LE MARIN. La parisienne en vacances. (1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2410 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 033 220 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-01-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 3 656 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
LE MARIN. La parisienne en vacances. (1)
Depuis un an, je navigue sur la frégate Suffren au départ de France puis à partir de Rio au Brésil sur l’escorteur Victor Schoelcher basé au même port de Lorient dans le Morbihan.
Dans chaque port, chaque bateau a un quartier général dans un café où les matelots du bord se retrouvent.
Ceux du Victor vont chez la mère Jules café à la sortie de l’arsenal.
La serveuse Agnès est devenue une copine, ce matin, je suis au bar en train de prendre mon café en jouant avec elle aux 421, jeux de dés à la mode dans les bars à marins et qui nous permets de plumer des pigeons et ainsi passer des soirées en buvant sur leur compte.
C’est à ce moment qu’entre une femme entre 45 et 50 ans. Elle a une classe folle dans son tailleur certainement acheté chez un grand couturier.
Elle s’installe dans la salle à quelques mètres de nous.
• Quoi de neuf à bord.
• À part le petit mousse qui arrive des arpettes, rien de nouveau, on est en cale sèche et les employés de l’arsenal s’occupent de tous.
Nous sommes logés dans les piolles du foyer et nous glandons allègrement.
Aujourd’hui, j’ai prévenu que je restais à terre à mon chef, il s’en fiche royalement.
• Et le mousse, comment est-il ?
• Un vrai bonbon, il est frais et vierge comme s’il venait de sortir de son nid.
Vivement que l’on parte en mer pour lui faire connaître le tonneau.
Tu sais ce que sais depuis l’an passé où c’était moi qui étais le mousse sur le Suffren lorsque nous sommes parties en mer, je t’ai expliqué comment cela a fini, j’ai accepté pour perpétuer la tradition, lorsque l’on est le mousse.
Discrètement Agnès me pousse la main me montrant que la cliente s’intéresse fortement à ce que nous disons.
Je le savais, car je la voyais dans la glace derrière le bar et c’est pour cela que j’ai parlé du mousse.
En continuant mon histoire, je me tourne. La jolie dame comprend que je l’avais vue écouter.
Je prends ma tasse, je me lève, je m’assois à ses côtés, ce qui me fascine tout de suite, ce sont ses grands yeux d’un bleu turquoise très légèrement maquillés.
• Agnès s’il te plait amène un café à la dame, la marine rentre de six mois de croisière et a les moyens d’offrir une tasse à de si beaux yeux.
Je m’appelle Christian et je suis quartier-maître mécanicien sur le Victor Schoelcher dit le Victor pour les intimes ou plus simplement le Totor pour vous.
Agnès apporte un café qui l’accepte et retourne derrière son bar.
• Je peux savoir votre prénom.
• Véronique, je suis parisienne et je suis venue une semaine en Bretagne pour respirer l’air de la mer après quelques petits soucis.
• Le monde est petit, je suis aussi parisien, mes parents habitent à Joinville le Pont Pompon.
Le Pont Pompon comme chez nous dans la marine.
Elle éclate de rire à ma blague, j’ai toujours entendu dire que si la femme rit, la femme finirait dans mon lit.
Dicton marin.
• Nous sommes des voisins, j’habite à Saint-Maur-des-Fossés.
• Je connais bien, c’est juste de l’autre côté de la marne par rapport au pavillon de mes parents.
Agnès, la dame, est une payse, comme nous disons dans la marine lorsque nous trouvons une personne de la même région.
J’ai vu que vous étiez étonné de ce que je disais à Agnès concernant le petit mousse.
Évitez de vous formaliser, c’est normal dans la marine, lorsque nous partons en mer pour plusieurs semaines ou des mois, nous devons vivre avec nos envies.
Depuis des lustres sur chaque bateau, il y a un tonneau dans lequel on y enferme le mousse le plus mignon et nous plaçons notre sexe dans le trou de la bonde.
Le mousse a le choix de pomper la verge ou de se placer son anus sur le trou pour que les anciens puissent assouvir leurs plaisirs.
Quand le mousse ressort, il récupère l’argent que chacun à placé dans une soucoupe et ainsi arrondi ses fins de mois.
