LE MARIN. La Parisienne en vacances. (2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-01-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE MARIN. La Parisienne en vacances. (2)
Alors que je buvais, mon café avec ma copine Agnès à notre quartier général chez la mère Jule une jolie femme d’une quarantaine d’années est entrée.
Comme elle s’intéressait à notre conversation, je lui ai fait avaler l’histoire classique chez nous du mousse et du tonneau.
C’est très fièrement que je traverse Lorient à ses côtés pour la guider jusqu’au port de pêche dans sa Mercédès pour voir le retour des chalutiers.
• Tu sais, j’ai beaucoup aimé lorsque tu m’as pris la main au café tout à l’heure, il y avait des années qu’un homme n’a eu un geste aussi sincère que toi.
J’ai divorcé depuis un an et c’est mon médecin qui m’a conseillé de venir prendre une grande goulée d’air iodé.
La chance a voulu que j’entre dans ce café pour demander ma route. Si j’avais su que j’allais rencontrer un jeune homme aussi sympathique que toi et qui a la gentillesse de me conduire vers le port de pêche pour assister au retour des chalutiers à marée haute. Elle va avoir lieu d’ici trois quarts d’heure et la dame du syndicat d’initiative m’a conseillé d’aller la voir.
Le soleil étant de plus en plus chaud, elle ouvre la capote alors que nous démarrons.
Dommage qu’aucun camarade ne me voie car nul doute que je serais envié et pour la voiture et surtout pour la femme auprès de qui je suis assis.
J’enlève mon bachi pour éviter qu’il ne s’envole, car elle a l’accélérateur facile.
Rapidement nous sommes au port de pêche et je lui demande de se garer vers la crier qui commence à grouiller, les premiers chalutiers venant d’arriver.
Au loin je vois le chalutier de mon ami Roger.
• Tu vas voir Véronique, Roger, a été le partenaire avec ses quatre marins de ma soirée d’intronisation dans la marine avec mon quartier-maître chef lorsque je suis arrivé à Lorient des arpettes.
• Je vais te prouver que je suis gourde, cela fait deux fois que tu emploies le mot « arpette, » au bar et ici, éclaire-moi.
Je la prends par la taille, ce qui me permet notre premier rapprochement.
• Je t’adore, tu es loin d’être gourde, j’ai simplement employé le raccourci dont nous marins, nous nous servons pour dire Apprentis Mécaniciens de la flotte. Nous étions basés à l’école située sur la presqu’île de Saint-Mandrier-sur-mer et qui ferme la rade de Toulon.
J’y ai été un élève pendant deux ans.
• C’est bien, avec toi je voyage en restant au port.
En disant cela, Véronique plaque un gros baisé sur ma joue me faisant rougir.
• Si je te disais, je reviens de six mois autour du monde.
Véronique est enchantée de voir ces bateaux qui sitôt qu’ils ont touché le quai se dépêcher de décharger leur cargaison. Ils reprennent de la glace et des casiers avant de repartir avant la marée descendante pour sortir des passes sans risque de casser leur bateau sur les rochers peu profonds dans le secteur.
Ils effectuent ainsi deux à trois rotations avant de goûter quelques marées de repos.
• Christian, heureux de te voir, je vois que tu as amené une amie, elle veut du poisson.
Je me retourne vers Véronique qui rigole.
• J’adore le poison, mais je n’ai rien ici pour le faire cuire.
Le temps que je rentre à Paris, il sera fichu et ma voiture empestera le poisson pourri.
• Christian, je sais que le port de pêche à cette heure t’est inconnu, car tu as l’habitude avec mes garçons d’aller chez Janine. Conduit la demoiselle chez Louise deux restaurants plus loin, elle vous cuira le poisson que vous allez choisir et que je vous offre.
Dit lui que tu viens de la part de Roger, c’est ma cousine, elle est mariée avec ma petite sœur Gaëlle.
Je rigole, car il vient de me dire que sa sœur et sa cousine sont des lesbiennes et qu’elles vivent ensemble.
Ouvert le frère, il semble accepter naturellement que sa sœur soit une brouteuse de chatte avec son amie.
J’ai du mal à voir où ma journée va me conduire entre les mousses homos dans le tonneau, la sœur de Roger lesbienne et Véronique qui se colle de plus en plus à moi m’apportant naturellement une érection.
• Vous voulez visiter le chalutier, Mademoiselle.
• Tu repars trop rapidement, quand rentres-tu après la pause de tes hommes ?
• Dans deux jours pour la marée de 21 heures trente.
• Cela te dirait de venir visiter Véronique.
