Le mariage de ma petite soeur Julie (8)

- Par l'auteur HDS Tounet39270 -
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Récit libertin : Le mariage de ma petite soeur Julie (8) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-08-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le mariage de ma petite soeur Julie (8)
Chapitre 8

Le Maire : Je vous déclare donc mari et femme.

Je ne pus m’empêcher de pleurer et Julie me vit.

J : Ça va ?
Moi : Oui, je suis heureux pour vous c’est tout.

La main de Yohan se posa sur ma cuisse, il me regarda avec tendresse et un petit clin d’œil. J’ai su à ce même instant que pour lui, c’était moi qu’il aimait.
Le mariage continua comme si rien ne s’était produit et nous partîmes à la salle des fêtes. Tout le monde s’amusait sauf moi qui m’étais mis un peu à l’écart.
Un des amis de Yohan vint vers moi avec une coupe de champagne.

Florent : Tiens, ça va te faire du bien.
Moi : Merci, c’est gentil.
F : Arrêtes de penser à lui tu veux !
Moi : De quoi tu parles ?
F : Ne te fiches pas de moi. J’ai vu comme tu le regardes et j’ai vu comme il te regardes lui aussi. Je le connais depuis qu’on est ado.
Moi : Oui je sais bien mais que veux-tu ?
F : Je sais. Je voulais te dire : tu sais pour hier soir, …
Moi : T’inquiètes pas, c’était cool.
F : Je n’aurai jamais cru que la bouche et le cul d’un mec serait si accueillant ? Je ne dis pas ça pour te faire du rentre dedans mais franchement, j’ai beaucoup kiffé.
Moi : C’est gentil merci.
F : Je voulais savoir si ça te tenterait de…
Moi : Je te le dis tout de suite : non ! J’ai fait une promesse et je la tiendrais.
F : Tu parles de Yohan là ? Mais, tu vois bien que ce n’est qu’une passade ? Il est avec ta sœur et ils juste de se dire oui !
Moi : Et alors. Bref, je ne t’en veux pas mais laisses moi tranquille s’il te plaît.
F : Pas de problème. En tout cas, suis mon conseil, ne te laisse pas guider par tes sentiments. Je le connais. Il a toujours aimé courir après les nanas donc tu es juste un petit cul de plus. Je ne dis pas ça pour t’insulter. En tout cas, si tu veux t’amuser un peu ce soir, je suis ton homme.
Moi : Laisses-moi maintenant.

Florent s’en alla vers ses potes tout en me regardant de loin. J’ai donc décidé d’aller voir le plan de table. Etant donné que j’étais le témoin du marié, je me retrouvais à ses côtés. J’étais dans mes pensées lorsque j’ai senti le souffle de quelqu’un sur mon épaule.

Y : Ça va ?

Je me suis retourné pour être face à lui.

Moi : Oui bien sûr. Je suis heureux pour toi.
Y : Merci mais tu sais très bien à qui je pense en ce moment et ce n’est pas la personne à qui j’ai passé une bague.
Moi : Je sais mais ton pote Florent pense que tu te joues de moi, que tu es un coureur de jupons.
Y : Oui c’est vrai que je l’ai été mais j’ai changé.
Moi : Tais-toi, les invités arrivent.

Tout le monde commençait à rentrer dans la salle car le repas allait bientôt être servi. Le repas se passait assez bien. Tout le monde riait, parlait, buvait, bref une super soirée. Puis, tout le monde s’éclatait en dansant sur la piste.
Puis, vers 3h du matin, Yohan vint me voir et me dit doucement à l’oreille :

Y : Rejoins-moi dans dix minutes tout au bout du parking.

Je n’ai pas eu le temps de répondre qu’il était déjà reparti vers les autres invités. Je restais assis et trouvais le temps très long.
Au bout de dix minutes, je pris la direction de la sortie puis celle du parking. Pas d’éclairage sur celui-ci. Quelques personnes fumaient donc pour être plus discret, je fis le tour de la salle pour rejoindre le bout du parking. J’essayais de m’habituer à l’obscurité quand une main agrippa mon poignet.

