Le petit homme
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le petit homme
Nous sommes en 1986. Devant la menace de plus en plus présente du virus du Sida, je me décide à faire le test.
Les infos circulent et le milieu homosexuel est un des propagateurs les plus virulents.
Je suis réaliste, je fréquente le seul backroom d'une ville portuaire, le nombre de mes partenaires augmente très vite, je dois dépasser les 600 rencontres, depuis mes 20 ans, en 1980.
Je dois le faire, j'ai une copine que j'aime, un projet de vie commune et malgré le fait que je n'aime pas baiser avec des préservatifs, je dois penser à la protéger.
Donc, j'assume en me faisant tester, ce qui n'est pas simple à l'époque.
Entre l'attente imposée avant le résultat, les questions gênantes et le jugement de celui qui vous reçoit, c'est dur !
Mais bonne nouvelle, le test est négatif !
Je me sens chanceux, mais je ne veux pas jouer avec la mort et dorénavant, j'utiliserai des capotes avec chaque nouveau partenaire.
Corinne en fera de même avec ses amants.
Pris d'une envie de plaisir anal, je retourne au Sex-shop qui possède le backroom.
Je retrouve le caissier, comme je ne l'ai pas vu depuis plusieurs mois, j'aborde le sujet de la protection.
Il tombe d'accord avec moi et m'apprend que lui aussi se protège avec ses rares autres partenaires.
Mis à part les deux patrons, qui sont des amants réguliers et qui se contentent de ces relations, il me confirme que je suis l'une de ses rares relations régulières, je suis le seul client qui lui plait physiquement.
Ses autres relations se déroulent en dehors du travail, avec des homos uniquement et toujours protégées.
Je lui apprend que je me suis fait tester, et que je ne suis pas porteur.
Comme lui aussi a fait la même chose, il en profite et m'encule sans capote, il fera partie des privilégiés.
J'apprécie son éjaculation dans mon cul, mais je suis réaliste et sais qu'elle sera l'une des rares à être possible.
Je suce quelques bites et avale beaucoup de sperme, je sais que le risque est moindre.
Par la suite, je me fais enculer quatre fois avec les préservatifs et du gel gratuit que j'ai pris dans le distributeur.
Cela fait plus de trois heures que je suis dans le backroom, puis je me fais aborder par Daniel, une connaissance qui aime beaucoup discuter avec moi, avant de passer au sexe.
Il m'appelle "Petit Pascal" lui aussi, il est très sympathique et possède une queue très épaisse, bien dessinée, bien que très normale au niveau longueur.
Même si cela lui arrive de me baiser, Il est plutôt attiré par la fellation, cela tombe bien, j'adore son sperme !
Nous sommes dans la pièce sombre, à coté de la salle homo.
Je suis à ses pieds en train de le sucer goulument.
Un homme s'approche et me caresse les fesses.
Je n'oppose aucune résistance, il comprend qu'il peut me déshabiller, mes vêtements tombent à mes pieds.
Il passe sur mon coté, et se masturbe tout en me caressant le cul.
J'entends Daniel qui s'exclame:
"Oh putain !".
Je me tourne pour regarder l'homme.
Il est très petit, plus que moi encore, qui mesure 1m65, j'estime sa taille à 1m50.
Mais j'hallucine en découvrant un sexe surdimensionné, j'ai l'impression de voir un monstre.
Il possède une bite aussi longue que son avant bras, un bon 30 cm x 5 cm.
Cela semble impossible et illogique, vu sa petite taille.
J'ai déjà connu des dimensions proches de celle-ci, mais sur des hommes grands et blacks en général.
Et ils n'avaient pas cette particularité, sa bite est dure comme un morceau de bois !
Il cherche mes lèvres, sa circonférence et sa dureté me surprend, j'ai la bouche écartelée.
Il est déjà en train de me défoncer la gorge, les bruits que je fais en disent long sur le reflux de salive qu'il me provoque.
Je régurgite de nombreuses fois, proche de l'état de vomissement.
Puis il arrête de me baiser la gorge et se couvre d'un préservatif.
Je me remets doucement de cette fellation violente, et lui donne une dose de gel pour mieux encaisser sa pénétration.
Daniel me pénètre la gorge à nouveau, en ajoutant encore des phrases d'étonnement sur la bite du petit homme qui doit avoir le même âge que moi.
Très vite, après le froid du gel, je sens le contact de son gros gland, très dur.
Comme je viens de connaitre une autre sodomie, mon anus s'ouvre assez vite.
Mais l'écartèlement est bien supérieur, cette fois, je râle en me faisant transpercer jusqu'au fond du cul.
"Arggggggggggggghhhhhhhhhhhhhhhh ! Oh Putain ! Arhhhhhhhhhhh !".
Il reste muet et s'active comme un bourrin, tout de suite.
