LE MARIN. L’infarctus. (3/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LE MARIN. L’infarctus. (3/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-12-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE MARIN. L’infarctus. (3/3)
Après être tombé dans une ruelle de Chicago, j’ai été emmené dans une camionnette auprès de mon ange aux yeux bleus que j’ai décidé d’épouser.

• Vous êtes revenu parmi nous, tout va bien, tout s’est bien passé, vous avez un cœur tout neuf.
Reposez-vous ?
Je repasse dans quelques minutes, en attendant dormez.

Mon ange, il m’est impossible de dormir, j’ai commencé à écrire mes mémoires, j’ai plus de 60 ans, un infarctus est si vite venu et toutes ces femmes de ma vie disparaîtront.
De qui je parlais, à oui, Christine que j’ai épousée et Brigitte sa mère qui m’a tout appris sur le sexe et les positions.
Tout, même à me faire asperger chaque fois que je l’ai prise comme elle aimait et qui chaque fois m’envoyait des petits jets de cyprine étant une femme fontaine.
Les draps se souviennent, car chaque fois qu’elle trompait mon beau-père pendant qu’il était au travail, elle changeait les draps au point qu’un jour elle m’a dit qu’il avait trouvé étrange qu’il change de couleur presque tous les jours.
Jusqu’au moment où je lui avoue le dépucelage de sa fille avec en prime 9 mois de grossesse, dans les derniers jours de permission qui me reste, je la prends partout sur les tables, dans leurs toilettes, la baignoire impeccable, car cela nous évite le nettoyage et jusque dans le jardin la dernière fois entre nous par une belle journée ensoleillée.

• Vous voyez, je suis revenue, je suis sûr que je vous ai manqué, on va refaire le pansement, votre triple pontage, c’est bien passé, vous avez des artères toutes neuves, vous allez pouvoir recommencer à faire tourner la tête des filles.
J’ai une question, pourquoi vous taisez vous, vous êtes muet, rien ne vous empêche de parler !

Je lui parle tout le temps, je lui raconte ma vie avant de l’épouser, car je suis honnête et je souhaite qu’elle sache, quelles femmes l’ont précédé dans ma vie.
Miquette, je me souviens, c’est pour elle que je suis descendu de Valencienne après m’être inscrit sur Internet sur un site qui s’appelle aux amis de Miquette et qui a reçu de la mairie l’autorisation de mettre une plaque commémorative sur le mur en face de l’entrée de l’arsenal près du bar les cinq parties du monde rappelant celle qui a dépucelé tant de jeunes matelots.
Ange, il faut que je me lève, lorsque je suis tombé, je devais être à 10 heures en face de la porte de l’arsenal pour qu’une petite cérémonie ait lieu pour cette petite femme par la taille mais si grande par le cœur.
Mes femmes, la grande femme du capitaine qui semblait le tromper avec les matelots qu’elle prenait en stop à la sortie de Toulon pour les amener dans une pinède près du Castelet.
Au fil des années qui a suivi, les motifs de cette femme aimant se faire baiser par des jeunes hommes comme moi ayant un pompon sur la tête dans sa voiture me restent obscurs mais très précieux, car c’est la première chatte qui m’a été donnée de pénétrer et ainsi de lui offrir mon pucelage.
Et il y a Christine en deux étapes la première une seule fois lorsque je l’ai dépucelé et après les bons moments avec Brigitte.
Brigitte, sa mère qui pour protéger sa fille avec un peu de retard m’a tout appris de ce qu’aiment les femmes dans les jeux de l’amour et surtout du sexe.
Et bien sûr Christine 2 avant qu’elle suive son amant.
Christine que j’épouse au troisième mois de grossesse son ventre dans sa robe blanche commençant à s’arrondir, mais qui dans ces années-là était primordiale afin que la jeune fille soit considérée comme une jeune fille sage et éviter d’être prise par une, Marie couche-toi là pour employer une expression à la mode et éviter de dire pute.
Pute, elle l’a été, car j’ai eu une femme qui sur mes sollicitations et ce que sa maman m’avait appris à accepter de se donner sans aucune retenue.
Elle avait en elle tous les gènes de Brigitte et rien ne la rebutait, allant même jusqu’à me solliciter pour que je la sodomise.
Je devrais dire comme elle me l’a dit.

