Le mariage de ma petite soeur Julie (13)

Récit érotique écrit par Tounet39270 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Le mariage de ma petite soeur Julie (13)
Chapitre 13
Une fois à la maison, Julien était là. Il vint à ma rencontre. Je ne savais plus quoi faire. Mes sentiments pour Yohan avaient repris le dessus.
Quand il arriva pour me prendre dans ses bras, je l’ai regardé et lui ai dit :
Moi : C’est fini.
J : Qu’est-ce qui est fini ?
Moi : Nous deux. Je suis désolé. C’est trop compliqué à t’expliquer mais ce n’est pas à cause de toi.
J : Non, dis-moi pourquoi ? Nous deux, ça allait plutôt bien non ?
Moi : Oui, c’est vrai mais tu ne peux pas rester avec moi. Je ne peux pas être avec quelqu’un pour l’instant. Je sais que je t’en demande trop mais il le faut. Je vais louer un petit bungalow dans le village vacances du coin durant une semaine ce qui te laissera le temps de prendre tes affaires. Encore une fois, tu as le droit de m’en vouloir mais je n’ai pas le choix. Il faut que tu partes. Ne me pose pas de question s’il te plaît.
Sur ces quelques paroles, je repris la direction du village vacances où je pus louer une petite location. Il n’y avait pas mal de monde mais j’ai eu de la chance. J’étais fatigué et je suis allé me poser sur le lit et je m’endormis directement.
Je me suis réveillé vers 22h avec une envie de manger. Mais à cette heure-là, rien d’ouvert. Je me suis donc balader torse nu, short ample et en tong dans les rues du village et j’ai pu trouver une pizzéria qui ouvrait jusqu’à 22h30. Le patron a accepté de m’en faire une rapidement et je suis reparti dans la location pour la déguster.
Je me suis posé sur la petite terrasse et un jeune couple d’une vingtaine d’année passa devant en me regardant et me saluant. Ils m’ont souri en me disant bonjour et ont commencé à discuter de la chaleur en ce moment puis de tout et de rien. La jeune fille était assez mignonne et son copain plutôt beau gosse. Un beau corps avec abdos, pleins de tatouages, des cheveux blonds mi-longs style surfer. Un régal pour les yeux quoi. Ils m’ont demandé si j’étais seul et depuis quand j’étais ici. Eux s’étaient rencontrer ici et la jeune fille (Sonia) devait repartir le lendemain tandis que lui était avec ses amis encore 5 jours.
Je mangeais en même temps et elle était fatiguée. Elle embrassa donc son copain et lui dit à demain matin avant qu’elle ne parte.
J’ai appris aussi qu’il s’appelait Boris, qu’il avait 21 ans.
Moi : Je t’aurais bien proposé à boire mais je n’ai rien.
B : T’inquiètes pas, si tu veux j’ai des bières dans le mobile-home, je reviens.
Il partit dix minutes puis revint avec un pack de 24 bières.
Moi : (en souriant) Ça fait un peu beaucoup tout ça non ?
B : Pffuuu, ça se boit tout seul.
Nous avons bien bu tout en discutant et sans qu’il ne me demande, il piochait dans ma pizza.
Moi : Ne te gênes pas va lol ?
B : On est entre pots non ?
Moi : Oui si tu veux.
Nous discutions de tout et de rien et l’alcool commençait à monter. Le problème avec l’alcool sur moi, c’est que j’ai une grande soif de sexe et ce petit jeune commençait à me donner une envie de chair fraîche.
Il faisait chaud et je lui fis remarquer qu’il était mouillé à cause de la transpiration et la chaleur. Il me dit que oui et retira son marcel et son short. Il se retrouvait devant moi en boxer ce qui n’arrangeait pas ma faim de bite. Je le scrutais de haut en bas et il avait l’air plutôt bien monté je dois dire. Sa queue était au repos mais son boxer lui collait à la peau ce qui la dessinait bien surtout au niveau de son gland.
Moi : Tu veux qu’on rentre à l’intérieur, il y a la clim ? On sera plus à l’aise non ?
