Le petit square
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-01-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le petit square
A l'approche de mes 27 ans, j'ai trouvé un emploi à 15 km de chez moi, mais comme je n'ai pas de véhicule, je m'y rend en bus.
Je rentre toujours entre 18 et 19 h à la maison, c'est la saison ou les jours rétrécissent et il fait presque nuit à cette heure-là.
A mi-chemin du trajet entre l'arrêt de bus et mon domicile se trouve un petit jardin public.
Les premiers temps, je ne m'y arrêtes jamais. Mais ce soir-là, j'ai trop envie d'uriner pour attendre d'être chez moi.
Je me faufile en avançant d'une vingtaine de mètres, et me colle contre un muret, caché par des haies d'arbustes.
Alors que j'ai presque fini de me soulager, un homme s'approche en se masturbant.
Ca alors ! J'étais loin de me douter qu'il se passait des choses intéressantes ici !
L'inconnu a une tête sympa et une bite encore plus attirante avec un gland bien dessiné.
Il voit à mon regard que je suis très intéressé, il recule contre le muret en avançant sa queue en érection.
Je m'approche et lui lape la hampe, il écarte ses mains pour me laisser faire, en me confiant sa bite.
Je le recouvre de mes lèvres chaudes, ce qu'il apprécie beaucoup vu la fraicheur tombante de la nuit.
J'ai sucé énormément de queues avant ce jour, beaucoup plus grosses ou longues, mais celle-là me plait tellement, que je lui fait l'amour passionnément,.
Je lui dévore littéralement la queue, mais sans me précipiter.
"Arhhhh, là, là, qu'est-ce que c'est bon, arhhhh ! Tu me suces bien, jeune !".
Encore une fois, il me pense plus jeune que mon âge réel, c'est pour cela que je suis constamment sollicité par des adolescentes de moins de 18 ans.
"J'aime trop te sucer la queue, je l'adore !".
Je prends mon temps, et nous ne nous blasons pas de ce jeu pervers et délicieux.
Puis au bout de 15 minutes environ.
"Arhhhhhhh ! Jeune ! Ca y est, je vais jouir ! Attention !".
"Mmmmm, grlllllllp ! Ne te retiens pas ! J'en ai envie ! Mmmmmm".
"Arrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrhhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis ! Arhhhhhhhhhhhhhh !".
Je reçois son sperme brulant en de nombreux jets, je découvre un gout délicieux presque mielleux.
Décidément, tout me plait chez lui, c'est la meilleure éjaculation que j'ai reçue dans ma gorge depuis que je suis bisexuel.
Je voudrais qu'il ne s'arrête jamais de m'abreuver de son jus.
Il finit de gémir son plaisir, puis, je me résous à quitter sa queue, mais je garde son nectar encore un peu.
Il m'adresse la parole et me demande:
"Tu viens souvent ici ?".
J'avale son sperme et réponds:
"Non, c'est la première fois, mais je crois que je vais m'arrêter plus souvent, et toi ?".
"J'y suis tous les soirs, à la même heure ! On peut se voir demain ? J'aime bien comme tu me suces !".
"Humm, bien sûr, moi aussi, j'aime te sucer !".
Tous les soirs de semaine, j'avais donc ma pose fellation et ma dose de sperme à la fin.
Parfois, par manque, je trouvais une excuse pour m'y rendre le Week End.
Cette relation a duré 6 mois. Cela va engendrer des suites inattendues.
A côté du jardin se trouvait un baraquement sur un petit terrain entouré de haies, il fallait enjamber un grillage pour y entrer.
Un soir, j'ai remarqué que des hommes s'y rendaient.
Je venais d'avoir mon dessert du soir avec l'inconnu, j'ai osé y entrer, l'endroit était seulement illuminé par la lune et un faible éclairage public.
Au coin de la bâtisse, un homme attendait en se branlant la bite.
Je m'approche de lui en prenant son sexe entre mes doigts, il pose tout de suite la sienne sur mon cul.
Il m'appuie sur le crâne pour que je le suce, mais en m'obligeant à garder les fesses relevées.
Il me débarrasse de mon pantalon, pendant qu'il me pénètre la gorge puissamment.
"Hummm, il est beau ton cul ! Arhhhh ! Ouais comme ça, suces moi bien ! Ohh, T'es une salope toi !".