• Je serai enchanté et je mettrai une tenue plus adaptée pour monter à bord.
• Tu sais que c’est un honneur, une femme à bord, les anciens pensaient que c’était un signe de malheur comme d’employer le mot corde, eux disent un bout.
• Que voulez-vous comme poisson, tenez, un joli carrelet, bien grillé comme sait les faire Louise, vous allez, vous régalez ?
• Ce machin tout vilain c’est un carrelet avec ses deux yeux du même côté, à Paris chez le poissonnier, ils sont en filet sans les yeux.
Il n’est vraiment pas beau.
• Oui, mais c’est un des poissons les meilleurs.
• Merci du cadeau, dans deux jours, je vous ferai, moi aussi un cadeau à vous et à vos gars.
Son équipe a fini le travail, l’équipe de la criée est venue chercher le poisson et nous les regardons détacher le bateau puis repartir.
Véronique s’étonne de la rudesse du métier et me suit jusqu’à la voiture.
Nous reprenons le chemin de la Rue principale où se trouvent les bars et autres restaurants.
Je montre au passage celui de Janine que je fréquente lors de mes sorties nocturnes.
Le restaurant où nous a dit Roger de nous rendre vient d’être repeint très récemment, car l’air marin aide à la dégradation rapide.
C’est dans une petite rue sur le côté du restaurant où Véronique gare la voiture préférant qu’elle soit à l’ombre.
Aussitôt le moteur arrêté la belle dame me prend par le cou et nos bouches se trouvent avec envies.
Sa main sans hésiter enlève les quatre boutons et sa main glisse dans le slip kangourou fourni par la marine bien trop grand, mais qui pour une fois permet à mon sexe de se développer sans manquer de place.
Quittant ma bouche, cette dernière vient engamer ma verge tendue à m’en faire mal et me pompe en parfaite experte qu’elle semble être.
Vu sa position je glisse, moi aussi une main dans son corsage et dans son bonnet de soutiens-gorge, j’attrape un sein d’un joli volume et surtout très ferme.
J’attaquerais bien le dessous de sa jupe et la position limitant mes mouvements et le sperme qui monte m’apportant une grande jouissance me donne le temps d’essayer de conquérir la chatte de ma belle.
C’est naturellement que mes giclées viennent dans cette grotte bien chaude sans qu’elle en perde une goutte.
Mon sexe bien lavé, elle se redresse et me remplit la bouche de mes propres sécrétions.
• Tu vois mon chéri, j’évite d’être gourde sur toutes choses, je sais pomper et maintenant tu sauras le goût du sperme pas si désagréable que cela à il est vrai.
Elle a raison, elle sait pomper me j’évite de parler de sodomie que soi-disant je pratiquais dans mon tonneau, elle serait capable de me montrer qu’elle aime aussi se faire enculer et sa fellation m’a mis en appétit.
De plus le carrelet avec ses deux gros yeux risque de devenir immangeable.
Je sors, de la voiture la contourne et vient ouvrir la portière comme ma maman m’a appris à faire avec une femme.
Dès qu’elle est debout, elle me reprend la bouche et c’est tout juste si ma bite déjà bandée qui se colle à sa jupe me la fait prendre sur le capot.
Une jeune femme d’une trentaine d’années s’avance vers nous.
• Bonjour, vous avez réservé.
• Non, mais nous venons de la part de Roger, il nous a donné un carrelet et il a dit que Louise votre amie pourrait nous le préparer.
• Alors si ce grand couillon vous envoie vers nous, tenez installé vous là, je m’arrangerais avec les autres clients.
Gaëlle retourne vers la cuisine avec le poisson que son frère a empaqueté avec du papier-journal.
• Que vas-tu leur apporter comme cadeaux ?
• Qu’est-ce que je vais pouvoir leur amener, toi qui les fréquentes dit moi ce que les marins aiment, une bouteille de bon vin ?
• Non, une bouteille de chouchen, ils en raffolent.
Avant que j’aie le temps de lui expliquer ce qu’est le chouchen, Gaëlle revient vers nous pour prendre le reste de la commande.
• Vous avez du chouchen.
• Quelle restaurant breton digne de ce nom oublie d’avoir cette boisson typique de notre région en réserve.
• Alors deux verres.
• La dame connaît.
• Merci pour la dame, pour votre frère, j’étais mademoiselle à 42 ans.
• Il a toujours su prendre la mesure des choses avec les femmes, c’est pour cela qu’à 38 ans, il est toujours célibataire.
Il faut dire qu’avec son métier de moins en moins de filles d’ici acceptent de ce marié avec des pécheurs et se retrouver à moins de quarante ans avec une chier de mômes qu’elles doivent élever seules étant veuves.
