Le passage de témoin. - histoire érotique

Voilà ! J'ai enfin décidé de quitter Fred !

Cela se fait progressivement, il me baise encore de temps en temps.
Il se contrôle, pas toujours complètement, c'est sûr, mais il fait des efforts.

Je suis tiraillé entre deux sentiments, le plaisir énorme qu'il me procure, et l'état pitoyable dans lequel il me laisse.
Ce que je ne supporte plus.

Il me traite toujours verbalement comme une chose, mais cela ne me gêne pas.
Par contre, les marques et les traces sur mon corps et mon cul, je peux plus !

A chaque fois que Vlad est présent, c'est l'escalade et j'en fait les frais.
Lors d'un après-midi en trio, Vlad émet l'idée de se rendre avec moi, au Sex-Shop.

"Putain, c'est une super idée, ça ! Comme ça, je pourrai l'enculer devant le cassier du Sex-Shop ! Il verra que moi aussi, je lui casse le cul !".

"Voilà, et surtout, on pourrai l'offrir à tous les mecs qui seraient là-bas ! On en ferai notre pute ! Notre vide-couilles ! T'imagines ? Plein de mecs, en train de lui pisser dessus ! A cette salope !".

Fred devine que Vlad va trop loin, il scrute ma réaction et comprend que je ne l'accepterai jamais.

Ils finissent de me détruire le cul l'un après l'autre, c'est Fred qui se vide en moi, en dernier.
Il prend encore son pied, à me regarder faire sortir leurs foutres chauds de mon cul.
Une dernière fois Vlad me force à avaler son urine en me bloquant sur sa bite.

"Non Vlad ! Tu sais qu'il aime pas ça !".
"Je m'en fous, moi ça me plait ! C'est une pute ! Il est là pour ça !".

Quand il a terminé, je me rend au dessus de l'évier pour cracher ce que je peux, et me rince le corps et la gorge ensuite, sous la douche.

Tout le monde se rhabille, je pars aussitôt après, avec mes nouvelles douleurs.

"Tu t'en vas déjà ? On voulait recommencer !". Dit Fred.
"Oui, cette fois, c'est sûr ! Tu me verras plus, vous êtes des dingues ! Même si je prends mon pied, quand vous me baisez, je supporte plus tout le reste ! Vous dépassez mes limites ! C'est dommage, je vais avoir du mal à me passer de ta bite, Fred ! On se verra surement au Sex-Shop !".
"Laisses le partir, on se trouvera une autre salope ! Il fait sa mijaurée ! Ca m'énerve !".

Fred m'enculera de nombreuses fois au Sex-Shop, il ne pouvait plus laisser libre cours à ses fantasmes et c'était beaucoup plus agréable pour moi !

Il a aussi pu m'enculer devant le caissier, il était heureux, à chaque fois que cela se produisait !
J'ai croisé Vlad également, mais je me suis toujours refusé à lui, c'était un con !

J'ai connu une longue période sans amant régulier, presque trois ans, mis à part Mario épisodiquement, mais la relation était compliquée aussi.
Je le quittai, il revenait en me suppliant, je cédai, et ainsi de suite.

Jusqu'à la reprise de mes amours avec Alice, et notre folle passion, faite de tendresse, sensualité et dérive perverse bisexuelle.
Elle m'a fait beaucoup de bien, je retrouvai beaucoup d'estime de moi, grâce à elle.

Son amour envers moi me donnait de l'importance, alors que mes rapports avec Corinne s'espaçaient, à cause de sa grossesse.

En trois ans, Alice s'est prise de passion pour le sexe anal.
En voyant les possibilités de mon anus, elle a émit le désir de se faire enculer par des godes de plus en plus larges.
Elle adorait gicler ca cyprine en se masturbant l'anus.

Avec mon accord, elle a cherché un amant doté d'une queue suffisamment épaisse pour lui donner ce plaisir.
Elle a mis du temps, mais elle a réussi à trouver ! Ce que femme veut ! Comme on dit !

Si j'acceptais, je ne désirais pas en savoir plus sur cet homme, Christophe, qui l'accaparai quelques jours par mois, malgré tout !
Il étais profondément hétéro, tant mieux pour moi !

Elle voulait toujours réaliser son fantasme de baiser en trio bisexuel, avec moi.

Puis vers nos deux ans de relation, elle m'appelle, je suis seul chez moi.

"Pascal ? Tu peux venir demain ? J'ai une surprise pour toi !".
"Qu'est-ce que tu vas me faire encore ! Je me méfie de toi, mais tu sais que je t'aime trop pour te refuser quoi que ce soit ! Bon, c'est OK !".

En arrivant, j'ai ma surprise ! Un homme black de 40 ans environ, pas très beau, mais que je devine sur membré !

"Je te présente Moussa ! Moussa ! Voilà Pascal !".
"Enchanté Moussa !".
"Enchanté, joli Pascal !".
"Il te plait Moussa ?".
"Beaucoup ! Alice ! On va bien s'amuser, je pense !".

Alice vient vers moi et me donne un magnifique baiser en me masturbant la queue.

"On va dans le salon ?". Dit elle.

Elle reprend ma bouche, puis ajoute:
"Déshabilles toi mon amour ! Pendant que je m'occupe de Moussa !".

Elle s'accroupi devant l'homme noir, qui l'aide à sortir son sexe surdimensionné.
A ce moment précis, je me dis que même, s'il n'est pas très beau, la taille de sa bite parle pour lui.

La vue de la bouche d'Alice qui fait ce qu'elle peut pour le sucer me rend dingue.
Moussa quitte ses vêtements en se faisant pomper la queue.

Alice me prend par la main et attire ma bouche sur la queue du gros black.
Je retrouve le plaisir connu avec Corinne, de sucer une queue à deux langues.