Sans un mot, mais avec tellement de puissance !
Il me défonce sans précaution, me faisant mal à chaque fois qu'il vient frapper au fond de mon cul.
Daniel le voit se déchainer en devinant la première moitié de sa bite s'écraser dans mon anus et l'autre qui dépasse encore à l'extérieur.
La capote fait son effet retardateur de plaisir pour lui, il me bourre le cul depuis plus de 10 minutes déjà.
Je ne sais pas si j'aime ce moment, le plaisir est puissant et excitant, mais la douleur est difficilement supportable.
Daniel est très excité, trop même, puisqu'il s'est retiré de ma bouche pour ne pas jouir trop vite.
Je relève ma tête à chaque nouvel assaut, puis j'ai le sentiment qu'il gagne du terrain, la douleur est moindre.
Je ne me trompe pas, puisqu'en moins de cinq assauts, sa bite gagne 3 cm de plus à chaque enfoncement.
Il parvient maintenant à frapper ses couilles contre mes fesses. Il m'encule avec toute la longueur de son énorme bite.
Dès lors, je me sens transpercé en jouissant énormément de cette possession intense et profonde.
Je suis pris de râles interminables, Daniel me soutient pendant que j'encaisse les coups de queue du jeune inconnu.
Je n'ai plus mal, je joui comme jamais.
J'éjacule abondamment entre mes jambes, je me déverse sans me préoccuper des conséquences de mon écoulement.
Puis le jeune homme se met à grogner, il s'agrippe à mon corps et se vide complètement en moi.
Ses gémissements et grognements sont très excitants. Il met du temps à éjaculer son foutre.
J'ai encore un long râle lorsqu'il recule en retirant son énorme pieu de mon anus.
Je me retourne pour le regarder, je vois un affolement sur son visage.
Je comprend tout, en voyant que le préservatif n'est plus sur sa bite, il est resté dans mon anus.
Je lui demande:
"Tu as fait le test ?".
"Oui, je suis négatif !".
"Ouf ! Moi aussi ! J'ai fais le test cette semaine !".
Je vois qu'il est rassuré, il se rhabille sans un mot et nous quitte en me disant enfin:
"Merci !".
Je profite de son départ pour m'assoir sur une chaise et m'affale d'épuisement en posant une main contre mon œillet.
Daniel me demande:
"Ca va pas?".
"Putain, il m'a tué ! C'est rare qu'on me casse le cul comme ça !".
"Je veux bien te croire ! C'est un monstre, le mec, j'ai jamais vu une bite comme ça ! Comment t'as fait pour l'encaisser entièrement ?".
"Je sais pas, mais j'ai pris cher, je suis mort !".
"C'était pas douloureux ?".
"Surtout au début, mais après, quand il est allé plus profond, j'ai joui comme jamais, il m'a fait éjaculer sans me toucher ! Mais je me sens bizarre encore !".
Je me tiens le bas ventre, pendant que mon anus rejette des sécrétions anales et du sperme.
Je pense alors à regarder mes vêtements, et malheureusement, ils sont tâchés de mon propre jus.
"Putain, ça m'a excité tout ça ! Suces-moi, maintenant !". Me dit Daniel.
Il me pénètre la gorge, je le suce longuement jusqu'à l'explosion de son foutre délicieux, dans ma bouche.
Il éjacule en me couvrant de mots crus, plus que d'habitude encore.
Je me retrouve seul ensuite, je vais dans un cabinet de toilette pour effacer les traces de mon plaisir pénien, puis j'essuie mon anus éclaté.
Ensuite, je rentre chez moi, toujours sous l'effet de choc de la défonce anale que j'ai vécu.
A cause de la gêne dans mon bas ventre, je ne peux avaler quoique ce soit, je n'ai pas faim !
J'ai rejeté le reste de son sperme en premier, puis enfin le préservatif avant de me coucher.
Par chance, ma copine ne vit pas encore avec moi, j'ai pu aller aux toilettes aussi souvent que je le voulais.
Je ressentirai encore les effets de cette défonce, le lendemain.
Il est l'un des rares hommes de mon âge, que je ne repoussai pas.
On s'est toujours vu au Sex-shop, Il me reconnaissait et venait tout de suite se faire sucer, puis il me défonçait comme un bourrin, toujours sans un mot, mais avec des capotes, par contre.
Nous n'avons plus connu d'accident.
A notre dernière rencontre, il m'a enculé sauvagement d'abord, puis s'est fait sucer et m'a écarté pour éjaculer abondamment sur le sol, j'ai regretté de ne pas pouvoir le boire.
Au gré de toutes mes années de baises entre hommes, je pense qu'il m'a défoncé un peu plus de 20 fois.
J'aurai adoré avoir une relation suivie avec lui, mais il aurait fallu qu'il soit plus communicatif, pour cela.