B : Ah ouais grave, je suis à deux doigts de me foutre à poil.
Moi : On risque de te voir si tu restes là en te foutant à poil.
B : C’est clair.
Je lui ouvris la porte et le laissa rentrer en premier pour admirer son joli cul bien ferme. Il se retourna au même moment et me vis faire.
B : Tu me mates ou quoi ? T’es un PD ?
Moi : Oui, je le suis et quoi, y’a pas de mal à se rincer l’œil non ?
B : Ouais mais je ne suis pas PD. Donc tu peux mater mais pas toucher. J’ai rien contre les PD mais pas touche ok ?
Moi : Oui oui, tu veux une nouvelle bière ?
B : Oh que oui, fais péter !
Nous avons continué à discuter et très vite cela à dévier sur le sexe. Il me disait qu’il baisait plusieurs fois par jour car sa libido était énorme. Il se touchait l’entre jambe tout en parlant et je le regardais faire avec envie. Je voulais être à la place de sa main. Je voyais sa queue grossir tout doucement. Il disait aussi que généralement les filles ne voulaient pas trop car il en avait une grosse et longue et qu’elle avait peur.
Moi : Tu sais, nous on adore ça !
B : Ouais je me doute bien. Oh putain, mais rien que de parler de cul, j’ai grave envie de me faire une bonne chatte humide.
Moi : C’est clair que ça se voit que tu as envie.
B : T’as vu ça (dit-il en serrant sa bite dans son boxer) ?
Moi : Elle a l’air énorme.
B : Putain ouais. Pis c’est trop tard pour aller baiser. Il me reste plus que ma main.
Je le voyais fermer les yeux tout en parlant de ce qu’il pourrait faire à sa copine si elle était là tout en se caressant. Je me suis donc rapproché de lui tout doucement et j’ai tendu ma main sur son entre-jambe. Il avait toujours les yeux fermés et quand il sentit ma main le caresser, il mit ses deux mains derrière la tête. Je sentais cette queue énorme et le gland commençait à sortir par la jambe. Elle devait bien faire 25x5. Je n’osais pas trop le brusquer alors je continuais ce massage. Sa queue sortait enfin à moitié du boxer et ma queue était bien dure. Je me mis à me branler en même temps. Il se mit à parler sans ouvrir les yeux.
B : Oh ouais ma puce, tu fais ça bien. Suce-moi steplaît ?
Je me mis donc à genoux, lui laissa son boxer et pris sa queue en bouche. J’avais beau la prendre en fond de gorge mais tout ne rentrait pas. Je m’appliquais à le sucer tout en jouant avec ses grosses couilles bien lisses.
B : Oh bébé, c’est trop bon, tu fais ça bien. Putain, ouais continue. Vas-y têtes moi bien ? Viens chercher ton lait bébé.
Punaise, que c’est excitant. Je repris de plus belle ma pipe. Il mit à peu près dix minutes à gémir et quand il éjacula, il m’envoya 6 jets de jus bien chaud tapisser le fond de ma gorge. Il me bloqua la tête pour que je la garde bien. Puis, il ouvrit les yeux.
B : Sans déconner, vous les PD, qu’est-ce que vous sucer bien ?
Moi : J’ai cru que tu rêvais de ta copine ?
B : Non, j’imaginais que c’était elle mais je savais que c’était toi. Je te l’ai dit : je ne suis pas PD mais j’avais tellement mal aux couilles qu’il fallait que je jute et peut importe comment. T’as aimé boire mon lait ?
Moi : C’est clair que ta queue et ton jus sont un vrai régal.
B : Bon, si tu veux, tu la suceras encore mais par contre, je ne te baise pas ok ?
Moi : Ça me va !
B : Je te dis à demain alors. Je crois qu’après avoir dit au-revoir à Sonia, je viendrai te donner ton biberon du matin.
Moi : Ok.
Il se rhabilla et partit. Je suis parti à la douche tellement j’avais chaud et suis retourné me coucher.
J’ai dormi jusqu’à onze heures le lendemain jusqu’à ce qu’on frappe à la porte. J’étais encore dans le lit quand j’entendis celle-ci s’ouvrir.