• C’est de la prostitution.
• Non, des traditions ancestrales. Pendant un an, sur le précédent bateau où j’avais embarqué ici à Lorient, j’ai été le mousse et cela m’a rapporté plus de 10 000 francs, ce qui me permet de vous offrir votre café.
Offusquée elle repousse la tasse de café alors que derrière elle, Agnès qui nettoie des tables est carrément hilare.
• Reprenez votre café, je supporte mal de faire du mal aux gens même pour des traditions.
• Vous savez, si vous pompez vos partenaires, rapidement on prend goût au sperme même si c’est un peu fade.
Quant à la sodomie, si vous l’avez déjà accepté, les deux trois premiers coups m’ont fait mal, mais par la suite ma rondelle est devenue plus élastique et même les plus gros sexes sont entrés comme dans du beurre.
D’ailleurs si avec le temps, c’est un autre qui va dans le tonneau, chaque fois qu’une belle bite se présente, je ne peux résister.
Tenez si maintenant, un beau mâle entre dans le café, je suis capable de l’emmener vers les toilettes et lui présenter mon cul pour qu’il y place son mandrin.
J’ai à peine fini ma phrase que la porte du café s’ouvre et qu’Alain mon copain qui est électricien sur notre bateau entre.
• Tenez, vous allez voir, la queue de ce marin qui vient d’entrer est celle que je préfère.
Chose promise chose faite, attendez-moi, je reviens.
Je me lève et j’entraîne Alain vers le couloir qui mène aux chambres sans comprendre pourquoi tant d’empressement à le tirer par la manche.
En deux mots, je le mets au parfum de la blague que je fais à cette touriste trop curieuse de notre conversation avec Agnès.
Nous attendons dix minutes et Alain monte à la chambre qu’il loue à la patronne au mois.
Après le temps nécessaire, je ressors faisant mine de rattacher les boutons du pont qui ferme les pantalons des marins et qui nous facilite la sortie de notre bite lorsque nous sommes en mer par gros temps et ainsi d’uriner sans risquer de se faire dessus.
Plus pragmatiquement, ce pont était fait pour éviter que les marins aient des problèmes avec les cordages.
Agnès est à côté de la femme qui a mis de l’argent sur la table et semble vouloir fuir cet endroit de dépravation.
• Christian explique à madame que tu l’as fait marcher. Je l’ai retenue, elle voulait partir.
Je pars d’un grand éclat de rire et je m’assieds à son côté.
Un grand sourire aux lèvres, je lui prends la main qu’elle tente d’enlever, mais je la tiens fermement.
• C’est vrai, belle enfant, je m’excuse de vous avoir fait marcher, la seule chose de vrai c’est que nous avons un mousse très mignon qui vient d’arriver.
Mes collègues et moi sommes persuadés, qu’il est puceau.
Il faut voir comme il a rougi lorsque hier midi a la cafétéria du foyer où nous sommes hébergés, nous lui avons demandé s’il avait déjà sucé des chattes. Nous avons arrêté de le torturer, car nous avons cru qu’il allait se mettre à pleurer.
Sur les bateaux point de tonneau et si vous voulez contrôler, vous verrez que même votre petit doigt aurait du mal à entrer dans ma rosette.
Quant au copain qui est entré fortuitement tout à l’heure, il loue une chambre à madame Jules et qui est rentré ce coucher, car il sortait du lit d’une jeune fille dont les parents rentrent aujourd’hui après quinze jours de vacances dans le sud de la France.
Il y a certainement des homos dans la marine, mais ils doivent être très discrets car à ce jour, je n’en ai vu aucun.
• Bien joué Christian, je crois, j’ai couru lorsque je rentrerai à Paris et que j’irai rue de Rivoli chez Angélina, notre salon de thé avec mes copines, je leur expliquerai la gourde que j’ai été et la bonne leçon que vous m’avez donnée.
• Pas une leçon surtout pas a une femme de votre classe, simplement un petit moment de détente entre amis.
Tout en lui disant cela, je lui caresse la main qu’elle semble me laisser sans essayer de me l’enlever.
• Agnès amène nous deux cafés chauds, Véronique l’a bien méritée.
