Le mariage de ma petite soeur Julie (12)

Récit érotique écrit par Tounet39270 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Le mariage de ma petite soeur Julie (12)
Chapitre 12
Je sortis de la douche sans même me sécher à poil. Il me dit à voix basse en me tendant le téléphone : « Tu as une sœur ? » Je pris le téléphone et lui dit bonjour. Je suis resté 5 minutes au téléphone puis j’ai raccroché avec une larme à l’œil.
J : Qu’est-ce qui se passe ? T’as une sœur ?
Moi : C’est mon père.
J : Quoi ton père ?
Moi : Il est mort.
Je suis resté sous le choc de cette annonce et je partis directement dans la chambre préparer ma valise.
J : Tu fais quoi ?
Moi : Je prépare mes affaires et je téléphone pour me louer un truc vers chez mes parents.
J : Tu veux que je t’accompagne ?
Moi : NON. (dis-je d’un ton ferme)
J : Ok, mais pas obliger de te mettre en colère contre moi.
Moi : Je suis désolé, excuses-moi.
Une fois ma valise faite, je pris le téléphone et me louais un petit appart dans un petit village à côté de Besançon. Je pris un dernier café, embrassa Julien en lui promettant de faire attention sur la route et je partis. Le trajet fut long, j’avais peur de revoir tout le monde et surtout peur de revoir Yohan. Durant ces deux dernières années, il avait essayé de reprendre contact sans que je ne réponde. J’en mourrais d’envie car malgré tout, il me manquait toujours.
Après plusieurs heures de route, j’arrivai enfin dans ce petit appartement donnant une belle vue sur la Loue (une rivière du Doubs) qui m’apaisa quelques instants. Je pris mon téléphone et envoya un message à ma sœur pour savoir à quelle heure se déroulait la cérémonie le lendemain. Elle me répondit que c’était à 10h mais qu’elle aimerait bien que l’on se voit. Je lui ai donc répondu que j’étais fatigué et que l’on ne se verrait que le lendemain. Elle me demanda aussi où j’étais hébergé et qu’elle ne viendrait pas mais c’était juste au cas où il y avait un problème. J’ai longuement hésité avant de lui envoyer mais je l’ai quand même fait.
Une fois l’appel terminé, il était 20h. Je décidais d’aller prendre ma douche et de me poser sur le canapé. J’étais crevé et pas envie de me faire à manger ni de partir en ville pour commander quelque chose. Je pris mon temps sous l’eau tout en pensant à demain et comment cela allait se passer. Je commençais donc à angoisser un peu mais repris le dessus en me disant demain est un autre jour.
La douche terminée, je partis m’installer sur le canapé et mis la télé. C’est à ce moment qu’on frappa à la porte.
Moi : (en criant vers la porte) PUTAIN, JE T’AVAIS BIEN DIS DE NE PAS VENIR. JE VEUX ETRE SEUL. TU COMPRENDS ?
Pas de réponse mais encore des coups à la porte. Je me levai donc et allai ouvrir. C’est la que je vis Yohan avec une boîte de pizza à la main et un pack de bières.
Y : Bonjour Max. Je sais que tu ne voulais voir personne mais j’ai dit à ta sœur que j’allais quand même venir. J’ai supposé aussi que tu avais peut-être faim ? Tu vas bien ?
Moi : Salut Yohan. Ça peut aller je te remercie. Et toi ?
Y : Ça va beaucoup mieux depuis que je te vois. Je peux rentrer ?
Moi : Oui bien sûr.
Je le fis rentrer, pris la pizza que je mis sur la table et les bières au frais.
Moi : Merci pour le repas. Je suppose que tu veux manger ici ?
Y : J’espérais que tu me le proposes oui.
Je n’ai pas eu le temps de faire quoi que ce soit, qu’il me prit dans ses bras.
Y : Tu m’as tellement manqué. Tu ne donnais plus signes de vie. Chaque jour sans toi est dur. Deux ans sans nouvelles, deux ans à me demander si tu vas bien, ce que tu fais, où tu es ?
