LE MEURTRE DE L’ILE D’YEU. (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-04-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE MEURTRE DE L’ILE D’YEU. (2/3)
Je suis venu sur l’île d’Yeu, car un meurtre a été commis, Jennifer la femme de Ludovic ancien plongeur de combat qui a créé son entreprise de recherche sur les algues près de Fromentine sur le continent alors qu’il habite sur l’île.
Sa femme a été tuée alors qu’elle était seule son mari étant coincée sur le continent par la tempête ayant interrompu les liaisons maritimes.
Magalie jeune femme habitante de l’île s’avère être la maîtresse de la défunte et la première suspecte, car ses empreintes se sont retrouvées sur le manche du couteau.
• Laurent, faisons le point avant que je quitte l’île, nos investigations sont terminées, j’ai fait partir le corps sur le continent pour une autopsie plus poussée, ma première impression est que l’assassin était assis sur la défunte et que le coup de couteau a été asséné du haut en bas de la main gauche pour bien viser le cœur.
La lame est entrée juste entre les côtes sans toucher l’une ou l’autre, j’ai eu du mal à retirer la lame qui était rentrée avec une telle force qu’il me semble impossible que ce soit la petite qui ait asséné le coup mortel.
• Penses-tu que des rôdeurs auraient pu rentrer par la buanderie dont la fenêtre était cassée ?
• C’est possible, mais rien n’a été touché, c’est bizarre.
• Tu crois que le mari peut être en cause et qu’il avait un complice sur l’île qui a fait le travail.
• L’île est petite, nous avons vérifié auprès des deux compagnies qui assurent les traversées, aucune n’a vu de personnes suspectes ou vraiment inconnues dans les jours précédents.
• Il aurait pu être venu amené en bateau et déposé sur une plage et se cacher avant de repartir par le même chemin.
• Gardons cette hypothèse sous le coude, en partant discrètement emmener la prévenue avec vous si elle est innocente inutile à la laisser à porter d’un tueur qui pourrait s’en prendre à elle.
J’appelle le mari pour qu’il évite de venir puisque le corps de sa femme est parti pour le continent, si tu as le moindre problème, tu nous appelles et je viens.
Il me quitte, je vois deux voitures partir pour le port et je vais manger à mon hôtel.
Le repas est servi par Noémie qui semble vouloir me dire quelque chose, c’est au dessert après le départ de son dernier client qu’elle s’approche de moi.
• J’espérais que vous me convoquiez, je voulais vous mettre au courant d’un fait qui m’est venu aux oreilles.
• Dite toujours, mais c’est en ami que nous allons parler, j’ai envoyé votre sœur sur le continent par sécurité et son avocat a suivi.
• Ma sœur est innocente et le mari savait depuis le mois de Juillet que sa femme avait une maîtresse, j’avais mis en garde Mélanie, mais elle était tellement amoureuse que rien n’y a faîte.
• A-t-elle toujours été lesbienne ?
• Nos parents ont toujours su qu’elle avait des penchants homosexuels, mais nous avons pensé que cela s’arrangerait en vieillissant.
• Comment savez-vous que le mari le savait ?
• Léon vient souvent boire un verre et il m’a dit un jour qu’il avait entendu les deux époux se disputer pour les sales mœurs que sa femme avait, il la menaçait de tuer sa femelle comme il disait pour laver son honneur.
• Merci Noémie, je crois.
• Oui, Laurent, j’espère que vous libérerez ma sœur très vite, malgré mes conseils elle a continué à voir son amie, c’est pour cela qu’elle était allée là-bas, avant de partir elle m’a dit que le portable de Jennifer était coupé et qu’elle s’inquiétait.
• Dis-moi, ta sœur est restée chez vous toute la nuit ?
• Elle loge dans la partie annexe et il m’est impossible de dire si elle a bougé, vu la tempête qui faisait rage je la vois mal avoir été chez son amie.
• Je peux voir sa chambre.
