LE MARIN. Et les pics assiettes. (1/4)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : LE MARIN.  Et les pics assiettes. (1/4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-11-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE MARIN. Et les pics assiettes. (1/4)
Cette histoire est arrivée lors du mariage de ma cousine germaine au restaurant dans le bois de Boulogne devant lequel vous pouvez faire du canoë avec votre belle.
Je m’appelle Christian, je suis entré dans la marine pour cinq ans après deux ans d’école de mécanique.
J’entends bien les passer en profitant pleinement du pompon que je porte fièrement sur ma tête et qui est d’un grand secours pour draguer les filles que je rencontre.
Dans les années 60 à 70, j’étais obligé de porter ma tenue tout le temps, l’armée nous interdisant de nous mettre en civile.
En été, nous portions la tenue blanche plus légère mais toujours avec le pantalon à pont si pratique lorsqu’il s’agit de satisfaire une fille.

Nous avions été à la cérémonie qui c’est fors bien dérouler où la marine a commencé à mettre de l’ambiance.
Rapidement la marine a été secondée par les pompiers en la personne de mon cousin lui aussi germain, mais d’une autre branche de la famille.
Nous sommes connues pour les fêtes d’enfer que depuis notre jeunesse, nous faisons ensemble.
Il était affecté à la caserne Champerret où Robert en était le boute-en-train.
Les deux dernières années, nous avons écumé le bal du quatorze juillet de sa caserne moi avec mon pompon et lui avec son képi.
Aussi bien lui que moi finir la soirée seule nous est inconnu.
Surtout la deuxième année où des jumelles qui sortaient pour la première fois des jupes de maman ont perdu leur pucelage avec alternativement le sexe du pompier puis du marin ou du marin et du pompier dans le vagin de Lucie ou Lison.
Dans cette même nuit dans la chambre qu’il louait contiguë à la caserne, les deux jolies blondes peuvent se targuer la fin de la nuit d’avoir perdu leur pucelage dans le même lit.
Elles ont aussi accepté de se faire sodomiser en même temps. Leur visage si prêt que nous les avons vus se donner un baiser qui était loin de se pratiquer entre sœurs même jumelles.
Toute la journée du lendemain Robert et moi avons gardé ces belles pouliches que nous aimions driver en levrette en tirant sur les rênes que constituaient leurs paires de seins déjà fort généreux pour leurs dix-huit ans.

Il m’est déjà arrivé d’être invité au mariage de ses copains de caserne qui avait accepté ma présence connaissant les fouteurs de merde dans le bon sens du terme que nous étions capables d’être.
Chaque fois la cavalière qui a été assignée au marin a fini la nuit ayant enlevé sa petite culotte une fois dans une voiture une autre sur la cuvette des toilettes.
La première fois, mon cousin s’est occupé de la fille du colonel de sa caserne imprudemment invitée par le jeune marié.
La deuxième fois, c’est moi qui ai donné beaucoup de plaisir à la femme d’un homme politique haut placé que les mariés étaient fiers d’avoir à leurs noces.
C’est dans les jardins dans un parc d’un restaurant près de Chantilly qu’elle m’a entraîné dans un jardin à la française la nuit tombée et où je lui ai fait l’amour alors qu’elle était à quatre pattes sur un banc les seins reposant sur le dossier en la baisant dans la chatte et le cul.
Lorsque je suis revenu ayant refermé comme il se doit mon pantalon à pont, nous avons retrouvé le mari qui minaudait au milieu de certains invités.
Cette femme fut le départ de ma collection de petites culottes que j’ai constitué au fil de mes voyages à travers le monde, mais ce sont d’autres histoires que j’écrirais certainement dans le futur.
Toute la soirée alors que j’avais expliqué mon incartade à Robert revenant, lui aussi bizarrement du parc avec la maman du marié fort appétissante elle aussi lorsque je lui ai expliqué la promenade que je venais d’offrir à cette femme et que je lui ai montrée mon trophée, il m’a sorti de sa poche, celui-ci enlève à celle qui était la cause de notre présence donnant le jour au marié.
Lors d’un slow où nous avons croisé celle qui étaient devenues nos maîtresses, nous avons eu l’outrecuidance de leur demander de faire attention au courant d’air.

Une fois, le marié était ivre mort avant la fin de la soirée et nous l’avons raccompagné dans sa chambre de nuit de noces.
Eh ! Non, nous sommes restés sages avec la mariée que, certes, nous avons vu nue après qu’elle se fut baignée et attendue son mari dans la couche nuptiale.
Pour le marié, nous avons pratiqué la douche froide avec suffocation pendant que mon cousin préparait un litre de café.
Séchés et debout sur ses jambes, nous leur avons apporté le café que nous avons bu tous les quatre en admirant les seins de la mariée qui sortait du drap dont nous les avions recouverts.
Nous les avons quittés au moment où il la prenait dans ses bras pour commencer à faire son devoir conjugal.