Moi : Putain, tu m’as fait peur.
Y : Fais moins de bruit et suis moi.

Nous nous sommes dirigés près d’une petite cabane un peu délabrée. Il me fit rentrer à l’intérieur et rentra à son tour. Je n’eu pas le temps de dire quoi que ce soit que ses lèvres rencontrèrent les miennes. Ce fut un baiser doux, long et terriblement sensuel. Ses mais attrapaient mes hanches et je le pris dans mes bras à mon tour.

Y : Tu sais, tout à l’heure à la mairie, je n’ai pensé qu’à toi quand j’ai dit Oui.
Moi : Qu’est-ce que tu veux que l’on fasse maintenant ? Ça devient de plus en plus compliqué ?
Y : Je sais mais tout ce que je peux te dire, c’est que je ne veux pas te perdre et je te l’ai dit, tu es à moi comme je suis à toi malgré mon engagement auprès de ta sœur. Je n’ai pas pu dire non parce que Julie est enceinte.
Moi : Je sais. Mais je ne sais pas si je pourrais y arriver. C’est ma sœur tout de même !
Y : Tu es en train de me dire que tu regrettes ?
Moi : Non, pas du tout. Je ne regrette rien, c’est juste que je ne veux pas la faire souffrir.
Y : Et moi non plus.

Il mit alors son doigt sur ma bouche pour me faire taire puis m’embrassa à nouveau. C’est dingue ce que ce mec me rend fou. Chaque baiser me donne plus envie de lui que jamais.
Il prit à nouveau ma main et la dirigea vers son entrejambe. J’ouvris sa braguette et me baissa aussitôt. Je sortis sa belle queue bien dure et me mis à la sucer rapidement. Il ne fallait pas éveiller les soupçons trop longtemps sur notre absence et je crois qu’il a pensé à la même chose car il m’a fait me relever et me retourner. J’ai bien compris le message et j’ai baissé mon pantalon le plus vite possible. Il se baissa cracha sur mon cul et se releva pour m’enculer directement. Je pris sa queue toute entière il me baisa comme un malade. J’avais envie de crier tellement c’était bon mais il me mit une main sur la bouche et son autre main maintenait ma hanche. Il ne mit pas longtemps pour éjaculer. Il se rapprocha, fit tourner ma tête pour m’embrasser puis me dit d’un ton autoritaire :

Y : Gardes moi jus bien au chaud dans ta petite chatte pour me montrer à quel point tu aimes ça et surtout pour me montrer que tu es à moi. Je viendrais vérifier durant le reste de la soirée pour voir si tu l’as toujours et qui sait : je t’en redonnerai encore un peu si tu es bien sage. Il se rhabilla puis sorti en me demandant d’attendre avant de repartir.

Je me rhabillais donc et attendit cinq bonnes minutes pour me diriger vers les autres qui fumaient. Ma sœur venait de sortir et me vit.

J : Mais t’étais où ? Ça fait un bon quart d’heure que je te cherche ?
Y : Je prenais l’air simplement et j’avais envie de pisser !
J : Ok. T’aurais pas vu Yohan par hasard ? Lui aussi a disparu !
Y : Ben non, désolé mais je crois l’avoir vu rentrer y a quelques minutes.
J : T’es sûr ?
Y : Euh, oui.

Elle repartit dans la salle et moi je restais un coup dehors pour fumer. Généralement je ne fume pas mais j’ai toujours quelques cigarettes en soirée mais là ; j’en avais grandement besoin.
J’étais adossé au mur quand Marc vint se poser près de moi.

M : Alors, ça fait du bien ?
Y : Une bonne cigarette, oh que oui…
M : Je ne parlais pas de ça ? Mais plutôt de toi et Yohan !
Y : Je ne vois pas de quoi tu parles ?
M : Ok, pas de soucis, nies tant que tu veux mais je vois bien comment tu le regardes et je vous ai vu revenir du même endroit y’a quelques instants.
Y : Et ?
M : Et rien du tout. Bon, c’est ton problème mais ce n’est pas très cool tu sais !