• Tes collègues ont fouillé ce matin et ils n’ont rien trouvé à ce qu’ils m’ont dit.
Je vais dans la chambre avec elle, j’ai bien vu le tutoiement et qu’elle m’appelle par mon prénom qui par chance est mon nom, mais sans le monsieur.
• Peux-tu me dire si toutes, les affaires de ta sœur sont là ?
Elle ouvre l’armoire et la fouille, je vais dans la table de nuit à part des livres à l’eau de rose que lisent les midinettes, je ne trouve rien de spécial.
• Laurent si tu fais tout pour innocenter Mélanie, je suis prête à être à toi, regarde.
Elle est dans mon dos quand je me retourne, je la reçois dans mes bras, elle a dégraffé sa robe et se colle à moi en petite culotte les seins à l’air.
Je dois reconnaître que si je suis célibataire, c’est parce que j’adore séduire les filles, même les femmes que j’arrive à attraper dans mes filets sont les biens venus dans mon lit, mais là sauter cette jeune femme d’une trentaine d'années pour libérer sa sœur ma déontologie me l’interdit.
• Noémie, tu es très jolie et en d’autres circonstances je serais déjà entrain de t’embrasser avant de te coucher sur la couche que nous avons là mais deux choses.
Premièrement baiser sur les lieux ou vit, une suspecte pourrait être problématique en cas d’analyse à faire dans cette chambre et j’aurais l’impression de te prendre pour une pute qui se donne par calcul, j’ose espérer que tu vas comprendre ma position.
Si ta sœur est innocente, je ferais tout pour le prouver et je veux bien que lorsque mon enquête te donne satisfaction t’emmener sur le continent pour passer un week-end ensemble.
• Merci d’avoir dit non, tu es un mec bien, j’étais folle de penser que je pouvais influencer un homme comme toi, mais tu sais sur son lit de mort j’ai promis à maman de veiller sur elle.
Je vérifie le linge salle, il tombait des cordes et aucun vêtement dans la chambre n’est mouillé.
Je vais au port, la vedette est là et je vais pour me faire conduire sur le continent, mais je vois Léon sur un bateau de pêche tout délabré.
Je le rejoins.
• Je demande l’autorisation de monter à bord commandant.
• Te fou pas de ma gueule bleu-bite, je bourlinguais en mer avant que tu tête ta putain de mer, viens-tu boire un verre.
Nous descendons dans la cabine où il règne une atmosphère immonde, la crasse est partout, sur la table une bouteille de rouge à moitié pleine et un verre immonde tellement il était culotté, impossible qu’il est vu la moindre goutte d’eau depuis sa mise en service.
Il va dans le placard le long de la coque, en sort un autre verre nettement plus propre, il est culotté sur une moitié.
• Tu avais quelque chose à me demander pour faire avancer ton enquête, j’ai une réponse pour chaque question que tu te poses.
• J’avais juste envie de boire un verre, je pense que tu bois un premier cru.
• C’est de l’Algérien, j’ai un cousin qui navigue souvent là-bas et il me rapporte un jerrican de cette pure merveille.
Il me sert et j’ai envie de me boucher le nez pour en boire une gorger.
• Je vois plusieurs photos sur les murs de ta cabine, ce sont des photos de Paris Hollywood, avec ces belles gonzesses, dommage qu’elle ait jauni.
• Te fou pas de ma gueule, si au bistro je parle avec des mots choisis ici, je suis seul maître à bord et c’est m’insulter que de dire que ces femmes étaient dans un journal, je les ai toutes sautées la plupart sur cette table.
• Quand tu étais jeune.
• C’est sûr, je venais de m’acheter mon bateau et les dimanches je faisais visiter les îles à des mamans quelques fois avec le papa, tu vois celle-là je l’ai photographié alors que nous venions de nous l’enfiler avec le mari dans les deux trous en même temps, c’est le mari qui a voulu, j’ai accepté si je lui prenais la chatte.
