LE MARIN. La Parisienne en vacances. (8)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-02-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE MARIN. La Parisienne en vacances. (8)
C’est au café près de l’église de Languidic que Véronique a arrêté la Mercedes et que nous nous attablons pour boire une bière bien fraîche à l’ombre, car le beau temps légendaire en Bretagne est là.
• Une bibine, c’est une bière dans la marine, pour éviter de passer pour une gourde lorsque tu as employé ce mot, je me suis bien gardée de parler.
• Tu peux nous poser toutes les questions que tu veux, je sais, nous avons notre jargon dans la marine, un petit exemple, si je te dis, il fait beau aujourd’hui, mon cœur en un mot comment répondrais-tu ?
• Laisse-moi réfléchir, il fait beau en un mot, soleil !
Je vais finir par croire qu’elle est bien un peu conne, pardon gourde.
• Je te fais marcher, il fait très beau aujourd’hui, ciel bleu.
Non, pas la fessée devant tout le monde même après toutes les dépravations que tu m’as fait subir, je suis sûr d’apprécier.
Je répondrai oui.
• Bonne réponse, mais chez nous, lorsque nous devons répondre oui, nous employons affirmatif mot plus long difficile à confondre lorsque nous recevons un ordre dans les micros de l’officier de quart à la passerelle.
Non, c’est négatif.
Le cafetier sort à ce moment et nous demande si tout va bien.
• Affirmatif.
• Je suis contente madame, voulez-vous autre chose ?
• Négatif.
Le tout avec mon bachi sur la tête et en saluant de la main gauche.
• J’ai faim, que nous proposez-vous ?
• Il est quatorze heures, mais j’ai des sandwichs jambon beurre.
• Quatre, après ma soirée, il faut que je reprenne des forces pour rejoindre la sœur de Roger et avec quatre bibines.
Bien, continu ton histoire.
• Où en étais-je, à oui la queue noire baignant dans mon sperme et mon copain amoureux, avant de vous narrer ce qui s’est passé après, Gille convole en justes noces avec Armele dans un mois et je suis son témoin pourtant, il savait ce qu’il fallait éviter dans ces bals d’être piégé et se retrouver la bague au doigt.
Je me trouvais piégé, pas de chatte à disposition et un copain qui roucoulait.
Plusieurs fois dans la soirée j’ai senti que cela sentait le vinaigre, car lui qui était toujours très prompt à aller derrière l’église offrais à sa beauté des jus de fruits en se regardant tous les deux d’un regard qui en disait long.
Alors, je me suis souvenu que j’avais dans ma poche de quoi m’amuser à peu de frais.
Dans ces bals, il y a toujours des jeunes filles dites bien sous tous rapports et qui passent leur soirée à regarder les autres danser tout en refusant toutes les sollicitations des garçons.
Je me suis avancé vers l’une d’elles qui regroupait tous les problèmes de ces filles.
Moches et grosses avec un regard de chien battu amplifié par un gros-grain de beauté sous un œil.
C’est ce qui m’a fait craquer.
Je me suis approché et je me suis assis à ses côtés.
Une série de madisons commençait et grace à l’entrain qu’André savait mettre dans sa salle, je l’invitais.
• Non, merci.
• Telle fut sa réponse.
Je lui ai dit qu’elle avait tort, le madison est facile à danser, il suffit de regarder les autres et de les suivre.
Non merci une deuxième fois.
J’ai sorti de ma poche la page de journal lui proposant de le lire pour passer le temps.
• Et elle l’a lu, je te l’aurais mis en pleine figure.
• Oui, mais toi tu es une fille qui dans ces bals m’aurait provoqué sans attendre mon invitation.
• Je te vois venir, j’aurais été comme la pétasse qui vient de sortir avec sa bite noire.
• Je vois que tu suis bien et dès que nous le pourrons avec Didier, nous te ferons voir que les nôtres sont bien blanches.