Il salive sur ses doigts qu'il insère dans mon anus.
Après une séance de fouille anale et de fellation vicieuse, il craque en disant:
"Arrêtes ! Il faut que je te baise !".
Il passe derrière moi en m'obligeant à me tenir contre le mur, puis il entame sa pénétration.
Je lui demande alors de me cracher sur l'anus pour plus de facilité.
Puis, il revient contre mon œillet et s'enfonce enfin.
Je me redresse sous le plaisir de la pénétration.
Il me saisit par le haut de l'épaule aussitôt et se lance dans un pilonnage intensif de mon cul.
Je jouis analement, en retenant mes gémissements à cause de la proximité avec la rue, qui est très proche, même si nous sommes cachés par des fourrés et la nuit tombée.
Toutefois, la lueur du réverbère éloigné nous permet de voir ce que nous faisons, pour le plaisir des yeux.
L'inconnu me besogne sans s'arrêter et m'annonce après de longues minutes d'assauts qu'il va éjaculer.
Ses enfoncements deviennent saccadés, plus profonds, mais moins amples.
Son corps se raidit, pris de spasmes, pendant qu'il se déverse longuement dans mon cul en gémissant.
Je ressens les derniers soubresauts de notre plaisir commun, puis il coulisse lentement hors de mon anus.
"Putain, c'était bon, jeune ! Ça fait du bien !".
Je ne réponds pas, mais je suis content qu'il ait prit ce plaisir avec moi, le mien retombe lentement.
Il me laisse pendant que je me relève et me retourne. Je remarque alors que deux hommes nous mataient, visiblement, ils attendaient que le premier se vide en moi pour me baiser après lui.
Leurs doigts coulissent sur leurs queues en érection, ce qui présage que je ne suis pas encore près de partir.
Ils s'empressent de me rejoindre, et m'appuient sur les épaules pour me pénétrer la bouche ensemble, et à tour de rôle.
J'ai encore les fesses dénudées.
Leurs sexes sont très excitants, gonflés de désir. L'un des inconnus est très vif, il ne tient pas en place, il a le type latin au sang chaud.
Après 5 minutes de fellation, il demande à l'autre :
"J'ai envie de le baiser ! Ça t'ennuie, si je commence ?".
"Vas-y, j'ai le temps, et j'adore sa bouche !".
Dans la faible lumière, je remarque qu'une tache de sperme a coulé sous mon cul, pendant que je me délectais de leurs queues.
Le latino me soulève les fesses et présente sa bite contre mon anus. Il glisse aussitôt en moi jusqu'aux couilles.
"Putain, il t'a bien ouvert le cul, l'autre mec ! Ça rentre tout seul, oh, c'est bon ! T'es plein de foutre !".
"Fais pareil que lui, moi aussi j'adore, quand ça glisse bien !" Ajoute l'autre.
Dès les premiers assauts, je râle en disant:
"Arhhhhhhhhhh ! tu m'encules bien salaud ! Arhhhhhhhhh !".
"Hummm ! Ça lui plait en plus ! T'aimes ça, te faire casser le cul !".
"Arrrrrrrrhhhhhhhhh! Ouiiiiiiiiiiii ! Tu vas me faire jouiiiir !".
"Dépêches-toi, j'en peux plus ! Il va me faire cracher mon jus, il suce trop bien, cette petite salope !".
"Vas-y alors ! Défonces le, je l'enculerai encore après!".
Ils changent de place, coupant l'orgasme anal qui allait me gagner enfin.
Je suis rempli dans ma gorge par la bite qui vient de me sodomiser, elle a le gout du sperme du précédent.
L'autre inconnu gémit de plaisir en s'enfonçant en moi, il se retient de bouger trop vite au début, puis il se laisse aller et m'encule comme un forcené.
Mon orgasme anal me submerge tout le corps, je retiens mes râles encore, entre mes lèvres. Mes gémissements excitent l'inconnu qui se lâche sans retenue.
Sa queue cogne contre mes tréfonds, déversant sa semence chaude, j'aime ses petits à-coups qui accompagnent sa jouissance.
"Oh, Qu'est-ce que c'est bon, Il a un cul fait pour la bite ce jeune ! Mon dieu, qu'est-ce que j'ai bien joui !".
"Ouais, c'est vrai qu'il est bon ! Je vais lui mettre pareil moi aussi, tu me laisses la place ?".