Moi : Je sais mais je ne peux toujours rien te dire. Tu sais pourquoi j’ai fait ça (dis-je en me retenant de pleurer) ? Ce connard n’a jamais été retrouvé et je ne sais même pas s’il sait que je suis revenu. Même maintenant, j’ai encore peur pour vous tous et encore plus pour toi.
Y : Ça veut dire que je te manque ?
Moi : Si nous mangions ? Je meurs de faim.
Y : Tu ne réponds pas à ma question.
Moi : Je sais.
Nous nous sommes installés pour manger. Ce fut assez silencieux mais la bière nous détendit quand même un peu.
Y : Tu vas bien ?
Moi : Oui je vais bien, j’essaie de refaire ma vie et ce n’est pas tous les jours faciles.
Y : Quand tu dis refaire ta vie, cela veut dire que tu as quelqu’un dans ma vie.
Je n’ai pas su répondre à sa question en regardant ma bière.
Y : Je prends donc ça pour un oui.
Moi : Je ne veux pas te rendre triste tu sais.
Y : Un peu plus ou un peu moins tu sais…
Une fois la pizza terminée, je lui resservi une bière et nous sommes allés nous installer sur le canapé. Nous discutions de Dorian et il me montrait des photos de mon neveu qui avait bien grandit. A un moment donné, il posa sa main sur mon genou et je fus parcouru de frissons dans tout le corps. Je n’ai jamais oublié la douceur de ces mains. Il vit tout de suite que j’étais troublé et il se rapprocha de moi en approchant son autre main de ma joue. Lorsque sa main se posa dessus, je fermais les yeux. Et il vint m’embrasser ce qui me fit couler une larme de bonheur. Il essuya ma larme et me regarda droit dans les yeux.
Y : Tu m’as tellement manqué. Je t’aime toujours tu sais ?
Moi : Tu sais que je t’aime aussi mais on ne doit pas faire ça.
Y : Je me fiche de ce que tu en penses mais tu es là. Mais je respecte ton choix.
Moi : Merci. Est-ce que je peux te demander quelque chose ? Je sais que ce ne serait pas correct pour toi mais j’aimerai être bien un instant.
Y : Dis-moi. Tu sais que je ferais tout ce que tu me demandes.
Moi : J’aimerai m’allonger sur le lit et que tu me prennes dans tes bras.
Y : Oui, je peux faire ça.
Nous partîmes sur le lit et nous nous sommes allongés en cuillère. Lui derrière moi m’entourant de ses bras musclés. Je me suis endormi dans ses bras et là, je me sentais comme sur un nuage. Je me suis réveillé trois heures plus tard et il était toujours là. Ses bras me serraient tout contre lui. Je me suis retourné pour le regarder et lui dire :
Moi : Tu es encore là ?
Y : Tu croyais que j’allais m’enfuir comme un voleur ?
Moi : Non mais tu dois rentrer chez toi.
Y : Je sais mais je suis bien ici.
Il me fit un sourire et vint à nouveau poser ses lèvres tout contre mes lèvres. Il me caressa les cheveux, le visage, le contour de mes lèvres. Il passa sa main dans mon dos et la fit glisser sous mon T-shirt. C’était vraiment agréable. Puis il me caressa le torse et m’embrassa à nouveau.
Moi : Non, je ne peux pas faire ça. Je ne peux pas faire ça à Julien…
Y : Ah, il s’appelle Julien ? Et pourquoi tu ne pourrais pas faire ça ? Il ne saura rien tout comme Julie ne sais rien.
Il m’embrassa encore.
Moi : Non, ne fais pas ça.
Il continua. Ses baisers se firent plus intenses, il m’en fit dans le coup tout en me caressant. Je me sentais tellement bien que mes refus sonnaient faux et il le ressentait. Il ôta ensuite mon T-short, puis le sien. Sa peau, son odeur, mon Dieu, il m’a tellement manqué. Je ne pouvais plus me mentir, je me suis laissé aller. J’entrepris e lui enlever son pantalon et il fit de même. Nous retrouvions tous les deux en sous-vêtements et je sentais nos deux queues bien droites et à l’étroit.