B : T’es là ?
Moi : Oui, je suis encore au lit, j’arrive.
B : Bouges pas, je t’apporte ton biberon p’tit PD.
Je l’entendais rire dans la piève à côté et parler. Puis j’entendit une autre voix. La porte s’ouvrit et je fus surpris de voir Boris complètement nu suivi d’un autre mec qui lui était encore habillé.
B : C’est mon pote Martin. Il ne voulait pas me croire que je m’étais fait pomper par un mec. Putain, mais t’es déjà à poil aussi.
Moi : Euh, oui toujours en dormant.
B : Allé, au boulot, viens me pomper. J’ai plein de bon lait tout chaud pour toi.
Il prit sa queue en demi-molle et la fit tourner comme une hélice. Je me suis mis a quatre pattes sur le lit et me suis penché pour le prendre en bouche.
B : Oh putain ouais, ta bouche est très accueillante. Martin, tu devrais essayer et tu vois que je ne t’avais pas menti.
Je le pompais sans relâche tout en dévisageant Martin. C’est un petit mec d’environ 1m70, assez bien foutu, brun avec un visage d’ange.
Boris commençait à me pilonner la bouche et ça me faisait saliver.
B : Putain, mais t’encaisse bien ma p’tite salope. Eh regarde moi comment tu remues ton cul.
Il me mit une claque sur le cul ce qui me fis gémir et soulever le cul un peu plus. Je le regardais et le vis mettre de la salive sur ses doigts puis les approcher de mon trou.
B : Je t’avais dit que je ne t’enculerai pas mais t’as un putain de cul bien ouvert. En plus je n’ai jamais pu enculer une fille. Elles ont toutes refusée ces chiennes.
Moi : Mmmmmm.
Il vint prendre place derrière moi et posa son gland près de mon trou bien humide.
B : T’es prêt p’tit PD ?
Moi : Vas-y baises moi.
B : Putain, mais t’es une vraie chienne toi.
Il ne se fit pas attendre et poussa sa queue jusqu’à ce que tout rentre. J’ai dû crier assez fort mais ça ne l’a pas arrêté. Tour en me faisant enculé, je regardais Martin qui avait sorti sa queue (environ 17cm) et se branlait. Je me faisais démolir le cul et au moins, ça ne faisait penser à rien d’autre. De temps à autres, il me claquait le cul et me pilonnait de plus en plus vite.
B : Putain, je vais t’inonder le cul dans pas longtemps. Tu veux prendre ma place Martin ?
Il fit non de la tête mais se branlait toujours. D’un seul coup, Boris me mit un grand coup de rein et se mit à gueuler en me remplissant le cul. Au même moment, Martin s’est rapproché et m’a fait une faciale. J’ai juste eu le temps de mettre un coup de langue sur son gland avant qu’il ne se rhabille.
Boris s’est retiré puis s’est allongé sur le dos et me re claqua le cul.
B : Putain, mais quel pied ton cul. Je crois que je vais y revenir et qu’un bon cul, c’est meilleur qu’une chatte. T’as eu tord de ne pas avoir essayer Mart…. Putain, mais il est passé où ce con ?
Moi : Je crois qu’il vient de partir.
B : Tu fais quoi cet aprem ?
Moi : Je n’en sais rien encore pourquoi ?
B : Avec les gars, on va à la piscine et ce soir on se fait une petite soirée. Tu pourrais venir et passer sous la table.
Moi : Lol.
B : Je déconne pas. Tu pourras me pomper.
Moi : On verra bien.
B : T’auras pas le choix. Si tu veux que je te baise encore, tu feras ce que je te dis.
Il se leva en me regardant.
B : Pendant que je prends ma douche ici, tu vas aller me chercher un café au bar. Je t’attends ensuite et tu pourras même t’amuser avec ma queue pendant que je le bois ok ?
Moi : Ok.
Je n’avais pas encore juté et j’avais encore envie de ce monstre qui pendait entre ses cuisses. J’enfilai rapidement en short et parti direction le bar. Sur le chemin, je reçu un sms. Je pris mon portable et lu le message : « Je sais où tu te caches ».