Il se retire lentement, après avoir sorti un mouchoir de sa poche, puis il s'essuie et disparait.
Je suis aussitôt enculé par le latino, qui reprend son rythme, comme précédemment.
Il est énergique, j'aime ce genre d'homme surtout quand ils sont endurants, sinon, c'est frustrant !
Ses assauts me forcent par moment à me stabiliser en me déplaçant, sur mes jambes, je me sers alors du mur pour mieux encaisser sa queue qui me défonce le cul.
Il me procure un autre orgasme anal, puis il me remplit lui aussi l'anus comme prévu.
Il râle en jouissant, sans retenir sa voix, j'ai peur qu'on nous entende.
Une fois vidé de son jus, il sort un mouchoir pour s'essuyer, je lui en demande un pour moi.
Par chance, il lui en reste un autre, je m'essuie les fesses et remonte mon pantalon.
Il me quitte pendant que je fini de me remettre en état.
Je retrouve ma femme, avec l'anus plein de sperme, elle me demande:
"T'es en retard ! Comment ça se fait ?".
"Euh, il y a eu un accrochage sur la route, le bus était bloqué !".
Comme souvent, je préférai ne pas tout lui dire, elle savait que je rencontrai des hommes, et c'était suffisant !
"Quoi comme accrochage ?".
Je m'amuse à lui répondre en usant d'un double sens:
"Un mec s'est fait tamponné par trois autres !".
Depuis, j'ai connu quelques soirées mémorables à cet endroit.
Mais mon souvenir, le plus marquant, mis à part l'homme au sperme mielleux, était celui-ci:
Encore une fois, je me suis régalé de la queue de mon inconnu en avalant son jus au gout légèrement sucré.
Puis, je vais derrière la bâtisse, je suce et me fais baiser par un homme un peu trop précoce à mon gout.
Après une fellation sur un autre inconnu, je suis abordé par un duo d'hommes.
L'un d'eux a plus de 35 ans et l'autre presque 50 à mon avis. Ils sont tous les deux très virils.
Le plus jeune me pénètre la bouche, je suis heureux de voir qu'il est très, très bien membré.
Il me retourne pour préparer le terrain à une sodomie, en me défaisant mon pantalon.
Je me baisse alors sur la queue de l'autre homme, Je suis étonné de voir qu'il est aussi bien membré que son complice.
La coïncidence est étonnante.
Il demande au plus jeune qui vient de m'empaler sur sa grosse bite en me faisant râler de plaisir:
"Alors ?".
"Ouais, c'est bon !".
Ils me baisent ainsi quelques minutes qui me procure un orgasme énorme.
Le plus âgé se retire de ma bouche et me dit:
"Ça te dit de venir chez nous, on a un appart, pas loin !".
Excité par les premiers assauts du plus jeune, je les suis après m'être remonté le jeans.
Arrivé chez eux, ils me coincent au milieu d'eux, mes vêtements tombent au sol.
"Eh, mais en plus, t'es super mignon ! On avait pas remarqué dans le noir ! T'as un cul magnifique !".
"Merci !".
Je me retrouve vite nu, à genoux devant leurs queues, qui prennent du plaisir avec ma bouche.
Ils quittent, eux aussi, leurs habits.
"Elles te plaisent nos queues ?".
"Mmmmmmmm ! Elles sont magnifiques !".
Ils m'entrainent sur leur lit et ils se font sucer la bite ou m'enculent à tour de rôles, Je prends de nombreux orgasmes.
Ils sont aussi endurants et fougueux, l'un, que l'autre. Je pense qu'ils vivent ensemble et agrémentent leur quotidien en baisant un jeune comme moi, de temps en temps.
Le plus jeune s'allonge et je comprends que je dois m'empaler sur lui.
Le plus âgé, vient derrière mon cul et joint son autre gros sexe au premier.
A mon grand étonnement, à force de patience, il parvient à glisser au-dessus de son ami dans mon anus.
Ils me déchirent le cul en m'insultant, je jouis en criant mon énorme orgasme.
Les deux cherchent à me pénétrer profondément en synchronisant leur enfoncement quand l'autre sort.
Cela faisait longtemps que je n'avais plus connu de double anale, et celle-là était plus extrême et jouissive que les autres.