Y : Je t’aime, j’ai envie de toi.
Moi : Qu’est-ce que tu attends alors ?
Je me suis relevé un peu pour enlever le bout de tissu qui lui restait et retirer le mien également. Il était étendu sur le dos et je pris le temps de regarder tout son corps qui m’avait tellement manqué. Je me souvenais du moindre détail mis à part un tatouage qu’il avait sur l’intérieur de son bras. C’était un banc avec un couché de soleil sur un lac.
Y : Je n’ai pas besoin de te dire la signification de ce tatouage ?
Moi : Non.
Je revins vers lui l’embrasser. Mes mains parcourues tout son corps et je pris sa queue en érection à pleine main. Je commençai quelques aller-retours et la pris directement en bouche. Il s’est appuyé sur ses coudes pour mes regarder faire et avec une de ses mains me caressait les fesses. Je l’ai sucé de longues minutes tandis qu’il commençait à me dilater le cul avec ses doigts. Je voulais le regarder dans les yeux lorsqu’il serait en moi. Je le voulais plus que tout au monde. Je vins alors le chevaucher en m’asseyant sur sa queue. C’était tellement bon que tout mon corps était électrisé. Je remuais mon cul et il me fit l’amour comme jamais. Il prit ma queue et me branlait en même temps. Je ne mis pas longtemps à éjaculer sur son ventre. Il en prit sur ses doigts et vint les porter à sa bouche et c’est à ce moment qu’il cria de bonheur ? Je sentis son jus m’inonder jusqu’au fin fond de mes entrailles. J’étais tellement épuisé que je me suis écroulé sur lui.
Au bout de dix minutes de baisers et de caresses, il s’est relevé et m’a demandé s’il pouvait prendre sa douche. Il était tard et il fallait qu’il rentre chez lui. Je n’en avais pas envie mais ne dis rien du tout.
Lorsqu’il ressortit de la salle de bain à poil, je le rejoignis, l’embrassa amoureusement. Il s’habilla ensuite et je lui dis :
Moi : C’était tellement bon. Mais tu sais que je ne resterais pas ?
Y : Comment ça ?
Moi : Je ne resterais pas après l’enterrement.
Y : Pourquoi ?
Moi : Tu sais pourquoi. S’il te plaît, ne complique pas les choses.
Y : Tu couches avec moi pour me dire ça ensuite ?
Moi : Mais….
Je n’eus pas le temps de finir ma phrase qu’il partit en claquant la porte.
Une fois de plus, je savais que j’avais fait une connerie et je me mis à pleurer sur le lit. Je me suis ensuite endormi.
Le lendemain matin, j’étais à l’église pour l’enterrement mais je ne me mis pas devant avec la famille. Je suis resté à l’écart tout au fond. Je voyais Yohan chercher du regard partout sans me voir.
La cérémonie finit, je décidai de partir directement sans prévenir. Arrivé à ma voiture, quelqu’un me prit le bras. Je me suis retourné et je fus surpris de voir ma petite sœur Julie en pleure se jeter dans mes bras puis me gifler.
J : Qu’est-ce que tu fais ?
Moi : Je pars.
J : Mais tu viens à peine de rentrer. Ça fait deux que tu es parti sans rien dire et tu recommences encore ?
Moi : C’est compliqué, je ne peux rien te dire.
J : Reste s’il te plaît ? Tu n’as même pas vu ton neveu.
Moi : Non, je suis désolé.
J : Est-ce qu’au moins tu peux me dire pourquoi Yohan est rentré en colère cette nuit ?
Moi : Rien. Je lui ai dit la même chose qu’à toi.
J : Il t’apprécie beaucoup et quand tu es parti il y a deux ans, ça lui a foutu un coup. Je n’ai jamais compris pourquoi ?