Promenez-vous dans les villages côtiers ?
Vous les remarquerez, car elles se regroupent entre elles et sont toutes habillées de noir.
J’ignore s’il vous a dit que je vis avec ma copine Louise. Hormis le fait que j’ai toujours préféré les filles aux garçons, lorsque Louise est venue dans mes bras, nous avons senti que notre amour était plus fort que tout.
Souvent nous parlons des veuves et nous ferons tout pour éviter de les rejoindre.
• Je vais vous chercher l’apéritif.
Elle revient avec les deux verres et en amuse-gueule des petites crêpes bretonnes fourrées avec des compotes de légumes.
Véronique goûte et trouve cela très bon. Le chouchen est très liquoreux jus de pomme mélangé avec du miel le tout fermenté.
Elle finit son verre et souhaite en boire un second, connaissant le risque, je lui conseille d’en rester là.
Elle se dit majeure, évite mon conseil et se fait resservir.
Le repas se passe dans une certaine euphorie Véronique commençant à ressentir l’effet des deux verres qu’elle a bus.
Le poisson est délicieux et les légumes que Louise a préparés étaient justes cuits al dente.
Là encore, Véronique commande une bouteille de muscadet pour boire avec son poisson.
Elle évite de montrer qu’elle est saoule après en avoir bu trois verres, mais elle commence à avoir des idées discordantes.
• Christian, j’ai oublié de te dire que je t’aime, tu es la lumière de ma vie.
• Merci Véronique, je t’aime aussi, tu es une femme extraordinaire.
Le repas se termine, je la vois signer un chèque que je remplis après trois essais infructueux.
Louise vient nous rejoindre avec Gaëlle.
• Le chouchen, c’est une liqueur, je voudrais un chouchen.
• La bouteille est vide madame.
C’est Louise qui est du pays et qui connaît bien les risques du breuvage qui vient de refuser de servir Véronique.
• Mesdames, je crois que je vais aller lui faire prendre l’air, je vous promets de revenir avant la fin de ses vacances.
• Je crois que c’est préférable. Aller la coucher, ce serait mieux.
Où aller la coucher ?
À quel hôtel elle est descendue.
Nous l’installons dans la voiture et bien sûr je prends le volant.
Quelle régale de conduire un tel engin, tenue de route accélération tout est parfait, je longe la côte et le vent dans ses cheveux réveille Véronique.
• Cela tourne, Christian, je crois que je vais être malade…
Comme elle s’intéressait à notre conversation, je lui ai fait avaler l’histoire classique chez nous du mousse et du tonneau.
C’est très fièrement que je traverse Lorient à ses côtés pour la guider jusqu’au port de pêche dans sa Mercédès pour voir le retour des chalutiers.
• Tu sais, j’ai beaucoup aimé lorsque tu m’as pris la main au café tout à l’heure, il y avait des années qu’un homme n’a eu un geste aussi sincère que toi.
J’ai divorcé depuis un an et c’est mon médecin qui m’a conseillé de venir prendre une grande goulée d’air iodé.
La chance a voulu que j’entre dans ce café pour demander ma route. Si j’avais su que j’allais rencontrer un jeune homme aussi sympathique que toi et qui a la gentillesse de me conduire vers le port de pêche pour assister au retour des chalutiers à marée haute. Elle va avoir lieu d’ici trois quarts d’heure et la dame du syndicat d’initiative m’a conseillé d’aller la voir.
Le soleil étant de plus en plus chaud, elle ouvre la capote alors que nous démarrons.
Dommage qu’aucun camarade ne me voie car nul doute que je serais envié et pour la voiture et surtout pour la femme auprès de qui je suis assis.
J’enlève mon bachi pour éviter qu’il ne s’envole, car elle a l’accélérateur facile.
Rapidement nous sommes au port de pêche et je lui demande de se garer vers la crier qui commence à grouiller, les premiers chalutiers venant d’arriver.
Au loin je vois le chalutier de mon ami Roger.
• Tu vas voir Véronique, Roger, a été le partenaire avec ses quatre marins de ma soirée d’intronisation dans la marine avec mon quartier-maître chef lorsque je suis arrivé à Lorient des arpettes.
• Je vais te prouver que je suis gourde, cela fait deux fois que tu emploies le mot « arpette, » au bar et ici, éclaire-moi.
Je la prends par la taille, ce qui me permet notre premier rapprochement.
• Je t’adore, tu es loin d’être gourde, j’ai simplement employé le raccourci dont nous marins, nous nous servons pour dire Apprentis Mécaniciens de la flotte. Nous étions basés à l’école située sur la presqu’île de Saint-Mandrier-sur-mer et qui ferme la rade de Toulon.