C’est le mari qui est derrière, celle-là elle criait aux violes chaque fois que je la pilonnais les seins posés sur la table, tiens quand j’y pense, la toile cirée était la même regarde.
Sûrement elle est d’origine, une pure œuvre d’art.
• Dis, le Ludovic tu l’as entendu se disputer avec sa femme.
• Je vois, c’est pour ton enquête que tu es là, j’ai bien dit à Noémie qu'ils s’engueulaient, mais j’ai pas tout dit, elle lui reprochait d’avoir une maîtresse et que s’il continuait à lui faire porter des cornes, elle lui ferait porter des cornes aussi.
• Ils ont parlé argent.
• Inutile, tout le monde ici sait que c’est elle qui avait le fric, c’est bizarre de dire avait, car elle est morte, dite donc voilà un bon motif.
Il se resserre un verre et avance la bouteille, je recule mon verre.
• Tu vas vexer Léon, un dernier pour la route et si tu es sage, je te parlerais de sa maîtresse.
• Sa maîtresse, il l’a fait venir ici.
• Non, à Port de la Meuse, de l’autre côté de l’île, je livrais du poisson au café restaurant, ils sont arrivés tous les deux, sans me voir, ils ont pris un verre et son parti main dans la main vers le sentier qui pouvait les isoler.
• Les as-tu suivis ?
• Qu’il baise sa pétasse rousse, j’en avais rien à faire, et j’avais encore l’autre parti de ma pèche à livrer au restaurant de Noémie, j’ai repris la mer.
Quand je suis arrivé, j’ai vu Mélanie partir vers la maison de Jennifer et plus tard j’ai su qu’elle se faisait sucer la chatte.
• Un dernier pour la route, il est l’heure que je parte en mer à cause de la marée.
Je récupère la vedette et nous partons vers la côte, Léon est à sa cabine de pilotage et quand nous passons à ses côtés, il se met au garde-à-vous et nous fait un salut militaire, je lui rends son salut même si je suis en civile.
Quand j’arrive, le mari est dans le bureau de sa secrétaire aux cheveux roux, la porte ouverte, il est penché au-dessus d’elle la main posée sur son épaule…
Sa femme a été tuée alors qu’elle était seule son mari étant coincée sur le continent par la tempête ayant interrompu les liaisons maritimes.
Magalie jeune femme habitante de l’île s’avère être la maîtresse de la défunte et la première suspecte, car ses empreintes se sont retrouvées sur le manche du couteau.
• Laurent, faisons le point avant que je quitte l’île, nos investigations sont terminées, j’ai fait partir le corps sur le continent pour une autopsie plus poussée, ma première impression est que l’assassin était assis sur la défunte et que le coup de couteau a été asséné du haut en bas de la main gauche pour bien viser le cœur.
La lame est entrée juste entre les côtes sans toucher l’une ou l’autre, j’ai eu du mal à retirer la lame qui était rentrée avec une telle force qu’il me semble impossible que ce soit la petite qui ait asséné le coup mortel.
• Penses-tu que des rôdeurs auraient pu rentrer par la buanderie dont la fenêtre était cassée ?
• C’est possible, mais rien n’a été touché, c’est bizarre.
• Tu crois que le mari peut être en cause et qu’il avait un complice sur l’île qui a fait le travail.
• L’île est petite, nous avons vérifié auprès des deux compagnies qui assurent les traversées, aucune n’a vu de personnes suspectes ou vraiment inconnues dans les jours précédents.
• Il aurait pu être venu amené en bateau et déposé sur une plage et se cacher avant de repartir par le même chemin.
• Gardons cette hypothèse sous le coude, en partant discrètement emmener la prévenue avec vous si elle est innocente inutile à la laisser à porter d’un tueur qui pourrait s’en prendre à elle.
J’appelle le mari pour qu’il évite de venir puisque le corps de sa femme est parti pour le continent, si tu as le moindre problème, tu nous appelles et je viens.