Mon anus est poisseux de sécrétions, par chance, cela aide les deux hommes à mieux coulisser en moi.
Le plaisir est trop fort, je m'écroule sur celui qui est sous moi, avec l'anus éclaté, les laissant me détruire à leur guise.
Les mots crus s'accumulent encore; salope, chienne, pute, garage à bites, vide couilles, ect...
Le plus jeune craque et me remplit de son sperme, son ami se retire et le laisse jouir seul dans mon cul.
Je me dégage de sa bite, lentement, puis le plus âgé, me retourne sur le ventre.
Il m'insère plusieurs doigts dans l'anus, en poussant.
Sa main se lubrifie avec mes sécrétions et le sperme de son copain.
Je n'aime pas trop la rugosité de ses doigts, mais mes sécrétions corrigent cet effet peu à peu.
Il pousse de plus en plus fort, j'ai une sensation de déchirement anal, je râle de plaisir et de douleur.
Puis, il s'enfonce d'un coup dans mon cul, je n'y crois pas! Il vient de me mettre sa main entière.
Je suis en train de me faire fister, alors que je n'ai aucune attirance pour cette pratique !
Il bouge lentement, puis de plus en plus vite, je suis pris d'orgasmes continus, je me sens écartelé par sa main.
Il me vide de tout substance orgasmique, je suis complètement épuisé de plaisir anal.
Je le supplie d'arrêter, j'ai trop joui ! Il m'écoute enfin après 10 minutes de fist, de plus en plus profond.
Mais même pour sortir sa main, l'affaire n'est pas simple ! Il m'arrache mes derniers cris de plaisir extrême lorsqu'il passe enfin mon œillet en sortant.
Je me sens soulagé, avec l'anus béant comme jamais, mais l'homme n'a pas joui et il remplace sa main par sa grosse queue.
Il me besogne sans retenue jusqu'à l'éjaculation, J'avoue que le plaisir était moindre, même si c'était encore agréable.
Il me donne de quoi m'essuyer, je reprends mes affaires et me rhabille tout en discutant un peu avec eux.
Puis, je les quitte, penaud et encore choqué de ce que je viens de vivre.
En marchant, je me demande comment, je vais cacher ma gêne anale à Corinne, je sens mon anus qui ne veux pas retrouver sa forme habituelle.
Je suis forcé de polluer mon slip avec les spermes des inconnus, c'est très gênant, mais moins douloureux pour moi, que de me retenir.
Cette fois, il n'y a pas de doute, je me suis réellement fait casser le cul ! Et j'aurai du mal à apprécier les sexes trop fins par la suite.
Par chance, Corinne est rentrée plus tard que moi, cela m'a permis de me doucher et de prendre du paracétamol pour calmer la sensation d'écartèlement de mon cul, ainsi que la douleur dans mon bas ventre.
Je ne lui ai pas demandé pourquoi elle rentrait tard, peut-être qu'elle s'est faite baiser, elle aussi ! Et cela m'est égal, vu mon état.
J'étais trop gêné par mon cul, mais, j'en aurai la confirmation au cours d'une baise fougueuse, entre nous, dans la semaine.
Elle avait vu un amant ! Elle n'a surement pas pris autant que moi dans le cul !
Je ne recommencerai jamais cette pratique, trop extrême à mon gout.
Puis au Printemps, la ville a rasé les arbustes, ce qui, avec la lumière du jour rendait les rencontres impossibles.
Et la bâtisse a été détruite, le terrain est devenu un petit jardin d'enfants, avec un accès sur l'autre.
J'ai revu l'homme au sperme mielleux quelques fois au Sex-shop, près de la poste centrale et au cinéma porno.
Puis un autre jour, pendant un marché aux puces. Il me suivait, je l'ai attiré dans une maison presque entièrement détruite.
Il me disait que j'étais fou, parce que c'était en plein jour, mais il n'a pas résisté à ma bouche et m'a donné ce jour-là, ma dernière dose de miel pervers.
On s'est recroisé plusieurs fois, mais sans pouvoir recommencer.
Je rentre toujours entre 18 et 19 h à la maison, c'est la saison ou les jours rétrécissent et il fait presque nuit à cette heure-là.
A mi-chemin du trajet entre l'arrêt de bus et mon domicile se trouve un petit jardin public.