Les infos circulent et le milieu homosexuel est un des propagateurs les plus virulents.
Je suis réaliste, je fréquente le seul backroom d'une ville portuaire, le nombre de mes partenaires augmente très vite, je dois dépasser les 600 rencontres, depuis mes 20 ans, en 1980.
Je dois le faire, j'ai une copine que j'aime, un projet de vie commune et malgré le fait que je n'aime pas baiser avec des préservatifs, je dois penser à la protéger.
Donc, j'assume en me faisant tester, ce qui n'est pas simple à l'époque.
Entre l'attente imposée avant le résultat, les questions gênantes et le jugement de celui qui vous reçoit, c'est dur !
Mais bonne nouvelle, le test est négatif !
Je me sens chanceux, mais je ne veux pas jouer avec la mort et dorénavant, j'utiliserai des capotes avec chaque nouveau partenaire.
Corinne en fera de même avec ses amants.
Pris d'une envie de plaisir anal, je retourne au Sex-shop qui possède le backroom.
Je retrouve le caissier, comme je ne l'ai pas vu depuis plusieurs mois, j'aborde le sujet de la protection.
Il tombe d'accord avec moi et m'apprend que lui aussi se protège avec ses rares autres partenaires.
Mis à part les deux patrons, qui sont des amants réguliers et qui se contentent de ces relations, il me confirme que je suis l'une de ses rares relations régulières, je suis le seul client qui lui plait physiquement.
Ses autres relations se déroulent en dehors du travail, avec des homos uniquement et toujours protégées.
Je lui apprend que je me suis fait tester, et que je ne suis pas porteur.
Comme lui aussi a fait la même chose, il en profite et m'encule sans capote, il fera partie des privilégiés.
J'apprécie son éjaculation dans mon cul, mais je suis réaliste et sais qu'elle sera l'une des rares à être possible.
Je suce quelques bites et avale beaucoup de sperme, je sais que le risque est moindre.
Par la suite, je me fais enculer quatre fois avec les préservatifs et du gel gratuit que j'ai pris dans le distributeur.
Cela fait plus de trois heures que je suis dans le backroom, puis je me fais aborder par Daniel, une connaissance qui aime beaucoup discuter avec moi, avant de passer au sexe.
Il m'appelle "Petit Pascal" lui aussi, il est très sympathique et possède une queue très épaisse, bien dessinée, bien que très normale au niveau longueur.
Même si cela lui arrive de me baiser, Il est plutôt attiré par la fellation, cela tombe bien, j'adore son sperme !
Nous sommes dans la pièce sombre, à coté de la salle homo.
Je suis à ses pieds en train de le sucer goulument.
Un homme s'approche et me caresse les fesses.
Je n'oppose aucune résistance, il comprend qu'il peut me déshabiller, mes vêtements tombent à mes pieds.
Il passe sur mon coté, et se masturbe tout en me caressant le cul.
J'entends Daniel qui s'exclame:
"Oh putain !".
Je me tourne pour regarder l'homme.
Il est très petit, plus que moi encore, qui mesure 1m65, j'estime sa taille à 1m50.
Mais j'hallucine en découvrant un sexe surdimensionné, j'ai l'impression de voir un monstre.
Il possède une bite aussi longue que son avant bras, un bon 30 cm x 5 cm.
Cela semble impossible et illogique, vu sa petite taille.
J'ai déjà connu des dimensions proches de celle-ci, mais sur des hommes grands et blacks en général.
Et ils n'avaient pas cette particularité, sa bite est dure comme un morceau de bois !
Il cherche mes lèvres, sa circonférence et sa dureté me surprend, j'ai la bouche écartelée.
Il est déjà en train de me défoncer la gorge, les bruits que je fais en disent long sur le reflux de salive qu'il me provoque.
Je régurgite de nombreuses fois, proche de l'état de vomissement.
Puis il arrête de me baiser la gorge et se couvre d'un préservatif.
Je me remets doucement de cette fellation violente, et lui donne une dose de gel pour mieux encaisser sa pénétration.
Daniel me pénètre la gorge à nouveau, en ajoutant encore des phrases d'étonnement sur la bite du petit homme qui doit avoir le même âge que moi.
Très vite, après le froid du gel, je sens le contact de son gros gland, très dur.
Comme je viens de connaitre une autre sodomie, mon anus s'ouvre assez vite.
Mais l'écartèlement est bien supérieur, cette fois, je râle en me faisant transpercer jusqu'au fond du cul.
"Arggggggggggggghhhhhhhhhhhhhhhh ! Oh Putain ! Arhhhhhhhhhhh !".
Il reste muet et s'active comme un bourrin, tout de suite.
Sans un mot, mais avec tellement de puissance !
Il me défonce sans précaution, me faisant mal à chaque fois qu'il vient frapper au fond de mon cul.