Fin du chapitre 13
Une fois à la maison, Julien était là. Il vint à ma rencontre. Je ne savais plus quoi faire. Mes sentiments pour Yohan avaient repris le dessus.
Quand il arriva pour me prendre dans ses bras, je l’ai regardé et lui ai dit :
Moi : C’est fini.
J : Qu’est-ce qui est fini ?
Moi : Nous deux. Je suis désolé. C’est trop compliqué à t’expliquer mais ce n’est pas à cause de toi.
J : Non, dis-moi pourquoi ? Nous deux, ça allait plutôt bien non ?
Moi : Oui, c’est vrai mais tu ne peux pas rester avec moi. Je ne peux pas être avec quelqu’un pour l’instant. Je sais que je t’en demande trop mais il le faut. Je vais louer un petit bungalow dans le village vacances du coin durant une semaine ce qui te laissera le temps de prendre tes affaires. Encore une fois, tu as le droit de m’en vouloir mais je n’ai pas le choix. Il faut que tu partes. Ne me pose pas de question s’il te plaît.
Sur ces quelques paroles, je repris la direction du village vacances où je pus louer une petite location. Il n’y avait pas mal de monde mais j’ai eu de la chance. J’étais fatigué et je suis allé me poser sur le lit et je m’endormis directement.
Je me suis réveillé vers 22h avec une envie de manger. Mais à cette heure-là, rien d’ouvert. Je me suis donc balader torse nu, short ample et en tong dans les rues du village et j’ai pu trouver une pizzéria qui ouvrait jusqu’à 22h30. Le patron a accepté de m’en faire une rapidement et je suis reparti dans la location pour la déguster.
Je me suis posé sur la petite terrasse et un jeune couple d’une vingtaine d’année passa devant en me regardant et me saluant. Ils m’ont souri en me disant bonjour et ont commencé à discuter de la chaleur en ce moment puis de tout et de rien. La jeune fille était assez mignonne et son copain plutôt beau gosse. Un beau corps avec abdos, pleins de tatouages, des cheveux blonds mi-longs style surfer. Un régal pour les yeux quoi. Ils m’ont demandé si j’étais seul et depuis quand j’étais ici. Eux s’étaient rencontrer ici et la jeune fille (Sonia) devait repartir le lendemain tandis que lui était avec ses amis encore 5 jours.
Je mangeais en même temps et elle était fatiguée. Elle embrassa donc son copain et lui dit à demain matin avant qu’elle ne parte.
J’ai appris aussi qu’il s’appelait Boris, qu’il avait 21 ans.
Moi : Je t’aurais bien proposé à boire mais je n’ai rien.
B : T’inquiètes pas, si tu veux j’ai des bières dans le mobile-home, je reviens.
Il partit dix minutes puis revint avec un pack de 24 bières.
Moi : (en souriant) Ça fait un peu beaucoup tout ça non ?
B : Pffuuu, ça se boit tout seul.
Nous avons bien bu tout en discutant et sans qu’il ne me demande, il piochait dans ma pizza.
Moi : Ne te gênes pas va lol ?
B : On est entre pots non ?
Moi : Oui si tu veux.
Nous discutions de tout et de rien et l’alcool commençait à monter. Le problème avec l’alcool sur moi, c’est que j’ai une grande soif de sexe et ce petit jeune commençait à me donner une envie de chair fraîche.
Il faisait chaud et je lui fis remarquer qu’il était mouillé à cause de la transpiration et la chaleur. Il me dit que oui et retira son marcel et son short. Il se retrouvait devant moi en boxer ce qui n’arrangeait pas ma faim de bite. Je le scrutais de haut en bas et il avait l’air plutôt bien monté je dois dire. Sa queue était au repos mais son boxer lui collait à la peau ce qui la dessinait bien surtout au niveau de son gland.
Moi : Tu veux qu’on rentre à l’intérieur, il y a la clim ? On sera plus à l’aise non ?
B : Ah ouais grave, je suis à deux doigts de me foutre à poil.
Moi : On risque de te voir si tu restes là en te foutant à poil.