Moi : S’il te plaît, laisses-moi !
Je repris mon bras et commençais à partir.
J : (En criant) Tu ne pourras pas fuir toute ta vie.
Je me suis retourné et elle était déjà partie. Je suis donc reparti en direction de ma voiture et en ouvrant la portière, quelqu’un m’attrapa et me retourna violemment. C’était Grégoire ! Il me prit par la gorge. J’étais tétanisé. Je n’arrivais plus à respirer.
G : Je t’avais prévenu de ne plus être avec lui, tu t’es foutu de ma gueule. Tu vas le regretter. Tu as détruit ma vie et je vais faire de même avec la tienne.
Et là, je fus poussé sur le côté. Yohan venait de cogner Grégoire en se jetant dessus. Je fus projeté au sol. Tous les deux se battaient et je me recroquevillai contre au sol contre ma voiture.
Y : (tout en maintenant Grégoire qui se débattait et en me regardant et en criant) : Pars, je m’occupe de lui.
Il me regarda me relever et me dis du bout des lèvres Je t’aime. Je ne me fis pas prier, je me relevai et montai dans ma voiture en démarrant. Je suis parti en regardant dans le rétroviseur Yohan se battre contre Grégoire puis je ne les vis plus après avoir pris la première intersection.
Sur la route, je reçu un message de Yohan : « je n’ai pas pu l’arrêter. Il est parti mais toi je t’ai sauvé. Je te sauverai toujours. Je t’aime. Je sais que tu ne me répondras pas mais même si c’était trop court, je sais que tu m’aimes encore et ça, ça me permet de vivre heureux. Je t’aimerai toute ma vie. »
Une fois à la maison, Julien était là. Il vint à ma rencontre. Je ne savais plus quoi faire. Mes sentiments pour Yohan avaient repris le dessus.
Quand il arriva pour me prendre dans ses bras, je l’ai regardé et lui ai dit :
Moi : C’est fini…
Fin du chapitre 12
Je sortis de la douche sans même me sécher à poil. Il me dit à voix basse en me tendant le téléphone : « Tu as une sœur ? » Je pris le téléphone et lui dit bonjour. Je suis resté 5 minutes au téléphone puis j’ai raccroché avec une larme à l’œil.
J : Qu’est-ce qui se passe ? T’as une sœur ?
Moi : C’est mon père.
J : Quoi ton père ?
Moi : Il est mort.
Je suis resté sous le choc de cette annonce et je partis directement dans la chambre préparer ma valise.
J : Tu fais quoi ?
Moi : Je prépare mes affaires et je téléphone pour me louer un truc vers chez mes parents.
J : Tu veux que je t’accompagne ?
Moi : NON. (dis-je d’un ton ferme)
J : Ok, mais pas obliger de te mettre en colère contre moi.
Moi : Je suis désolé, excuses-moi.
Une fois ma valise faite, je pris le téléphone et me louais un petit appart dans un petit village à côté de Besançon. Je pris un dernier café, embrassa Julien en lui promettant de faire attention sur la route et je partis. Le trajet fut long, j’avais peur de revoir tout le monde et surtout peur de revoir Yohan. Durant ces deux dernières années, il avait essayé de reprendre contact sans que je ne réponde. J’en mourrais d’envie car malgré tout, il me manquait toujours.
Après plusieurs heures de route, j’arrivai enfin dans ce petit appartement donnant une belle vue sur la Loue (une rivière du Doubs) qui m’apaisa quelques instants. Je pris mon téléphone et envoya un message à ma sœur pour savoir à quelle heure se déroulait la cérémonie le lendemain. Elle me répondit que c’était à 10h mais qu’elle aimerait bien que l’on se voit. Je lui ai donc répondu que j’étais fatigué et que l’on ne se verrait que le lendemain. Elle me demanda aussi où j’étais hébergé et qu’elle ne viendrait pas mais c’était juste au cas où il y avait un problème. J’ai longuement hésité avant de lui envoyer mais je l’ai quand même fait.