Les premiers temps, je ne m'y arrêtes jamais. Mais ce soir-là, j'ai trop envie d'uriner pour attendre d'être chez moi.
Je me faufile en avançant d'une vingtaine de mètres, et me colle contre un muret, caché par des haies d'arbustes.
Alors que j'ai presque fini de me soulager, un homme s'approche en se masturbant.
Ca alors ! J'étais loin de me douter qu'il se passait des choses intéressantes ici !
L'inconnu a une tête sympa et une bite encore plus attirante avec un gland bien dessiné.
Il voit à mon regard que je suis très intéressé, il recule contre le muret en avançant sa queue en érection.
Je m'approche et lui lape la hampe, il écarte ses mains pour me laisser faire, en me confiant sa bite.
Je le recouvre de mes lèvres chaudes, ce qu'il apprécie beaucoup vu la fraicheur tombante de la nuit.
J'ai sucé énormément de queues avant ce jour, beaucoup plus grosses ou longues, mais celle-là me plait tellement, que je lui fait l'amour passionnément,.
Je lui dévore littéralement la queue, mais sans me précipiter.
"Arhhhh, là, là, qu'est-ce que c'est bon, arhhhh ! Tu me suces bien, jeune !".
Encore une fois, il me pense plus jeune que mon âge réel, c'est pour cela que je suis constamment sollicité par des adolescentes de moins de 18 ans.
"J'aime trop te sucer la queue, je l'adore !".
Je prends mon temps, et nous ne nous blasons pas de ce jeu pervers et délicieux.
Puis au bout de 15 minutes environ.
"Arhhhhhhh ! Jeune ! Ca y est, je vais jouir ! Attention !".
"Mmmmm, grlllllllp ! Ne te retiens pas ! J'en ai envie ! Mmmmmm".
"Arrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrhhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis ! Arhhhhhhhhhhhhhh !".
Je reçois son sperme brulant en de nombreux jets, je découvre un gout délicieux presque mielleux.
Décidément, tout me plait chez lui, c'est la meilleure éjaculation que j'ai reçue dans ma gorge depuis que je suis bisexuel.
Je voudrais qu'il ne s'arrête jamais de m'abreuver de son jus.
Il finit de gémir son plaisir, puis, je me résous à quitter sa queue, mais je garde son nectar encore un peu.
Il m'adresse la parole et me demande:
"Tu viens souvent ici ?".
J'avale son sperme et réponds:
"Non, c'est la première fois, mais je crois que je vais m'arrêter plus souvent, et toi ?".
"J'y suis tous les soirs, à la même heure ! On peut se voir demain ? J'aime bien comme tu me suces !".
"Humm, bien sûr, moi aussi, j'aime te sucer !".
Tous les soirs de semaine, j'avais donc ma pose fellation et ma dose de sperme à la fin.
Parfois, par manque, je trouvais une excuse pour m'y rendre le Week End.
Cette relation a duré 6 mois. Cela va engendrer des suites inattendues.
A côté du jardin se trouvait un baraquement sur un petit terrain entouré de haies, il fallait enjamber un grillage pour y entrer.
Un soir, j'ai remarqué que des hommes s'y rendaient.
Je venais d'avoir mon dessert du soir avec l'inconnu, j'ai osé y entrer, l'endroit était seulement illuminé par la lune et un faible éclairage public.
Au coin de la bâtisse, un homme attendait en se branlant la bite.
Je m'approche de lui en prenant son sexe entre mes doigts, il pose tout de suite la sienne sur mon cul.
Il m'appuie sur le crâne pour que je le suce, mais en m'obligeant à garder les fesses relevées.
Il me débarrasse de mon pantalon, pendant qu'il me pénètre la gorge puissamment.
"Hummm, il est beau ton cul ! Arhhhh ! Ouais comme ça, suces moi bien ! Ohh, T'es une salope toi !".
Il salive sur ses doigts qu'il insère dans mon anus.
Après une séance de fouille anale et de fellation vicieuse, il craque en disant:
"Arrêtes ! Il faut que je te baise !".
Il passe derrière moi en m'obligeant à me tenir contre le mur, puis il entame sa pénétration.
Je lui demande alors de me cracher sur l'anus pour plus de facilité.
Puis, il revient contre mon œillet et s'enfonce enfin.
Je me redresse sous le plaisir de la pénétration.