• Chéri, encule-moi !

Alors qu’elle était placée sur notre lit de noces en levrette mon fils déformant son corps qui dans la position faisait tendre son ventre vers le bas.
J’étais content de sa demande, car comme tous les jeunes futurs papas, j’avais peur de faire mal au bébé en la baisant dans la chatte.
Pendant tout le reste de sa grossesse, c’est comme cela que j’ai déchargé mon foutre dans son anus sauf une fois ou j’ai ripé et que mon vite a retrouvé sa vulve sans que je me rende compte du dérapage et où elle a crié son plaisir comme jamais elle l’a fait avec moi.
Elle m’a rendu heureuse jusqu’au jour où le ciel m’est tombé sur la tête et qu’elle m’a quitté.
Voilà les femmes de ma vie.
Pour être complet je dois parler de la maîtresse que j’ai eue pendant mon mariage.

• Bonjour Ange, vous avez de beaux yeux !

J’ai profité de ce qu’Ange soit penché sur mon corps après avoir défait mon pansement pour lui faire ce compliment.

• Edith, c’est bon, regarde, il me parle, j’aime beaucoup ce compliment, mais je doute qu’il ait retrouvé toute sa raison, il m’appelle Ange, pourtant si je regarde bien sûr ma blouse, il y a marqué Isabelle.
Monsieur, je m’appelle Isabelle.

Sur sa blouse, ces ses nichons qui sont libres sous sa blouse que j’admire depuis que je suis réveillé et pour moi son vrai prénom à peu d’importance, car elle s’appelle Ange.
L’effort fait pour dire cette première phrase est suffisant pour que, les pensées reviennent vers cette femme de diplomate qui a réussi à me faire renier mon serment le jour de mon mariage d’être fidèle.
C’est à l’ambassade de France à Lomé au Togo où nous faisions escale et où je me suis retrouvé de tiers de corvée à faire de la figuration pendant que notre commandant entouré de son état-major nous obligeait à venir que, lorsque les discours ont été finis que cette jolie femme s’est rapprochée de moi.
Immédiatement j’ai pensé à la femme à la DS de la pinède près de Toulon qui aurait pu être sa sœur qui m’a demandé si je m’amusais.

• Je dois partir, vous m’accompagnez.

Les discours terminés et surtout la Marseillaise jouée nous obligeant à nous mettre au garde-à-vous, nous étions libres de nos mouvements.
C’est dans une voiture du corps diplomatique qu’elle m’a entraînée dans sa villa après avoir prévenu son mari de son départ.
Je l’ai entendu s’excuser mais qu’il avait encore des obligations avec la réunion sur la situation au Togo dont il devait discuter avec tous nos officiers.
Dans sa villa sans se gêner devant ses boys, je l’ai vu enlever sa robe en toile et me faire voir qu’elle avait été à notre pince-fesses entièrement nu.
Elle a plongé dans la piscine, m’invitant à la suivre.
J’ai enlevé mon pantalon blanc à pont et ma chemisette de la même couleur.
J’avais un slip kangourou de l’armée impossible à montrer à une dame de son rang aussi avec le pantalon, je l’ai enlevé et je l’ai rejoint nu comme elle.
Une femme et un homme nus dans une piscine, la femme venant vous prendre dans ses bras votre poitrine contre la sienne à vous la frotter et une langue qui entre dans votre bouche et qui tourne comme une toupie finie immanquablement malgré vos bons sentiments sur le matelas où elle doit se faire bronzer avec votre verge qui lui déchire la vulve.
Comme ma belle-mère me l’a apprise, je la quitte créant une frustration de l’abandonner à la limite de son plaisir pour mieux rejoindre son clitoris et lui sucer une nouvelle fois à la limite de décharger, pour la mettre en levrette pour la prendre dans sa chatte pour mieux l’abandonner pour tenter la sodomie qu’elle accepte avec envie.