Une fois l’appel terminé, il était 20h. Je décidais d’aller prendre ma douche et de me poser sur le canapé. J’étais crevé et pas envie de me faire à manger ni de partir en ville pour commander quelque chose. Je pris mon temps sous l’eau tout en pensant à demain et comment cela allait se passer. Je commençais donc à angoisser un peu mais repris le dessus en me disant demain est un autre jour.
La douche terminée, je partis m’installer sur le canapé et mis la télé. C’est à ce moment qu’on frappa à la porte.
Moi : (en criant vers la porte) PUTAIN, JE T’AVAIS BIEN DIS DE NE PAS VENIR. JE VEUX ETRE SEUL. TU COMPRENDS ?
Pas de réponse mais encore des coups à la porte. Je me levai donc et allai ouvrir. C’est la que je vis Yohan avec une boîte de pizza à la main et un pack de bières.
Y : Bonjour Max. Je sais que tu ne voulais voir personne mais j’ai dit à ta sœur que j’allais quand même venir. J’ai supposé aussi que tu avais peut-être faim ? Tu vas bien ?
Moi : Salut Yohan. Ça peut aller je te remercie. Et toi ?
Y : Ça va beaucoup mieux depuis que je te vois. Je peux rentrer ?
Moi : Oui bien sûr.
Je le fis rentrer, pris la pizza que je mis sur la table et les bières au frais.
Moi : Merci pour le repas. Je suppose que tu veux manger ici ?
Y : J’espérais que tu me le proposes oui.
Je n’ai pas eu le temps de faire quoi que ce soit, qu’il me prit dans ses bras.
Y : Tu m’as tellement manqué. Tu ne donnais plus signes de vie. Chaque jour sans toi est dur. Deux ans sans nouvelles, deux ans à me demander si tu vas bien, ce que tu fais, où tu es ?
Moi : Je sais mais je ne peux toujours rien te dire. Tu sais pourquoi j’ai fait ça (dis-je en me retenant de pleurer) ? Ce connard n’a jamais été retrouvé et je ne sais même pas s’il sait que je suis revenu. Même maintenant, j’ai encore peur pour vous tous et encore plus pour toi.
Y : Ça veut dire que je te manque ?
Moi : Si nous mangions ? Je meurs de faim.
Y : Tu ne réponds pas à ma question.
Moi : Je sais.
Nous nous sommes installés pour manger. Ce fut assez silencieux mais la bière nous détendit quand même un peu.
Y : Tu vas bien ?
Moi : Oui je vais bien, j’essaie de refaire ma vie et ce n’est pas tous les jours faciles.
Y : Quand tu dis refaire ta vie, cela veut dire que tu as quelqu’un dans ma vie.
Je n’ai pas su répondre à sa question en regardant ma bière.
Y : Je prends donc ça pour un oui.
Moi : Je ne veux pas te rendre triste tu sais.
Y : Un peu plus ou un peu moins tu sais…
Une fois la pizza terminée, je lui resservi une bière et nous sommes allés nous installer sur le canapé. Nous discutions de Dorian et il me montrait des photos de mon neveu qui avait bien grandit. A un moment donné, il posa sa main sur mon genou et je fus parcouru de frissons dans tout le corps. Je n’ai jamais oublié la douceur de ces mains. Il vit tout de suite que j’étais troublé et il se rapprocha de moi en approchant son autre main de ma joue. Lorsque sa main se posa dessus, je fermais les yeux. Et il vint m’embrasser ce qui me fit couler une larme de bonheur. Il essuya ma larme et me regarda droit dans les yeux.
Y : Tu m’as tellement manqué. Je t’aime toujours tu sais ?
Moi : Tu sais que je t’aime aussi mais on ne doit pas faire ça.
Y : Je me fiche de ce que tu en penses mais tu es là. Mais je respecte ton choix.