Est-ce ce jour-là ?
Mais neuf mois plus tard, Robert était le parrain de leur fils lors d’une cérémonie qui précède le mariage de ma cousine germaine.
Pendant le repas, le papa du nourrisson a recommencé à boire plus que de raison et alors que tous les invités étaient partis, nous avons aidé la maman à le coucher sans lui donner de douche froide de peur que cette fois il attrape la grippe.
Le baptisé couché, lui aussi, nous avons remis un slow sur la platine et sans aucune difficulté la maîtresse de maison s’est retrouvée nue.
C’est sur le canapé en simili-cuir très désagréable pour mon dos lorsque je me suis couché dessus entraînant celle qui demandait que cela qu’elle s’est empalée sur le mât que je lui présentais et que sans un cri de peur de réveiller son alcoolique de mari que j’ai senti la queue de mon cousin la prenant en double pénétration.
Le mouvement de nos verges se frottant par paroi interposée reste pour nous un des meilleurs moments de nos turpitudes.
Hélas, non renouvelé, car notre maîtresse exaspérée par ce mari qui restait sans dessouler presque vingt-quatre heures sur vingt-quatre a pris sa valise et son fils, Robert alors que j’étais à Toulon les a conduit au train pour la Creuse où elle est retournée tenir le tabac café-bar de papa et maman qu’elle avait fui pour monter à Paris lorsqu’elle avait dix-huit ans.

Pour la soirée du repas de mariage de ma cousine, il était prévu un buffet froid placé sur un côté de la salle pendant que les musiciens jouaient dans un coin libérant la pièce pour les danseurs.
Comme il est de tradition, ma cousine a ouvert le bal avec son mari avant que nous ne prenions les rênes des festivités.
Danse du tapis où j’ai repéré une petite eurasienne qui a fait le geste interdit de faire en prenant mon bachi posé sur une table et le mettant sur sa tête.
Elle avait une vingtaine d’années et était habillée en robe charlestons à franges et petit bandeau sur sa coupe de cheveux au carré.
Robert voyant que j’avais accroché à fait démarrer un slow aux musiciens.
À la fin du premier morceau, le pubis de la danseuse était collé au mien lorsqu’un homme plus vieux est venu nous séparer récupérant sa femme, car ils avaient tous les deux une alliance.
Il était habillé avec un smoking, mais au lieu d’une veste, il était en gilet le rendant fort séduisant.
Du côté de ma famille une ou deux copines de la mariée étaient à mon goût ainsi que le même nombre du côté du marié.
Je n’osais les rejoindre, mon bachi posé sur la tête de celle qui m’avait été enlevée alors que j’avais bien senti qu’elle était sensible à mon charme trônait au milieu de plusieurs couples. Les rires de plus en plus stridents me montraient le degré d’intimité qu’ils avaient atteint.
Je repérais rapidement que le mari avait toujours une flûte à la main et chaque fois qu’un serveur passait, il la faisait remplir.

J’ai cru que la petite allait m’échapper lorsque ma cousine, passant vers eux et disant un mot gentil à ses copines, a attrapé mon bachi et la mise sur sa tête.
Allais-je essayer de séduire ma cousine germaine le respect de la famille m’oblige à répondre non considérant que pour elle c’était un accident ?
Bien que, lorsque j’aie eu entre 12 ou 13 ans, un jour de Noël alors qu’elle avait 16 ans, elle était venue manger à la maison comme tous les ans et lorsque l’après-midi, nous nous sommes retrouvés avec les autres enfants dans ma chambre à jouer aux monopolys les autres assis parterre moi couché sur mon lit les bras atteignant les dés sur le sol.
Ma cousine était appuyée au lit et mes yeux descendaient dans son décolleté où son soutien-gorge pigeonnant contenait mal ses deux obus.
Dans ma mémoire, c’est ce jour-là que je me rappelle avoir bandé pour la première fois.
La nuit qui a suivi à quelques centimètres de l’endroit où j’avais vu cette vision idyllique, j’ai recommencé à bander en trouvant naturellement le chemin avec ma main.
Pour la première fois, je me suis tapé une bonne petite pignole, loin de me rassasier.
Au matin, j’avais dessiné une magnifique carte postale dans mon pyjama et mes draps.
Je crois que la complicité que j’ai avec ma mère concernant mes conquêtes vient de ce matin-là, lorsque faisant mon lit bien loin de ne rien dire, elle m’a félicité d’être devenu un homme.
Deux faits nouveaux vont me faire oublier ces pensées troublent.