J’y ai été un élève pendant deux ans.
• C’est bien, avec toi je voyage en restant au port.
En disant cela, Véronique plaque un gros baisé sur ma joue me faisant rougir.
• Si je te disais, je reviens de six mois autour du monde.
Véronique est enchantée de voir ces bateaux qui sitôt qu’ils ont touché le quai se dépêcher de décharger leur cargaison. Ils reprennent de la glace et des casiers avant de repartir avant la marée descendante pour sortir des passes sans risque de casser leur bateau sur les rochers peu profonds dans le secteur.
Ils effectuent ainsi deux à trois rotations avant de goûter quelques marées de repos.
• Christian, heureux de te voir, je vois que tu as amené une amie, elle veut du poisson.
Je me retourne vers Véronique qui rigole.
• J’adore le poison, mais je n’ai rien ici pour le faire cuire.
Le temps que je rentre à Paris, il sera fichu et ma voiture empestera le poisson pourri.
• Christian, je sais que le port de pêche à cette heure t’est inconnu, car tu as l’habitude avec mes garçons d’aller chez Janine. Conduit la demoiselle chez Louise deux restaurants plus loin, elle vous cuira le poisson que vous allez choisir et que je vous offre.
Dit lui que tu viens de la part de Roger, c’est ma cousine, elle est mariée avec ma petite sœur Gaëlle.
Je rigole, car il vient de me dire que sa sœur et sa cousine sont des lesbiennes et qu’elles vivent ensemble.
Ouvert le frère, il semble accepter naturellement que sa sœur soit une brouteuse de chatte avec son amie.
J’ai du mal à voir où ma journée va me conduire entre les mousses homos dans le tonneau, la sœur de Roger lesbienne et Véronique qui se colle de plus en plus à moi m’apportant naturellement une érection.
• Vous voulez visiter le chalutier, Mademoiselle.
• Tu repars trop rapidement, quand rentres-tu après la pause de tes hommes ?
• Dans deux jours pour la marée de 21 heures trente.
• Cela te dirait de venir visiter Véronique.
• Je serai enchanté et je mettrai une tenue plus adaptée pour monter à bord.
• Tu sais que c’est un honneur, une femme à bord, les anciens pensaient que c’était un signe de malheur comme d’employer le mot corde, eux disent un bout.
• Que voulez-vous comme poisson, tenez, un joli carrelet, bien grillé comme sait les faire Louise, vous allez, vous régalez ?
• Ce machin tout vilain c’est un carrelet avec ses deux yeux du même côté, à Paris chez le poissonnier, ils sont en filet sans les yeux.
Il n’est vraiment pas beau.
• Oui, mais c’est un des poissons les meilleurs.
• Merci du cadeau, dans deux jours, je vous ferai, moi aussi un cadeau à vous et à vos gars.
Son équipe a fini le travail, l’équipe de la criée est venue chercher le poisson et nous les regardons détacher le bateau puis repartir.
Véronique s’étonne de la rudesse du métier et me suit jusqu’à la voiture.
Nous reprenons le chemin de la Rue principale où se trouvent les bars et autres restaurants.
Je montre au passage celui de Janine que je fréquente lors de mes sorties nocturnes.
Le restaurant où nous a dit Roger de nous rendre vient d’être repeint très récemment, car l’air marin aide à la dégradation rapide.
C’est dans une petite rue sur le côté du restaurant où Véronique gare la voiture préférant qu’elle soit à l’ombre.
Aussitôt le moteur arrêté la belle dame me prend par le cou et nos bouches se trouvent avec envies.
Sa main sans hésiter enlève les quatre boutons et sa main glisse dans le slip kangourou fourni par la marine bien trop grand, mais qui pour une fois permet à mon sexe de se développer sans manquer de place.
Quittant ma bouche, cette dernière vient engamer ma verge tendue à m’en faire mal et me pompe en parfaite experte qu’elle semble être.
Vu sa position je glisse, moi aussi une main dans son corsage et dans son bonnet de soutiens-gorge, j’attrape un sein d’un joli volume et surtout très ferme.
J’attaquerais bien le dessous de sa jupe et la position limitant mes mouvements et le sperme qui monte m’apportant une grande jouissance me donne le temps d’essayer de conquérir la chatte de ma belle.
C’est naturellement que mes giclées viennent dans cette grotte bien chaude sans qu’elle en perde une goutte.
Mon sexe bien lavé, elle se redresse et me remplit la bouche de mes propres sécrétions.