• Ma grosse, excusée mais comme la première leur nom et prénom m’importaient peu, seule leur chatte était mon centre d’intérêt.
Comme je l’ai dit tout à l’heure, trois danses rapides et trois slows. Verchuren attaquait un morceau seul sur scène.
Rain And Tears des Aphrodite’s Child, je l’ai pris par la main et elle m’a suivi laissant le journal sur la chaise.
Chaque fois que j’essayais de la frotter, elle se reculait refusant mon contact pourtant pour séduire les filles leur montrer physiquement l’envie que vous avez d’elle aide dans la séduction.
• Si je comprends ce que tu nous as dit devant le champ, cette nuit a été ta nuit de folie, comment-y es-tu pris pour un rapprochement ?
• Là encore grâce à Verchuren qui a attaqué un deuxième slow « salue les amoureux » de Joe Dassin et je crois avec michel Sardou en trois mais là le rapprochement était réalisé et la petite grosse emballée.
• Elle t’a suivi dehors.
• Non, je me suis fendu pour la première fois d’une bière qu’elle semblait beaucoup aimée, mais qui a fait un effet identique pour elle que le chouchen pour toi.
• Évite de me rappeler mes mauvais souvenirs bien qu’ils aient été suivis de moments divins mon cœur.
• C’est sans problème qu’elle m’a suivi sur le champ des plaisirs.
Elle s’est couchée comme la première à un détail près, l’herbe était très aplatie à la suite de ma première visite.
J’ai réussi en continuant à l’embrasser à lui enlever sa petite culotte petit bateau que j’ai eu du mal à mettre dans ma poche de pantalon surtout qu’il y en avait déjà une même si elle était moins imposante.
• Tu es un fétichiste, m’en as-tu déjà piqué une ?
• C’est possible, je la ferais sentir à Didier lorsque nous serons en mer cela nous rappellera la belle salope que nous avons baisée pendant toutes ses vacances.
• Voyant qu’elle était inexperte, je me suis couché à son côté et je lui ai appris son métier de femme à savoir sucer un homme.
• Vous êtes bien tous de sales machos.
•Je bandais déjà simplement à entendre le couple non loin de nous et qui par les gémissements de la fille ressemblait bien à la jeune fille que j’avais baisée dans ses deux trous.
J’en ai eu la preuve lorsque avec ses intonations noires, j’ai entendu le garçon lui dire qu’elle était bonne et surtout qu’il appréciait qu’elle mouille comme elle le faisait.
Quand il a dit qu’il se suçait les doigts appréciant le goût de ses sécrétions si j’avais été PD, je serais allé lui dire me sucer qu’il retrouverait la saveur naturelle de mon sperme.
Mais j’avais accepté une mission et je m’y suis attelé.
• Je parie qu’elle était pucelle.
• Oui, pendant qu’elle me suçait, je lui ai mis deux doigts qui ont fait quelques centimètres avant d’être bloqués.
La nénette semblant consentante, je me suis couchée sur elle et je l’ai dépucelé.
Je dois reconnaître que j’ai envoyé la purée sans qu’elle jouisse.
Après une troisième éjaculation depuis le début de soirée, j’ai eu la faiblesse, de vouloir lui remplir son fessier rebondi.
Je lui ai appris à me masturber et je l’ai fait mettre en levrette.
C’est à ce moment que l’on a marché sur mon pied et la fille qui l’a faite, était ma salope de voisine qui venait une nouvelle fois de se faire emplir la chatte.
La mienne, bonne fille m’ayant cédé son bien le plus précieux surtout au moment de confesse où elle va être obligée de dire à son curé dans le confessionnal qui doit être au-dessus de nous dans l’église qui nous surplombe que le diable est venu là tenter et qu’elle lui a cédé.
Moi qui suis un mécréant, je suis sûr que le curé va lui demander des renseignements bien croustillants et qu’il va se masturber de l’autre côté de la grille que j’ai vue dans un confessionnal, la seule fois où je suis rentré à Notre-Dame de Paris alors que j’étais venu voir le point 0 des kilométrages des routes de France.