Moi : Merci. Est-ce que je peux te demander quelque chose ? Je sais que ce ne serait pas correct pour toi mais j’aimerai être bien un instant.
Y : Dis-moi. Tu sais que je ferais tout ce que tu me demandes.
Moi : J’aimerai m’allonger sur le lit et que tu me prennes dans tes bras.
Y : Oui, je peux faire ça.
Nous partîmes sur le lit et nous nous sommes allongés en cuillère. Lui derrière moi m’entourant de ses bras musclés. Je me suis endormi dans ses bras et là, je me sentais comme sur un nuage. Je me suis réveillé trois heures plus tard et il était toujours là. Ses bras me serraient tout contre lui. Je me suis retourné pour le regarder et lui dire :
Moi : Tu es encore là ?
Y : Tu croyais que j’allais m’enfuir comme un voleur ?
Moi : Non mais tu dois rentrer chez toi.
Y : Je sais mais je suis bien ici.
Il me fit un sourire et vint à nouveau poser ses lèvres tout contre mes lèvres. Il me caressa les cheveux, le visage, le contour de mes lèvres. Il passa sa main dans mon dos et la fit glisser sous mon T-shirt. C’était vraiment agréable. Puis il me caressa le torse et m’embrassa à nouveau.
Moi : Non, je ne peux pas faire ça. Je ne peux pas faire ça à Julien…
Y : Ah, il s’appelle Julien ? Et pourquoi tu ne pourrais pas faire ça ? Il ne saura rien tout comme Julie ne sais rien.
Il m’embrassa encore.
Moi : Non, ne fais pas ça.
Il continua. Ses baisers se firent plus intenses, il m’en fit dans le coup tout en me caressant. Je me sentais tellement bien que mes refus sonnaient faux et il le ressentait. Il ôta ensuite mon T-short, puis le sien. Sa peau, son odeur, mon Dieu, il m’a tellement manqué. Je ne pouvais plus me mentir, je me suis laissé aller. J’entrepris e lui enlever son pantalon et il fit de même. Nous retrouvions tous les deux en sous-vêtements et je sentais nos deux queues bien droites et à l’étroit.
Y : Je t’aime, j’ai envie de toi.
Moi : Qu’est-ce que tu attends alors ?
Je me suis relevé un peu pour enlever le bout de tissu qui lui restait et retirer le mien également. Il était étendu sur le dos et je pris le temps de regarder tout son corps qui m’avait tellement manqué. Je me souvenais du moindre détail mis à part un tatouage qu’il avait sur l’intérieur de son bras. C’était un banc avec un couché de soleil sur un lac.
Y : Je n’ai pas besoin de te dire la signification de ce tatouage ?
Moi : Non.
Je revins vers lui l’embrasser. Mes mains parcourues tout son corps et je pris sa queue en érection à pleine main. Je commençai quelques aller-retours et la pris directement en bouche. Il s’est appuyé sur ses coudes pour mes regarder faire et avec une de ses mains me caressait les fesses. Je l’ai sucé de longues minutes tandis qu’il commençait à me dilater le cul avec ses doigts. Je voulais le regarder dans les yeux lorsqu’il serait en moi. Je le voulais plus que tout au monde. Je vins alors le chevaucher en m’asseyant sur sa queue. C’était tellement bon que tout mon corps était électrisé. Je remuais mon cul et il me fit l’amour comme jamais. Il prit ma queue et me branlait en même temps. Je ne mis pas longtemps à éjaculer sur son ventre. Il en prit sur ses doigts et vint les porter à sa bouche et c’est à ce moment qu’il cria de bonheur ? Je sentis son jus m’inonder jusqu’au fin fond de mes entrailles. J’étais tellement épuisé que je me suis écroulé sur lui.
Au bout de dix minutes de baisers et de caresses, il s’est relevé et m’a demandé s’il pouvait prendre sa douche. Il était tard et il fallait qu’il rentre chez lui. Je n’en avais pas envie mais ne dis rien du tout.