Il me saisit par le haut de l'épaule aussitôt et se lance dans un pilonnage intensif de mon cul.
Je jouis analement, en retenant mes gémissements à cause de la proximité avec la rue, qui est très proche, même si nous sommes cachés par des fourrés et la nuit tombée.
Toutefois, la lueur du réverbère éloigné nous permet de voir ce que nous faisons, pour le plaisir des yeux.
L'inconnu me besogne sans s'arrêter et m'annonce après de longues minutes d'assauts qu'il va éjaculer.
Ses enfoncements deviennent saccadés, plus profonds, mais moins amples.
Son corps se raidit, pris de spasmes, pendant qu'il se déverse longuement dans mon cul en gémissant.
Je ressens les derniers soubresauts de notre plaisir commun, puis il coulisse lentement hors de mon anus.
"Putain, c'était bon, jeune ! Ça fait du bien !".
Je ne réponds pas, mais je suis content qu'il ait prit ce plaisir avec moi, le mien retombe lentement.
Il me laisse pendant que je me relève et me retourne. Je remarque alors que deux hommes nous mataient, visiblement, ils attendaient que le premier se vide en moi pour me baiser après lui.
Leurs doigts coulissent sur leurs queues en érection, ce qui présage que je ne suis pas encore près de partir.
Ils s'empressent de me rejoindre, et m'appuient sur les épaules pour me pénétrer la bouche ensemble, et à tour de rôle.
J'ai encore les fesses dénudées.
Leurs sexes sont très excitants, gonflés de désir. L'un des inconnus est très vif, il ne tient pas en place, il a le type latin au sang chaud.
Après 5 minutes de fellation, il demande à l'autre :
"J'ai envie de le baiser ! Ça t'ennuie, si je commence ?".
"Vas-y, j'ai le temps, et j'adore sa bouche !".
Dans la faible lumière, je remarque qu'une tache de sperme a coulé sous mon cul, pendant que je me délectais de leurs queues.
Le latino me soulève les fesses et présente sa bite contre mon anus. Il glisse aussitôt en moi jusqu'aux couilles.
"Putain, il t'a bien ouvert le cul, l'autre mec ! Ça rentre tout seul, oh, c'est bon ! T'es plein de foutre !".
"Fais pareil que lui, moi aussi j'adore, quand ça glisse bien !" Ajoute l'autre.
Dès les premiers assauts, je râle en disant:
"Arhhhhhhhhhh ! tu m'encules bien salaud ! Arhhhhhhhhh !".
"Hummm ! Ça lui plait en plus ! T'aimes ça, te faire casser le cul !".
"Arrrrrrrrhhhhhhhhh! Ouiiiiiiiiiiii ! Tu vas me faire jouiiiir !".
"Dépêches-toi, j'en peux plus ! Il va me faire cracher mon jus, il suce trop bien, cette petite salope !".
"Vas-y alors ! Défonces le, je l'enculerai encore après!".
Ils changent de place, coupant l'orgasme anal qui allait me gagner enfin.
Je suis rempli dans ma gorge par la bite qui vient de me sodomiser, elle a le gout du sperme du précédent.
L'autre inconnu gémit de plaisir en s'enfonçant en moi, il se retient de bouger trop vite au début, puis il se laisse aller et m'encule comme un forcené.
Mon orgasme anal me submerge tout le corps, je retiens mes râles encore, entre mes lèvres. Mes gémissements excitent l'inconnu qui se lâche sans retenue.
Sa queue cogne contre mes tréfonds, déversant sa semence chaude, j'aime ses petits à-coups qui accompagnent sa jouissance.
"Oh, Qu'est-ce que c'est bon, Il a un cul fait pour la bite ce jeune ! Mon dieu, qu'est-ce que j'ai bien joui !".
"Ouais, c'est vrai qu'il est bon ! Je vais lui mettre pareil moi aussi, tu me laisses la place ?".
Il se retire lentement, après avoir sorti un mouchoir de sa poche, puis il s'essuie et disparait.
Je suis aussitôt enculé par le latino, qui reprend son rythme, comme précédemment.
Il est énergique, j'aime ce genre d'homme surtout quand ils sont endurants, sinon, c'est frustrant !
Ses assauts me forcent par moment à me stabiliser en me déplaçant, sur mes jambes, je me sers alors du mur pour mieux encaisser sa queue qui me défonce le cul.