Nous nous rasseyons et nous buvons nos cafés jusqu’au moment de payer, Agnès nous offre les consommations pour elle aussi se faire pardonner d’avoir participé à la supercherie.
• Christian, vous savez où se trouve le port de pêche de Lorient, je voudrais voir le retour des chalutiers à la marée qui va être dans une heure comme ils me l’ont dit au syndicat d’initiative.
Je viens de vous prouver que je suis une gourde, mais ce doit être vrai, car, ils m’ont donné une carte que je suis incapable de lire.
• Aucun problème, le port de pêche est le lieu de ralliement de tous les marins en goguette car ici, il y a une particularité à Lorient, certains bars ouvrent en ville dès cinq heures jusqu’à une heure du matin, heure à laquelle les bars et surtout restaurants ouvrent au port de pêche.
Véronique se lève et me précède jusqu’à la sortie, la chute de rein de cette femme perchée sur ces talons hauts d’au moins 15 centimètres m’impressionne.
Agnès par un petit clin d’œil m’aide à affronter l’Everest que représente cette femme certainement blindé d’argent comparé à moi pauvre petit matelot.
Dès la sortie de l’établissement, elle s’avance vers une voiture incroyable pour moi.
Une Mercedes coupée sport 220 SE.
Cette voiture est la deuxième du genre que je vois dans ma vie et c’est très fier que je m’assoie à côté de sa conductrice vraie bombe sexuelle à mes yeux.
• Tu as ton permis.
• Oui, depuis un an mais je conduis peu, car avec ma solde, il me sera difficile d’en acheter une.
• Et qu’aimerais-tu avoir comme voiture.
• La vôtre, mais je là encore avec mes moyens, j’aurai du mal à faire le plein une seule fois.
Non, la voiture dont je rêve, c’est un modèle de marque Fiat 850 spider rouge.
• Tu veux conduire.
• J’aurai trop peur de vous l’abîmer.
• Tu sais, j’ai une bonne assurance et tu me vexerais.
Autre chose arrête de me vouvoyer, je te tutoie, fait en de même.
En même temps qu’elle me dit cela, elle me met la main sur la cuisse avant de l’enlever pour démarrer la voiture…
Dans chaque port, chaque bateau a un quartier général dans un café où les matelots du bord se retrouvent.
Ceux du Victor vont chez la mère Jules café à la sortie de l’arsenal.
La serveuse Agnès est devenue une copine, ce matin, je suis au bar en train de prendre mon café en jouant avec elle aux 421, jeux de dés à la mode dans les bars à marins et qui nous permets de plumer des pigeons et ainsi passer des soirées en buvant sur leur compte.
C’est à ce moment qu’entre une femme entre 45 et 50 ans. Elle a une classe folle dans son tailleur certainement acheté chez un grand couturier.
Elle s’installe dans la salle à quelques mètres de nous.
• Quoi de neuf à bord.
• À part le petit mousse qui arrive des arpettes, rien de nouveau, on est en cale sèche et les employés de l’arsenal s’occupent de tous.
Nous sommes logés dans les piolles du foyer et nous glandons allègrement.
Aujourd’hui, j’ai prévenu que je restais à terre à mon chef, il s’en fiche royalement.
• Et le mousse, comment est-il ?
• Un vrai bonbon, il est frais et vierge comme s’il venait de sortir de son nid.
Vivement que l’on parte en mer pour lui faire connaître le tonneau.
Tu sais ce que sais depuis l’an passé où c’était moi qui étais le mousse sur le Suffren lorsque nous sommes parties en mer, je t’ai expliqué comment cela a fini, j’ai accepté pour perpétuer la tradition, lorsque l’on est le mousse.
Discrètement Agnès me pousse la main me montrant que la cliente s’intéresse fortement à ce que nous disons.
Je le savais, car je la voyais dans la glace derrière le bar et c’est pour cela que j’ai parlé du mousse.
En continuant mon histoire, je me tourne. La jolie dame comprend que je l’avais vue écouter.
Je prends ma tasse, je me lève, je m’assois à ses côtés, ce qui me fascine tout de suite, ce sont ses grands yeux d’un bleu turquoise très légèrement maquillés.