• Tu vois mon chéri, j’évite d’être gourde sur toutes choses, je sais pomper et maintenant tu sauras le goût du sperme pas si désagréable que cela à il est vrai.
Elle a raison, elle sait pomper me j’évite de parler de sodomie que soi-disant je pratiquais dans mon tonneau, elle serait capable de me montrer qu’elle aime aussi se faire enculer et sa fellation m’a mis en appétit.
De plus le carrelet avec ses deux gros yeux risque de devenir immangeable.
Je sors, de la voiture la contourne et vient ouvrir la portière comme ma maman m’a appris à faire avec une femme.
Dès qu’elle est debout, elle me reprend la bouche et c’est tout juste si ma bite déjà bandée qui se colle à sa jupe me la fait prendre sur le capot.
Une jeune femme d’une trentaine d’années s’avance vers nous.
• Bonjour, vous avez réservé.
• Non, mais nous venons de la part de Roger, il nous a donné un carrelet et il a dit que Louise votre amie pourrait nous le préparer.
• Alors si ce grand couillon vous envoie vers nous, tenez installé vous là, je m’arrangerais avec les autres clients.
Gaëlle retourne vers la cuisine avec le poisson que son frère a empaqueté avec du papier-journal.
• Que vas-tu leur apporter comme cadeaux ?
• Qu’est-ce que je vais pouvoir leur amener, toi qui les fréquentes dit moi ce que les marins aiment, une bouteille de bon vin ?
• Non, une bouteille de chouchen, ils en raffolent.
Avant que j’aie le temps de lui expliquer ce qu’est le chouchen, Gaëlle revient vers nous pour prendre le reste de la commande.
• Vous avez du chouchen.
• Quelle restaurant breton digne de ce nom oublie d’avoir cette boisson typique de notre région en réserve.
• Alors deux verres.
• La dame connaît.
• Merci pour la dame, pour votre frère, j’étais mademoiselle à 42 ans.
• Il a toujours su prendre la mesure des choses avec les femmes, c’est pour cela qu’à 38 ans, il est toujours célibataire.
Il faut dire qu’avec son métier de moins en moins de filles d’ici acceptent de ce marié avec des pécheurs et se retrouver à moins de quarante ans avec une chier de mômes qu’elles doivent élever seules étant veuves.
Promenez-vous dans les villages côtiers ?
Vous les remarquerez, car elles se regroupent entre elles et sont toutes habillées de noir.
J’ignore s’il vous a dit que je vis avec ma copine Louise. Hormis le fait que j’ai toujours préféré les filles aux garçons, lorsque Louise est venue dans mes bras, nous avons senti que notre amour était plus fort que tout.
Souvent nous parlons des veuves et nous ferons tout pour éviter de les rejoindre.
• Je vais vous chercher l’apéritif.
Elle revient avec les deux verres et en amuse-gueule des petites crêpes bretonnes fourrées avec des compotes de légumes.
Véronique goûte et trouve cela très bon. Le chouchen est très liquoreux jus de pomme mélangé avec du miel le tout fermenté.
Elle finit son verre et souhaite en boire un second, connaissant le risque, je lui conseille d’en rester là.
Elle se dit majeure, évite mon conseil et se fait resservir.
Le repas se passe dans une certaine euphorie Véronique commençant à ressentir l’effet des deux verres qu’elle a bus.
Le poisson est délicieux et les légumes que Louise a préparés étaient justes cuits al dente.
Là encore, Véronique commande une bouteille de muscadet pour boire avec son poisson.
Elle évite de montrer qu’elle est saoule après en avoir bu trois verres, mais elle commence à avoir des idées discordantes.
• Christian, j’ai oublié de te dire que je t’aime, tu es la lumière de ma vie.
• Merci Véronique, je t’aime aussi, tu es une femme extraordinaire.
Le repas se termine, je la vois signer un chèque que je remplis après trois essais infructueux.
Louise vient nous rejoindre avec Gaëlle.
• Le chouchen, c’est une liqueur, je voudrais un chouchen.
• La bouteille est vide madame.
C’est Louise qui est du pays et qui connaît bien les risques du breuvage qui vient de refuser de servir Véronique.
• Mesdames, je crois que je vais aller lui faire prendre l’air, je vous promets de revenir avant la fin de ses vacances.
• Je crois que c’est préférable. Aller la coucher, ce serait mieux.
Où aller la coucher ?
À quel hôtel elle est descendue.
Nous l’installons dans la voiture et bien sûr je prends le volant.
Quelle régale de conduire un tel engin, tenue de route accélération tout est parfait, je longe la côte et le vent dans ses cheveux réveille Véronique.
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