Il me quitte, je vois deux voitures partir pour le port et je vais manger à mon hôtel.
Le repas est servi par Noémie qui semble vouloir me dire quelque chose, c’est au dessert après le départ de son dernier client qu’elle s’approche de moi.
• J’espérais que vous me convoquiez, je voulais vous mettre au courant d’un fait qui m’est venu aux oreilles.
• Dite toujours, mais c’est en ami que nous allons parler, j’ai envoyé votre sœur sur le continent par sécurité et son avocat a suivi.
• Ma sœur est innocente et le mari savait depuis le mois de Juillet que sa femme avait une maîtresse, j’avais mis en garde Mélanie, mais elle était tellement amoureuse que rien n’y a faîte.
• A-t-elle toujours été lesbienne ?
• Nos parents ont toujours su qu’elle avait des penchants homosexuels, mais nous avons pensé que cela s’arrangerait en vieillissant.
• Comment savez-vous que le mari le savait ?
• Léon vient souvent boire un verre et il m’a dit un jour qu’il avait entendu les deux époux se disputer pour les sales mœurs que sa femme avait, il la menaçait de tuer sa femelle comme il disait pour laver son honneur.
• Merci Noémie, je crois.
• Oui, Laurent, j’espère que vous libérerez ma sœur très vite, malgré mes conseils elle a continué à voir son amie, c’est pour cela qu’elle était allée là-bas, avant de partir elle m’a dit que le portable de Jennifer était coupé et qu’elle s’inquiétait.
• Dis-moi, ta sœur est restée chez vous toute la nuit ?
• Elle loge dans la partie annexe et il m’est impossible de dire si elle a bougé, vu la tempête qui faisait rage je la vois mal avoir été chez son amie.
• Je peux voir sa chambre.
• Tes collègues ont fouillé ce matin et ils n’ont rien trouvé à ce qu’ils m’ont dit.
Je vais dans la chambre avec elle, j’ai bien vu le tutoiement et qu’elle m’appelle par mon prénom qui par chance est mon nom, mais sans le monsieur.
• Peux-tu me dire si toutes, les affaires de ta sœur sont là ?
Elle ouvre l’armoire et la fouille, je vais dans la table de nuit à part des livres à l’eau de rose que lisent les midinettes, je ne trouve rien de spécial.
• Laurent si tu fais tout pour innocenter Mélanie, je suis prête à être à toi, regarde.
Elle est dans mon dos quand je me retourne, je la reçois dans mes bras, elle a dégraffé sa robe et se colle à moi en petite culotte les seins à l’air.
Je dois reconnaître que si je suis célibataire, c’est parce que j’adore séduire les filles, même les femmes que j’arrive à attraper dans mes filets sont les biens venus dans mon lit, mais là sauter cette jeune femme d’une trentaine d'années pour libérer sa sœur ma déontologie me l’interdit.
• Noémie, tu es très jolie et en d’autres circonstances je serais déjà entrain de t’embrasser avant de te coucher sur la couche que nous avons là mais deux choses.
Premièrement baiser sur les lieux ou vit, une suspecte pourrait être problématique en cas d’analyse à faire dans cette chambre et j’aurais l’impression de te prendre pour une pute qui se donne par calcul, j’ose espérer que tu vas comprendre ma position.
Si ta sœur est innocente, je ferais tout pour le prouver et je veux bien que lorsque mon enquête te donne satisfaction t’emmener sur le continent pour passer un week-end ensemble.
• Merci d’avoir dit non, tu es un mec bien, j’étais folle de penser que je pouvais influencer un homme comme toi, mais tu sais sur son lit de mort j’ai promis à maman de veiller sur elle.
Je vérifie le linge salle, il tombait des cordes et aucun vêtement dans la chambre n’est mouillé.
Je vais au port, la vedette est là et je vais pour me faire conduire sur le continent, mais je vois Léon sur un bateau de pêche tout délabré.
Je le rejoins.