• Agnès s’il te plait amène un café à la dame, la marine rentre de six mois de croisière et a les moyens d’offrir une tasse à de si beaux yeux.
Je m’appelle Christian et je suis quartier-maître mécanicien sur le Victor Schoelcher dit le Victor pour les intimes ou plus simplement le Totor pour vous.
Agnès apporte un café qui l’accepte et retourne derrière son bar.
• Je peux savoir votre prénom.
• Véronique, je suis parisienne et je suis venue une semaine en Bretagne pour respirer l’air de la mer après quelques petits soucis.
• Le monde est petit, je suis aussi parisien, mes parents habitent à Joinville le Pont Pompon.
Le Pont Pompon comme chez nous dans la marine.
Elle éclate de rire à ma blague, j’ai toujours entendu dire que si la femme rit, la femme finirait dans mon lit.
Dicton marin.
• Nous sommes des voisins, j’habite à Saint-Maur-des-Fossés.
• Je connais bien, c’est juste de l’autre côté de la marne par rapport au pavillon de mes parents.
Agnès, la dame, est une payse, comme nous disons dans la marine lorsque nous trouvons une personne de la même région.
J’ai vu que vous étiez étonné de ce que je disais à Agnès concernant le petit mousse.
Évitez de vous formaliser, c’est normal dans la marine, lorsque nous partons en mer pour plusieurs semaines ou des mois, nous devons vivre avec nos envies.
Depuis des lustres sur chaque bateau, il y a un tonneau dans lequel on y enferme le mousse le plus mignon et nous plaçons notre sexe dans le trou de la bonde.
Le mousse a le choix de pomper la verge ou de se placer son anus sur le trou pour que les anciens puissent assouvir leurs plaisirs.
Quand le mousse ressort, il récupère l’argent que chacun à placé dans une soucoupe et ainsi arrondi ses fins de mois.
• C’est de la prostitution.
• Non, des traditions ancestrales. Pendant un an, sur le précédent bateau où j’avais embarqué ici à Lorient, j’ai été le mousse et cela m’a rapporté plus de 10 000 francs, ce qui me permet de vous offrir votre café.
Offusquée elle repousse la tasse de café alors que derrière elle, Agnès qui nettoie des tables est carrément hilare.
• Reprenez votre café, je supporte mal de faire du mal aux gens même pour des traditions.
• Vous savez, si vous pompez vos partenaires, rapidement on prend goût au sperme même si c’est un peu fade.
Quant à la sodomie, si vous l’avez déjà accepté, les deux trois premiers coups m’ont fait mal, mais par la suite ma rondelle est devenue plus élastique et même les plus gros sexes sont entrés comme dans du beurre.
D’ailleurs si avec le temps, c’est un autre qui va dans le tonneau, chaque fois qu’une belle bite se présente, je ne peux résister.
Tenez si maintenant, un beau mâle entre dans le café, je suis capable de l’emmener vers les toilettes et lui présenter mon cul pour qu’il y place son mandrin.
J’ai à peine fini ma phrase que la porte du café s’ouvre et qu’Alain mon copain qui est électricien sur notre bateau entre.
• Tenez, vous allez voir, la queue de ce marin qui vient d’entrer est celle que je préfère.
Chose promise chose faite, attendez-moi, je reviens.
Je me lève et j’entraîne Alain vers le couloir qui mène aux chambres sans comprendre pourquoi tant d’empressement à le tirer par la manche.
En deux mots, je le mets au parfum de la blague que je fais à cette touriste trop curieuse de notre conversation avec Agnès.
Nous attendons dix minutes et Alain monte à la chambre qu’il loue à la patronne au mois.
Après le temps nécessaire, je ressors faisant mine de rattacher les boutons du pont qui ferme les pantalons des marins et qui nous facilite la sortie de notre bite lorsque nous sommes en mer par gros temps et ainsi d’uriner sans risquer de se faire dessus.
Plus pragmatiquement, ce pont était fait pour éviter que les marins aient des problèmes avec les cordages.
Agnès est à côté de la femme qui a mis de l’argent sur la table et semble vouloir fuir cet endroit de dépravation.