On se mélange les langues avec le gland de Moussa au milieu.
L'homme râle son plaisir.

Puis Alice se dresse et se dévêt, elle aussi, en me regardant encaisser les assauts de Moussa en gorge profonde.

Elle se place derrière moi et me lèche l'anus longuement.

Puis, elle s'allonge sur son canapé et me demande de lui "bouffer" la chatte.

Moussa pense alors que c'est le moment idéal pour tenter de me prendre, en voyant mon cul offert à sa pénétration.
Il prend un tube de gel, posé là par Alice, et m'enduit le cul abondamment.

Je me redresse en poussant un énorme râle, lorsqu'il m'écartèle avec son énorme membre noir.
Alive est trop excitée, elle se lève et va regarder sa bite en moi, en se masturbant le clitoris.

"Ah, putain, j'en ai tellement rêvé ! t'es beau mon amour ! Tu m'excites comme ça ! Vas y, baises le Moussa !".

L'homme se défoule très vite, je me cambre pour jouir sur sa merveilleuse bite, devant ma belle amante.
Si Corinne savait que j'offre ce plaisir à une autre qu'elle !

Alice se fait jouir deux fois pendant la longue enculade de Moussa.
Comme tous mes autres amants, il adore voir mon jus couvrir sa queue avec abondance.

Alice s'étonne de voir son très long sexe, disparaitre en moi complètement.
Puis, elle veut jouir analement, elle aussi, elle se place à l'autre bout de canapé, collant son corps au mien.

"A moi Moussa ! Encules-moi !".

Il l'enduit de gel, également, puis entreprend de la pénétrer.
Ce fut plus long, mais ses "entrainements" grâce aux godes larges, lui permettent de recevoir enfin sa grosse queue.

"Arhhhhhhhhhhhhh ! Pascal ! Mon amour ! Il est trop gros ! Arhhhhhhhhhhhhh !".

Moussa lui claque le cul et entame une défonce anale extrême.
Je me lève, pour assister moi aussi, au spectacle de ma belle salope empalée.

Je me mets à bander douloureusement en la voyant crier de plaisir anal.
La vue de cet homme noir ventru, a la bite énorme, qui lui déchire l'anus, me rend dingue.

Au bout de quelques minutes, elle inonde le sol de cyprine.
Ses jets sont interminables.
Ses râles et ses cris sont affolants.

Moussa me dit alors:

"A ton tour maintenant ! Remets toi en place !".

Je m'allonge, puis me fait surprendre par sa possession soudaine.

Je suis toujours en érection, je sens plus intensément sa présence dans mon cul.
il m'assène très rapidement, de violents coups de queue, au plus profond de moi.

Il me cambre sur sa bite, Alice se remet, en me fixant avec amour.
Elle me voit éjaculer en jets puissants pendant qu'il me casse le cul.

"J'adore voir ça ! Pascal ! Merci pour tout ces moments ! Je t'aime !".

Ma queue se rétrécit, je me suis vidé de tout mon sperme.
Je joui encore et encore, analement, puis Moussa se lâche de sa substance chaude et blanchâtre dans mon cul.

Alice adore voir sa queue épaisse, enfoncée jusqu'aux couilles dans mon anus.
Elle remarque les spasmes qui la font bouger en moi, au rythme des écoulements dans son canal urinaire.
Je gémis de plaisir en ressentant sa grosse éjaculation.

Alice partage une intense baiser avec moi, pendant que son invité termine de jouir dans mon cul.

Moussa se retire longuement et lentement.
Alice se souvient de nos jeux avec le gode éjaculateur.
Elle écarte mes fesses avec l'aide de Moussa qui lui demande:

"Tu veux voir mon jus ?".
"Oui, j'en rêve !".

Les écoulements sont énormes, elle est comblée d'excitation.

"Oh, putain, j'adore ça ! D'ailleurs, je demande souvent à Christophe de me montrer avec un miroir, ce qu'il me met, à chaque fois qu'il m'encule !".
"T'es une belle salope ! Je vois !". Dit Moussa !
"Oui, c'est grâce à Pascal, il m'a fait aimer encore plus, le sexe anal ! Hein, mon amour ?".
"Euh, oui, je suis mort, il m'a tué !".

Elle m'embrase avec une tendresse immense, en me déclarant son amour passionnel.
Moussa se sent de trop et nous dit:

"Bon ! Les amoureux, je me suis bien vidé les couilles, je vous laisse ! Alice ! C'est quand tu veux !".
"Merci Moussa ! A la prochaine !".

Dès qu'il est sorti, je lui demande:

"Tu l'as trouvé ou, celui-là ?".
"Ah, j'ai mes réseaux ! A force de demander, le copain, d'un copain, d'amant, en amant, ç'était long, mais j'ai réussi !".

Elle ajoute:

"C'était encore mieux que je l'espérai ! J'ai pris un pied énorme ! Tu as aimé ?.
"Oui, tu me fais faire des choses dingues, mon amour ! J'arrive pas à concevoir qu'une femme soit excitée par le fait de me voir faire ça !".
"Pourtant, tu es génial et magnifique, quand tu te fait enculer comme ça ! J'adore ! On le referra ?".
"Bon ! D'accord, mais qu'avec Moussa ! OK ?".
"Oui, bien sur ! Tout ce que tu veux, je t'aime !".

On a réitéré à six reprises, ce fut intense à chaque fois.

Alice a jonglé entre moi, le plus souvent, parce qu'on s'aimait, puis Christophe et Moussa aussi, pour des soirées de baises et sodomies, sans moi.
Elle est devenue plus salope que jamais.

Sa grossesse, comme celle de Corinne, a calmé tout ça.

Puis, elle est partie, me laissant seul avec Corinne et mes souvenirs de nos échanges pervers.