lèvres. Les deux femmes paraissent oublier la présence de Louis. Aurélie augmente le frottement sur la fente de Karine. Sa culotte s'humidifie à grande vitesse, sa respiration s'accélère. Machinalement, Karine ouvre largement les jambes. Louis n'en peut plus, il se lève et sort de la pièce en vociférant.
Aurélie retire sa main, mais ce n'est pas l'avis de son amie qui l'apostrophe :
-Non continue, c'est si bon !
Aurélie la regarde en souriant et lui répond :
-Le manque se fait ressentir Hein ma cochonne !
Karine hausse les épaules et dit en souriant :
-Ne parle pas bêtement Aurélie, tu vois que je déprime, il me faut du réconfort, d'abord, c'est toi qui as commencé !
Aurélie lui relève le menton avec deux doigts et dépose un baiser bruyant sur ses lèvres, en disant :
-Eh bien ma belle, on peut dire, toi, que tu ne manques pas de souffle !
Elle repose sa main sur la cuisse de Karine et reprend ce qu'elle avait commencé. La culotte est trempée, Aurélie suggère de la retirer. Karine d'un geste rapide ôte sa culotte et se laisse retomber sur le canapé. Aurélie lui retrousse la jupe, s'agenouille face à elle. Elle lui écarte les jambes, regarde l'abricot qui rejette son jus, et dit :
-Oh la vache comme tu mouilles ma chérie !
Sans répondre, c'est en rougissant que Karine ferme les yeux. Aurélie avance sa main entre les cuisses ouvertes et lentement enfonce deux doigts dans la vulve en ébullition de son amie. De son autre main, elle saisit le clito et le branle, tout en ramonant le puits d'amour. Le traitement parait efficace, car Karine se cabre en poussant un long râle de jouissance. Aurélie, satisfaite de son acte, dit en souriant :
-Voilà ma chérie, tu as eu ce que tu voulais !
Karine répond entre deux souffles :
-Oh, c'est si bon, et ça détend, tu sais !
Enfin, Karine se dirige vers la salle de bain pour prendre une douche. Louis refait son apparition dans le salon, il s'approche d'Aurélie et lui lance un peu narquois :
-Alors salope ma femme baise bien ?
Aurélie éclate de rire et répond :
-Tu dois le savoir mieux que moi, car tu l'as déjà baisé !
Louis veut l'attraper par le bras, mais Aurélie, s'échappe en riant, il court derrière en rageant, il la coince, la plaque contre le mur et la serre fortement. Aurélie se débat en riant, le bougre, un peu vexé, pose ses lèvres sur celle d'Aurélie, elle tente de le repousser en appuyant sur son torse, sans succès, l'homme est fort. La langue du mâle s'introduit dans sa bouche et se noue à la sienne. Une chose inattendue se produit, Aurélie prend par le cou Louis et lui rend son baiser. Le baiser est très long, les deux corps enlacés chutent sur le sol. La main de Louis glisse sous la jupe d'Aurélie et passe plusieurs fois sur l'entrejambe. Louis dit :
C'est d'avoir baisé ma femme, que tu mouilles autant, salope !
Aurélie répond sans se démonter :
-Je me suis excitée en lui fouillant la chatte, baise-moi salaud, je suis chaude comme de la braise !
Louis lui arrache la culotte, il sort sa bite qu'est déjà tendue. Il prend place entre les cuisses de la demandeuse et lui enfonce sa queue jusqu'aux couilles dans le ventre sans faire de préliminaires. Aurélie pousse un long râle pendant la pénétration. Elle s'accroche à son amant qui commence un pilonnage en règle. La bite puissante de Louis voyage dans le vagin en raclant les muqueuses, cela provoque chez Aurélie des gémissements de bêtes blessées. Rapidement, elle jouit en se cramponnant à son amant. Louis donne encore quelques violents coups de reins avant de lui remplir le ventre de sa crème. Enfin les amants se séparent. Louis monte dans sa chambre, Aurélie retourne au salon. Enfin Karine sort de la salle de bain vêtue d'un peignoir de bain que ferme une ceinture assortit.
Elle va s'assoir près de son amie, les deux se regardent, Aurélie a le regard fuyant. Karine lui demande :
-Oh toi ça ne va pas, qu'est-ce que tu as, aller raconte !
Aurélie, très gênée, se racle la gorge et dit avec des trémolos dans la voix, je ne mérite pas ton amitié, je suis une chienne, je viens de faire l'amour avec ton mari !
Karine sursaute, regarde son amie et dit :
-Mais tu sais ma chérie, tu fais ta vie comme tu l'entends, Louis, je le hais, tu peux baiser avec lui autant de fois que tu veux, cela m'est égal, mais j'admire ton courage de me l'avoir avouée !
Aurélie est stupéfaite, elle qui s'attendait à des cris, eh bien non Karine s'en bat les cils.
Elle enlace son amie et lui donne plein de baisers sur le visage. Karine en souriant lui demande :
-Alors c'est un bon coup mon mari ?
Aurélie dit :
-Pour être honnête, c'était un coup à la sauvette, du rapide quoi !
Karine ajoute :
Dommage parce que c'est un bon baiseur d'habitude, il est où cet enfoiré !
Aurélie Lui dit :
-Il est monté !
Karine la prend par le bras et dit :
-Viens, tu ne peux rester sur un échec ma chérie, allons lui réclamer ton dû !
Aurélie semble inquiète, elle dit :
-Mais tu es sérieuse Karine, tu veux que je recommence avec Louis ?
Karine répond :
-Oh oui, il t'a fait ça comme un soudard, il doit recommencer le salaud !
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Excellent texte, très excitant!
Voilà un retournement de situation un attendu et très excitant
Vivement la suite qui devrait être très chaude
Vivement la suite qui devrait être très chaude