• La chance que j’aie mon salaud, j’avais bien vu que tu avais une tête libidineuse et que tu me ferais grimper au rideau.
Tu es aussi bon amant qu’Oman le boy de mon mari qui me la met dès qu’il est parti à son travail, la sienne est plus grosse et plus longue, mais il s’en sert sans fioritures comme toi.
Omar vient, j’ai besoin de toi.

Omar, semblant attendre l’appel de sa patronne arrive devant nous aussi noir que nu.

• Allonges-toi sur le matelas petit, je m’empale sur ta bite si bonne pour mon intimité et Omar va m’enculer, vous allez m’éclater.

Pour la première et dernière fois de ma vie, je sens la bite de ce noir ayant une tête de plus que moi se frotter contre ma bite me procurant une sensation jamais retentie et la salope prise en sandwich semble apprécier cette double pénétration et qui fait entendre à tout le quartier résidentiel qu’elle se fait ravager son vagin et son anus.

• Omar, merci à vous, raccompagne le matelot jusqu’à son bateau, petit, tu resteras dans ma vie comme l’un des meilleurs moments que j’ai passé.

Fier comme le coq que je suis, je monte en voiture et à cinq cents mètres de chez cette belle femme, nous croisons une voiture du C.D où à l’arrière j’aperçois le cocu magnifique.

Voilà, je peux me lever et sortir de l’hôpital où Isabelle m’explique tout ce qui m’est arrivé, il y a presque trois mois après ma chute dans la ruelle où j’espérais retrouver l’ambiance de ma jeunesse avec Miquette, la première femme à m’avoir sucé la queue à la fin des années 60.
C’est au bras de ma femme, non future femme que je sors de l’hôpital pour aller récupérer mes affaires à mon hôtel qui m’attendent depuis mon accident.
C’est sur les hauteurs de Toulon juste au pied du funiculaire qui monte vers le musée du débarquement qu’elle a son appartement.
C’est dans le parc que nous nous sommes dit, je t’aime. Comme moi, elle est divorcée, car son mari buvait et la frappait.
Je vais lui donner toute la quiétude qu’elle mérite quoiqu’elle refuse de quitter son travail me rendant jaloux qu’un autre patient tombe amoureux de ses yeux bleus.

Question sexe, mon cardio qui est son copain et qui dîne souvent chez nous avec sa femme m’a donné quitus de faire ce que je voulais après mon pontage, mes examens montrent que j’ai un cœur d’un jeune homme de vingt ans.
Isabelle par chance est démoniaque lorsqu’elle se donne et adore que je sois très prévenant dans mes rapports avec elle.
À non, elle me fait faire quelque chose qu’aucune autre ne m’a demandé, lorsqu’elle est en levrette sur notre lit, elle adore que je lui claque les fesses jusqu’à ce qu’elle soir rouge et qu’elle soit obligée de rester debout pour dîner ou pour manger après ces séances de plus en plus souvent renouvelées.

Enfin et j’arrêterai là mes confidences, chaque dimanche, même si la pluie tombe, nous descendons jusqu’en face de la porte de l’arsenal faire un coucou à la plaque que notre association a dévoilé à la gloire de Miquette pour après nous être souvenue rejoindre le quai aux souvenirs mangés chez Gaëtano pères et fils.
Mais bien loin malgré la saveur de leurs pizzas de celle que je mangeais chez le père voire le grand-père dans leur minuscule restaurant situé non loin du théâtre et où le patron haut en couleur laissait régulièrement brûler un morceau de pâte à pain dans son four à bois dégageant des odeurs des pays du soleil.
Et que dire de ses pieds-paquets divins et moelleux à souhait que nous dévorions l’un après l’autre ayant des appétits d’ogre.
C’est cela le bonheur, j’en suis sûr…

Les avis des lecteurs

Merci et joyeux noël.
CHRIS71

Histoire Erotique
Ce récit est à la hauteur des deux premiers - le suspens est maintenu jusqu'à ce que l'opération réussisse et les amours du matelot jusqu'au chef d'entreprise qu'il est devenu bien décrits. Bravo
Patrick W.



Texte coquin : LE MARIN. L’infarctus. (3/3)
Histoire sexe : Une rose rouge
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