• Je demande l’autorisation de monter à bord commandant.
• Te fou pas de ma gueule bleu-bite, je bourlinguais en mer avant que tu tête ta putain de mer, viens-tu boire un verre.
Nous descendons dans la cabine où il règne une atmosphère immonde, la crasse est partout, sur la table une bouteille de rouge à moitié pleine et un verre immonde tellement il était culotté, impossible qu’il est vu la moindre goutte d’eau depuis sa mise en service.
Il va dans le placard le long de la coque, en sort un autre verre nettement plus propre, il est culotté sur une moitié.
• Tu avais quelque chose à me demander pour faire avancer ton enquête, j’ai une réponse pour chaque question que tu te poses.
• J’avais juste envie de boire un verre, je pense que tu bois un premier cru.
• C’est de l’Algérien, j’ai un cousin qui navigue souvent là-bas et il me rapporte un jerrican de cette pure merveille.
Il me sert et j’ai envie de me boucher le nez pour en boire une gorger.
• Je vois plusieurs photos sur les murs de ta cabine, ce sont des photos de Paris Hollywood, avec ces belles gonzesses, dommage qu’elle ait jauni.
• Te fou pas de ma gueule, si au bistro je parle avec des mots choisis ici, je suis seul maître à bord et c’est m’insulter que de dire que ces femmes étaient dans un journal, je les ai toutes sautées la plupart sur cette table.
• Quand tu étais jeune.
• C’est sûr, je venais de m’acheter mon bateau et les dimanches je faisais visiter les îles à des mamans quelques fois avec le papa, tu vois celle-là je l’ai photographié alors que nous venions de nous l’enfiler avec le mari dans les deux trous en même temps, c’est le mari qui a voulu, j’ai accepté si je lui prenais la chatte.
C’est le mari qui est derrière, celle-là elle criait aux violes chaque fois que je la pilonnais les seins posés sur la table, tiens quand j’y pense, la toile cirée était la même regarde.
Sûrement elle est d’origine, une pure œuvre d’art.
• Dis, le Ludovic tu l’as entendu se disputer avec sa femme.
• Je vois, c’est pour ton enquête que tu es là, j’ai bien dit à Noémie qu'ils s’engueulaient, mais j’ai pas tout dit, elle lui reprochait d’avoir une maîtresse et que s’il continuait à lui faire porter des cornes, elle lui ferait porter des cornes aussi.
• Ils ont parlé argent.
• Inutile, tout le monde ici sait que c’est elle qui avait le fric, c’est bizarre de dire avait, car elle est morte, dite donc voilà un bon motif.
Il se resserre un verre et avance la bouteille, je recule mon verre.
• Tu vas vexer Léon, un dernier pour la route et si tu es sage, je te parlerais de sa maîtresse.
• Sa maîtresse, il l’a fait venir ici.
• Non, à Port de la Meuse, de l’autre côté de l’île, je livrais du poisson au café restaurant, ils sont arrivés tous les deux, sans me voir, ils ont pris un verre et son parti main dans la main vers le sentier qui pouvait les isoler.
• Les as-tu suivis ?
• Qu’il baise sa pétasse rousse, j’en avais rien à faire, et j’avais encore l’autre parti de ma pèche à livrer au restaurant de Noémie, j’ai repris la mer.
Quand je suis arrivé, j’ai vu Mélanie partir vers la maison de Jennifer et plus tard j’ai su qu’elle se faisait sucer la chatte.
• Un dernier pour la route, il est l’heure que je parte en mer à cause de la marée.
Je récupère la vedette et nous partons vers la côte, Léon est à sa cabine de pilotage et quand nous passons à ses côtés, il se met au garde-à-vous et nous fait un salut militaire, je lui rends son salut même si je suis en civile.
Quand j’arrive, le mari est dans le bureau de sa secrétaire aux cheveux roux, la porte ouverte, il est penché au-dessus d’elle la main posée sur son épaule…
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