Le mariage de Sidonie

- Par l'auteur HDS Tamalou -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Le mariage de Sidonie Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-01-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Le mariage de Sidonie
J’assistais au mariage de Sidonie Martin depuis le fond de l'église. Je n'étais pas invité, bien sûr. Je m'étais faufilé discrètement, puis je m'étais assis sur un banc vide, et j'attendais le début de la cérémonie. Sidonie se tenait à l’entrée de l'église, près de mon banc. A son bras, se trouvait l'homme que je supposais être son père. J’admirais sa silhouette élancée, revêtue de sa robe de mariée. Par moment, ses yeux d'un vert profond apparaissaient sous son voile, et les mèches rebelles de ses cheveux roux dorés s'agitaient lorsqu'elle tournait la tête. Nos regards se sont croisés plusieurs fois.

Son décolleté exposait une grande partie de sa peau claire. Venant d'un petit village d'Afrique, je n'avais pas l'habitude de voir la peau blanche. C'était une personne si douce et si délicate, avec des courbes idéalement mises en valeur. Juste en dessous de son décolleté en dentelle, ses seins bombés et haut perchés paraissaient guillerets. Bien qu'ils soient recouverts de dentelle blanche, leur forme était si délicieuse et si parfaite que j'ai dû lutter pour ne pas tendre la main pour lui arracher sa robe. J'ai senti mon pénis gonfler et se tendre à cause de ma convoitise pour cette beauté. Je portais mon boubou traditionnel de coton sans sous-vêtements. Mon érection a soulevé le tissu, précisant la taille de mon organe viril. J'ai surpris le bref regard de Sidonie, empli de convoitise.

La musique a commencé à jouer. J'ai regardé la silhouette de Sidonie pendant que son père l’emmenait vers l’autel. Mon regard suivait son voile qui dansait à chacun de ses pas. Des mèches de cheveux dorés s’échappaient de son voile. J’admirais la finesse de sa taille, son joli derrière, et ses hanches rondes qui tanguaient sous la dentelle. J'ai ressenti une pointe de jalousie en voyant le corpulent garçon blanc avec des lunettes qui allait devenir son mari. Cette douleur est devenue plus vive quand il l'a embrassée.

J'étais venu jusqu’ici, dans ce pays lointain et étrange, sur les conseils de notre guérisseur, au village. Je l'avais consulté pour savoir pourquoi j'avais été poursuivi par la malchance depuis tant d'années. Plusieurs de mes chèvres étaient mortes. Mes poules ne pondaient presque pas d'œufs. Les récoltes se fanaient, ou avaient été mangées par les coléoptères. Mes deux femmes n'avaient donné naissance qu’à des filles, neuf filles à ce jour. Mes tentatives pour avoir un fils sont restées infructueuses. J'avais envisagé de prendre une troisième femme, mais je n'avais pas assez d'argent.

L'homme-médecine avait dansé, il avait inhalé la fumée des herbes sacrées, et dans sa transe il m'avait parlé de mon arrière-grand-père, le vieux Baba. Le vieux Baba avait été chef de notre tribu. Il avait été châtié par des hommes blancs pour s’être révolté contre eux. Les hommes blancs l'avaient attaché et fouetté devant tout le village. Aucun des villageois présents n'avait eu le courage de résister à la violence des hommes blancs. Mais le vieux Baba avait prononcé une malédiction, et cette malédiction s'était retournée contre moi. Cette malédiction ne pouvait s’interrompre que si je parvenais à le venger. C'est pourquoi j'avais fait ce long et périlleux voyage jusqu’ici.

Jusqu'à présent, tout c’était déroulé exactement comme l'homme-médecine l'avait prédit. J'étais un invité clandestin au mariage de Sidonie Martin, l'arrière-petite-fille de Joël Martin, l'homme qui avait attaché le vieux Baba et l'avait fouetté.

Autour de mon cou, je portais l'amulette que l'homme-médecine m'avait donnée. Un petit fragment du crâne du vieux Baba était attaché à une chaînette en or. Elle me donnait de la force. Mon heure venait.

Je ne pouvais pas participer à la fête parce que je n'avais pas d'invitation. Je me suis assis sur un banc à l'extérieur de l’hôtel pendant que la fête battait son plein. L’excitation des gens à l'intérieur me faisait mal. Cela me faisait mal de penser qu'ils festoyaient avec les richesses qu'ils avaient volées au vieux Baba.

Le temps passait et la nuit tombait. Certains invités commençaient à partir. Au commandement de mon amulette, je m’introduisis dans le bâtiment par une porte latérale et je montais les escaliers. Je marchais dans un long couloir avec des portes des deux côtés. Toutes étaient fermées. L'amulette m'a commandé de m'arrêter devant une porte similaire à toutes les autres. Mais c'était l'endroit. Je touchais au but. J'ai ôté mon boubou et mes sandales. J’étais debout, tout nu dans ce couloir vide, ne portant rien d'autre que l'amulette.