Daniel le voit se déchainer en devinant la première moitié de sa bite s'écraser dans mon anus et l'autre qui dépasse encore à l'extérieur.
La capote fait son effet retardateur de plaisir pour lui, il me bourre le cul depuis plus de 10 minutes déjà.
Je ne sais pas si j'aime ce moment, le plaisir est puissant et excitant, mais la douleur est difficilement supportable.
Daniel est très excité, trop même, puisqu'il s'est retiré de ma bouche pour ne pas jouir trop vite.
Je relève ma tête à chaque nouvel assaut, puis j'ai le sentiment qu'il gagne du terrain, la douleur est moindre.
Je ne me trompe pas, puisqu'en moins de cinq assauts, sa bite gagne 3 cm de plus à chaque enfoncement.
Il parvient maintenant à frapper ses couilles contre mes fesses. Il m'encule avec toute la longueur de son énorme bite.
Dès lors, je me sens transpercé en jouissant énormément de cette possession intense et profonde.
Je suis pris de râles interminables, Daniel me soutient pendant que j'encaisse les coups de queue du jeune inconnu.
Je n'ai plus mal, je joui comme jamais.
J'éjacule abondamment entre mes jambes, je me déverse sans me préoccuper des conséquences de mon écoulement.
Puis le jeune homme se met à grogner, il s'agrippe à mon corps et se vide complètement en moi.
Ses gémissements et grognements sont très excitants. Il met du temps à éjaculer son foutre.
J'ai encore un long râle lorsqu'il recule en retirant son énorme pieu de mon anus.
Je me retourne pour le regarder, je vois un affolement sur son visage.
Je comprend tout, en voyant que le préservatif n'est plus sur sa bite, il est resté dans mon anus.
Je lui demande:
"Tu as fait le test ?".
"Oui, je suis négatif !".
"Ouf ! Moi aussi ! J'ai fais le test cette semaine !".
Je vois qu'il est rassuré, il se rhabille sans un mot et nous quitte en me disant enfin:
"Merci !".
Je profite de son départ pour m'assoir sur une chaise et m'affale d'épuisement en posant une main contre mon œillet.
Daniel me demande:
"Ca va pas?".
"Putain, il m'a tué ! C'est rare qu'on me casse le cul comme ça !".
"Je veux bien te croire ! C'est un monstre, le mec, j'ai jamais vu une bite comme ça ! Comment t'as fait pour l'encaisser entièrement ?".
"Je sais pas, mais j'ai pris cher, je suis mort !".
"C'était pas douloureux ?".
"Surtout au début, mais après, quand il est allé plus profond, j'ai joui comme jamais, il m'a fait éjaculer sans me toucher ! Mais je me sens bizarre encore !".
Je me tiens le bas ventre, pendant que mon anus rejette des sécrétions anales et du sperme.
Je pense alors à regarder mes vêtements, et malheureusement, ils sont tâchés de mon propre jus.
"Putain, ça m'a excité tout ça ! Suces-moi, maintenant !". Me dit Daniel.
Il me pénètre la gorge, je le suce longuement jusqu'à l'explosion de son foutre délicieux, dans ma bouche.
Il éjacule en me couvrant de mots crus, plus que d'habitude encore.
Je me retrouve seul ensuite, je vais dans un cabinet de toilette pour effacer les traces de mon plaisir pénien, puis j'essuie mon anus éclaté.
Ensuite, je rentre chez moi, toujours sous l'effet de choc de la défonce anale que j'ai vécu.
A cause de la gêne dans mon bas ventre, je ne peux avaler quoique ce soit, je n'ai pas faim !
J'ai rejeté le reste de son sperme en premier, puis enfin le préservatif avant de me coucher.
Par chance, ma copine ne vit pas encore avec moi, j'ai pu aller aux toilettes aussi souvent que je le voulais.
Je ressentirai encore les effets de cette défonce, le lendemain.
Il est l'un des rares hommes de mon âge, que je ne repoussai pas.
On s'est toujours vu au Sex-shop, Il me reconnaissait et venait tout de suite se faire sucer, puis il me défonçait comme un bourrin, toujours sans un mot, mais avec des capotes, par contre.
Nous n'avons plus connu d'accident.
A notre dernière rencontre, il m'a enculé sauvagement d'abord, puis s'est fait sucer et m'a écarté pour éjaculer abondamment sur le sol, j'ai regretté de ne pas pouvoir le boire.
Au gré de toutes mes années de baises entre hommes, je pense qu'il m'a défoncé un peu plus de 20 fois.
J'aurai adoré avoir une relation suivie avec lui, mais il aurait fallu qu'il soit plus communicatif, pour cela.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très excitant et bien écrit. Comme on disait autrefois, voilà un texte qu'on ne peut lire que d'une main !