Je voudrais être là quand elle lui dira que c’est dans le champ qui jouxte son église que le diable lui a fait l’affront de frapper.
Une fois placé, la nuit étant très noir c’est avec mes doigts que j’ai tâtés avant d’enculer la jeune femme qui a eu un hoquet lorsqu’elle a compris qu’en quelques minutes elle venait de perdre tous ces pucelages.
Une fois que je l’ai bien senti emmancher au bout du sexe, j’ai placé ma main sous son ventre et en écartant ses grandes lèvres assez proéminent j’ai trouvé un clito qui chère amie, tu aurais aimé prendre dans ta bouche pour le léchouiller.
Quelques claques bien vigoureuses pour aider le sang à circuler et pour la quatrième fois, je lui ai arrosé la lunette en même temps que son corps lui donnait son premier orgasme.
Si sa chatte était restée sans plaisir son clito et son cul lui a amené une jouissance que je l’espère, pour elle a été la première d’une longue série.
C’est à ce moment que la lune a déchiré les nuages qui la cachaient et que j’ai encore dans l’œil sa lune énorme qui se tendait vers moi dans une blancheur me donnant presque envie d’y retourner.
J’ai rentré ma bite, refermé mon pont et je suis retourné à la voiture qui avait disparu.
J’ai eu peur de retourner dans la salle où André Verchuren et ses musiciens se démenaient dans leur morceau final juste avant 1 heure du matin et lorsque la dernière note est sortie, je suis allé vers les cars qui gratuitement nous conduisent des grandes villes vers ces bals populaires sans risque avec l’alcool.
C’est vers 1 h 30 que j’ai rejoint Agnès qui finissait de passer sa serpillière.
Nous sommes montés dans sa chambre et après avoir pris un bain vers 2 heures, nous nous sommes couchés.
Comme je vous l’ai dit, avec Agnès suivant ses envies, nous avions de temps en temps des moments où nos sexes se retrouvaient, c’est vers le bout de la nuit certainement cinq heures que sa jambe est venue gratter à ma porte et qu’elle a pivoté pour me sucer.
J’ai failli lui dire que j’étais naze, mais le postérieur blanc de la petite grosse m’est venu à l’esprit et j’ai assez bandé pour la prendre et la faire jouir.
Véronique, tu t’es levé à midi après tes exploits nocturnes l’autre soir, j’ai fait le même tour du cadran et c’est le lendemain à sept heures que le lundi, je suis rentré à bord.
Un deux avec l’une, trois-quatre avec la deuxième cinq avec Agnès, le tout avec trois filles sans pour autant avoir partousé.
Ce soir-là je dois remercier André Verchuren qui m’a permis l’exploit sexuel de ma vie que je suis sûr à avoir du mal à battre.
Le cafetier sort de sa boutique et viens vers nous.
• Monsieur, ce que je vais faire, est opposé à l’éthique de mon métier, mais je vous ai entendus parler d’André Verchuren.
Pour notre famille, cette soirée a été un lourd moment à vivre avec notre fille.
Le cafetier veut s’épancher, je l’aide à parler.
• Que lui est-il arrivé ?
• Elle nous a ramené l’infamie à la maison pour la première fois que nous acceptions qu’elle sorte avec le fils du boulanger.
• Comment elle est ?
• C’est une jolie fille, mais avec un léger embonpoint.
Vous l’avez peut-être vue, elle a un grain de beauté sous l’œil droit.
Un frisson passe dans mon dos, la jeune grosse que j’ai déniaisée avait un gros-grain de beauté sous l’œil droit.
Avec une petite voix, je l’interroge.
• Je l’ai vue, elle était assise sur une chaise et elle était sage.