B : C’est clair.
Je lui ouvris la porte et le laissa rentrer en premier pour admirer son joli cul bien ferme. Il se retourna au même moment et me vis faire.
B : Tu me mates ou quoi ? T’es un PD ?
Moi : Oui, je le suis et quoi, y’a pas de mal à se rincer l’œil non ?
B : Ouais mais je ne suis pas PD. Donc tu peux mater mais pas toucher. J’ai rien contre les PD mais pas touche ok ?
Moi : Oui oui, tu veux une nouvelle bière ?
B : Oh que oui, fais péter !
Nous avons continué à discuter et très vite cela à dévier sur le sexe. Il me disait qu’il baisait plusieurs fois par jour car sa libido était énorme. Il se touchait l’entre jambe tout en parlant et je le regardais faire avec envie. Je voulais être à la place de sa main. Je voyais sa queue grossir tout doucement. Il disait aussi que généralement les filles ne voulaient pas trop car il en avait une grosse et longue et qu’elle avait peur.
Moi : Tu sais, nous on adore ça !
B : Ouais je me doute bien. Oh putain, mais rien que de parler de cul, j’ai grave envie de me faire une bonne chatte humide.
Moi : C’est clair que ça se voit que tu as envie.
B : T’as vu ça (dit-il en serrant sa bite dans son boxer) ?
Moi : Elle a l’air énorme.
B : Putain ouais. Pis c’est trop tard pour aller baiser. Il me reste plus que ma main.
Je le voyais fermer les yeux tout en parlant de ce qu’il pourrait faire à sa copine si elle était là tout en se caressant. Je me suis donc rapproché de lui tout doucement et j’ai tendu ma main sur son entre-jambe. Il avait toujours les yeux fermés et quand il sentit ma main le caresser, il mit ses deux mains derrière la tête. Je sentais cette queue énorme et le gland commençait à sortir par la jambe. Elle devait bien faire 25x5. Je n’osais pas trop le brusquer alors je continuais ce massage. Sa queue sortait enfin à moitié du boxer et ma queue était bien dure. Je me mis à me branler en même temps. Il se mit à parler sans ouvrir les yeux.
B : Oh ouais ma puce, tu fais ça bien. Suce-moi steplaît ?
Je me mis donc à genoux, lui laissa son boxer et pris sa queue en bouche. J’avais beau la prendre en fond de gorge mais tout ne rentrait pas. Je m’appliquais à le sucer tout en jouant avec ses grosses couilles bien lisses.
B : Oh bébé, c’est trop bon, tu fais ça bien. Putain, ouais continue. Vas-y têtes moi bien ? Viens chercher ton lait bébé.
Punaise, que c’est excitant. Je repris de plus belle ma pipe. Il mit à peu près dix minutes à gémir et quand il éjacula, il m’envoya 6 jets de jus bien chaud tapisser le fond de ma gorge. Il me bloqua la tête pour que je la garde bien. Puis, il ouvrit les yeux.
B : Sans déconner, vous les PD, qu’est-ce que vous sucer bien ?
Moi : J’ai cru que tu rêvais de ta copine ?
B : Non, j’imaginais que c’était elle mais je savais que c’était toi. Je te l’ai dit : je ne suis pas PD mais j’avais tellement mal aux couilles qu’il fallait que je jute et peut importe comment. T’as aimé boire mon lait ?
Moi : C’est clair que ta queue et ton jus sont un vrai régal.
B : Bon, si tu veux, tu la suceras encore mais par contre, je ne te baise pas ok ?
Moi : Ça me va !
B : Je te dis à demain alors. Je crois qu’après avoir dit au-revoir à Sonia, je viendrai te donner ton biberon du matin.
Moi : Ok.
Il se rhabilla et partit. Je suis parti à la douche tellement j’avais chaud et suis retourné me coucher.
J’ai dormi jusqu’à onze heures le lendemain jusqu’à ce qu’on frappe à la porte. J’étais encore dans le lit quand j’entendis celle-ci s’ouvrir.
B : T’es là ?