Il me procure un autre orgasme anal, puis il me remplit lui aussi l'anus comme prévu.
Il râle en jouissant, sans retenir sa voix, j'ai peur qu'on nous entende.
Une fois vidé de son jus, il sort un mouchoir pour s'essuyer, je lui en demande un pour moi.
Par chance, il lui en reste un autre, je m'essuie les fesses et remonte mon pantalon.
Il me quitte pendant que je fini de me remettre en état.
Je retrouve ma femme, avec l'anus plein de sperme, elle me demande:
"T'es en retard ! Comment ça se fait ?".
"Euh, il y a eu un accrochage sur la route, le bus était bloqué !".
Comme souvent, je préférai ne pas tout lui dire, elle savait que je rencontrai des hommes, et c'était suffisant !
"Quoi comme accrochage ?".
Je m'amuse à lui répondre en usant d'un double sens:
"Un mec s'est fait tamponné par trois autres !".
Depuis, j'ai connu quelques soirées mémorables à cet endroit.
Mais mon souvenir, le plus marquant, mis à part l'homme au sperme mielleux, était celui-ci:
Encore une fois, je me suis régalé de la queue de mon inconnu en avalant son jus au gout légèrement sucré.
Puis, je vais derrière la bâtisse, je suce et me fais baiser par un homme un peu trop précoce à mon gout.
Après une fellation sur un autre inconnu, je suis abordé par un duo d'hommes.
L'un d'eux a plus de 35 ans et l'autre presque 50 à mon avis. Ils sont tous les deux très virils.
Le plus jeune me pénètre la bouche, je suis heureux de voir qu'il est très, très bien membré.
Il me retourne pour préparer le terrain à une sodomie, en me défaisant mon pantalon.
Je me baisse alors sur la queue de l'autre homme, Je suis étonné de voir qu'il est aussi bien membré que son complice.
La coïncidence est étonnante.
Il demande au plus jeune qui vient de m'empaler sur sa grosse bite en me faisant râler de plaisir:
"Alors ?".
"Ouais, c'est bon !".
Ils me baisent ainsi quelques minutes qui me procure un orgasme énorme.
Le plus âgé se retire de ma bouche et me dit:
"Ça te dit de venir chez nous, on a un appart, pas loin !".
Excité par les premiers assauts du plus jeune, je les suis après m'être remonté le jeans.
Arrivé chez eux, ils me coincent au milieu d'eux, mes vêtements tombent au sol.
"Eh, mais en plus, t'es super mignon ! On avait pas remarqué dans le noir ! T'as un cul magnifique !".
"Merci !".
Je me retrouve vite nu, à genoux devant leurs queues, qui prennent du plaisir avec ma bouche.
Ils quittent, eux aussi, leurs habits.
"Elles te plaisent nos queues ?".
"Mmmmmmmm ! Elles sont magnifiques !".
Ils m'entrainent sur leur lit et ils se font sucer la bite ou m'enculent à tour de rôles, Je prends de nombreux orgasmes.
Ils sont aussi endurants et fougueux, l'un, que l'autre. Je pense qu'ils vivent ensemble et agrémentent leur quotidien en baisant un jeune comme moi, de temps en temps.
Le plus jeune s'allonge et je comprends que je dois m'empaler sur lui.
Le plus âgé, vient derrière mon cul et joint son autre gros sexe au premier.
A mon grand étonnement, à force de patience, il parvient à glisser au-dessus de son ami dans mon anus.
Ils me déchirent le cul en m'insultant, je jouis en criant mon énorme orgasme.
Les deux cherchent à me pénétrer profondément en synchronisant leur enfoncement quand l'autre sort.
Cela faisait longtemps que je n'avais plus connu de double anale, et celle-là était plus extrême et jouissive que les autres.
Mon anus est poisseux de sécrétions, par chance, cela aide les deux hommes à mieux coulisser en moi.
Le plaisir est trop fort, je m'écroule sur celui qui est sous moi, avec l'anus éclaté, les laissant me détruire à leur guise.
Les mots crus s'accumulent encore; salope, chienne, pute, garage à bites, vide couilles, ect...
Le plus jeune craque et me remplit de son sperme, son ami se retire et le laisse jouir seul dans mon cul.
Je me dégage de sa bite, lentement, puis le plus âgé, me retourne sur le ventre.