• Oui, Adrien l’a délaissé pour aller conter fleurette à Virginie la copine d’Aline, ma fille, mais avant de rentrer, Virginie l’ayant délaissé il a fait monter ma petite dans sa voiture et il l’a dépucelé…
• Une bibine, c’est une bière dans la marine, pour éviter de passer pour une gourde lorsque tu as employé ce mot, je me suis bien gardée de parler.
• Tu peux nous poser toutes les questions que tu veux, je sais, nous avons notre jargon dans la marine, un petit exemple, si je te dis, il fait beau aujourd’hui, mon cœur en un mot comment répondrais-tu ?
• Laisse-moi réfléchir, il fait beau en un mot, soleil !
Je vais finir par croire qu’elle est bien un peu conne, pardon gourde.
• Je te fais marcher, il fait très beau aujourd’hui, ciel bleu.
Non, pas la fessée devant tout le monde même après toutes les dépravations que tu m’as fait subir, je suis sûr d’apprécier.
Je répondrai oui.
• Bonne réponse, mais chez nous, lorsque nous devons répondre oui, nous employons affirmatif mot plus long difficile à confondre lorsque nous recevons un ordre dans les micros de l’officier de quart à la passerelle.
Non, c’est négatif.
Le cafetier sort à ce moment et nous demande si tout va bien.
• Affirmatif.
• Je suis contente madame, voulez-vous autre chose ?
• Négatif.
Le tout avec mon bachi sur la tête et en saluant de la main gauche.
• J’ai faim, que nous proposez-vous ?
• Il est quatorze heures, mais j’ai des sandwichs jambon beurre.
• Quatre, après ma soirée, il faut que je reprenne des forces pour rejoindre la sœur de Roger et avec quatre bibines.
Bien, continu ton histoire.
• Où en étais-je, à oui la queue noire baignant dans mon sperme et mon copain amoureux, avant de vous narrer ce qui s’est passé après, Gille convole en justes noces avec Armele dans un mois et je suis son témoin pourtant, il savait ce qu’il fallait éviter dans ces bals d’être piégé et se retrouver la bague au doigt.
Je me trouvais piégé, pas de chatte à disposition et un copain qui roucoulait.
Plusieurs fois dans la soirée j’ai senti que cela sentait le vinaigre, car lui qui était toujours très prompt à aller derrière l’église offrais à sa beauté des jus de fruits en se regardant tous les deux d’un regard qui en disait long.
Alors, je me suis souvenu que j’avais dans ma poche de quoi m’amuser à peu de frais.
Dans ces bals, il y a toujours des jeunes filles dites bien sous tous rapports et qui passent leur soirée à regarder les autres danser tout en refusant toutes les sollicitations des garçons.
Je me suis avancé vers l’une d’elles qui regroupait tous les problèmes de ces filles.
Moches et grosses avec un regard de chien battu amplifié par un gros-grain de beauté sous un œil.
C’est ce qui m’a fait craquer.
Je me suis approché et je me suis assis à ses côtés.
Une série de madisons commençait et grace à l’entrain qu’André savait mettre dans sa salle, je l’invitais.
• Non, merci.
• Telle fut sa réponse.
Je lui ai dit qu’elle avait tort, le madison est facile à danser, il suffit de regarder les autres et de les suivre.
Non merci une deuxième fois.
J’ai sorti de ma poche la page de journal lui proposant de le lire pour passer le temps.
• Et elle l’a lu, je te l’aurais mis en pleine figure.
• Oui, mais toi tu es une fille qui dans ces bals m’aurait provoqué sans attendre mon invitation.
• Je te vois venir, j’aurais été comme la pétasse qui vient de sortir avec sa bite noire.
• Je vois que tu suis bien et dès que nous le pourrons avec Didier, nous te ferons voir que les nôtres sont bien blanches.
• Ma grosse, excusée mais comme la première leur nom et prénom m’importaient peu, seule leur chatte était mon centre d’intérêt.