Moi : Oui, je suis encore au lit, j’arrive.
B : Bouges pas, je t’apporte ton biberon p’tit PD.
Je l’entendais rire dans la piève à côté et parler. Puis j’entendit une autre voix. La porte s’ouvrit et je fus surpris de voir Boris complètement nu suivi d’un autre mec qui lui était encore habillé.
B : C’est mon pote Martin. Il ne voulait pas me croire que je m’étais fait pomper par un mec. Putain, mais t’es déjà à poil aussi.
Moi : Euh, oui toujours en dormant.
B : Allé, au boulot, viens me pomper. J’ai plein de bon lait tout chaud pour toi.
Il prit sa queue en demi-molle et la fit tourner comme une hélice. Je me suis mis a quatre pattes sur le lit et me suis penché pour le prendre en bouche.
B : Oh putain ouais, ta bouche est très accueillante. Martin, tu devrais essayer et tu vois que je ne t’avais pas menti.
Je le pompais sans relâche tout en dévisageant Martin. C’est un petit mec d’environ 1m70, assez bien foutu, brun avec un visage d’ange.
Boris commençait à me pilonner la bouche et ça me faisait saliver.
B : Putain, mais t’encaisse bien ma p’tite salope. Eh regarde moi comment tu remues ton cul.
Il me mit une claque sur le cul ce qui me fis gémir et soulever le cul un peu plus. Je le regardais et le vis mettre de la salive sur ses doigts puis les approcher de mon trou.
B : Je t’avais dit que je ne t’enculerai pas mais t’as un putain de cul bien ouvert. En plus je n’ai jamais pu enculer une fille. Elles ont toutes refusée ces chiennes.
Moi : Mmmmmm.
Il vint prendre place derrière moi et posa son gland près de mon trou bien humide.
B : T’es prêt p’tit PD ?
Moi : Vas-y baises moi.
B : Putain, mais t’es une vraie chienne toi.
Il ne se fit pas attendre et poussa sa queue jusqu’à ce que tout rentre. J’ai dû crier assez fort mais ça ne l’a pas arrêté. Tour en me faisant enculé, je regardais Martin qui avait sorti sa queue (environ 17cm) et se branlait. Je me faisais démolir le cul et au moins, ça ne faisait penser à rien d’autre. De temps à autres, il me claquait le cul et me pilonnait de plus en plus vite.
B : Putain, je vais t’inonder le cul dans pas longtemps. Tu veux prendre ma place Martin ?
Il fit non de la tête mais se branlait toujours. D’un seul coup, Boris me mit un grand coup de rein et se mit à gueuler en me remplissant le cul. Au même moment, Martin s’est rapproché et m’a fait une faciale. J’ai juste eu le temps de mettre un coup de langue sur son gland avant qu’il ne se rhabille.
Boris s’est retiré puis s’est allongé sur le dos et me re claqua le cul.
B : Putain, mais quel pied ton cul. Je crois que je vais y revenir et qu’un bon cul, c’est meilleur qu’une chatte. T’as eu tord de ne pas avoir essayer Mart…. Putain, mais il est passé où ce con ?
Moi : Je crois qu’il vient de partir.
B : Tu fais quoi cet aprem ?
Moi : Je n’en sais rien encore pourquoi ?
B : Avec les gars, on va à la piscine et ce soir on se fait une petite soirée. Tu pourrais venir et passer sous la table.
Moi : Lol.
B : Je déconne pas. Tu pourras me pomper.
Moi : On verra bien.
B : T’auras pas le choix. Si tu veux que je te baise encore, tu feras ce que je te dis.
Il se leva en me regardant.
B : Pendant que je prends ma douche ici, tu vas aller me chercher un café au bar. Je t’attends ensuite et tu pourras même t’amuser avec ma queue pendant que je le bois ok ?
Moi : Ok.
Je n’avais pas encore juté et j’avais encore envie de ce monstre qui pendait entre ses cuisses. J’enfilai rapidement en short et parti direction le bar. Sur le chemin, je reçu un sms. Je pris mon portable et lu le message : « Je sais où tu te caches ».
Fin du chapitre 13
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