• Christian explique à madame que tu l’as fait marcher. Je l’ai retenue, elle voulait partir.
Je pars d’un grand éclat de rire et je m’assieds à son côté.
Un grand sourire aux lèvres, je lui prends la main qu’elle tente d’enlever, mais je la tiens fermement.
• C’est vrai, belle enfant, je m’excuse de vous avoir fait marcher, la seule chose de vrai c’est que nous avons un mousse très mignon qui vient d’arriver.
Mes collègues et moi sommes persuadés, qu’il est puceau.
Il faut voir comme il a rougi lorsque hier midi a la cafétéria du foyer où nous sommes hébergés, nous lui avons demandé s’il avait déjà sucé des chattes. Nous avons arrêté de le torturer, car nous avons cru qu’il allait se mettre à pleurer.
Sur les bateaux point de tonneau et si vous voulez contrôler, vous verrez que même votre petit doigt aurait du mal à entrer dans ma rosette.
Quant au copain qui est entré fortuitement tout à l’heure, il loue une chambre à madame Jules et qui est rentré ce coucher, car il sortait du lit d’une jeune fille dont les parents rentrent aujourd’hui après quinze jours de vacances dans le sud de la France.
Il y a certainement des homos dans la marine, mais ils doivent être très discrets car à ce jour, je n’en ai vu aucun.
• Bien joué Christian, je crois, j’ai couru lorsque je rentrerai à Paris et que j’irai rue de Rivoli chez Angélina, notre salon de thé avec mes copines, je leur expliquerai la gourde que j’ai été et la bonne leçon que vous m’avez donnée.
• Pas une leçon surtout pas a une femme de votre classe, simplement un petit moment de détente entre amis.
Tout en lui disant cela, je lui caresse la main qu’elle semble me laisser sans essayer de me l’enlever.
• Agnès amène nous deux cafés chauds, Véronique l’a bien méritée.
Nous nous rasseyons et nous buvons nos cafés jusqu’au moment de payer, Agnès nous offre les consommations pour elle aussi se faire pardonner d’avoir participé à la supercherie.
• Christian, vous savez où se trouve le port de pêche de Lorient, je voudrais voir le retour des chalutiers à la marée qui va être dans une heure comme ils me l’ont dit au syndicat d’initiative.
Je viens de vous prouver que je suis une gourde, mais ce doit être vrai, car, ils m’ont donné une carte que je suis incapable de lire.
• Aucun problème, le port de pêche est le lieu de ralliement de tous les marins en goguette car ici, il y a une particularité à Lorient, certains bars ouvrent en ville dès cinq heures jusqu’à une heure du matin, heure à laquelle les bars et surtout restaurants ouvrent au port de pêche.
Véronique se lève et me précède jusqu’à la sortie, la chute de rein de cette femme perchée sur ces talons hauts d’au moins 15 centimètres m’impressionne.
Agnès par un petit clin d’œil m’aide à affronter l’Everest que représente cette femme certainement blindé d’argent comparé à moi pauvre petit matelot.
Dès la sortie de l’établissement, elle s’avance vers une voiture incroyable pour moi.
Une Mercedes coupée sport 220 SE.
Cette voiture est la deuxième du genre que je vois dans ma vie et c’est très fier que je m’assoie à côté de sa conductrice vraie bombe sexuelle à mes yeux.
• Tu as ton permis.
• Oui, depuis un an mais je conduis peu, car avec ma solde, il me sera difficile d’en acheter une.
• Et qu’aimerais-tu avoir comme voiture.
• La vôtre, mais je là encore avec mes moyens, j’aurai du mal à faire le plein une seule fois.
Non, la voiture dont je rêve, c’est un modèle de marque Fiat 850 spider rouge.
• Tu veux conduire.
• J’aurai trop peur de vous l’abîmer.
• Tu sais, j’ai une bonne assurance et tu me vexerais.
Autre chose arrête de me vouvoyer, je te tutoie, fait en de même.
En même temps qu’elle me dit cela, elle me met la main sur la cuisse avant de l’enlever pour démarrer la voiture…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Excellent texte qui donne une idée des marins que je ne connaissais pas !!!