Comme je l’ai dit tout à l’heure, trois danses rapides et trois slows. Verchuren attaquait un morceau seul sur scène.
Rain And Tears des Aphrodite’s Child, je l’ai pris par la main et elle m’a suivi laissant le journal sur la chaise.
Chaque fois que j’essayais de la frotter, elle se reculait refusant mon contact pourtant pour séduire les filles leur montrer physiquement l’envie que vous avez d’elle aide dans la séduction.
• Si je comprends ce que tu nous as dit devant le champ, cette nuit a été ta nuit de folie, comment-y es-tu pris pour un rapprochement ?
• Là encore grâce à Verchuren qui a attaqué un deuxième slow « salue les amoureux » de Joe Dassin et je crois avec michel Sardou en trois mais là le rapprochement était réalisé et la petite grosse emballée.
• Elle t’a suivi dehors.
• Non, je me suis fendu pour la première fois d’une bière qu’elle semblait beaucoup aimée, mais qui a fait un effet identique pour elle que le chouchen pour toi.
• Évite de me rappeler mes mauvais souvenirs bien qu’ils aient été suivis de moments divins mon cœur.
• C’est sans problème qu’elle m’a suivi sur le champ des plaisirs.
Elle s’est couchée comme la première à un détail près, l’herbe était très aplatie à la suite de ma première visite.
J’ai réussi en continuant à l’embrasser à lui enlever sa petite culotte petit bateau que j’ai eu du mal à mettre dans ma poche de pantalon surtout qu’il y en avait déjà une même si elle était moins imposante.
• Tu es un fétichiste, m’en as-tu déjà piqué une ?
• C’est possible, je la ferais sentir à Didier lorsque nous serons en mer cela nous rappellera la belle salope que nous avons baisée pendant toutes ses vacances.
• Voyant qu’elle était inexperte, je me suis couché à son côté et je lui ai appris son métier de femme à savoir sucer un homme.
• Vous êtes bien tous de sales machos.
•Je bandais déjà simplement à entendre le couple non loin de nous et qui par les gémissements de la fille ressemblait bien à la jeune fille que j’avais baisée dans ses deux trous.
J’en ai eu la preuve lorsque avec ses intonations noires, j’ai entendu le garçon lui dire qu’elle était bonne et surtout qu’il appréciait qu’elle mouille comme elle le faisait.
Quand il a dit qu’il se suçait les doigts appréciant le goût de ses sécrétions si j’avais été PD, je serais allé lui dire me sucer qu’il retrouverait la saveur naturelle de mon sperme.
Mais j’avais accepté une mission et je m’y suis attelé.
• Je parie qu’elle était pucelle.
• Oui, pendant qu’elle me suçait, je lui ai mis deux doigts qui ont fait quelques centimètres avant d’être bloqués.
La nénette semblant consentante, je me suis couchée sur elle et je l’ai dépucelé.
Je dois reconnaître que j’ai envoyé la purée sans qu’elle jouisse.
Après une troisième éjaculation depuis le début de soirée, j’ai eu la faiblesse, de vouloir lui remplir son fessier rebondi.
Je lui ai appris à me masturber et je l’ai fait mettre en levrette.
C’est à ce moment que l’on a marché sur mon pied et la fille qui l’a faite, était ma salope de voisine qui venait une nouvelle fois de se faire emplir la chatte.
La mienne, bonne fille m’ayant cédé son bien le plus précieux surtout au moment de confesse où elle va être obligée de dire à son curé dans le confessionnal qui doit être au-dessus de nous dans l’église qui nous surplombe que le diable est venu là tenter et qu’elle lui a cédé.
Moi qui suis un mécréant, je suis sûr que le curé va lui demander des renseignements bien croustillants et qu’il va se masturber de l’autre côté de la grille que j’ai vue dans un confessionnal, la seule fois où je suis rentré à Notre-Dame de Paris alors que j’étais venu voir le point 0 des kilométrages des routes de France.