Mon nouveau cousin est sympa et lorsqu’il m’appelle avec Robert, une bouteille de champagne à la main le court de la soirée va en être changée.
Il vient de constater en parlant avec sa femme que le couple n’a de prêt ou de rien à voir avec leurs noces chacun étant persuadé que ce sont des invités de l’autre.
À un moment où ils se sont croisés discutant auprès des uns où des autres plus souvent qu’ils ne sont ensemble, le cousin à demander à ma cousine si elle pouvait lui présenter ses amis.
Comme elle allait lui faire la même remarque, ils en ont déduit que ce sont des pics assiettes qui sont fort sympathiques mais surtout bien renseignés sur le type de soirée organisée dans ce restaurant.
Ce genre de restaurant de cette classe fort onéreux pour les parents des mariés aurait dû nous mettre à l’abri de ce genre d’individu, mais leur tenue était très bien étudiée pour passer dans n’importe quel type de soirée et de familles.
Mon cousin nous explique ce qu’ils viennent de découvrir et nous demandent de l’accompagner pour offrir une coupe de champagne au couple avant de leur demander de quitter les lieux.
Je l’en dissuade en lui promettant de nous occuper personnellement avec Robert bien sûr du couple avant la fin de la nuit et de les dissuader de recommencer ce genre de pratique pas très orthodoxe.
Ma cousine nous voit en discussion nous rejoint et nous connaissant donne son accord même si deux personnes en plus ayant l’air de bien aimer le champagne vont entraîner quelques frais supplémentaires.
Je récupère la bouteille et nous nous approchons par petites étapes vers le couple qui vient d’entreprendre une discussion avec une de nos cousines éloignées et son mari.
Ils en sont à se changer leurs adresses pour se revoir rapidement et faire une soirée ensemble.
L’adresse que donne la cousine est la bonne ayant été au baptême de leur fille mais l’adresse que le couple donne à l’opposé de Paris me semble bien bizarre.
Je fais sauter le bouchon et je sers une coupe à chacun remplissant pleinement le verre d’Elvis prénom là encore certainement bidon.
Elle a donné comme prénom Espoir prétextant que ses parents avaient eu du mal à la mettre au monde et que ce prénom était parfait après leurs mois d’attente.
Leur scénario est bien monté et ils ont réponse à toutes les questions qu’on leur pose.
Lorsqu’ils sont légèrement coincés, c’est lui qui a l’esprit plus vif nous fournit une réponse.
Nous obtenons certaines informations difficiles à inventer, car sans concertation préalable entre eux ils risquent de se trahir.
Avec Robert, nous apprenons qu’il travaille pour une boîte et que toutes les semaines du lundi matin neuf heures au vendredi soir vingt heures par taxi et avions, il part vers l’Espagne.
Ils ont un chantier de BTP à honorer. Il est chef de travaux et avec les déplacements est grassement payé.
Espoir reste à la maison se contentant de passer ses journées à lire ou à aller faire des courses en attendant qu’il revienne.
Je sens qu’elle semble vivre ces attentes de plus en plus mal.
Alors que nous avons bu la valeur d’une coupe, Elvis a déjà bu énormément, ce qu’il a ingurgité avant que nous les rejoignions la fin de la bouteille qu’un des couples avait en main et l’intégralité d’une autre.
Nous pouvons ferrer le coup avec Espoir immédiatement mais souhaitant profiter jusqu’au bout de la nuit de noces, au lieu de proposer de les reconduire, nous l’installons sur une chaise dans un coin en lui laissant à portée de main une coupe que, lorsqu’il ouvre légèrement un œil, la prend pour s’humecter la glotte. Ces nombreux petits verres entraînent par là même son ivresse.
Afin d’éviter qu’il soit en manque Robert et moi le laissons jamais vide.
Pendant ce temps, nous profitons de sa femme sans vergogne. Robert a bien senti que j’aie une petite longueur d’avance lorsque pour chaque slow, elle vient directement dans mes bras et se colle de plus en plus distinctement à moi.
Ma cousine voyant l’avancée de mes travaux vient lui reposer mon bachi sur la tête me la redonnant comme proie privilégiée…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
sympa j'ai du mal à comprendre la fin...beaucoup de fautes



Texte coquin : LE MARIN.  Et les pics assiettes. (1/4)
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