Il m'insère plusieurs doigts dans l'anus, en poussant.
Sa main se lubrifie avec mes sécrétions et le sperme de son copain.
Je n'aime pas trop la rugosité de ses doigts, mais mes sécrétions corrigent cet effet peu à peu.
Il pousse de plus en plus fort, j'ai une sensation de déchirement anal, je râle de plaisir et de douleur.
Puis, il s'enfonce d'un coup dans mon cul, je n'y crois pas! Il vient de me mettre sa main entière.
Je suis en train de me faire fister, alors que je n'ai aucune attirance pour cette pratique !
Il bouge lentement, puis de plus en plus vite, je suis pris d'orgasmes continus, je me sens écartelé par sa main.
Il me vide de tout substance orgasmique, je suis complètement épuisé de plaisir anal.
Je le supplie d'arrêter, j'ai trop joui ! Il m'écoute enfin après 10 minutes de fist, de plus en plus profond.
Mais même pour sortir sa main, l'affaire n'est pas simple ! Il m'arrache mes derniers cris de plaisir extrême lorsqu'il passe enfin mon œillet en sortant.
Je me sens soulagé, avec l'anus béant comme jamais, mais l'homme n'a pas joui et il remplace sa main par sa grosse queue.
Il me besogne sans retenue jusqu'à l'éjaculation, J'avoue que le plaisir était moindre, même si c'était encore agréable.
Il me donne de quoi m'essuyer, je reprends mes affaires et me rhabille tout en discutant un peu avec eux.
Puis, je les quitte, penaud et encore choqué de ce que je viens de vivre.
En marchant, je me demande comment, je vais cacher ma gêne anale à Corinne, je sens mon anus qui ne veux pas retrouver sa forme habituelle.
Je suis forcé de polluer mon slip avec les spermes des inconnus, c'est très gênant, mais moins douloureux pour moi, que de me retenir.
Cette fois, il n'y a pas de doute, je me suis réellement fait casser le cul ! Et j'aurai du mal à apprécier les sexes trop fins par la suite.
Par chance, Corinne est rentrée plus tard que moi, cela m'a permis de me doucher et de prendre du paracétamol pour calmer la sensation d'écartèlement de mon cul, ainsi que la douleur dans mon bas ventre.
Je ne lui ai pas demandé pourquoi elle rentrait tard, peut-être qu'elle s'est faite baiser, elle aussi ! Et cela m'est égal, vu mon état.
J'étais trop gêné par mon cul, mais, j'en aurai la confirmation au cours d'une baise fougueuse, entre nous, dans la semaine.
Elle avait vu un amant ! Elle n'a surement pas pris autant que moi dans le cul !
Je ne recommencerai jamais cette pratique, trop extrême à mon gout.
Puis au Printemps, la ville a rasé les arbustes, ce qui, avec la lumière du jour rendait les rencontres impossibles.
Et la bâtisse a été détruite, le terrain est devenu un petit jardin d'enfants, avec un accès sur l'autre.
J'ai revu l'homme au sperme mielleux quelques fois au Sex-shop, près de la poste centrale et au cinéma porno.
Puis un autre jour, pendant un marché aux puces. Il me suivait, je l'ai attiré dans une maison presque entièrement détruite.
Il me disait que j'étais fou, parce que c'était en plein jour, mais il n'a pas résisté à ma bouche et m'a donné ce jour-là, ma dernière dose de miel pervers.
On s'est recroisé plusieurs fois, mais sans pouvoir recommencer.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je connais un endroit en forêt où le vais sucer des queues : extra!
Je vais souvent en foret près de chez moi je sais qu il y a des mecs j adore sucer des grosses bites et me faire enculer et avaler leur foutre je suis une grosse salope
Je ne sais pas, si il y a encore autant d'endroits comme celui-là aujourd'hui. Internet a du chambouler tout ça ! Mais bonne baise quand même !
je trouve son récit très chouette. Moi je vis la même chose en été dans un petit bois pas loin de Cahors. Je suce et je me fais enculer parfois cinq à six fois dans l'après midi .
J'adore le récit, j'ai été excité et je vais essayé une aventure comme cela, je suis timide mais je veux connaitre la sodomie
je vais me rendre dans un parc a coté de chez moi.
je vais me rendre dans un parc a coté de chez moi.