J'ai touché l'amulette, priant le vieux Baba de m'aider, puis j'ai poussé la porte. Je me suis immédiatement retrouvé face à face avec Sidonie Martin. Ses yeux s’écarquillèrent sous le choc. C'étaient de beaux yeux verts, lumineux et profonds. Son visage fatigué était marqué par une longue nuit de danse et d'ivresse.

« Sidonie, n'aie pas peur de moi, belle femme mariée, où est ton homme ? »
« Il est en bas » bafouilla-t-elle « en train de s’enivrer avec ses amis »
« Et maintenant, si belle Sidonie, tu es seule ici ? » demandais-je doucement, tandis que mes doigts s’approchaient de son décolleté. Elle n'a pas résisté.

« Vous étiez dans l'église » a-t-elle dit « Je vous ai remarqué »
« Tu es très belle » répondis-je « Tu es un amour »
Elle passa ses bras autour de mon cou et ses lèvres rencontrèrent les miennes. Pas un rapide bisou du bout des lèvres comme elle l'avait donné à son grassouillet mari dans l'église, mais un baiser profond, long et intense. Nos deux cœurs battaient d'excitation.

Nos corps pressés l'un contre l'autre, j'ai commencé à dégrafer le dos de sa robe de mariée. Sous sa robe de noces, elle ne portait qu’un soutien-gorge et une culotte. Je les ôtais rapidement et bientôt elle se tenait devant moi dans sa beauté virginale. Je n'avais jamais vu de femme blanche nue auparavant. Elle restait immobile, abasourdie et silencieuse. La perfection douce et satinée de sa peau blanche était nimbée d’une étrange lumière. Seules les aréoles de ses seins ressortaient d'une couleur légèrement plus sombre. Leur pourpre s’accordait avec le doré de ses cheveux qui apparaissaient sous son voile.

J’ai déjà vu des femmes nues. Les femmes de mon village sont pour la plupart torse nu, et j'ai moi-même deux jeunes femmes. Mais les seins de Sidonie étaient ronds et insolents. Ils ne tombaient pas comme ceux des femmes du village. N'importe quelle femme, dans notre village, aurait déjà porté et nourri plusieurs enfants à la vingtaine. Mais j’étais devant une femme qui avait atteint la maturité sans être déformée par la maternité.

Elle a adroitement refermé la porte du couloir avec son pied, ce qui nous a isolés. Ses fins doigts blancs ont saisi mon organe viril et sombre, et ils ont commencé à le caresser doucement.

« C'est encore plus énorme que je le pensais » a-t-elle chuchoté rêveusement.

« Sidonie, tu le rends triomphant ! » ai-je répondu.

Nous sommes restés étroitement enlacés. Sa peau si exquise en contact étroit avec ma peau brûlée par le soleil. Sa féminité contre ma virilité. Sa pâleur contre ma noirceur. Mon organe viril était dressé entre nous, pressé contre son bas-ventre, l'endroit où ses bébés viendraient.

Les ancêtres peuvent nous voir lorsqu'un nouveau descendant est conçu. Je savais que le vieux Baba attendait avec impatience et satisfaction de voir ce qui allait se passer, et je savais que le méchant Joël Martin hurlait de douleur et de répulsion. Ces deux pensées m'ont rendu heureux.

Mes doigts ont parcouru la douceur de son corps nu lorsque nous nous allongeâmes côte à côte sur le lit. Ses seins ronds étaient si fermes. Ses mamelons bruns se sont tendus sous mes caresses. Les mamelons de la dernière descendante de Joël Martin allaient bientôt nourrir un bébé mulâtre. Le fruit de la lignée du vieux Baba. J'ai fouillé son entrejambe, doigté entre ses lèvres charnues son vagin rose, l'endroit d'où cet enfant viendrait au monde. Elle devenait moite et pantelante sous mes attouchements.

Enfin, elle a entraîné mon organe viril vers elle. Je me suis positionné sur elle et je l'ai enfoui à l'intérieur. Elle a émit un cri étouffé. Son vagin était serré, beaucoup plus serré que celui de mes propres femmes, même lors de leurs nuits de noces. Au début, je ne pouvais insérer que le gland à l'intérieur, mais à chaque poussée, j'entrais un peu plus profondément. La résistance de son corps pâle s'est effondrée, et il a accepté ce que son esprit avait déjà admis, la domination de ma virilité.

Ses jambes étaient maintenant fermement verrouillées autour de mes hanches et elle gémissait à chaque mouvement. Mon organe viril était en elle, tout au fond d'elle. Les chairs moites de sa chatte étroite me pressaient de toutes parts. Je ne m'étais jamais sentie aussi stimulé sur toute la longueur de mon pénis. Je me sentais incapable de résister, de me retenir. Je savais que je ne pourrais pas durer longtemps.