Je voudrais être là quand elle lui dira que c’est dans le champ qui jouxte son église que le diable lui a fait l’affront de frapper.
Une fois placé, la nuit étant très noir c’est avec mes doigts que j’ai tâtés avant d’enculer la jeune femme qui a eu un hoquet lorsqu’elle a compris qu’en quelques minutes elle venait de perdre tous ces pucelages.
Une fois que je l’ai bien senti emmancher au bout du sexe, j’ai placé ma main sous son ventre et en écartant ses grandes lèvres assez proéminent j’ai trouvé un clito qui chère amie, tu aurais aimé prendre dans ta bouche pour le léchouiller.
Quelques claques bien vigoureuses pour aider le sang à circuler et pour la quatrième fois, je lui ai arrosé la lunette en même temps que son corps lui donnait son premier orgasme.
Si sa chatte était restée sans plaisir son clito et son cul lui a amené une jouissance que je l’espère, pour elle a été la première d’une longue série.
C’est à ce moment que la lune a déchiré les nuages qui la cachaient et que j’ai encore dans l’œil sa lune énorme qui se tendait vers moi dans une blancheur me donnant presque envie d’y retourner.
J’ai rentré ma bite, refermé mon pont et je suis retourné à la voiture qui avait disparu.
J’ai eu peur de retourner dans la salle où André Verchuren et ses musiciens se démenaient dans leur morceau final juste avant 1 heure du matin et lorsque la dernière note est sortie, je suis allé vers les cars qui gratuitement nous conduisent des grandes villes vers ces bals populaires sans risque avec l’alcool.
C’est vers 1 h 30 que j’ai rejoint Agnès qui finissait de passer sa serpillière.
Nous sommes montés dans sa chambre et après avoir pris un bain vers 2 heures, nous nous sommes couchés.
Comme je vous l’ai dit, avec Agnès suivant ses envies, nous avions de temps en temps des moments où nos sexes se retrouvaient, c’est vers le bout de la nuit certainement cinq heures que sa jambe est venue gratter à ma porte et qu’elle a pivoté pour me sucer.
J’ai failli lui dire que j’étais naze, mais le postérieur blanc de la petite grosse m’est venu à l’esprit et j’ai assez bandé pour la prendre et la faire jouir.
Véronique, tu t’es levé à midi après tes exploits nocturnes l’autre soir, j’ai fait le même tour du cadran et c’est le lendemain à sept heures que le lundi, je suis rentré à bord.
Un deux avec l’une, trois-quatre avec la deuxième cinq avec Agnès, le tout avec trois filles sans pour autant avoir partousé.
Ce soir-là je dois remercier André Verchuren qui m’a permis l’exploit sexuel de ma vie que je suis sûr à avoir du mal à battre.
Le cafetier sort de sa boutique et viens vers nous.
• Monsieur, ce que je vais faire, est opposé à l’éthique de mon métier, mais je vous ai entendus parler d’André Verchuren.
Pour notre famille, cette soirée a été un lourd moment à vivre avec notre fille.
Le cafetier veut s’épancher, je l’aide à parler.
• Que lui est-il arrivé ?
• Elle nous a ramené l’infamie à la maison pour la première fois que nous acceptions qu’elle sorte avec le fils du boulanger.
• Comment elle est ?
• C’est une jolie fille, mais avec un léger embonpoint.
Vous l’avez peut-être vue, elle a un grain de beauté sous l’œil droit.
Un frisson passe dans mon dos, la jeune grosse que j’ai déniaisée avait un gros-grain de beauté sous l’œil droit.
Avec une petite voix, je l’interroge.
• Je l’ai vue, elle était assise sur une chaise et elle était sage.
• Oui, Adrien l’a délaissé pour aller conter fleurette à Virginie la copine d’Aline, ma fille, mais avant de rentrer, Virginie l’ayant délaissé il a fait monter ma petite dans sa voiture et il l’a dépucelé…
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