Je n’ai pas eu le temps de répondre qu’il repartit à l’intérieur. Je l’ai suivi et je suis allé me resservir un verre de vin. La soirée continuait, je commençais à avoir un peu trop bu mais je me sentais bien. Le seul truc dérangeant était le jus de Yohan qui commençait à couler et ce n’était pas très agréable. Je me suis donc dirigé vers les toilettes pour m’essuyer. Une fois la porte ouverte, Yohan était là en train de pisser. Il n’était pas seul : il y avait mon père pas très loin qui nous tournait le dos. Yohan me vit, finit de pisser et pris sa queue pour me la montrer et la ranger. J’allais aller dans une cabine pour m’essuyer quand il me fit stop de la main. Il se mit à regarder si mon père se retournait puis mis sa main dans mon fut et me mis un doigt dans le cul et le ressortit bien mouiller. Il me fit un sourire, Me le mis à la bouche et repartit près du lavabo pour se laver les mains. C’est à ce moment là que mon père fini de pisser et vint près de lui. Je suis rentré dans une cabine directement m’essuyer un peu et je les ai entendu parler un coup.
Au bout de deux minutes mon père lui dit :

P : Tu ne sors pas ?
Y : Je vais me rafraichir le visage et j’arrive.
P : Bien et encore félicitation à vous deux.
Y : Merci, c’est gentil.

J’entendit l’eau coulée et la porte se refermer. Puis un coup à ma porte.

Moi : Oui ?
Y : Ouvres.

Ce que je fis immédiatement. Il avait déjà ressorti sa queue et je me mis à genoux directement pour le sucer.

Y : Tu fais ça trop bien. Je ne vais pas mettre longtemps à tout te donner.

Il prit ma tête à deux mains et me pilonnait la bouche. J’étais sa chose à ce moment là mais ça me plaisait vraiment. Il m’hypnotise. Il n’avait pas tord car il se mis à éjaculer 3 gros jets de jus bien au fond de ma gorge, rangea sa queue encore dure, m’embrassa tout en me disant qu’il m’aimait puis reparti me laissant le cul à l’air. Je me suis essuyé, rhabiller puis je suis reparti dans la salle.
J’étais fatigué et je n’avais qu’une seule envie, c’est de me coucher. Je suis donc allé prévenir ma sœur pour lui dire que j’étais naze et que je partais me coucher. Mais que je serais là demain pour faire du rangement.
Je sors donc rejoindre ma voiture et Yohan me rejoint rapidement.

Y : Tu vas où ?
Moi : Je rentre me coucher, je suis KO.
Y : Tu me laisses tout seul ? (dit-il en me caressant discrètement la joue). Tu m’en veux de quelque chose ?
Moi : Non, tu n’y es vraiment pour rien. Je suis vraiment fatigué.
Y : Ok. Tu sais quoi, demain je vais dire à Julie de se reposer et si tu le veux, je viendrais te chercher pour faire du rangement ? Je t’apporterai les croissants.
Moi : T’es vraiment un amour, tu sais ?
Y : Quand je veux, oui je peux l’être.

Je lui fis un petit clin d’œil et un baiser furtif sur la joue.

Y : A demain alors mon petit Cœur.
Moi : A demain.

Je suis donc monté dans ma voiture et il me regarda partir en me faisant un geste de la main. Une fois garé dans mon allée, je me suis mis à chercher mes clés et lorsque je suis arrivé devant ma porte, celle-ci n’était pas fermée à clé. J’ai de l’oublié de la fermer en partant.
Je rentre donc dans la maison et me déshabille pour me mettre au lit. J’ai juste entendu un pétard et je me suis retourné. En me retournant, j’ai senti une douleur dans le ventre et je me suis écroulé.

Fin du chapitre 8.

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