Lorsqu’il ressortit de la salle de bain à poil, je le rejoignis, l’embrassa amoureusement. Il s’habilla ensuite et je lui dis :
Moi : C’était tellement bon. Mais tu sais que je ne resterais pas ?
Y : Comment ça ?
Moi : Je ne resterais pas après l’enterrement.
Y : Pourquoi ?
Moi : Tu sais pourquoi. S’il te plaît, ne complique pas les choses.
Y : Tu couches avec moi pour me dire ça ensuite ?
Moi : Mais….
Je n’eus pas le temps de finir ma phrase qu’il partit en claquant la porte.
Une fois de plus, je savais que j’avais fait une connerie et je me mis à pleurer sur le lit. Je me suis ensuite endormi.
Le lendemain matin, j’étais à l’église pour l’enterrement mais je ne me mis pas devant avec la famille. Je suis resté à l’écart tout au fond. Je voyais Yohan chercher du regard partout sans me voir.
La cérémonie finit, je décidai de partir directement sans prévenir. Arrivé à ma voiture, quelqu’un me prit le bras. Je me suis retourné et je fus surpris de voir ma petite sœur Julie en pleure se jeter dans mes bras puis me gifler.
J : Qu’est-ce que tu fais ?
Moi : Je pars.
J : Mais tu viens à peine de rentrer. Ça fait deux que tu es parti sans rien dire et tu recommences encore ?
Moi : C’est compliqué, je ne peux rien te dire.
J : Reste s’il te plaît ? Tu n’as même pas vu ton neveu.
Moi : Non, je suis désolé.
J : Est-ce qu’au moins tu peux me dire pourquoi Yohan est rentré en colère cette nuit ?
Moi : Rien. Je lui ai dit la même chose qu’à toi.
J : Il t’apprécie beaucoup et quand tu es parti il y a deux ans, ça lui a foutu un coup. Je n’ai jamais compris pourquoi ?
Moi : S’il te plaît, laisses-moi !
Je repris mon bras et commençais à partir.
J : (En criant) Tu ne pourras pas fuir toute ta vie.
Je me suis retourné et elle était déjà partie. Je suis donc reparti en direction de ma voiture et en ouvrant la portière, quelqu’un m’attrapa et me retourna violemment. C’était Grégoire ! Il me prit par la gorge. J’étais tétanisé. Je n’arrivais plus à respirer.
G : Je t’avais prévenu de ne plus être avec lui, tu t’es foutu de ma gueule. Tu vas le regretter. Tu as détruit ma vie et je vais faire de même avec la tienne.
Et là, je fus poussé sur le côté. Yohan venait de cogner Grégoire en se jetant dessus. Je fus projeté au sol. Tous les deux se battaient et je me recroquevillai contre au sol contre ma voiture.
Y : (tout en maintenant Grégoire qui se débattait et en me regardant et en criant) : Pars, je m’occupe de lui.
Il me regarda me relever et me dis du bout des lèvres Je t’aime. Je ne me fis pas prier, je me relevai et montai dans ma voiture en démarrant. Je suis parti en regardant dans le rétroviseur Yohan se battre contre Grégoire puis je ne les vis plus après avoir pris la première intersection.
Sur la route, je reçu un message de Yohan : « je n’ai pas pu l’arrêter. Il est parti mais toi je t’ai sauvé. Je te sauverai toujours. Je t’aime. Je sais que tu ne me répondras pas mais même si c’était trop court, je sais que tu m’aimes encore et ça, ça me permet de vivre heureux. Je t’aimerai toute ma vie. »
Une fois à la maison, Julien était là. Il vint à ma rencontre. Je ne savais plus quoi faire. Mes sentiments pour Yohan avaient repris le dessus.
Quand il arriva pour me prendre dans ses bras, je l’ai regardé et lui ai dit :
Moi : C’est fini…
Fin du chapitre 12
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Les avis des lecteurs
C'est un peu de la méchanceté gratuite je trouve ce genre de commentaire.
Long et mal écrit.