Bien sûr, je sais ce qu'est un orgasme féminin. J'ai deux femmes à la maison, et j'ai d'ailleurs fait plaisir à beaucoup d'autres femmes dans ma vie. Mais ce que j'ai vécu cette nuit-là, c’était quelque chose de nouveau. Je n'avais jamais vécu une chose semblable auparavant. Son corps s’est mis à trembler. L’écrin qui entourait mon organe viril s'est resserré en se contractant. Cette convulsion s'est propagée comme une vague à travers tout son corps, à travers son abdomen, puis à travers toute sa chair jusqu'au bout de ses doigts. Son étreinte sur moi se resserra. C'était comme si elle essayait de me sucer de l'intérieur, d’aspirer tout mon être pour m’absorber, pour faire parti d'elle. 
Une autre vague a suivi la première. Puis une autre, chaque fois plus forte que la précédente. C’était une succession de tornades, d’ouragans, de tsunamis. J’avais déclenché la tempête, et chaque vague était accompagnée de cris, de gémissements, et de tremblements qu'elle ne pouvait contrôler.

Après les cris et les convulsions, elle m'a embrassé longuement. Langoureusement. Comme pour me remercier. Elle était couverte de sueur. J'ai continué à faire aller et venir mon organe en elle. Plus lentement, presque avec nonchalance. J'ai senti la semence commencer à monter en moi, quittant mes bourses gonflées, et s'apprêter à jaillir hors de moi.

Je n'avais jamais été aussi excité à l’idée de fertiliser une femme. Il n'y avait plus rien pour empêcher mon sperme fécond de rejoindre son œuf fertile. Je pouvais imaginer le vieux Baba danser de joie. Je pouvais deviner que Joël Martin hurlait de rage impuissante. L’héritière de sa lignée consentait volontiers que le rejeton du vieux Baba vienne l’inséminer.

Et puis c'est arrivé. Normalement, je sais me tenir. Me contrôler. Je peux durer pour faire plaisir à mes femmes pendant longtemps. Mais l’ardeur et l'étroitesse de Sidonie étaient telles que je n’ai pas pu. Cela a jailli malgré moi. Mon organe viril frémissait, et mon corps vibrait à l'unisson. J'ai senti ma semence pâteuse se projeter profondément dans son vagin sans défense. Un deuxième jet a suivi, puis un troisième ...

Je restais immobile sur elle, un peu plus longtemps, afin que nos fluides corporels puissent se mélanger à coup sûr. Ses jambes me libérèrent de leur emprise. Je l'embrassais amoureusement avant de me retirer. Allongé sur le flanc, je l'ai maintenue dans la position de la cuillère, blotti conte elle, par derrière. 
Ma main brune caressait la peau douce de son bas-ventre, là où son œuf fécondé par ma semence allait donner la vie dans quelques mois. Le temps semblait s’arrêter, et ce moment durer éternellement. J’étreignais ce magnifique corps innocent, pendant que le vieux Baba dansait de joie dans mon esprit. Mon bébé, le descendant du vieux Baba, hériterait de la fortune que Joël Martin lui avait volée. La vengeance était consommée. Et la beauté du geste, c’était qu'il n'y avait aucune haine, aucune violence comme le vieux Baba l'avait subie, mais juste de l'amour. L’union de deux êtres qui partagent un moment de plaisir charnel. Allongé et blotti contre elle, j'ai savouré ce moment.

« Tu ferais mieux de partir, Kevin sera bientôt là » dit-elle finalement.

Je me levais pour regarder une dernière fois celle belle femme blanche dans laquelle ma semence devait déjà germer. J'ai regardé ses beaux seins blancs qui allaient nourrir notre enfant. Son voile de mariage était de travers sur sa tête. Une traînée de ma semence suintait hors de son vagin. Je me suis glissé dans mon boubou, remis mes sandales, j'étais sur le point de partir, quand j'ai pensé à une chose. J’ai pris mon amulette, l’ai détachée de sa chaînette, et je l’ai placée dans sa main.

« Sidonie, prends cette amulette, quand ton bébé grandira, tu lui donneras, elle le protégera et l’aidera, c’est un talisman africain très efficace »
« Mon bébé ? … Oh merde, je suis fertile, et pas protégée, parce que Kevin et moi, nous voulions concevoir un bébé ce soir ! Merde, tu fais chier, pourquoi m'as-tu fait ça ? Pourquoi tu ne t'es pas retiré ? »
« Kevin, c’est ton nouveau mari ? Il va monter te rejoindre. Il va t'aimer. Déposer sa semence en toi. Mais ma semence est plus fertile. Le vieux Baba m’a donné la force. Le vieux Baba veut un garçon noir »
« Mon bébé sera noir ? Mais que dira Kevin ? Et mon père ? » s'écria-t-elle, les larmes aux yeux.

« Prends l'amulette du vieux Baba. Elle protège et rend plus fort »
Elle l'a prise et je me suis glissé hors de la chambre.

Son nouveau mari, Kevin, titubait dans les escaliers pendant que je descendais. L’excès de boisson faisait des ravages. Il ne tenait pas debout. Il devait faire l'amour à Sidonie ce soir, pour qu’il puisse croire qu'il avait engendré l'enfant. La vérité n’apparaîtrait qu'à sa naissance.

J'ai dit à Kevin de s'appuyer sur mon bras, et je l'ai soutenu jusqu’à sa chambre.

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